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CUIT CUIT LES OISEAUX ? Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la sous-préfecture de Dunkerque se comporte en Ennemi de classe, Nicolas HULOT mis au parfum !
- Par auraenvironnementparis
- Le 26/06/2017
- Dans STOP Projet IndaChlor à Loon-Plage vers Dunkerque !
AURA Environnement
AURA Environnement Le 26/06/2017
Association loi 1901 --- Identification R.N.A : W033003439
Protection environnementale et de défense des animaux
Mail : Aura-environnement@laposte.net
Site : http://www.aura-environnement.com/à
Ministère de l’Ecologie et de la transition énergétique
Mme le directeur de cabinet de Mr le ministre
Mme PAPPALARDO
Pour
Objet : refus communication documents administratifs suivant stricte recommandation de la CADA sous-préfecture Dunkerque projet Indachlor à Loon-Plage.
Monsieur le ministre,
Je tiens à vous informer que le 22/05/2017, j’ai demandé à l’UD Dreal de Gravelines (Hauts-de-France) tous les documents communicables concernant la future enquête publique du projet Indachlor, comme la demande d’autorisation (DDAE), déposée par l’exploitant, la société Indaver située à Anvers, conformément aux recommandations telles qu’elles ont été exprimées dans notre pétition qui a recueilli plus de 23 000 signatures http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 .
Nous nous étions mis d’accord avec le responsable de l’UD de la Dreal de Gravelines, Mr David LEFRANC, pour que cette transmission se fasse au plus tard le 22/06/2017.
Mr LEFRANC qui est très courtois et loyal m’a dit qu’il allait demander à la société Indaver l’ensemble du dossier – les éléments sensibles relatifs à une usine Seveso, ce que je comprends parfaitement. Nous ne contestons pas les retraits concernant les parties dites « sensibles ».
La presse locale fait bien état de notre pacifisme et de notre nette compréhension de ce projet Indachlor http://www.lepharedunkerquois.fr/dunkerquois/loon-plage-petition-record-en-vue-ia684b0n212105
Aujourd’hui, Mr LEFRANC m’a indiqué avoir transmis l’ensemble de ce dossier, le 20 juin à Mr le secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Bernard DUJARDIN.
J’ai pris attache cet après-midi avec Mme Christine PATOT, la secrétaire de Mr le sous-préfet de Dunkerque qui m’a dit que le secrétaire-général n’avait pas encore vu le représentant de l’Etat, Mr le sous-préfet de Dunkerque, Eric ETIENNE.
Je vous demande, Mr le ministre, votre intervention personnelle pour que la sous-préfecture de Dunkerque cesse de me faire de la rétention de tous ces documents à caractère public, et, ce, en totale violation du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.12461 du code de l’environnement.
Alors que le président MACRON - que je soutiens en participant à des groupes locaux en Bretagne et en Auvergne – a demandé plus d’exemplarité, il semble particulièrement regrettable que cela ne soit pas appliqué dans les Hauts-de-France.
Je m’étonne d’ailleurs du manque de considération à mon égard de la part des représentants de l’Etat.
Vous n’aurez aucun mal, Mr le ministre, Nicolas HULOT, à retrouver le courrier du directeur de cabinet de votre prédécesseur, Mme la ministre de l’environnement, Ségolène ROYAL (Réf. CDAP /SR/A15026091-D15021084), lorsque Mme la ministre demandait au préfet de la Loire « d’examiner mes observations et de me tenir directement informé de la suite qui sera réservée à ma démarche ».
J’ai été reçus par 2 directeurs de cabinet de Mr le préfet de la Loire et ce, sans aucun problème particulier avec les représentants des sections « déchets » de la Dreal de la Loire.
Je vous demande donc d’intervenir pour que cesse cet ostracisme à mon égard dans les Hauts-de-France, en voulant nous « cacher » de façon dictatoriale des documents pleinement de droit communicables.
Je suis tout aussi respectueux de l’Etat que Mr le secrétaire-général et Mr el sous-préfet de Dunkerque.
Je ne tient absolument pas à être traité de « paria » parce que, moi, et mes camarades, nous nous posons des questions sur l’impact environnemental du projet Indachlor à Loon-plage ou sur d’autres dangers, comme la perte de plusieurs emplois actuels, sur la potentielle « fuite » en Belgique de capitaux issus de potentielles subventions françaises de l’autre côté de la frontière, sans parler des risques potentiels vis-à-vis des populations locales au vu de cette énorme explosion chez l’exploitant INDAVER à Anvers http://www.aura-environnement.com/blog/explosion-indaver-a-anvers/cette-explosion-chez-indaver-debut-2016-a-anvers-qui-fait-fremir-de-trouille-dunkerque.html !
Je suis, je pense un très bon connaisseur du monde des déchets et, en plus, je suis membre, Mr le ministre, en tant que président du pôle déchets du groupement d’associations environnementales FAPEL 22, des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets au sein de l’entité Kelenn à la Région Bretagne...... avec l'équipe de notre ministre Jean-Yves Le Drian !
Je participe sans aucun problème aux réunions de travail et mes rapports sont très cordiaux avec tous les intervenants !
Je ne vois pas pourquoi la situation serait différente à Dunkerque, où, depuis le 20/06/2017, des documents publics qui me doivent être communiqués, sont gardés dans un tiroir qui refuse de s’ouvrir à la Constitution de notre pays, aux valeurs défendues par notre président Emmanuel MACRON et aux préconisations du ministre d’Etat Nicolas HULOT !
Je vous demande, Mr le ministre, d’intervenir auprès du sous-préfet de Dunkerque pour que je reçoive rapidement les documents que la Dreal de Gravelines devait me faire parvenir.
Est-il normal que les recommandations de la CADA soient ainsi détournées de leur substance ?
Quel est l’intérêt du secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Mr DUJARDIN, de jouer au « vicomte» local s’asseyant sur les conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, maître de requête au Conseil d’Etat sur les avis de la CADA ?
La CADA indique-t-elle qu’une sous-préfecture doit se substituer à un service de l’Etat dont le siège régional est à Lille ?
Avouez que tout cela fait désordre, Mr le ministre, alors que l’ensemble de ces documents seront transmis au grand public et aux medias lors d’une prochaine enquête publique de Loon-Plage et des communes voisines à la rentrée de septembre 2017 !
Qu’en pensent les honorables membres du Coderst des Hauts-de-France ?
Que penser de ce projet Indachlor dans la région des Hauts-de-France qui dispose à ce jour de nombreuses installations permettant le traitement des déchets dangereux du territoire, comme par exemple, le site de traitement de Synthexim, localisé à Calais, en lien avec une activité de chimie de spécialité, autorisée pour le traitement de déchets dangereux chlorés (identique à ceux envisagés dans le cadre du projet Indachlor) disposant d’une capacité disponible estimée à plus de 15 000 T/an – installation non-saturée, faut-il le rappeler ?
L’arrêt de l’incinérateur de Synthexim mettra en péril l’ensemble de l’activité chimique dans la région et ne profitera qu’aux Belges qui pourraient très bien monter leur projet à Anvers. Sauf que les populations locales flamandes n’en veulent pas !
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le ministre, à l’expression de ma considération très distinguée.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du CPERD (collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque)
Transmisssion :
- Me François RUFFIE, barreau de Libourne
- Me Gilles-Jean PORTEJOIE, barreau de Clermont-Ferrand
- Le club de la presse des Hauts-de-France
- Les medias nationaux
- Louis-Marie HOREAU, Le canard Enchaîné
- Transmission publique :
- les 23 108 signataires de notre pétition internet qui doivent être tenus au courant de nos difficultés à recevoir des documents publics.
- l’ensembles des élu-es de la région des Hauts-de-France
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Chats & Chiens martyrisés : AURA Environnement partie civile 2 affaires + désignation Juge d'instruction 2 autres cas !
- Par auraenvironnementparis
- Le 26/06/2017
- Dans Maltraitance animale AURA Environnement partie civile
AURA Environnement a mandaté Me Jean-Hubert PORTEJOIE
du Barreau de Clermont-Ferrand pour se porter partie civile
dans 2 affaires nationales concernant chats et chiens
et désignation d'un juge d'instruction dans 2 autres cas !
DESIGNATION DU DOYEN DE L'INSTRUCTION :
-BOEUF ECARTELE DE RETHEL : le procureur a classé l'affaire. AURA Environnement s'était porté partie civile. Nous demandons la désignation d'un juge d'instruction. Nous avons appris par la presse la décision du Parquet de Charleville-Mézières ! http://www.lunion.fr/29248/article/2017-05-05/boeuf-blesse-au-foirail-de-rethelpas-de-poursuites-penales et https://www.scoopnest.com/fr/user/UnionArdennais/860559776144609280
- CHAT blessé Métro sortie 1 Grande arche La Défense. Les policiers ont convoqué le clodo mais le procureur a classé l'affaire. A Saint-Pierre-la-Mer les chats empoisonnés seraient porteur du virus "Calcivirus" (autopsie), tandis que dans le Métro de Paris, le risque semblerait ne pas exister alors que le chat serait blessé et risque de contaminer potentiellement des enfants s'il était porteur du virus !!!!
http://www.aura-environnement.com/blog/aura-environnement/on-nous-ecrit-a-la-sortie-du-metro-la-defense-il-y-a-un-chien-et-un-chat-la-police-passe-le-parquet-classe.htmlPARTIE CIVILE- CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE) en soutien avec l'association locale "Esprit félin". AURA Environnement a également pris contact avec l'avocat situé à Narbonne et représentant "Esprit Félin".- Canicule. Absente 3 semaines, elle laisse son chien mourir de soif (Yvelines) : http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Elle-enferme-son-chien-dans-la-cuisine-et-le-laisse-mourir-de-faim-et-de-soif-1293479et -
ON NOUS ECRIT : "A la sortie du métro La Défense il y a un chien et un chat......". La police passe, le parquet classe !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/06/2017
- Dans Aura Environnement
Le chat est blessé à Paris et n'est pas soigné
...alors qu'un cas de virus Calcivirus se balade
dans les rues de Saint-Pierre-la-Mer (Aude)
AURA Environnement va saisir la justice !
ON NOUS ECRIT dans la MP de notre page Facebook de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ :
"BonjourJe vous écris car à la sortie du metro La Défense il y a une personne avec un chien et un chat qui je suis sure sont totalement drogues. Ils ne bougent jamais et il met la patte du chat sur celle du chat. Ca me fait trop de peine. Comment faire quelque chose?"Pendant que le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux conseille à notre fan de mettre l'info sur sa propre page, nous apprenons par l'écrit d'une internaute Marie C...., qu'une page facebook arborant officiellement le logo de la police nationale préconise aux internautes ceci : "S’il vous plaît les amis, quand vous avez des sauvetages périlleux, ne diffusez pas mais contactez soit des assocs ou ce lien en MP (le lien de la page facebook en question avec le logo de la police nationale). Diffusez à tous azimuts ne fait que compromette des enquêtes en sous-marin, dernièrement encore sur Marseille, cela a foiré par manque de discrétion… " .AURA Environnement a immédiatement contacté l'administrateur de cette page et celui-ci nous a confirmé 'Les écrits que vous nous montrez ne sont pas de nous, si vous faites attention", nous confirmant également que l'utilisation du logo de la police nationale était "publique", que la loi ne "l'interdit pas' et que cette page Facebook était avisée par "leur hiérarchie".Ensuite, nous avons appris que le modérateur de cette page était policier, puisqu'il faisait état lui-même de son état de "policier" à notre fan, à propos de ce chat blessé :"Jean-Marc", modérateur et policier, dit être "personnellement intervenu sur place, un équipage de police a ramené l'individu et les animaux au commissariat.... Un chat était blessé et l'individu a déclaré ne pas le soigner. Le Procureur a décidé de ne pas donner suite, il a quitté les lieux avec ses animaux, et s'est réimplanté dès le lendemain".Puisque la police semble vouloir s'occuper presque en "exclusivité" de la protection animale, cela tombe à pic, puisque demain matin, nos camarades de l'association "Esprit félin" ont RDV avec leur avocat dans le bureau du procureur de la République de Narbonne dans cette scandaleuse affaire d'empoisonnements de plusieurs dizaines de chats dans un quartier de Saint-Pierre-la-Mer.Si on suit bien le raisonnement de cette Marie C......, on devrait avoir un représentant de la police nationale qui se portera partie civile au même titre qu'AURA Environnement ?Que s'est-il passé à Marseille ???AURA Environnement va charger, cette semaine, Me Jean-Hubert PORTEJOIE du Barreau de Clermont-Ferrand, de prendre en charge cette histoire de "chien et chat blessé" à Paris.Tout comme, nous allons demander à notre conseil, Me François RUFFIE du Barreau de Libourne de s'occuper du cas de cette Marie C... qui salit les simples défenseurs de la cause animale - pour le compte d'une page facebook qui collaborerait avec la police nationale -, (comme elle l'a prétendu - preuve en notre possession), comme nous et d'autres petites pages ou groupes sur Facebook.Tout comme nous allons alerter, notre camarade Louis-Marie HOREAU du canard Enchaîné !A suivreMatrc-Claude de PORTEBANEPrésident d'AURA EnvironnementPorte-parole du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux. -
Empoisonnement ou calcivirus pour les chats de Saint-Pierre-la-Mer (Aude) : AURA Environnement va se porter partie civile
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/06/2017
- Dans HALTE aux massacres de chats à Saint-Pierre-la-Mer
CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE)
Empoisonnement volontaire
Empoisonnement accidentel
Maladie virale ?
Nous voulons les rapports d'autopsie pratiqués sur les chats, des animaux comme tant d'autres, que les femmes et les hommes du monde entier adorent !
Fleury dans l'Aude, le même bled où AURA Environnement et la Ligue ont déjà constaté - preuves à l'appui -, cet hiver, que des chevaux étaient maltraités ! http://www.aura-environnement.com/blog/ligue-de-combat-contre-les-cruautes-envers-les-animaux/chevaux-maltraites-dans-l-aude-aura-environnement-va-saisir-la-justice.html
2 affaires dans la même commune, c'est quand même troublant, non ?
D'ores et déjà, AURA Environnement va se porter partie civile - en renfort -, répondant ainsi à l'appel de l'association locale "Esprit félin" et aux habitant-es indigné-es de cette commune.
De très nombreux témoignages de chats morts nous sont parvenus.
La presse locale comme "l'Indépendant" ou "La Dépêche du Midi" ont tiré la sonnette d'alarme !
Le journal Le Monde s'en inquiète : "Les chiffres de cette « hécatombe de chats dans la station balnéaire audoise » varient, en fonction des sources citées par la presse locale : « une cinquantaine », selon l’adjoint au maire chargé de la sécurité, presque quatre-vingts, d’après « un témoin ». Une enquêtrice de la Société pour la protection des animaux (SPA), arrivée sur place après des signalements d’habitants, avance un chiffre encore plus haut à la Dépêche du Midi :« Il y en a partout dans les containers, ils seraient au nombre de 200. »" !* http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/06/06/une-hecatombe-de-chats-dans-la-petite-station-balneaire-de-saint-pierre-la-mer_5139413_4832693.html#fOQpMgHAW3TTiQjh.99
Il y a 2 jours, le journal "L'Indépendant" nous apprenait que le virus calcivirus avait frappé un autre chat et que sa présence avait été constatée par un vétérinaire.
Le 1er chat autopsié aurait bien été touché par ce virus qui laisse, en apparence, les signes de l'empoisonnement puisque les félins bavent abondamment. Ils ont également des lésions au niveau de la langue et de l'appareil digestif.
"L'Indépendant" n'excluait toujours pas la piste de "l'empoisonnement" puisque les décès des chats ont été localisés sur un périmètre bien déterminé.
La vérité éclatera dans le quartier de la résidence Saint-Pierre !
Les 52 000 fans de la page facebook du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (qui dépend d'AURA Environnement) sont prêtes et prêts à soutenir les populations locales.
Par ailleurs, il semblerait que depuis que la presse nationale et les associations de protection des animaux se soient emparés de cette affaire scandaleuse, le nombre de morts relevés auraient fortement diminué.
Comme par miracle ?
N'est-ce pas bizarre que le virus calcivirus ne frappe pas d'autres communes de l'Aude, d'autres départements limitrophes, d'autres régions, d'autres pays ?
Selon France 3 Occitanie, les premières autopsies ont révélé des empoisonnements au shit et au liquide de refroidissement. La présence de plombs a été retrouvé dans le corps des chats, du cannabis et du liquide de refroidissement dans leur estomac.
K1
Marc-Claude de PORTEBANE
Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
Président d'AURA Environnement
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AURA Environnement dénonce lacunes Enquête publique extension unité de tri et valorisation déchets inertes Guyot Environnement vers Morlaix !
- Par auraenvironnementparis
- Le 18/06/2017
- Dans Stop stockage CSR de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs !
AURA Environnement aura été la SEULE assoc' environnementale
à s'opposer lors de l'enquête publique du 16/05 au 16/06/2015 à la
demande d'autorisation d'exploiter une unité de tri et de valorisation
de déchets inertes à Kérolzec à Saint-Martin-des-Champs vers
Morlaix dans le Finistère et présentée par Guyot Environnement de Brest !
Presque personne n'est venu à cette enquête publique aux mairies de Saint-Martin-des-Champs, de Sainte-Sève et de Taulé. Voici les commentaires d'AURA Environnement qui ont été transmis sur le registre lors de la présence du commissaire-enquêteur Ernest QUIVOURON désigné par le tribunal administratif :
COMMENTAIRE
Le 19/05/2017 AURA Environnement constate un mur d’agglos ou de parpaings.....
......alors que sur les photos d’ AURA Environnement le 27/11/2016, il n’y a aucune construction à cet emplacement qui correspond à la zone de stockage de 595 m² des balles de CSR, comme indiqué dans l’enquête publique.
La dernière demande effectuée par Guyot Environnement à l’urbanisme de Saint-Martin-des-Champs remonte à :
- Permis de construire modificatif
Demande déposée le 02/04/2003 par Guyot Environnement à Brest.
N° PC 2925402M1003 1
Objet : Modification du bâtiment principal
Le 16/06/2017, le service de l’urbanisme à la mairie de Saint-Martin-des-Champs confirme bien qu’aucune demande n’a été effectuée par la société Guyot Environnement pour un permis de construire ou une autorisation de travaux.
Selon le responsable de l’urbanisme de la mairie de Saint-Martin-des-Champs, les photos qu’AURA Environnement lui montre confirme bien qu’il y a emprise au sol supérieure à 20 m².
L’enquête publique est donc insincère et ne prends pas en compte ces modifications de l’installation de la société Guyot Environnement.
Nous demandons la démolition de cette construction et une nouvelle enquête publique.
AUTRE COMMENTAIRE
UN SITE EXISTANT
Le dossier présente le fonctionnement et les volumes triés sur le site existant mais qui ne sont pas le reflet des activités aujourd’hui en place : la société GUYOT a déjà mis en place le process de préparation des CSR décrit comme « projet » dans le dossier objet de la demande.
Dans le schéma décrivant les installations actuellement sur le site il ne figure pas d’étape de préparation/broyage de CSR, uniquement un tri mécanique, et pourtant des balles de CSR sont présentes sur le site avant l’enquête publique.
Le site de st martin est autorisé par son AP de 2006 à réaliser des activités de tri et transit de déchets non dangereux selon les rubriques 2713, 2714, 2716 et 2718, mais n’est pas autorisé à préparer des CSR. Il s’agit d’un dossier de régularisation et non pas de demande.
Nous demandons
- De renvoyer Guyot face à ses responsabilités pour tricherie sur ce dossier et cette enquête publique
- De pointer du doigt une filière de valorisation CSR qui peut permettre tous les abus dans sa mise en oeuvre
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CADRE REGLEMENTAIRE CSR
Le cadre réglementaire pour la fabrication de CSR et pour les installations destinées à les recevoir a été clarifié en mai 2016. La société GUYOT n’y fait pas référence et doit pourtant s’y conformer. La conformité à l’AM n’est pas étudié alors que la valorisation des CRSr en chaufferie 2971 est évoquée pour « plus tard » dans le dossier.
Référence réglementaire : Il s’agit du décret n° 2016-630 du 19 mai 2016 modifiant la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement qui crée la rubrique 2971 (régime de l’autorisation) pour les installations de production d'énergie sous la forme de chaleur ou d'électricité à partir de déchets spécifiques de type CSR, accompagné de deux arrêtés ministériels relatif à la préparation et la combustion de CSR.
Seule la conformité à l’AM du 13/10/10 est analysée.
- Nous demandons à Guyot de justifier la conformité de son projet à ce texte de mai 2016
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FILIERES DE VALORISATION
Nous demandons une transparence totale sur les filières de valorisation des CSR. Quelles sont-elles ? Où sont-elles ? Sont-elles réellement locales ? Existe-t-il réellement des partenariats commerciaux établis ?
Cela nous parait indispensable dans la mesure où certaines filières avancées n’existent pas sur la Bretagne (Voir point 2 les projets de chaufferie 2971 qui sont évoquées pour « plus tard ») !
- Nous demandons à ce qu’une vraie transparence soit apportée dans le dossier :
- Lister l’ensemble des exutoires prévus avec leur localisation et les volumes passés et futurs
- Démontrer la capacité reprenneur à accepter les CSR produits par GUYOT
- Justifier que tout CSR produit sur le site aura un exutoire et le prouver dans le temps
- Démontrer l’existence d’accords commerciaux entre GUYOT et ces sites
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TRAFIC ROUTIER ET PROXIMITE DES FILIERES
Plusieurs points du bienfondé du projet semblent à nos yeux infondés :
- Le projet doit contribuer à augmenter la capacité de tri et valorisation des déchets non dangereux en Bretagne. S’il est effectivement nécessaire d’avoir des outils de ce type sur le territoire il est toutefois fallacieux de se targuer d’être une solution locale quand on ne dispose pas de filières de valorisation de proximité. Ce volet n’est pas du tout traité dans l’analyse de l’impact sur le trafic. Marche-t-on sur la tête pour transporter des CSR sur des centaines de kilomètres depuis Saint martin des Champs.
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Interdire le traitement des CSR en dehors la Bretagne.
- Réaliser un véritable bilan carbone du projet en incluant l’ensemble des activités transport.
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- VOLUMES PREVISIONNELS
Nous sommes surpris de voir que la société GUYOT s’engage dans son dossier à ne pas excéder les volumes définis alors que c’est le fonctionnement courant de cette exploitation par le passé. Comment GUYOT imagine gérer la variabilité / saisonnalité de son activité ? Devra-t-on voir grandir des stocks de déchets en balle dans un état de dégradation avancé des balles sur le site ? Quelles sont les filières de secours pour évacuer le CSR ? Quel impact sur la qualité des eaux de pluie qui percolent sur les balles éventrées qui sont rejetées en rivière et ne sont pas considérées comme eaux industrielles (traitement, contrôle…) ?
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Limiter de moitié les 12 385 m3 volumes stockés en balles à l’extérieur
- Imposer des durées maximum de stockage sur le site compatible avec la bonne tenue dans le temps des balles de déchets
- Considérer les eaux de pluie ruisselant sur les déchets comme des eaux industrielles à traiter avant rejet et à suivre du point de vue de la qualité des rejets
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- LE TRAITEMENT DES EAUX
Les balles stockées sur le site sont dans un état déplorable et les eaux de pluie peuvent percoler au travers de ces balles de déchets éventrées. Pourtant GUYOT affirme dans son dossier qu’il ne produit pas d’eaux industrielles alors qu’il s’agit bien d’eaux industrielles, et que ces effluents sont rejetés au milieu naturel, à 75m du site dans la rivière Pennelé !!
Il s’agit d’un enjeu important compte tenu du contexte et du milieu environnant du site (zones naturelles recensées au droit du site, de la présence d’hameaux d’habitations proches et de la faune et la flore identifiées au droit du site).Pourtant GUYOT traite de le sujet en se basant sur ses propres considérations : les eaux de pluie au contact des déchets et générées sur son site ne peuvent pas être source de pollution.
Nous sommes surpris de voir que le système de traitement des eaux du site est quasi-inexistant. Comment est-ce qu’un simple bac décanteur et un débourbeur séparateur peuvent assurer et garantir un traitement efficace avec le rejet d’eaux industrielles en rivière sur un site où les stocks extérieurs sont importants et où du broyage de bois a lieu à l’air libre et sont au contact direct avec l’eau de pluie ?!
Ces eaux doivent être contrôlées, et GUYOT ne détaille pas du tout ce qui se passerait en cas d’analyses physico-chimiques « non concluantes » des rejets ?!
- Nous demandons les compléments suivants :
- La meilleure façon de ne pas générer d’effluents pollués et d’éviter le contact de l’eau avec les déchets : les stocks n’étant pas couverts et les balles présentant un risque de détérioration important, nous demandons la mise en place d’une toiture permettant de limiter la génération d’effluents souillés et donc de limiter le risque de pollution accidentel de la rivière.
- Renforcer le système de contrôle des effluents : type de polluants et fréquence
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Aussi, les eaux d’arrosage durant les phases de broyage sont donc des eaux industrielles, rejoignant simplement le réseau d’eau de pluie et sont donc rejetées au milieu naturel : la rivière.
- Nous demandons les compléments suivants :
- De compléter ce dossier avec des mesures des émissions de poussières durant les phases de broyage de bois actuellement sur site
- D’imposer à GUYOT de réaliser des mesures et analyses des émissions de poussières lorsque le granulateur CSR sera mis en place.
- De réaliser des mesures et analyses d’eaux avant rejet à la rivière pendant les phase de broyage et donc d’arrosage
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POUSSIERES
Puisque qu’une gêne pour les riverains ne peut être comparée à une norme, GUYOT considère que le site ne présente pas d’impact sur les poussières émises. Pourtant un dépassement est avéré. De plus, des campagnes de broyage de bois ont lieu sur site à l’air libre sur les plateformes extérieures : quelles auraient été les résultats d’analyses durant ces phases de broyage ? Les dépassements auraient été certainement plus nombreux malgré les systèmes d’arrosage qui sont évoqués pour limiter l’impact.
AUTRE COMMENTAIRE
Cette enquête publique à Notre-Dame-des-Champs doit être annulée car l’ordonnance, fixée par décret et qui est entrée en vigueur au plus tard le 01/01/2017 (Source : JORF du 5 août 2016, texte 14 - Ordonnance no 2016-1060 du 3 août 2016 NOR : DEVD1614801R) n’a pas été appliquée.
En effet, cette ordonnance modernise l’enquête publique régie par le code de l’environnement en prévoyant, en plus des formalités classiques, le recours à la dématérialisation pour faciliter l’information et la participation du public.
Cette ordonnance a pris effet le 1er janvier 2017 en réformant l’enquête publique et lui imposant l’utilisation d’Internet dans le cadre de projets ayant une incidence sur l’environnement.
Même si la procédure papier reste cependant obligatoire, celle-ci est complétée par l’adjonction d’Internet comme un lieu de consultation complémentaire où le public peut déposer ses observations et lire les avis des autres concitoyens.
De plus, la mise à disposition d’un poste informatique dans un lieu ouvert au public est devenue obligatoire. Cela n’a pas été le cas à la mairie de Saint-Martin-des-Champs où seuls 2 classeurs et le registre des commentaires ont été mis à la SEULE disposition du public.
Les citoyens n’ont donc pas été informés correctement de l’existence de cette Ordonnance qui permet d’apporter une contribution publique à une enquête publique.
En effet, l’objectif du registre d’enquête public électronique est de permettre au public de plus facilement prendre connaissance du projet puis d’exprimer ses appréciations, suggestions et contre-propositions, alors que déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique aurait été plus simple, sécurisé et potentiellement anonyme.
Le registre d’enquête publique électronique aurait dû indiquer l’objet de l’enquête publique, l’arrêté d’ouverture de l’enquête publique, la référence du tribunal administratif, le nom du commissaire-enquêteur ainsi que toutes pièces du dossier dont l’avis de l’autorité environnementale qui est absent également en version papier.
Certaines enquêtes publiques proposent l’utilisation de l’e-mail en guise de voie numérique. Cependant, un e-mail est très facilement falsifiable et ne répond donc pas aux articles 1316-1 à 1316-4 du code civil reconnaissant l’écrit numérique comme une preuve « sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane ».
Un registre numérique d’enquête publique reflète aux yeux de la population une image moderne d’un territoire ! Nos concitoyens peuvent ainsi consulter le dossier de présentation à toute heure et en tout lieu et déposer une observation agrémentée de documents de qualité en pièces jointes.
Tout n’a donc pas été mis en œuvre pour que le commissaire-enquêteur puisse recueillir les avis et observations de la population de la région de Morlaix dans de bonnes conditions et de façon la plus limpide possible.
La loi sur la reconnaissance du support numérique n’a donc pas été respectée.
Cette enquête publique sur l’implantation de cette ICPE (unité de tri, transit et valorisation de déchets à Saint-Martin-des-Champs déposée par Guyot Environnement) doit être annulée.
AUTRE COMMENTAIRE
1 - Dans le cadre de mes activités de veille sur les enjeux déchets, notamment au sein de plusieurs groupes de travail (DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication), dont la commission CSR du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets de la Région Bretagne, j’ai eu connaissance d’un récent rapport publié par l’ADEME sur le traitement des ordures ménagères résiduelles (OMr).
En résumé, l’ADEME, après avoir contribué à faire inscrire dans la loi TECV qu’il fallait renoncer aux unités de tri mécano-biologique produisant du compost à partir des OMr, indique à présent qu’il faut aussi éviter de fabriquer du CSR à partir de ces mêmes OMr.
Une première concrétisation voit le jour dès maintenant avec le cahier des charges de l’appel à projet Energie CSR 2017 qui interdit les intrants issus d’OMr dans les projets relevant sa priorité 1 (les seuls qui auront une chance d’être sélectionnés…).
C’est donc clairement l’ensemble de la filière de prétraitement des OMr par tri mécanique qui est visée et à laquelle l’ADEME appelle à renoncer.
Le rapport ADEME, un récent article du site spécialisé Déchets.com qui en fait une synthèse ainsi que le cahier des charges de d’appel à projet Energie CSR 2017 que je tiens à la disposition du Commissaire enquêteur en sont donc les preuves irréfutables qui rendent automatiquement caduque cette enquête publique sur la demande d’autorisation d’exploiter une unité de tri et de valorisation de déchets non-dangereux (DND) au lieu-dit Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs.
2- En 2016, nous avons fait constater par un huissier de justice – Me BOUGEANT de Morlaix – que des balles de CSR – pourtant emballées sous film plastique - étaient éventrées à l’air libre. Les photos du constat de l’huissier ont été publiées sur le site internet d’AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/
Qu’en sera-t-il dans les prochaines années ?
3- Nous aimerions savoir ce que sont devenues les milliers de tonnes de CSR stockées sur ce site de Kerolzec. Nous aimerions connaître les tonnages entrants et les bons de pesée de ce CSR à destination, notamment - chez Lafarge Ciments SA à Saint-Pierre-la-Cour – géré par Geocycle -. Combien Lafarge a-t-il payé ces tonnages ?
En 2011, le Finistère a exporté 135 000 tonnes de déchets et se plaignait de manquer de capacités de stockage en local.
Pourtant ces milliers de camions au départ du site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs chez, notamment, Lafarge vers Laval coûtent de plus en plus cher à la collectivité, et sont en totale contradiction avec l'un des engagements du Grenelle et son principe de proximité dans le traitement des déchets.
Il y a donc incohérence.
Quels ont été les coûts du stockage et du transport pour le contribuable ?
4- Nous aimerions savoir si la société Guyot environnement a effectué des tests d’élimination de son CSR à l’étranger comme au Maroc ou par exemple dans des pays nordiques.
5 – Nous aimerions savoir combien de camions/containers/jours ont potentiellement transité de Saint-Martin-des-Champs vers le port de Brest jusqu’à ce jour.
6 – Les plastiques durs des RBA (Résidus de broyage automobile) gisant à Brest sont-ils utilisés pour faire du CSR stocké à Saint-Martin-des-Champs ?
7 - Combien de tonnes de refus de film sont-elles envoyées chez Lafarge ? 5 000 T ? 7 000 T ?
8- Qu’en pensent notamment les élue-es de Morlaix Communauté : Jean-Luc FICHET, Jean-Luc FICHET, Claude PODER, Françoise RAOULT, Guy PENNEC, Guy POULIQUEN, Maryse TOCQUER, Nathalie BERNARD, Serge LE PINVIDIC, Thierry PIRIOU, Yves MOISAN, Yvon LE COUSSE, Alain TIGREAT, André FLOCH, André NEDELLEC, Anne QUENEA, Annie HAMON, Annie LONEUX, Annie PIRIOU, Bernadette AUFFRET, Bernard GUILCHER, Bernard LE VAILLANT, Béatrice PICART, Christian LE MANACH, Christiane DUGAY, Christiane LEON, Christophe MICHEAU, Clotilde BERTHEMET, Clotilde ROUX, Daniel LANGLADE, François GIROTTO, François HAMON, Françoise BARBIER, Françoise FER, Georges AUREGAN, Gildas JUIFF, Gilles MER, Gwenole GUYOMARCH, Hervé CILLARD, Hervé RICHARD, Hervé SAINT-JALM, Ismaël DUPONT, Jacqueline LE FOLL, Jean-Charles POULIQUEN, Jean-Guy GUEGUEN, Jean-Michel PARCHEMINAL, Jean-Paul VERMOT, Joseph IRRIEN, Joëlle HUON, Marc MADEC, Marie DECIMO, Marie SIMON-GALLOUEDEC, Marlène TILLY, Martine DILASSER, Martine MADEC, Michèle BEUZIT, Nicole MOULUT, Patrick YHUEL, Pierre LE GOFF, Pierre-Yves MINEC, René LE TALLEC, Rollande LE HOUEROU, Sarah NOLL, Solange CREIGNOU, Thierry DESMARRES, Thierry HUON, Valérie LE DENN, Véronique PEREIRA, Yvon HERVE, Alain TIRILLY, Albert LOZAC'H, Albert THOMAS, André LE DOEUFF, André PRIGENT, Annick LE GALL, Ariane PARANTHOEN, Aurélien LE GUILCHER, Aurélie JEGOU, Benoît BUFFETEAU, Brigitte MEL, etc….
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif Greenbretagne (COGB)
- Membre des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
-
Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la pétition internet d'AURA Environnement fait Buzz, le journal LE PHARE DUNKERQUOIS lui consacre 1 page !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/06/2017
- Dans Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
Le Phare Dunkerquois titre "RECORD EN VUE" :
la pétition internet d'AURA Environnement
opposée au projet IndaChlor porté par Indaver
réalise le "carton" du siècle vers Dunkerque !
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569
La version papier de notre pétition
accueillie par plus de 95 %
des commerçants de LOON PLAGE
et la région de Dunkerque !
Plus de 975 signatures en 2 jours
de la pétition version papier !
Plus de 22 800 Signatures
de la pétition internet !
+ de 20 militant-es d'AURA Environnement
qui ont répondu aux angoisses du
Collectif de Préservation de l'Environnement
de la Région de Dunkerque (CPERD)
sont dans la région de Dunkerque pour
informer les habitants qui n'ont pas du tout
été consulté-es par leurs élu-es !
Nous vaincrons seul-es avec notre courage révolutionnaire pour une société plus juste et respectueuse des animaux et des humains FACE à des projets insensés comme celui d'Indaver à vers Dunkerque !
Un grand merci à nos ami-es commerçant-es de Loon-Plage d'avoir accepté notre pétition version papier :
- Tabac-Presse la Civette de Loon
- Sarl La Main à la Pâte
- Le Longhamp
- Sarl La Tente Verte
- Pizza City
- Loon Automobile, sarl Lavoine
- Tabac- Presse Stéphanie Bulteel
- Pharmacie Demaye-Delannoy
- L'Air Floral
- Supérette 8 à Huit
- Coiffure Diminu'Tif
- Opticien A Vue d'Oeil
- La P'tite Boutique
- Coiffure Imaginat'if
- Pizzeria Va Bene
- Assurances Denis Favrez
- Coiffure Sarl Concept
- Eurl Pizza Loon....
Tout-es et tous uni-es, nous gagnerons notre combat pour que l'usine d'Indaver ne vienne détruire notre écologie et nos emplois déjà existants !
Dunkerque n'a pas besoin d'Indaver pour survivre !
Nous espérons que les élu-es de la CUD (Communauté Urbaine de Dunkerque) ne tireront pas "dans le dos" des habitants de la région des Hauts-de-France !
Nous attendons donc avec impatience le RDV avec Benoit FERRE, le dir' cab' du président de la CUD, et ce, depuis plus de 15 jours ! Qu'on arrête de nous prendre pour des brèles !
Nous attendons avec impatience le permis de construire qui est actuellement instruit par la DDTM de Dunkerque et qui refuse de nous le communiquer !
Car, Camarades, c'est aussi, le service d'urbanisme de la CUD qui instruit et se substitue à la mairie de Loon Plage qui n'est plus qu'une chambre d'enregistrement voire même, plus qu'un simple boite-aux- lettres !
Mais dans tous les cas de figure, la décision finale est celle donnée par la DDTM 59 ne fait qu'appliquer les directives de l'Etat en matière d'urbanisme.
Ca va pas le faire Mesdames et Messieurs, si vous estimez vous passer de la Révolte populaire en germination !
Que la CUD et ses partenaires sachent que notre mobilisation ne fait que commencer :
- CCI Dunkerque
- Corsaire TV : la WebTV de la Communauté Urbaine de Dunkerque
- Département du Nord
- Dk'Bus Marine
- Dunkerque Culture Agglomération, portail culturel de l'agglo
- Dunkerque Flandre Côte d'Opale
- Dunkerque Nautisme
- Dunkerque Promotion
- Dunkerque Tourisme, Flandres et Côte d'Opale
- GECT West-Vlaanderen / Flandre-Dunkerque-Côte d'Opale
- Grand Port Maritime de Dunkerque
- La Halle aux Sucres (LCVD-AGUR-CMUA-INSET)
- Le Golf Blue Green Dunkerque
- Le PLUS , le palais de l'univers et des sciences
- Les Balises, le réseau des bibliothèques de l'agglo
- Université du Littoral Côte d'Opale
- Urbis, le magazine qui explore la ville
- Région Hauts-de-France Nord pas de Calais Picardie
- SCoT Flandre Dunkerque
Nous donnons RDV dans les prochaines semaines à nos camarades pour que la Lutte révolutionnaire enflammme les rues de Dunkerque !
INDAVER ne sera pas si nous sommes Uni-es contre ces Belges qui ne montent pas leur projet, chez eux, à Anvers - car il y a eu une explosion - mais chez nous, en France parce que l'Etat serait plus laxiste ?
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
-
Cette violente explosion chez Indaver début 2016 à Anvers qui fait frémir de trouille Dunkerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/06/2017
- Dans Explosion Indaver à Anvers
Description :
"Chez la société de gestion des déchets Indaver dans le port d'Anvers, il y a eu une grande explosion vendredi après-midi. Indaver a signalé que personne n'a été blessé. Selon Indaver lui-même, c'était une explosion violente suivie de trois feux. L'explosion s'est produite dans un réservoir avec des solvants. Au moment de l'explosion, 117 membres du personnel étaient sur place et évacués."
Commentaire :
Filip Hostiucil y a 1 an (modifié)
"Nous étions en voiture de l'autre côté et au moment où nous étions arrivés juste à côté de cette explosion massive. Quelques secondes avant l'explosion, nous avons entendu ce son, semblable à un moteur à réaction, mais il venait du niveau du sol. Immédiatement après cette immense lumière, suivie du saum boom et de la chaleur. Ma voiture a secoué et je n'avais aucune idée de ce qu'il fallait faire - tout s'est passé si vite. Nous avons dû conduire à côté d'elle pendant une minute ou deux, jusqu'à ce que je puisse m'éloigner. Heureusement, personne n'a été blessé."
-
NOTRE IGNORANCE FORGE LEUR POUVOIR. Saint-Cyr-sur-Morin 77 décharge illégale : d'où proviennent les mâchefers ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/06/2017
- Dans Mâchefers décharge illégale Saint-Cyr-sur-Morin
Mega Ecocides :
Nous n'avons pas fini de nous battre
contre leur cynisme méprisant !
Nous le constatons lorsque nous sollicitons certains élus de villes proches de verrues qui défigurent l'environnement, dans le cadre de la campagne des législatives, qui se croient suffisamment éloignés des futurs projets pour estimer que leurs administrés ne se sentent pas concernés et nous dire "qu'il faut bien faire quelque chose de nos déchets", entre autre les incinérer, faire un TMB ou nous faire gober de l'incinération déguisée via les infâmes CSR (combustibles solides de récupération) pas chez eux, mais évidemment chez nous !
Ce sont les mêmes qui produisent le plus de déchets et qui nous disent que le tri c'est compliqué... car ils ne veulent pas s'intéresser à ce qui marche ailleurs.
Du coup, ils n'y connaissent rien et on tourne en rond car au final c'est eux qui prennent les décisions, mais les pires.
C'est pourquoi nous avons une grosse pensée pour cette partie de la Seine-et-Marne qui est massacrée du fait de cette nullité et de ce mépris de ceux qui ont la charge de gérer nos déchets : à lire l'article de nos camarades de l'ADENCA (Fichés par les RG) sur les conséquences de l'incinération qui nous pend au nez si on se laisse faire : http://adenca.over-blog.com/2017/05/st-cyr-sur-morin-77-decharge-illegale-pourquoi-le-prefet-jean-luc-marx-ne-veut-pas-dire-de-quelle-usine-d-incineration-proviennent-l
AURA Environnement a décidé de lancer une offensive générale sur tout le territoire sur l'utilisation méconnue de ces mâchefers utilisés très généralement, notamment par les entreprises de travaux publics ou des entreprises de transport.
La question se pose sur la provenance de ces énormes quantités de mâchefers polluants déversés illégalement sur de bonnes terres agricoles de cette partie de la Seine-et-Marne.
Cette collectivité va-t-elle prendre en charge l’enlèvement des mâchefers ou laisser aux habitants du village rural de Saint-Cyr-sur-Morin le poids de cette décharge illégale ?
En effet, le mardi 16/05/2017, trois entreprises des secteurs des déchets et travaux publics répondaient devant la 31° chambre correctionnelle du TGI de Paris de gestion irrégulière de déchets.
Le jugement sera rendu le 04/07/2017.
En attendant, rien ne vous
empêche de lire Le Monde
(Ed. du 18/05/2017) :
"Entre le 3 août et le 14 septembre 2012, une noria de camions-bennes chargés de mâchefers est venue troubler l’atmosphère bucolique de Saint-Cyr-sur-Morin. Les habitants de ce village de Seine-et-Marne de 1 966 âmes l’ignoraient encore mais, durant cette période, les poids lourds ont acheminé pas moins de 31 000 tonnes de cette boue grisâtre issue de l’incinération d’ordures ménagères du Val-de-Marne, afin de les enfouir illégalement sur des terrains agricoles de leur commune.
Avant d’être interrompue par les protestations de riverains auprès de la mairie, l’opération avait pour but de faire disparaître frauduleusement, à moindres frais et en en tirant un large bénéfice financier, jusqu’à 80 000 tonnes de mâchefers. Lorsqu’ils ne peuvent être recyclés comme matériaux de sous-couches routières, ces déchets non toxiques doivent en effet être transportés aux frais de leur gestionnaire, et stockés dans des installations spécialisées pour un coût de 50 à 70 euros par tonne.
« Poupées russes »
Mardi 16 mai, dans l’affaire de Saint-Cyr-sur-Morin, trois entreprises des secteurs du traitement des déchets et des travaux publics répondaient, devant la 31e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, de gestion irrégulière de déchets, d’exploitation d’une installation classée pour la protection de l’environnement sans autorisation, de dépôt illégal de déchets et d’infraction aux dispositions du plan local d’urbanisme.
« C’est un système de poupées russes, sauf qu’ici la petite est destinée à cacher la grosse », a résumé le procureur pour décrire le montage réalisé par Remblais Terre Route Groupe Environnement (RTR), l’entreprise de transports Vitrans et Cideme, un centre technique de valorisation de mâchefers qui est une filiale de TIRU, société détenue à 75 % par EDF.
Tout a commencé en juin 2012, lorsque Habib Ben M’Hamed, un proche du clan mafieux Hornec, avec lequel il participait à des affaires."....
L’accès à la totalité de l’article est protégé
A suivre
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Les rendez-vous Développement Durable de Noisy-le-Sec avec AURA Environnement !
- Par auraenvironnementparis
- Le 03/06/2017
- Dans Les rendez-vous Développement Durable de Noisy-le-Sec
Journée "Ville Propre"le samedi 3 juin 2017 !Une journée pour agir en faveur de la propretéVous trouverez ci-joint le déroulé de cette matinée.9h00 : Arrivée aux points de rendez-vous. Vous retrouverez les adresses des points de rendez vous par quartier via notre MP.9h00 à 9h30 : Un référent par quartier vous attendra au point de rendez-vous, afin de vous fournir des gants et des sacs poubelles. N'hésitez pas à venir avec votre gilet jaune pour plus de visibilité.9h30 à 11h30 : Une fois le matériel récupéré vous pourrez commencer à ramasser les déchets que vous trouverez. Chacun choisit son parcours, une seule règle : Quand votre sac poubelle est plein, ramener le au point de rendez-vous. Ils seront ensuite ramassés par les agents du service propreté et apportés au centre technique municipal où ils seront comptés.Quelques règles de ramassage :- Vous pourrez faire le tri ! En effet vous aurez à votre disposition deux types de sacs poubelles. Des jaunes, pour le tri (carton, papier, plastique, canette..) et des transparents pour les autres déchets (alimentaires et déchets souillés).
- Si vous trouvez des emballages en verre non cassés, vous pourrez également les mettre dans les colonnes à verre à votre disposition dans votre quartier.
- ATTENTION ! Tous les déchets dangereux ne doivent pas être ramassés avec la main (verre brisé, objets tranchants...). Une pince de ramassage sera mise à disposition pour les récolter.
11h30 à 13h00 : C'est le moment de la collation. Rendez-vous tous sur le marché devant la pharmacie, place des découvertes, autour d'un verre de l'amitié pour échanger sur votre expérience et profiter des stands d'information sur le tri des déchets, avec la présence d'Est Ensemble et d'Unis Cité.Pour vous y rendre, pensez au covoiturage !- Êtes-vous intéressé(e) par le covoiturage ? oui ou non
- Combien de places libres avez-vous dans votre voiture ? 1 ou 2 ou 3 ou 4 ou 5
- Dans quel quartier participerez-vous à l'évènement ?
- Quels sont vos coordonnées ?
Je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.Espérant vous voir nombreux à cette occasion,Très cordialement,Chargée de mission Agenda 21 et BiodiversitéDirection de l'Environnement et des Espaces VertsVille de Noisy le Sec01 49 42 67 98 / 06 21 14 24 51--Faites bonne impression!
N'imprimez ce message que si nécessaire.
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Parc naturel régional du Pilat : AURA Environnement reporte sa conférence de presse devant mairie Loire/Rhône !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/06/2017
- Dans Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat - CDEP
Communiqué de presse :
La conférence de presse prévue samedi 03/06/2017 à 10h à la mairie de Loire/Rhône dans le parc naturel régional du Pilat a été reportée à une date ultérieure puisque nous attendons l'autorisation du maire de la commune Guy MARTINET et de Jean-Luc GELAS, son adjoint en charge de l'environnement.
Nous attendons la présence potentielle des représentants de l'Etat.
Ils arriveront en péniche par le Rhône ou trouveront-ils un port d'attache sur un terrain de la commune de Loire-sur-Rhône qui est une des vitrines du Parc naturel régional du Pilat ?
Les miltant-es du CDEP (Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat) veillent au grain et ne manqueront de vous informer afin de vous donner RDV lorsque nous aurons la réponse du maire Guy MARTINET.
En attendant, ils continuent leur découverte du Pilat à vélo et plus précisément dans la région de Condrieu sur les routes goudronnées et parfumées à certains résidus de l'incinération.
Les boucles touristiques du Rhône continuent donc à vive allure !
Les animaux sont en ETAT d'ALERTE à LOIRE-sur-RHONE dans le Parc naturel régional du Pilat !
Après le feuilleton "Saint-Romain-en-Gal", le sketch "Loire-sur-Rhône" ?
A suivre avec délectation
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Le groupe Panzani s’engage à exclure les oeufs de batterie !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/06/2017
- Dans Le groupe Panzani s’engage à exclure les oeufs de batterie
Engagement Groupe Panzani
Le Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal consistant à développer l’élevage en plein air des poules avec l’objectif d’être à 100% d’oeufs hors cage d’ici 2025.
Communiqué Lustucru Frais du 30 Mai 2017 à Lyon :
Suite à un communiqué de l’association L214 sur les mauvaises conditions d’un élevage d’oeufs qui aurait fourni la société Lustucru Frais, celle-ci tient à apporter les précisions suivantes :
- La société Lustucru Frais partage l’indignation des consommateurs face à ces images insoutenables
- La société Geslin possède plusieurs élevages mais l’élevage incriminé n’a jamais fourni le moindre produit à la Société Lustucru Frais.
- Cependant et par principe de précaution, la société Lustucru Frais a décidé:
1. de réaliser immédiatement un Audit sur les conditions d’élevage de la société Geslin, audit qui sera confié à un cabinet indépendant, la société Véritas.
2. de suspendre tout approvisionnement auprès des oeufs Geslin dans l’attente des résultats de l’Audit.
La société Lustucru Frais -
AURA Environnement au tribunal administratif de Lyon CONTRE décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : la presse en parle
- Par auraenvironnementparis
- Le 30/05/2017
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
AURA Environnnement n'a pas gagné son référé suspensif
au tribunal administratif de Lyon
(pas de vices de forme)
pour empêcher la décharge NICOLLIN de continuer
à rendre la vie insupportable aux populations locales de
Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône en face de Vienne !
L'affaire sera jugée au fond dans les prochaines semaines.
Notre avocat Me Antoine RUFFIE du barreau de Libourne défend la cause des riverains et des populations locales in solidum avec AURA Environnement et le Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat !
mais GRANDE VICTOIRE POUR AURA Environnement
Le tribunal administratif de Lyon a reconnu qu'AURA Environnement était apte à ester en justice, conformément à nos statuts. Ce que contestaient l'avocat de NICOLLIN !
A suivre
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Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/05/2017
- Dans Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor
HALTE espèces menacées à Dunkerque !
LIEN PETITION : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569
Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque
Créé le 29/05/2017
À l'attention : Mr le président de la République Emmanuel MACRON, Mr le ministre de l'écologie Nicolas HULOT, Mr le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UD DREAL GRAVELINES
UD - DREAL de Gravelines. A l'aztttention du service des ICPE
NOUS, signataires de cette pétition, en soutien de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), de l’association loi 1901 de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement, nous nous opposons au projet IndaChlor prévu à Dunkerque et nous demandons aux services de l’Etat et aux élu-es des Hauts-de-France de prendre en considération les conditions de protection des espèces animales menacées suivantes à Dunkerque (Source : Inventaire National du Patrimoine National) : le Pingouin torda : l’Anguille européenne ; la Bécassine des marais ; le canard plongeur, le Harle huppé ; le migrateur de l’hémisphère Nord, le Grèle jougris ; le Bruant des roseaux ; le Goéland cendré ; le Cachalot ; le Guillemot de Troil…. pour ne citer qu’eux !Suite à notre précédente demande de documents administratifs à l’UD Dreal de Gravelines, je vous demande une nouvelle fois TOUS les documents communicables à ce jour concernant la future enquête publique du projet IndaChlor qui consiste à construire un incinérateur, potentiellement localisé sur l’emprise du Port de Dunkerque, avec une capacité de 60 000 T de déchets dangereux essentiellement fortement chlorés en provenance d’Europe du Nord.
Je vous ai fait cette demande au titre du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.124-1 du code de l’environnement. En effet, toute personne a droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement dès lors que ce document est reconnu comme un document administratif relatif à l’environnement. Toute personne, sans avoir à démontrer un intérêt particulier, peut exercer pleinement ce droit d’accès en pleine application de l’article L.124-3 du code de l’environnement. La CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) a estimé – à titre préliminaire - lors de sa séance du 16/09/2011 que l’article L.124-2 du code de l’environnement relevait du champs d’une demande de documents contenant des informations relatives à l’environnement et plus particulièrement, comme par exemple les déchets, les émissions….
La commission a considéré que, si en vertu de l’article 2 de la loi du 17/07/1978, sont en principe exclus provisoirement du droit à communication les documents préparatoires à une décision administrative, jusqu’au jour où cette décision intervient, aucune disposition de ce chapitre ne prévoit, en revanche, la possibilité de refuser l’accès aux documents qui s’inscrivent dans un processus préparatoire à l’adoption d’un acte qui n’est pas encore intervenu, dès lors que ces documents sont eux-mêmes achevés et que la demande est formulée dans le cadre de la recherche d’informations relatives à l’environnement.
Suite aux conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, Maître de requête au Conseil d’Etat, la CADA a donc émis un avis favorable à la communication d’un document achevé indiquant que sa communication ne pouvait, dès lors, être refusée au seul motif que la conclusion du marché n’était pas encore intervenue.
Par ailleurs, dans un récent reportage du JT de 20h de TF1 en date du 23/05/2017 consacré à ce projet INDACHLOR porté par Steven COPPENS – directeur de projet de la société belge INDAVER -, qui « espère » débuter fin de cette année 2017 son prochain site de traitement de déchets industriels qui devrait se construire sur le port de Dunkerque, nous avons constaté avec effroi, que Yann PITOLLET, le directeur général de Nord France Investissement (agence publique financée par la Région Hauts-de-France qui n’a pas la main sur la fiscalité et les subventions) se vantait (22 :34) publiquement d’avoir un certain « pouvoir » sur les décisions de l’Etat que vous représentez, en déclarant à l’antenne – à une heure de très grande écoute et ce, devant des millions de spectateurs – « être capable d’obtenir des autorisations administratives dans un délai de 4 mois au lieu de 8 à 10 mois ». Puisque ce monsieur semble si sûr de lui et si les services de l’Etat semblent lui accorder une telle audience, j’en conclus que vous n’aurez aucun mal à me transmettre dans un délai extrêmement rapide l’ensemble du dossier INDACHLOR dont le DAE que je vous ai demandé milieu de ce mois.
Nous aimerions connaître la position des services de l’Etat sur le souhait de la société belge INDAVER qui ne se cache pas dans un de ses dossiers de faire venir des déchets d’autres pays d’Europe du Nord à Dunkerque qui risque de devenir la « Poubelle de la France ».
En effet, ces déchets – dont ne veulent pas nos voisins - en provenance d’Europe du Nord seront acheminés par milliers de camions générant tous les risques - que l’on connaît bien malheureusement sur notre territoire - et qui augmenteront les émissions de gaz à effet de serre dans la région de Dunkerque, et plus particulièrement vers Loon Plage.
Cette société est de droit néerlandais. Les services de l’Etat ne doivent-ils pas se poser la question de l’intérêt fiscal d’une telle localisation lorsque l’on connaît la la situation particulière de ce pays au regard de la taxation des bénéfices sur les sociétés ? Les populations de Dunkerque et de sa région n’osent imaginer que ce projet funeste puisse bénéficier de subventions directes ou indirectes du contribuable français, pour, ensuite, potentiellement rapatrier des bénéfices sur un autre territoire qui ne serait pas le nôtre !
A la veille des élections législatives 2017, les populations locales et les riverains de Dunkerque – et in fine des Hauts de France - très attaché-es à leur territoire ne sont pas dupes et savent que l’un des sites exploités par le porteur de ce projet (qui se qualifie comme un « spécialiste de la gestion des déchets industriels ». Source : La Voix du Nord, 26/05/2016) a subi dernièrement une explosion majeure. Fort heureusement, cette explosion n’a pas eu lieu dans un site où les effets cumulatifs avec les autres industries mitoyennes auraient pu être extrêmement désastreux !
Veut-on laisser un projet destructeur d’emplois locaux se créer sur notre territoire pour permettre l’élimination de déchets dangereux dont ne veulent pas nos voisins qui génèrera de nouveaux risques environnementaux, sanitaires et sociaux ? On ne saurait penser que, dans notre pays et surtout dans notre région des Hauts-de-France, les querelles entre territoires urbains sont susceptibles d’aller au-delà de l’intérêt national !
Nous, AURA Environnement en soutien actif du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), nous répondrons favorablement à l’appel des populations locales et des riverains de Loon Plage directement ou indirectement impacté-es par ce projet IndaChlor ; NOUS ferons en sorte d’informer massivement les populations afin que la République et les agents de l’Etat soient pleinement respectés par certaines agences publiques d’investissement qui font des déclarations intempestives et intolérables sur le fonctionnement de notre administration ; NOUS ferons savoir aux riverains et aux populations locales qu’IndaChlor ne servira absolument en rien la protection de l’environnement et des animaux ; NOUS demanderons leur avis aux populations locales sur IndaChlor qui mettra fortement en danger en fragilisant encore plus des structures économiques locales françaises et qui génèrera des risques majeurs tant au niveau du transport que du process lui-même afin d’éliminer au premier abord des déchets mais surtout pour créer des profits pour les autres pays européens !
Si vous deviez persister dans votre vaine tentative de maintenir une illégale opacité sur vos travaux qui menacent d’impacter la vie quotidienne de dizaines de milliers d’habitants de la région de Dunkerque et de milliers d’animaux, notre association AURA Environnement saisira immédiatement la CADA pour faire valoir ses droits.
Veuillez agréer, l’expression de notre haute considération et de notre totale détermination.Marc-Claude de PORTEBANE
- Président de l’Association AURA Environnement
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
- Porte-parole du CPERD (Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque).
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Comment la décharge NICOLLIN arrose la commune de Saint-Romain-en-Gal !!!
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/03/2017
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Les moutons vers la décharge apprécieront !!!!
"L'environnement, c'est le métier" de NICOLLIN
sur papier glacé dans le bulletin municipal 2017 :
on voit pour qui les élu-es de la commune
ont de la sympathie ou de la haine !
Pas un mot sur l'action au tribunal administratif de Lyon d'AURA Environnement ou du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP) dans le dernier numéro du bulletin municipal de Saint-Romain-en-Gal !
Pas un mot sur les réunions, les tractages, notre pétition (internet + papier distribuée chez les commerçants) qui recueille plus de 20 000 signatures, sur la volonté d'AURA Environnement et du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP), nos difficultés à obtenir des documents pourtant administratifs, rien sur notre participation pacifiste aux voeux du maire en début d'année 2017 !
Pas un mot sur notre volonté d'aller au tribunal administratif de Lyon afin de contester l'arrêté préfectorel complémentaire du préfet du Rhône fin 2016.
Comment peut-on être CONTRE une décharge qui déverse ses odeurs insupportables sur de larges territoires vers les populations riveraines....
....alors que l'on accepte une grosse publicité en quadri du principal pollueur de la commune dans le Bulletin municipal 2017 ?
Et que penser de cette nouvelle association locale qui s'est monté fissa dans la précipitation depuis que nos camarades du Collectif de défense de l'environnement du Pilat et d'AURA Environnement ont investi massivement le terrain vers Saint-Romain-en-Gal depuis le projet d'arrêté préfectoral complémentaire ?
L'un des buts non-avoué est-il de faire croire que cette association (dont ils ont fissa retrouvé les statuts dans les cartons d'une autre association en sommeil... pour gagner du temps) serait à l'initiative du militantisme contre CETTE verrue, CETTE décharge du sud-lyonnais qui dégrade l'environnement de Saint-Romain-en-Gal depuis..... 1967 ?
Bonjour la pub de NICOLLIN en symbiose totale avec les déclarations contradictoires des élu-es contre la décharge de ce même NICOLLIN et de cette association locale qui a, elle, les faveurs de la presse locale !!!!
Puisque la presse locale et le Bulletin municipal vous le disent.... il faut les croire, non ?
Petit sujet pour la presse locale :
- Où vont donc les poubelles de la commune de Saint-Romain-en-Gal ?
CAMARADES du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP), d'AURA Environnement, de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux NOUS CONTINUERONT seul-es nos luttes avec les populations locales jusqu'à la fermeture définitive de cette décharge !
Nous ne cèderons JAMAIS rien !
La lutte révolutionnaire sera toujours la seule ligne de lutte !
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Décret et merde en - dans #décharges : interdiction cotons-tiges et produits de gommage avec microbilles plastique
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/03/2017
- Dans STOP cotons-tiges et produits de gommage avec microbilles plastique en décharge
Le décret encadrant l'interdiction de mise sur le marché à titre gratuit ou onéreux de gommages à microbilles plastique et des cotons-tiges en plastique a été publié au Journal officiel du 8 mars. Ces interdictions, prévues par la loi sur la biodiversité, entreront en vigueur le 1er janvier 2018 pour les produits cosmétiques et le 1er janvier 2020 pour les bâtonnets ouatés.
En revanche, les soins de gommage contenant des "particules d'origine naturelle non susceptibles de subsister dans les milieux, d'y propager des principes actifs chimiques ou biologiques ou d'affecter les chaînes trophiques animales" pourront être mis en vente au delà de cette date. Un arrêté précisera cependant les critères nécessaires en termes de temps, de conditions de dégradation et d'impact sur les milieux pour pouvoir être mis sur le marché.
Concernant les cotons-tiges, l'interdiction vise ceux qui ont un usage domestique, non destinés à un usage médical, et dont la tige est en plastique. Un arrêté précisera la composition de la tige de ce bâtonnet ouaté ainsi que ses conditions de biodégradabilité.
Le texte redéfinit également quel type de vaisselle jetable est concernée par la future interdiction : gobelets, verres et assiettes en matière plastique, conçus pour une utilisation unique, hors ceux qui répondent aux exigences de la norme française homologuée relative aux spécifications pour les plastiques aptes au compostage domestique ou en matière biosourcée.
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Nouvelles du front de Notre-Dame-des-Landes : vigilance anarcho-marxiste d'AURA Environnement autour de Nantes transition énergétique
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/03/2017
- Dans ZAD Notre-Dame-des-Landes
Communiqué :
Merci de nous signaler toute information sur d’éventuelles présences de flics ou d’engins de travaux autour de la ZAD au numéro d’urgence : 06 43 92 07 01 (pour contact presse uniquement : 06 95 06 81 49). Nous faisons appel à votre vigilance.
Les infos d’urgence qui tournent sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours confirmées. Restons vigilants, mais évitons de crier au loup ! Ca nous permettra de réagir rapidement. Avant de faire tourner une info, merci de contacter par mail ou téléphone la ZAD et/ou l’ACIPA pour vérification. Si nous estimons que la menace est immminente et réelle, nous le ferons savoir par un message commun sur les diverses listes, sur le site de la ZAD et sur celui de l’ACIPA. En attendant, nous invitons chacun à prendre avec recul les messages et rumeurs circulent par ailleurs et par d’autres biais.
Pour vous inscrire/désinscrire à notre mail liste pour les nouvelles, communiqués, alertes, etc. Le flash infos est maintenant disponible en flux RSS.
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lundi 6 mars
NDDL
La Confédération paysanne a déposé un recours au tribunal administratif de Nantes au motif que le Scot ne permet pas de limiter la consommation des terres agricoles.,
pendant ce temps la maire de Nantes apporte son soutien à Benoit Hamon malgré son opposition au projet d’aéroport : ça doit être parce qu’elle prépare son grand débat : Nantes transition énergétique : y a jusqu’au 31 mars pour dire ce qu’on pense de leur greenwashing pseudo participatif ! -
ZAD
une journée bien venteuse par ici, parfaite pour une séance de lecture :
voilà un entretien retranscrit dans un journal roman d’écologie politique avec un camarade romand actif sur la ZAD de Notre-Dames-des-Landes :Les zones à défendre comme refus de pactiser avec le réel
et on nous signale la sortie d’un livre sur des luttes en Alsace dans les années 70-80 : qui nous fait revivre les camps d’occupation illégaux mais véritables lieux de vie riches de rencontres et d’expériences démocratiques nouvelles que furent Marckolsheim (1974) ou Wyhl (1975) et décrit la folle aventure des radios libres, au nez et à la barbe des gendarmes, et à travers l’exemple de la pionnière Radio Verte Fessenheim : Une histoire des luttes : L’épopée alsacienne du Dreyeckland
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Au menu Réunionïte SICTOM Pézenas 01/03/2017 : ce mystérieux incendie Usine à poubelles Valorsys à La Valasse à Montblanc ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/02/2017
- Dans HALTE Usine à poubelles VALORSYS La Valasse à Montblanc
Le SICTOM de Pézenas ne s'en vante pas trop
sur son site internet mais l'incident s'est bien produit
le 21/04/20166 à 10h à l'Usine à poubelles flambante neuve
sur le site Valorsys de La Valasse à Montblanc !
VDPO : comprendre Valorsys Près des Oliviers
Patatras. AURA Environnement a eu vent de l'incident survenu à l'occasion du fonctionnement des opérations de tri-conditionnement sur le site de Valorsys à Montblanc où le maire et sa majorité municipale sont à 100 % pour cette Usine à poubelles de l'Ouest de l'Hérault !
Alors que la presse locale n'en parle pas, AURA Environnement et le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) qui réunit les populations locales vous confirment bien que l'exploitant a dû faire face à départ de feu sur la zone de réception amont du centre de tri-conditionnement. Ce départ a été géré par les équipes de la COVED conjointement avec les services de secours "appelés immédiatement". Imaginons, si les "pompires" n'étaient pas intervenus rapidement ? Ils ont traversé sirènes hurlantes la commune voisine de Bessan ou celle de Montblanc ?
Les moyens en place sur le site, ont été utilisés : 2 RIA et 1 motopompe complétée par 1 fourgon pompe des pompiers.
Les fumées ont - ENFIN - été maîtrisées "quelque temps après l'arrivée des pompiers vers 11h".
Question aux membres du SICTOM : pourquoi a-t-il fallu autant de temps pour les maîtriser ?
La zone de déchets touchés a été limitée à une surface arrosée de 5 m x 5 m, et l'arrosage de ces déchets manipulés a même duré jusqu'à 13h, horaire de départ des services de secours.
Question aux membres du SICTOM : les vignobles des alentours ont-ils été impactés par des envols potentiellement toxiques pour la formation des raisins ? Des dioxines se sont-elles transportées dans l'atmosphère des communes de Montblanc, de Bessan, de Vias, etc...?
L'avis de l'INAO a-t-il été demandé, car, selon l'exploitant "il n'y a pas eu d'émission significative de fumées".
Pas significative dans quel sens ?
Toujours selon l'exploitant, "Il n'a pas été nécessaire d'ouvrir les trappes de désenfumage" qui indique également que "Le volume d'eau consommé stocké dans la rétention du bâtiment et absorbé par les déchets (pas de rejet) est évalué à moins de 200 m3".
Question aux membres du SICTOM : nous aimerions connaître le volume d'eau exact d'eau utilisée.
On apprend aussi que "La réception des apports a été suspendue le 21/04/2016 ; une reprise partielle des apports a été effectuée le 22/04/2016 (uniquement les encombrants de déchetteries du Sictom de Pézenas-Agde) puis progresivement" tandis qu' "Une surveillance physique dans la nuit du 21/04 au 22/04 a été mise en oeuvre par précaution pour éviter une éventuelle reprise".
Question aux membres du SICTOM : combien de caméras de vidéosurveillance sur ce site ? Qui les gère ? Peut-on avoir une copie de l'enregistrement de ce départ de feu ?
Question aux membres du SICTOM : comment se fait-il que Vincent LAMBERT (Direction d'Exploitation Hérault - COVED SAS/VALORSYS SAS - RD 28 34290 MONTBLANC) n'ait pas pu prévenir à l'avance cet incident qui commence à faire tâche dans les environs, lorsqu'il prévenait ..... après ce départ de feu : "Afin de gérer la source et l'origine du départ de feu, un rappel sur les déchets interdits dans les bennes d'encombrants de déchetteries a été effectué auprès des collectivités apporteuses, et notamment sur les produits évalués comme à risques : fusées de détresse, fumigènes, camping-gaz ou soufre de traitement viticole" ?
Très intéressant, tout cela, non ? .
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Convergences Greenpeace #Fessenheim & Appel à soutien urgent pour une ZAD à Aix-en-Provence !
- Par auraenvironnementparis
- Le 23/02/2017
- Dans ZAD à Aix-en-Provence
Convergences Greenpeace #Fessenheim :
Les sentinelles d'AURA Environnement
en renfort à Aix-en-Provence !
"Nous sommes toujours mobilisés devant les entrées du parc Rambot et dans les arbres qui doivent être coupés. Il apparait que la situation risque de se corser et devenir beaucoup plus tendue qu’hier (dixit un représentant de la ville). Je vous serais reconnaissante de bien vouloir nous assurer de votre présence en couvrant l’évenement ou en renforçant les activistes.
Non aux projets inutiles et imposés ! " Contact sur place : Charlotte (06 62 63 79 79).NON AU PARKING SOUS LE PARC RAMBOT ! NON AU SACRIFICE DES ARBRES !
Aujourd’hui la Ville d'Aix-en-Provence s’acharne sur la destruction du Parc Rambot afin d’y construire un parking souterrain de 250-400 places.
25 arbres irremplaçables (dont certains centenaires) seront sacrifiés par la découpe de leurs racines (cernage) en préparation de ce projet insensé qui est aujourd’hui SANS AUTORISATION FORMELLE.
L’exploitation du Parc Rambot en Parking est:
EN VIOLATION du legs de 1859 par Gustave Rambot qui stipule que le Parc devra être et rester « un jardin d’agrément public qui ne pourra être transformé en rentes »
EN CONTRADICTION avec le Plan Local d’Urbanisme validé en 2015 par le Conseil Municipal
et qui place le parc en zone inconstructible pour les 5 années à venir
EN OPPOSITION au Plan de Déplacements Urbains qui prévoit l’éloignement des parking du centre-ville
EN TRANSGRESSION de la procédure légale qui accorde aux citoyens le droit de recours
Chaque signature renforce la portée de notre voix collective ! Activez vos réseaux, svp !
CONTEXTE:L’association est toute jeune (2016) et s’est créée pour informer et mobiliser les aixois des conséquences malheureuses d’un plan de requalification de certains espaces de la ville d’Aix-en-Provence. Ces changements consistent en un réaménagement d’un ensemble de trois places historiques (Verdun, Prêcheurs et Madeleine) dont le point de départ est la réfection nécessaire des réseaux (électriques et d’eau) enterrés. La mairie profite de ces travaux pour, du même coup, optimiser l’attractivité commerciale de cet espace qu’elle estime tomber en désuétude. Pour compenser la suppression de 400 places de stationnement inhérente aux travaux, la mairie a consigné dans son Plan de Déplacement Urbain de 2015, la création de places de substitution pour les résidents à proximité du Cours des Arts- et-Métiers, un quartier du centre-ville. Elle promet parallèlement aux associations de commerçants des Trois Places de dédier ces mêmes stationnements à un parking commercial.
Jusque-là rien à signaler… si ce n’est que la ville semble avoir omis le fait que ces rénovations entraîneront l’abattage de plusieurs arbres centenaires, représentants emblématiques et climatiseurs naturels permettant à la ville d’Aix de « respirer » au plus chaud de l’été.
En effet, fin juin 2016, la Mairie a annoncé que la quasi-totalité des platanes des places Verdun, Prêcheurs et Madeleine doivent « être abattus en urgence », du fait de leur dangerosité. L’APPEA accompagnée de deux associations et de quinze citoyens aixois, a déposé une requête auprès du Président du Tribunal administratif de Marseille en vue de faire désigner un expert indépendant chargé de juger l’état réel de ces arbres. Elle rappelait alors que, leur expert, M. D. BONFORT, n’était pas aussi alarmiste quant au danger que représentaient ces platanes. Le 9 septembre 2016, une décision a été rendue faisant intégralement droit aux demandes présentées. Un expert fut nommé avec pour mission de décrire l’état phytosanitaire des platanes des Trois Places tout en suivant leur état pendant la durée du chantier pour qu’il ne leur arrive aucun dommage. Cette jurisprudence traduit une avancée majeure pour l’arbre dans la ville d’Aix-en-Provence et a permis de sauver 17 arbres. La Mairie d’Aix-en-Provence a cependant fait appel de la décision. Le combat ne fait que commencer …
Victime collatérale de ces travaux, le Parc Rambot, plus ancien parc de la ville (dont les arbres centenaires ont vu passer des générations d’aixois et de touristes), est aujourd’hui également menacé. Jouxtant l’avenue historique « Cours des Arts-et-Métiers », à moins de 300 m des Trois Places, ce lieu a été retenu pour accueillir dans son sous-sol, un parking de 400 places.
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Message URGENT de dernière minute de P.E : " Urgent cette apm la police a évacués la zad du parc rambot a aix en pce . Les zadiste ont besoin de vous pour reprendre les arbres . No pasaran. Non au parking sur le parc rambot. Zad partout
La solidarité est une force. " -
Arrêté préfectoral complémentaire passé sous silence : AURA Environnement bouscule l'agenda bien trop cool mairie Montblanc (34) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2017
- Dans HALTE USINE à POUBELLES LA VALLASSE à MONTBLANC (Hérault)
La majorité municipale de Montblanc (34) a "omis"
de mettre à l'ordre du jour de la séance du 23/02/2017
l'arrêté préfectoral complémentaire signé par le préfet de l'Hérault
alors qu'AURA Environnement en avait informé secrétaire mairie !
Sous l'oeil "vigilant" du préfet de l'Hérault et du sous-préfet de Béziers !!!!!
Le respect des animaux et de l'environnement est-il au centre des préoccupations
de l'actuelle majorité minicipale de Montblanc dans l'Hérault ????
Douche froide pour certain-es élu-es de Montblanc qui n'ont pas été informés correctement par leur maire ni par sa majorité minicipale mais qui n'ont eu communication de l'arrêté préfectoral complémentaire (signé par le préfet de l'Hérault, le 09/02/2016) que par AURA Environnement !
Alors qu'AURA Environnement avait pris RDV avec Olivier TRAITEUR, (photo ci-dessus), le secrétaire général de la mairie de Montblanc - le 14/02/2017.... puisque le maire n'était pas dispo, lui !!!!
(Nous attendons toujours que Mr TRAITEUR nous communique les petites documentations demandées. Mais CHUT !
Raison pour laquelle, demain 23/02/2017, dans l'ordre du jour de cette séance du conseil municipal, ne figurera AUCUNEMENT cet arrêté préfectoral de prescriptions préfectorales complémentaires, de modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non dangereux de l'Ecopôle de la Valasse à Montblanc, et non pas dans les communes très sympas et voisines de Vias (tourisme, caravaning) ou à Bessan (transport)... impactées directement dans la vie quotidienne mais indirectement en droit !
Or, c'était sans compter sans la vigilance des militant-es d'AURA Environnement qui arpentent depuis plus de 3 mois la région de Béziers où tout semble se dérouler "à l'ancienne" entre gens "bien informés" et de "bonne famille" !
Le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a décidé de monter au "front" de la contestation et de ZOOMER pour les masses ignorantes ce qui va se tramer pour les prochaines decennies !
SAUVONS NOS ANIMAUX - SAUVONS NOTRE ENVIRONNEMENT - SAUVONS NOTRE VIGNOBLE à MONTBLANC !
STOP au TMB (tri mécano-biologique) de nos poubelles qui cumule échecs sur échecs en France mais en Europe !
Camarades de base, ne soyez pas IGNORANT-ES ! Regardez ce qu'il se passe ailleurs ! Regardez le désastre de ces usines TMB !
Camarades des écoles : parents d'élèves, élèves, instituteurs, professeurs, camarades ouvriers et employé-es, camarades fonctionnaires de la base, camarades-paysans, camarades de la sociéte civile : réagissez !
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Destruction de l'environnement vers Roussas par décharge Coved-Paprec envols plastiques : nos preuves !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
C'est quand même étonnant que les élu-es de
la région de Roussas n'aient pas plus amplement
protesté CONTRE ses envols inadmissibles de plastiques
et les dommages collatéraux animaux et flore !!!
Notre pétition :
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978
de 2013 :
Nous demandons à tous les défenseurs des animaux et de la nature de venir en masse, le 14 juillet 2017, pour participer à notre DIE-IN...
.....dans les rues de Roussas dans la Drôme pour qu'il n'y ait plus AUCUN envol de plastiques dans la nature vers Roussas !
Ces envols sont une honte et un scandale totalement méprisant vis-à-vis de la faune et de la flore.
L'Etat doit faire face à ses responsabilités !
Plus de 19 000 signatures pour notre pétition !
Objectif : 100 000 signatures !
à 2017 :
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ALTRIOM ZA de POLIGNAC (43) : les confidences d'AURA Environnement sur ce rapport SECRET de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans HALTE ALTRIOM ZA de POLIGNAC (Haute-Loire)
Tandis que des avenants pleuvent entre la collectivité & ALTRIOM
sous la forme de pénalités à la charge du contribuable......
Quelques écarts mineurs et 18 constats pépère ont été
relevés par la Dreal AUVERGNE-RHONE-ALPES en 2015 !
NOTA BENE : les dirigeants d'ALTRIOM poliment contactés aux tél par AURA Environnement se sont défilés !!!!!
Si la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes ne tient pas trop à communiquer, c'est que l'ICPE (Installation classée pour la Protection de l'Environnement) ALTRIOM est sous l'artillerie de plusieurs associations environnementales et de la presse spécialisée dans la défense de l'environnement et plus particulièrement dans le petit monde des déchets où toutes sortes de saloperies sont permises contre la nature et les animaux !
Ce rapport CONFIDENTIEL de visite de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes a été la 1ère visite d'inspection après mise en service del'installation au 01/07/2014.
Liste des installations inspectées :
- Bâtiment de réception des déchets,
- Bâtiment de tri des ordures ménagères,
- Halles de fermentation, d'affinage et de maturation du compost,
- Bâtiment de fabrication du combustible solide de récupération (CSR),
- Bassins de gestion des eaux,
- Installations de traitement de l'air.
X, l'inspecteur de la Dreal présent a rencontré les personnes suivantes : Mathieu CHARREYRE, PDG ; Fabien CHARREYRE, directeur ; Julien CHENEVOTOT, directeur d'exploitation ; Fabienne VALENTIN, responsable QSE ; Lise MALAVAL, agent d'accueil.
Principales constatations effectuées :
"Les dispositions constructives (murs coupe-feu, dispositifs de désenfumage et de cantonnement des fumées) et les moyens de lutte incendie sont en place. Les dispositifs de gestion des eaux ont été mis en palce. Les analyses de suivi des rejets dans l'eau et dans l'air sont réalisées. La gestion du tri et du traitement, après une période de réglage, apparaît maîtrisée moyennant quelques adaptations. En revanche, les débouchés du compost et du combustible solide de récupération constituent un enjeu majeur pour la pérennité de l'installation...."
AH BON ? ET POURQUOI ?
"4 écarts mineurs ont été constatés :
- Fréquence non-respectée d'analyse du rejet d'eaux pluviales
- Délai non-respecté pour la mesure du bruit
- Absence de rétention pour des produits hydrocarburés
- Apport de compost de déchets verts non prévu dans le processus de compostage..".
AH BON ? ET POURQUOI ?
A suivre.
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Offensive gérérale ZERO WASTE & AURA Environnement ALTRIOM : la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes comportement idem Pinochet !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans HALTE ALTRIOM Haute-Loire
Finistère (GUYOT Environnement : Saint-Martin-des-Champs) ; Drôme (COVED-PAPREC : Roussas) ; Haute-Loire (ALTRIOM : Polignac)......
Certains fonctionaires de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes
sous les ordres de leurs préfets respectifs
se comportent en ennemis de l'Etat en prenant
constammment la défense des pollueurs afin
de vous tromper et ne pas donner la Vérité !
Vous devez nous aider afin de trouver d'autres solutions que les juridictions administratives pour engager des procédures les engageant personnellement, car ils ne respectent pas la Constitution et encore moins la République. Tout se fait en cachette dans ce pays !!! Ne croyez surtout pas ce qu'ils vous disent. Ils nous mentent souvent. Les enquêtes publiques ne sont que tartufferie. Les dés sont pipés d'avance. Quoique nous fassions, ce sera toujours le pot de terre contre le pot de fer. Les dirigeants de la Corée du Nord, ce sont eux ! Ce sont des parias anti-républicains qui ne sont pas dans le consensus démocratique et qui trahissent les idéaux de la République. N'ayons pas peur de l'engeance pinochétiste ! Battons-nous avec nos tripes pour la défense des animaux et de l'environnement. Heureusement que tous les fonctionnaires de la Dreal ou de la DDPP ne sont pas toutes et tous comme cela ! Nous ne vous parlerons pas, non plus, de celles et ceux qui se connectent sur les sites de rencontre pendant leurs heures de travail..... au frais du contribuable !!! Demandez aux responsables départementaux des DDPP et des DREAL, les nombres de leur RTT respectifs !
Avec le dossier ALTRIOM, nous sommes plusieurs à avoir découvert nombre d'interrogations.
AURA Environnement demande également des éclaircissements sur ce qui se passe à Polignac et surtout comment est utilisé l'argent public !!!
La réponse de Zéro Waste :
Réponses tardives, refus de fournir des documents pourtant communicables de droit... obtenir des informations sur la gestion des déchets par les industriels n’est pas toujours chose facile, alors même que la loi française est très claire. Elle consacre en effet « le droit de toute personne d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues, reçues ou établies par les autorités publiques » (articles L124-1 et suivants du Code de l’environnement).
Une usine qui valoriserait 90% des déchets et refuse de transmettre ses rapports d’exploitation ?
A Polignac (Haute-Loire), l’usine « Altriom - Ecopôle tri et valorisation des déchets », fait grand bruit : elle affiche un résultat très prometteur de « 90% des déchets de la poubelle grise valorisés ».
Curieux d’en savoir plus sur le procédé qui permettrait d’atteindre un tel résultat, Zero Waste France a demandé à l’exploitant de l’usine, en juillet 2016 puis en janvier 2017, la transmission de ses rapports annuels d’activité, afin de connaître précisément le détail de ce qui entre et sort de l’installation.
Suite au silence assourdissant de l’exploitant, Thibault Turchet (juriste dans l'équipe permanente de Zero Waste France) a contacté la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) Auvergne / Rhône-Alpes. Cette administration dispose en effet des documents devant lui être remis périodiquement par les exploitants de ce type d’usines (quantités réceptionnées et évacuées, polluants rejetés dans l’eau et l’air, analyses des déchets et du compost, statistiques détaillées...). Malheureusement, c’est un nouveau refus que nous avons essuyé !
Face à ce manque de transparence, le doute s'installe : les chiffres exemplaires avancés par Altriom ne seraient-ils que des objectifs, loin d'être atteints ? Et de quelle valorisation parle Altriom ? Nous suspectons une "valorisation" essentiellement énergétique, alors que la valorisation matière (recyclage) devrait être la priorité.Zero Waste France Saisit la Commission d’accès aux documents administratifs
Zero Waste France saisit donc ce jour la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui est une autorité administrative indépendante chargée de rendre un avis lorsque l’accès à un document est refusé par une administration.
« En 2017, on pourrait penser que ce genre de pratique n'a plus cours. Et pourtant, il est régulièrement fait obstacle à l’accès à des documents parfaitement communicables sur simple demande » constate Thibault Turchet, responsable des affaires juridiques à Zero Waste France.
C’est pourquoi nous invitons les associations à aller jusqu’au bout de leurs démarches, trop souvent interrompues par découragement. Il suffit en effet de bien garder une trace des demandes initiales, d’attendre un mois puis de saisir la CADA si nécessaire (les procédures sont bien expliquées sur son site).
Nous attendons désormais l’avis de la CADA, et appelons les industriels et administrations concernées à un respect plus rigoureux du droit d’accès à l’information en matière environnementale. -
Décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : les précisions du président KOVACS de ViennAgglo :
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Arrêté préfectoral complémentaire préfet du Rhône
décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69).
Le président de ViennAgglo
Thierry KOVACS prend position :
Communiqué en accord entre Thierry KOVACS et AURA Environnement :
"Lors de la cérémonie des voeux du 06/01 à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, le Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat (CDEP) a demandé au président de ViennAgglo de bien vouloir regarder de près la question de la demande de prolongation de la décharge Nicollin. Le président Thierry KOVACS, soucieux des désagréments intolérables en matière d'odeurs infernales autour de la décharge Nicollin subis par les populations locales et les riverains a décidé de regarder de près la situation avec le CDEP".
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Décharge COVED-PAPREC à Roussas : la pétition d'AURA Environnement cartonne + DIE-IN le 14 juillet 2017 rues #Roussas :
- Par auraenvironnementparis
- Le 15/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
Rencontres écolos à Roussas
si l'Etat continue à faire de la rétention
de l'information à AURA Environnement :
TOUS au DIE-IN du 14 Juillet 2017
dans les rues de ROUSSAS !
17 450 signatures en 8 jours + 453 Commentaires
pour notre pétition :
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978
image: http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/medias/images/rouss-098.jpg?fx=r_900_1200
DEFINITION du DIE-IN organisé par AURA Environnement : Manifestation pacifique de piétons et/ou de cyclistes qui s’allongent par terre tous ensemble sur la voie publique afin d’illustrer la conséquence la plus tragique d'une décharge, la mort. L’expression « Die-In » dérive de l’anglais « Sit-In » (Manifestation pacifique constituée de personnes assises par terre sur la voie publique). Le Die-In est un évènement symbolique (au même titre qu’un Sit-In ou un Bed-In) à caractère théâtral. Un Die-In demande à ses participants de simuler la mort à l’intersection de deux rues pour représenter les conséquences d'une décharge les plus fâcheuses pour l'environnement : la mort du tourisme, la mort de nos terroirs, la mort de nos savoir-faire, la mort de nos traditions .....
Plus d'infos et inscriptions citoyennes, ici : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/
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Guide Hachette & Wine Advocate de Robert Parker consultés par Domaine de Coussergues sur + odeurs Usine à Poubelles "Ecopôle de la Valasse" #Béziers ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/02/2017
- Dans STOP Ecopôle de la Valasse à Montblanc
Alors que les populations locales vers Montblanc (34) commencent à voir rouge :
la société VALORSYS PRES DES OLIVIERS et le préfet 34 ont-ils
demandé les avis du Guide Hachette et du Wine Advocate de Robert Parker
pour les futurs envols de poussières,
pulvérisations d'odeurs de l'Usine à poubelles
"Ecopôle de la Valasse" près du prestigieux "Domaine de Coussergues" ?
Marc-Claude de PORTEBANE
Le Château de Coussergues se situe à dix kilomètres à l'est de Béziers, sur les dernières collines dominant la Méditerranée. Cette vaste (310 ha) et ancienne seigneurie royale de 1495 est la propriété de la famille Sarret de Coussergues depuis quinze générations.
Le prestigieux Domaine de Coussergues qui se trouve sur la départementale 28 entre Béziers et Bessan en dehors du village de Montblanc (Sorties d’autoroute : Sortie autoroute A9 Agde – Bessan (sortie n°34) = 8km ; Sortie autoroute A9 Béziers - Est (sortie n°35) = 15km ; Aéroport de Béziers - Cap d'Agde = 15km. Distances avec les villes alentours : Béziers : 10 km, Cap d’Agde : 12 km, Pézenas : 15 km, Montpellier : 60 km) a-t-il prévenu les Guide Hachette et le Wine Advocate de Robert Parker de ce qui se prépare à quelques centaines de mètres de son vaste territoire dont est issu un vin de pays/IGP Oc, le "Coussergues" qualifié par Hachette, (Guide 2016), de "Rouge tranquille" possédant "Une majorité de cabernet-sauvignon (80 %) associée à du petit verdot, voici les bases de cette cuvée très sombre, au nez classique de fruits noirs sur fond de boisé chocolaté et vanillé, au palais bien équilibré, alliant puissance, rondeur et volume." ?
En effet, le 24/11/2016, la DREAL Occitanie présentait aux membres du CoDERST un projet de modifocation des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non-dangereux. Site concerné : VALORSYS PRES DES OLIVIERS - RD 28 - 34290 MONTBLANC.
Avec en PJ un plan de situation, des plans des installations (DDAE et REALISE) ainsi, qu'en cadeau, un projet d'arrêté préfectoral ... qui ne comporte pas les mêmes références dans la pièce communiquée aux membres du CoDERST (UT34/H2/2016/121) et dans le projet qui mentionne lui : UD34/H2/2016/121 !
Une petite erreur qui risque d'être de donner raison à AURA Environnement au tribunal administratif ?
A cette réunionïte du CoDERST de l'Hérault, il leur a été proposé de réserver une suite favorable au projet d'arrêté établi afin "d'encadrer les modifications" pour lesquelles la DREAL Occitanie n'a pas eu d'objection, et afin de prendre en compte les 11 aménagements déjà cités par le préfet "conformément au courrier du préfet daté du 11/01/2016".
Très intéressantes les nouvelles prescription de l'article 7 sur les "Envols de poussières", de ce projet d'arrêté du préfet, Pierre Pouëssel, notamment l'ensemble des pistes non-revêtues d'accès aux alvéoles de stockage des remblais qui feront "l'objet d'aspersions d'eau aussi souvent que nécessaire notamment en périodes sèches et ventées" ........
Quelles seront les incidences sur les vignobles environnants et la qualité de leurs vins lorsque Pouëssel Pierre prendra un arrêté portant mise en place des mesures de restrictions des usages de l'eau dans le cadre de la gestion de la sécheresse des 20 prochaines années ?.
L'arrêté préfectoral complémentaire a été signé vendredi 10/02/2017 !
ORGANISONS LA RESISTANCE !
DEFENDONS NOS PRODUCTIONS VITICOLES !
Pas question de "baisser la garde" sur les dispositifs de limitation d'émission des poussières de ces installations qui occupent une surface totale de 41 ha en tout ou partie des lieu-dits "La Martinique", "La Croix", "Mont-Auriol" et "La Valasse" !
N'hésitez pas à demander à vos élu-es de Montblanc - qui sont d'ardents défenseurs de l'environnement - leurs avis sur les caractéristiques des rejets à l'atmosphère et les teneurs en polluants des émissions gazeuses (dont les COV hors méthane) ou les matières en suspension totale (MEST) !
Camarades ne soyez ni dupes ni ignorants : les MEST sont responsables de la turbidité de l'eau, peuvent perturber la photosynthèse et la respiration des organismes aquatiques et véhiculer d'autres contaminants (métaux lourds) !!!
AVEC LE MAIRE et les ELUS
DEFENDONS l'ENVIRONNEMENT
DEJA LARGEMENT DEGRADE à MONTBLANC !
Nous espérons que les représentants des associations de protection de la nature et de défense de l'environnement ont voté CONTRE ce projet d'arrêté préfectoral de prescriptions complémentaires portant modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de DND de l'Ecopôle de la Valassse !
Que font les écolos locaux ?
AVEC les HABITANTS de MONTBLANC
DEFENDONS la CAUSE ANIMALE !
Le 14/01/2017, perdu chat mâle, castré, pucé sur l'aire d'autoroute Béziers Montblanc Sud. Il est gris clair avec les pattes et la queue rayées (un peu le tête aussi). Il a les yeux bleus et louche un peu. Si vous le retrouvez, merci de bien vouloir me contacter au 06.24.80.32.19
Camarades ! Défendons nos IGP/Oc qui ne doivent pas se transformer en "vinasse" déclassée dans le Guide Hachette ou d'autres références internationales de renom dans une région où souffle déjà les vents mauvais du chômage et de l'insécurité économique !
DEFENDONS nos PRODUCTIONS avec les ELU-ES de
la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée !
Alors que l'Ecopôle de la Valasse va accueillir les déchets non dangereux (DND) du département de l'Hérault et des départements limitrophes ..... "uniquement en cas de défaillances techniques des installations ou d'arrêt programmé des installations pour des opérations d'entretien et de maintenance" sans plus de précisions :
TRI/TRAITEMENT MECANIQUE/MISE EN BALLE
- 97 000 T de déchets non fermentescibles issus d'activités industrielles, agricoles, artisanales + encombrants des ménages issus de déchèteries ou de collecte sélective
- 54 000 T/an de refus non fermentescibles de centre de tri de collecte sélective ainsi que des refus de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers" : fraction non-fermentescible de l'activité de la presse extrudeuse et refus de dégrillage (1 400 T/an)
STOCKAGE EN BALLES ENRUBANNEES
- 77 500 T/an de déchets non-valorisables issus des activités de tri des déchets non-fermentescibles et encombrants précités + les terres polluées en installation de stockage de déchets non dangereux utilisées uniquement en couverture intermédiaire de l'installation de stockage
- 55 400 T/an de refus précités de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers"
QUELLE CONFIANCE pouvons-nous AVOIR dans la PAROLE de L'ETAT sur ces futures BALLES qui seraient bien ENRUBANNEES dans l'HERAULT LORSQU'ELLES "PARFUMENT" déjà L'ENVIRONNEMENT à L'AIR LIBRE - AU NEZ ET A LA BARBE DE LA DREAL-29 QUI NE DIT RIEN - COMME chez GUYOT ENVIRONNEMENT en BRETAGNE à SAINT-MARTIN-des-CHAMPS dans la région de MORLAIX, lorsqu'elles sont MAL-ENRUBANNEES ? (Source : Constat huissier SCP BOUGEANT demandé par AURA Environnement) !!!!
Le stockage "en vrac" INTERDIT dans l'arrêté préfectoral du préfet de l'Hérault alors qu'en Bretagne, l'industriel GUYOT Environnement fait ce qu'il veut avec la bénédiction de la Dreal-UT 29 sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs........
Les dirigeants du cimentier VICAT nous ont dit que ce stockage à l'air libre et ces balles complètement éventrées vers Morlaix constituaient une atteinte à l'environnement et étaient impossible à incinérer dans leurs cimenteries !
Puisque ce vrac et ces balles enrubannées sont inutilisables, direction la décharge ! Combien la Tonne aux frais du contribuable ? C'est un SCANDALE !
....où l'anarchie complète règne en maître sans que le préfet du Finistère bouge le moindre petit doigt !!!!
Et on veut nous faire croire dans le 34, que la DREAL de Montpellier va laver plus blanc que blanc à Montblanc ???
QUE NENNI !
En appui aux riverains de la Méga Usine à poubelles "Ecopôle de la Valasse", AURA Environnement a réuni les populations locales au sein du Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) et appelle les défenseurs de notre patrimoine économique (et surtout viticole) et de l'environnement, les ami-es des animaux, les riverains aidés par les touristes de passage à organiser la RESISTANCE POPULAIRE face à cet arrêté préfectoral !
D'ores et déjà, le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a demandé à la mairie de Montblanc la possibilité de tenir nos réunions en mairie de Montblanc ou à la salle des associations !
Le CPEVMB-34 alerte les populations locales ! Pas touche à nos vignobles, d'autant plus que la croissance économique constatée sur les dernières années ne se traduit pas par une embellie en matière d’emploi. Au 1er trimestre 2015, le taux de chômage en Languedoc-Roussillon atteint 14,2%, contre 10% en France métropolitaine. Ce taux est le plus élevé des régions françaises et ne s’explique pas seulement par les crises récentes !L'arrêté préfectoral complémentaire (APC) a été tout juste signé le 09/02/2017.Message à COVED-PAPREC et au préfet de l'Hérault : HORS de QUESTION d'avoir du CSR (Combustible Solide de Récupération) dans l'Hérault dans un autre APC.AURA Environnement et le CPEVMB-34 seront extrêmement vigilants sur la décharge de l'Ecopôle de la Valasse, que ce soit au niveau :- du bâtiment de réception et de tri de déchets non-dangereux secs de 7 200 m² ;- de la zone extérieure de 156 m² de stockage de balles de fractions valorisables pour une surface de 26 m x 6 m pour un volume total de 432 m3 ;- de l'installation de stockage de déchets non-dangereux de 30 ha comprenant 8 casiers subdivisés en alvéoles ;- de la zone de 4 000 m² de traitement des lixiviats et du biogaz ;- des 2 bassins de stockage des eaux pluviales internes ;- de la zone de 10 ha de stockage des déblais issus de la préparation du fond de forme de l'installation de stockage de déchets non-dangereux ;- des bâtiments et zones annexes !A suivre.
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BRAVO Veolia Water Technologies Sénégal : Conception et construction usine production et traitement eau potable à Dakar !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/02/2017
- Dans Veolia Water Technologies
Depuis 160 ans, Veolia s’engage pour que
chacun ait accès à une eau de qualité
tout en préservant cette ressource vitale !
Veolia au 27° salon 2016 Pollutec à Lyon.
La Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) a confié à Veolia la conception et la construction d’une usine de production et de traitement de l’eau potable à Dakar.
La nouvelle usine permettra d’augmenter la production d’eau potable destinée aux habitants de Dakar et de sa banlieue de 40 000 m3 par jour. L’installation permettra en outre d’améliorer la qualité de l’eau dont la teneur en fer est élevée, grâce à des procédés tels que l’aération d’eau brute, le traitement physico-chimique, la filtration sur sable et la désinfection au chlore.
Nous attendons de Veolia qu’il soit un partenaire technique et un conseil pour nous aider à relever les défis que représentent la mise en œuvre de projets structurants dans le domaine des infrastructures et le respect de la qualité technique. Nous espérons que son expérience, tant au niveau régional qu’international, contribuera à la réussite de ce projet important pour la qualité de vie des citoyens de Dakar », a expliqué Charles Fall, directeur général de la SONES.
La SONES (Société Nationale des Eaux du Sénégal) est une société de patrimoine. Elle a été créée par la loi n°95-10 du 07 Avril 1995 portant réforme du sous-secteur de l’Hydraulique Urbaine. La réforme a conduit à la disparition de la Société Nationale d’Exploitation des Eaux du Sénégal (SONEES) en charge de la production, de la distribution d’eau potable et de l’assainissement des eaux usées au profit de trois nouvelles entités dont la SONES
« Nous sommes fiers que la Société nationale des eaux du Sénégal nous ait choisis pour l’aider à offrir un meilleur accès aux services essentiels. Depuis 160 ans, Veolia s’engage pour que chacun ait accès à une eau de qualité tout en préservant cette ressource vitale. Nous sommes impatients de mettre notre expérience et nos solutions au service du bien-être des communautés de Dakar et de sa banlieue », a ajouté Jean-François Nogrette, directeur général de Veolia Water Technologies.
La SONES, société de patrimoine de l’hydraulique urbaine et périurbaine, est le maître d’ouvrage de ce projet financé par un prêt de la Banque ouest africaine de développement (BOAD).
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PETITION : SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel » des odeurs et envols de plastiques vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
TOUTES et TOUS à ROUSSAS ! Rejoignez nos 44 000 fans sur Facebook et les 800 militant-es fanatiques de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux réuni-es en comité central ce week-end à Argelès-sur-Mer https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel »
des odeurs et envols de plastiques vers la décharge
COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !
LIEN Pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-toutous-chaussette-diesel-odeurs-envols/27978
Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)
Créé le 07/02/2017
À l'attention : Mr le président de la Commission européenne Jean-Claude JUNCKER, Mr le Commissaire européen Karmenu VELLA, Mr le préfet de la Drôme
Les toutous « Chaussette » et « Diesel » vivent à proximité de l’immense décharge Coved-Paprec au lieu-dit « Combe Jaillet » dans la Drôme où se propagent dans la nature sacs en plastique et odeurs pestilentielles dans un paysage bucolique composé de vignobles ancestraux, de champs de lavande et d’oliviers.
AURA Environnement et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux demandent à Mr Pascal BRIE de l’UT Dreal 26 en charge des installations classées pour la protection de l’environnement et au préfet de la Drôme, Eric SPITZ, de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour que cessent ces nuisances insupportables pour les animaux et les habitants des communes de Roussas et Les Granges-Gontardes.
Nous, signataires de cette pétition, nous exigeons la fermeture définitive de cette décharge COVED-PAPREC au 31/12/2021 sans possibilité d’arrêté préfectoral complémentaire d’extension ou de prolongation après 2021, date à laquelle devra se mettre en place la phase de post-exploitation ; que l’ONF de la Drôme-Ardèche fasse nettoyer les envols de plastiques autour de cette méga décharge à la charge de COVED-PAPREC sur les arbres (dont des chênes verts, du Chèvrefeuille des Baléares ou de l’Asperge à feuilles aiguës) et sols des forêts communales et privées où vivent de très nombreux animaux sauvages ; que les élu-es de la commune de Roussas dirigée par Mme Christiane ROBERT prennent toutes les mesures pour que cessent ces massacres de l’environnement et soutiennent publiquement notre cause ; que l’assemblée nationale et le ministère de l’Environnement se penchent sur le fait qu’il n’y ait pas eu de CSS (Commission de Suivi de Site) en 2016 ; que Bernard ROUDIL le sous-préfet de Nyons, la Fédération départementale des chasseurs de la Drôme et l’Association communale de chasse agrée de Roussas dont un des buts est de favoriser sur son territoire le développement du gibier et de la faune sauvage dans le respect d’un véritable équilibre agro-sylvo-cynégétique nous dressent un inventaire complet des animaux susceptibles d’avoir ingurgité des sacs plastiques sucrés ou salés souillant les sols comme nous avons pu le constater ; que le groupement fonctionnel du SDIS 26 dirigé par le colonel Olivier BOLZINGER nous dise pourquoi des tas de sacs en plastiques noir renfermant d’autres plastiques non-identifiés ont été retrouvés aux abords de la piste parallèle à la RD 113 (en direction du Centre d’Enfouissement Technique COVED-PAPREC et du Motocross vers le Bois des Mattes) ; que nous soyons correctement informés par le directeur de cabinet du préfet de la Drôme Stéphane COSTAGLIOLI ou Marie-Laure PELISSIER la secrétaire du préfet de la Drôme lorsque nous demandons des précisions Républicaines sur la décharge COVED-PAPREC (notamment la communication des rapports annuels 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016) ou la transmission d’ informations capitales sur la sécurisation absolue de l’espèce remarquable en déclin en Europe : l’Alouette lulu !
PROTEGEONS ensemble les toutous « Chaussette » et « Diesel » et les autres espèces innocentes - comme les oiseaux Bubo bubo, Caprimulgus europeeus Linnaeus, Lullula arbores, Monticola solitarius ou les nombreux reptiles dont Timon lepidus - des envols de plastiques ABSOLUMENT DEGUEULASSES vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme !
L’homme est tenu de savoir. L’homme est responsable de son ignorance. L’ignorance est une faute !
NOUS, protecteurs des animaux et de l’environnement, NOUS EXIGEONS que LES SERVICES DE L’ETAT DE LA DROME, LA COMMUNE DE ROUSSAS et la COMMUNAUTE de COMMUNES ENCLAVE DES PAPES-PAYS DE GRIGNAN CESSENT de NOUS TENIR dans L’IGNORANCE sur la DECHARGE de COVED-PAPREC !
Rejoignez-nous pour un DIE-IN de MASSE dans les rues de ROUSSAS tous les 14 juillet dont celui de 2017 ! Inscription : aura-environnement@laposte.net
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d’AURA Environnement
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
- Porte-parole du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)
http://www.aura-environnement.com/ -
Une décoration scandaleuse : la Frapna Rhône-Alpes va-t-elle cirer les pompes à Laurent WAUQUIEZ, conseil consulatif Déchets région ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/02/2017
- Dans STOP Décoration ANNE LASSMAN-TRAPPIER
C'est un SCANDALE et démission de la FRAPNA :
Alors que le président de REPORTERRE a refusé la sienne
la présidente Anne LASSMAN-TRAPPIER accepte la décoration
d'un pouvoir qui assassine les écologistes comme à Sivens !!!
C'est l'innocent Rémi Fraisse qui mérite une médaille !
Anne LASSMAN-TRAPPIER, membre de la Frapna et présidente d'Environn'MontBlanc (depuis 2009), une association créée en 1996, dont l’objectif est de réduire les nuisances sonores et les pollutions atmosphériques et climatiques engendrées par la route d’accès au tunnel du Mont-Blanc et qui travaille pour la mise en place d’une autre politique des transports que celle du tout-routier, pour les marchandises comme pour les voyageurs qui a lancé la campagne Inspire, en 2013, pour rendre visible les citoyens et obtenir des mesures pour l'amélioration de la qualité de l'air au pays du Mont-Blanc a reçu la légion d'honneur d'un pouvoir opposé aux écologistes de terrain comme Rémi Fraisse ou le projet de Notre-Dame-des-Landes.
Dernièrement une réunion secrète a rassemblé à la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes, la commission consultative sur les déchets dans la nouvelle grande région Auvergne-Rhône-Alpes présidée par Laurent WAUQUIEZ qui n'est pas vraiment copain/copain avec les écolos mais plutôt très tendance pro-chasse puisqu'il vient de leur accorder plus de 300 millions d'euros de subvention comme ne cesse de le dénoncer la pétition d'AURA Environnement (32 325 signatures + 2 570 commentaires) : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-aux-subventions-region-auvergne-rhone/24839 A cette commission siègeait - entr'autres - l'incontournable FRAPNA que nous attendons sur plusieurs dossiers de défense de l'environnement, comme sur l'extension de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal ou le nouveau casier amiante de la Coved-Paprec qui est à l'étude à la Dréal Rhône-Alpes.
Nous vous laissons le soin de lire la description que se fait d'elle Anne LASSMAN-TRAPPIER.
Pour celles et ceux qui ont envie de gerber, rien ne vous interdit de le faire :
Étonnant non, que la Légion d’Honneur puisse être attribuée à une lanceuse d’alerte qui dérange, une adversaire des pratiques économiques polluantes actuelles, un poil à gratter pour le système en place ? Pourtant non, je n’ai pas baissé ma garde, pas viré ma cuti, je ne suis pas rentrée dans les rangs… Je reste toujours déterminée à défendre la santé humaine et l’environnement généreux qui nous entoure.
Sur proposition de France Nature Environnement
C’est la fédération France Nature Environnement, avec qui je travaille depuis plus de 10 ans, qui a proposé mon nom pour cette décoration. Proposition qui a été acceptée par le Ministère de l’Environnement, puis validée par la Grande Chancellerie. Si les autorités nationales accordent du crédit aux associations environnementales, c’est que nous sommes souvent pour elles leur dernier rempart contre les injonctions des lobbies.Notre travail à ce niveau est frustrant, car les décisions ne vont pas souvent dans le sens de l’environnement, mais il reste néanmoins indispensable de porter nos demandes à ce niveau de gouvernance.
Bonne ou mauvaise nouvelle ?
La nouvelle n’a pas été accueillie d’un bon oeil par certains décideurs en Haute-Savoie, qui savent qu’ils auront davantage de mal à me discréditer et à balayer les positions associatives d’un revers de main. Pour le mouvement associatif local et la cause environnementale, cette reconnaissance officielle ne peut être qu’une bonne nouvelle.
Qui est France Nature Environnement (FNE) ?
Il y a des chances pour que vous fassiez déjà partie de la grande famille FNE, peut-être sans le savoir, en étant adhérent d’une association locale membre de la FRAPNA, est elle-même fédérée à FNE. La fédération nationale existe depuis 50 ans et rassemble en son sein 3 500 associations, dont Environn’MontBlanc, l’ARSMB et bien d’autres encore. Au total FNE représente 850 000 adhérents. Ensemble, nous sommes une grande force, un grand mouvement, qui se sous-estime sans doute encore beaucoup. FNE est la seule association nationale à s’occuper de l’ensemble des grands thèmes de l’environnement : Agriculture, Aménagement du territoire, Biodiversité, Climat, Déchets, Eau, Energie, Forêt, Mer et Littoral, Montagne, Risques Industriels, Santé Environnementale, Transports et Mobilité…
Je suis personnellement très reconnaissante à FNE de m’avoir fait confiance, de m’avoir aidée et poussée à m’engager au niveau national, afin de faire avancer nos idées communes.
Parcours de bénévole associatif-
De 2001 à 2011, engagement au sein de l’Initiative Transport Europe, réseau d’associations de tout l’arc Alpin, avec un travail auprès des instances européennes.
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Membre du Directoire Transports et Mobilité Durables de France Nature Environnement depuis 2006.
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Présidente de l’association Environn’MontBlanc (ex CPVH) depuis 2009.
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Membre du Conseil d’Administration de la FRAPNA Haute-Savoie depuis 2011.
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Membre du Conseil d’Administration de France Nature Environnement depuis 2015, ainsi que de son Directoire Santé Environnement.
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En charge de la thématique de la qualité de l’air au niveau national pour FNE depuis 2015.
Représentations nationales majeures au titre de FNE :-
De 2013 à 2015, membre du Conseil d’Administration de la SNCF.
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Depuis 2015, membre du Conseil d’Administration de SNCF Réseau.
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Depuis 2015, membre du Conseil National de l’Air.
Ma plus belle réussite à ce jour : la campagne Inspire
En 2013, avec Environn’MontBlanc et un groupe de citoyens internationaux de la vallée de Chamonix, nous lancions la campagne Inspire, pour obtenir l’amélioration de la qualité de l’air au pays du Mont-Blanc et montrer à nos autorités que le sujet préoccupait les habitants de cette région. En l’espace de quelques mois, 10 000 personnes, sur les 60 000 qu’en compte le pays du Mont-Blanc, ont signé une pétition et 6 000 personnes se sont inscrites à la newsletter d’Inspire. La campagne a galvanisé la mobilisation citoyenne au pied du Mont-Blanc, a contribué à la rendre visible et a participé à en révéler l’ampleur. Les pouvoirs publics ont de plus en plus de mal à ignorer cette mobilisation citoyenne et des mesures commencent enfin à être prises…Une décoration au service de notre cause
Vous l'aurez compris, cette décoration est pour moi celle de l’ensemble de notre mouvement associatif et des citoyens qui soutiennent nos actions. Je n’aurai cesse de la mettre au service de notre cause commune pour un meilleur respect de notre environnement, de la qualité de notre air et de notre santé à tous.Photo : Le Dauphiné Libéré
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Prolongation décharge LELY aux portes de Grenoble : conférence de presse du Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/02/2017
- Dans STOP décharge Lely Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère
AURA Environnement déclenche sa campagne du "Grand bond en avant" dans l'Isère :
Après l'enquête publique, le Collectif SD-SQI
(Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère)
attend vivement de la DDPP 38 le rapport de synthèse
et propositions de l'inspecteur des Installations classées !
A l'appel des habitants et de certains élu-es qui n'en peuvent plus de la décharge de Lély Environnement située au bord de la rivière Isère, à Saint-Quentin-sur-Isère (Tullins), AURA Environnement a lancé le Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) qui s'est manifesté hier après-midi, pour la première fois, au grand-jour, en tenant une conférence de presse à quelques pas de cette verrue qui incommode depuis de très nombreuses années les riverains des hameaux du Replat, de Péraudière et de Font-bessée situés à 400 m de cette décharge et snobés, la plupart du temps, par la plupart des élu-es de la commune de "Saint-Quentin-sur-Misère" qui semblent plus intéressé-es par les investissements de Lély Environnement dans le club de foot local ou dans les dépôts de multiples calendriers à l'accueil de la mairie que par l'exaspération des populations locales !
Les populations locales excédées, entendent soutenir prochainement, les recours au tribunal administratif qui seront déposés par AURA Environnement contre la prolongation par réhausse du casier actuel de 16 m de la décharge de Lély Environnement..
Lors de l'enquête publique, AURA Environnement a dénoncé au commissaire enquêteur, les observations suivantes :
I. Remarques préalables :
- Le dossier de demande d’autorisation d’exploiter n’expose pas clairement les valeurs et conditions d’activité de stockage des déchets : capacité annuelle demandée, origine des déchets demandée, etc. On ne sait donc pas quels tonnages le pétitionnaire souhaite recevoir ni d’où ils pourraient provenir alors que ce devrait être le fondement de la justification du projet. Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que son projet est totalement inutile : le plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux en cours d’élaboration estime que les besoins en stockage de l’Isère sont de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol, Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc inutile.
- La rédaction du dossier ne présente pas de façon évidente les liens entre le dossier technique et le rapport d’étude d’impacts. De même, la présentation des impacts et dangers est complexe et ne permet une compréhension aisée pour le public (un résumé non technique de l’étude de dangers de 2 pages, ce n’est pas de la vulgarisation mais de la dissimulation…). Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que le site ne satisfait aucune des obligations légales en termes de protection des eaux superficielles et souterraines, et rejette depuis des années des eaux souillées non traitées. Le projet est donc dangereux.
Le projet apparaît donc clairement inutile et dangereux.
II. Remarques d’ordre réglementaire :
- Le dossier soumis à enquête publique ne concerne que le projet d’extension verticale de la décharge, projet consistant en la création d’un nouveau casier en rehausse du casier existant. Il ne prend que très faiblement en compte la remise en l’état du casier actuel alors que les impacts des deux installations vont se cumuler, notamment en termes de rejets liquides (lixiviats) et atmosphériques (biogaz).
- Le DDAE est daté de décembre 2015 mais il a fait l’objet d’un avis de l’Autorité environnementale en date du 24 juin 2016 et est soumis à enquête publique à l’automne 2016. Il doit donc respecter les prescriptions de l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016, ce qui n’est pas le cas (programme de contrôle de la qualité des rejets, suivi post-exploitation, analyse des MTD (meilleures techniques disponibles), gestion des lixiviats, etc.). Cela rend le projet obsolète et non conforme à la réglementation applicable.
- L’étude d’impacts semble avoir été réalisée en grande partie en 2011/2012, ce qui pose deux problèmes majeurs :
- Sur le fond, les données d’état des lieux initial sont périmées et ne peuvent raisonnablement servir de base pour estimer les impacts du projet. L’étude d’impacts est donc insincère.
- Sur la forme, la réforme de l’étude d’impacts de 2012 n’a pas été prise en compte rendant le dossier non réglementaire. De même que, l’étude des risques sanitaires n’intègre pas de volet « état de l’Interprétation de l’état des milieux » pourtant obligatoire depuis la circulaire du 9 août 2013. L’étude d’impacts ne répond donc pas aux exigences de la réglementation.
Il ressort ainsi, à la lecture des éléments présentés en enquête publique, que le dossier est :
- Non réglementaire ;
- Obsolète ;
- Porteur d’une vision partielle et partiale de la réalité.
III. Remarques sur le Dossier administratif
- Alors que le PLU indique clairement la présence de différentes servitudes au droit de la décharge, aucun avis des gestionnaires de ces servitudes n’est joint au dossier. Le pétitionnaire ne démontre pas que son projet est compatible avec ces servitudes.
- Le site se trouve en zone Nx « espaces de stockage de déchets » sauf 5 parcelles. Pour ces 5 parcelles, 4 seulement appartiennent au demandeur (71, 133, 322 et 324). Quid de la parcelle 160 ? A qui appartient-elle ? Le propriétaire a-t’il accepté que le projet s’implante sur sa propriété ? Par ailleurs, les parcelles 262, 264 et 306 font partie de l’actuelle ICPE mais n’appartiennent pas à l’exploitant, cela n’est pas légal. Enfin, une mise en comptabilité du PLU serait en cours pour les intégrer en zone Nx. Or, aucun justificatif n’est fourni par rapport à la mise en comptabilité. Où en est cette procédure ? Intègre-t-elle aussi la parcelle 160 ? Le pétitionnaire ne démontre pas la maîtrise foncière du projet ni la conformité de celui-ci avec le plan local d’urbanisme de la commune.
- Un des objectifs du SCOT de la région grenobloise est de préserver les espaces naturels agricoles et forestiers. Or, le projet prévoit de déclasser des surfaces classées en zone N (naturelle), et de défricher un boisement. Contrairement à l’affirmation infondée du pétitionnaire, le projet est donc incompatible avec les objectifs du SCOT.
- Compatibilité avec le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux :
- Le plan d’élimination des déchets ménagers et assimilés (PEDMA) de juin 2008 ne prévoit la possibilité d’une prolongation du site de Saint-Quentin que « dans le cadre de l’autorisation actuelle ». L’extension durable du site avec nouvel arrêté préfectoral comme demandé par Lély est donc incompatible avec le PEDMA de l’Isère.
- Le plan de 2008 estime le besoin en capacités de stockage en Isère à 434 000 tonnes en 2017. Or, les capacités actuellement autorisées sont de 580 000 tonnes. Il y a donc une surcapacité de 146 000 tonnes que l’extension de la décharge de Saint-Quentin viendrait prolonger. Il serait donc conforme aux prescriptions du PEDMA de l’Isère de refuser l’autorisation d’exploiter demandée par Lély.
- Le projet de plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux (PPGDND) en cours d’élaboration estime que, conformément aux objectifs de la Loi de Transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015, les besoins en stockage de l’Isère ne sont en fait que de de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol , Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc incompatible avec la loi TECV et avec les orientations du futur PPGDND de l’Isère.
- Risque inondation : le site se trouve en zone Bi3 (périmètre historique de crue). Il est indiqué que « une remontée de la nappe pourrait donc entrainer une sollicitation localisée de la barrière passive, mais ne pourrait en aucun cas entrainer la déstabilisation du massif de déchet ». Un risque majeur existe donc tant sur la stabilité du massif de déchet que sur la pollution des eaux souterraines. Or, l’étude de dangers ne retient pas l’inondation comme source potentielle d’agression externe pour le site (p.14). Le dossier est donc malhonnête qui masque des risques majeurs pour l’environnement.
- Risque technologique : L’analyse de l’environnement indique qu’il n’existe aucune source potentielle d’agression externe pour le site alors qu’une partie de celui-ci est incluse dans le périmètre du PPRT de l’usine SEVESO Seuil haut Titanobel. Le projet est donc soumis à un risque industriel majeur qui n’est abordé nulle part dans le dossier, rendant celui-ci incomplet et insincère.
IV. Remarques sur le Dossier technique
- L’absence du bilan matériaux est préjudiciable à la qualité d’interprétation des effets du projet, notamment en cas de situation déficitaire ou excédentaire en matériaux (aspects trafic, circulation sur site, localisation des stocks, impact paysager, impact sur la faune et la flore… Le dossier technique est donc incomplet.
- Le dossier indique la réalisation d’un pré-contrôle olfactif mais n’indique pas la procédure mise en œuvre pour éviter l’arrivée des camions odorants sur site. Ce faisant, l’exploitant reconnaît qu’il ne prévoit rien pour limiter l’impact olfactif du site, ce qui n’est ni responsable, ni acceptable.
- Les conditions d’étalonnage et de vérification périodique des installations de détection de non-radioactivité ne sont pas indiquées alors que c’est une procédure obligatoire conformément à l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016. Le projet ne respecte donc pas la réglementation en matière de protection contre la radioactivité.
- Stabilité du massif de déchets :
- Les études géotechniques de stabilité prennent en compte la plate-forme de compostage mais pas les plates-formes de mâchefer, de bois et de déchets du BTP. Elles ne prennent pas non plus en compte la présence d’eau dans le massif sous-jacent et la charge hydraulique en fond de casier. Elles sont donc incomplètes et, de fait, faussées.
- Le dossier atteste la stabilité de la digue périphérique sur la base d’hypothèses de matériaux mais n’indique pas comment l’exploitant pourra garantir que les matériaux qui seront utilisés répondront aux exigences de l’étude de stabilité.
- Les moyens et la méthodologie pour assurer le suivi des tassements des zones anciennement et récemment exploitées ne sont pas indiqués.
- L’avis de l’autorité environnementale précise qu’une tierce expertise a été demandée sur la stabilité du massif. Or, les résultats ne sont pas joints au dossier d’enquête publique.
Le dossier ne garantit pas la stabilité du massif de déchets qui risque à tout moment de basculer dans l’Isère avec des centaines de milliers de tonnes de déchets et toute la pollution associée.
- Le réseau de collecte du biogaz ne couvre pas l’intégralité de la surface de la décharge : la quantité et le positionnement des puits présentent des surfaces non collectées (rayons d’action insuffisants). Cela générera forcément des émanations diffuses de biogaz conduisant à un impact olfactif inacceptable et des risques pour la qualité de l’air.
- Le dossier prévoit de réduire les capacités de stockage tampon des eaux pluviales par rapport à la situation existante (passage de 28 000 m3 environ à 13 000 m3). Comme il n’est pas démontré que la pluviométrie des Alpes va se réduire, le projet ne prévoit pas de gérer correctement les eaux de ruissellement.
- Gestion des lixiviats :
- Le plan d’aménagement n’indique pas de puits de collecte des lixiviats sur les zones d’exploitation n°1 (rehausse 8-9-10), n°2 (rehausse 11-12), n°7 et n°8. S’ils ne sont pas collectés, ce qui est illégal, ces lixiviats iront directement se jeter dans l’Isère.
- le dossier ne présente pas de calcul prévisionnel de production de lixiviats pour le site actuel + ceux du site ancien ; il est donc impossible de savoir si les bassins de rétention sont suffisamment dimensionnés pour retenir les eaux polluées et éviter leur déversement dans l’Isère ou la nappe phréatique
- il n’y a aujourd’hui que 800 m3 de capacité installée contre 1500 m3 réglementaires (production du nouveau site / 365 j x 15 jours de stockage)
- il n’est prévu de créer que 2500 m3 contre 2800 m3 réglementaires (idem)
- Il n’est pas précisé si les bassins de stockage des lixiviats respectent la distance d’isolement de 50 m imposée par l’article 7 de l’AM stockage
- Il est fait état d’un dépassement en arsenic sur le bassin B sans que le dossier ne présente les conséquences de cette pollution sur les eaux souterraines
- Le projet indique à la fois que les lixiviats seront gérés par la STEP Aquapole et par une STEP à créer sur site. Quelle est la vérité ? Dans tous les cas, il ressort du dossier que :
- sur le plan réglementaire, la convention avec Aquapole (annexe C) ne précise pas si la STEP est autorisée à recevoir des effluents industriels en provenance d’une ICPE (rubrique ICPE 2791)
- sur le plan technique, la convention avec Aquapole ne précise pas si elle est dimensionnée pour traiter des lixiviats de décharge qui sont très spécifiques par rapport des eaux usées urbaines
- sur le plan quantitatif, il apparaît que la convention avec Aquapole ne permet pas de traiter tous les lixiviats de la décharge : la convention permet de recevoir 25 500 m3 /an (100 m3/j maximum sur 255 jours d’ouverture) alors que le volume pompé est largement supérieur [37 000 m3 en 2013, 46 000 m3 en 2014] et sera encore plus élevé si l’extension est accordée.
- le délai de mise en service de la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisé
- la destination des boues qui seront produites par la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisée alors que celles-ci présenteront nécessairement de fortes teneurs en arsenic. Où et comment cette pollution dangereuse sera-t-elle traitée ?
Le dispositif de gestion des lixiviats prévu par le dossier n’est pas conforme aux exigences de l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016 et présente un danger majeur pour l’environnement.
V. Remarques sur l’Etude d’impacts
- La phase travaux n’a pas été retenue (p.23) alors que l’étude d’impacts se doit d’étudier toutes les phases du projet. L’étude d’impacts du projet est donc non réglementaire.
- Le volet paysager de l’étude d’impacts est tout à fait insuffisant qui ne présente que le site après son réaménagement alors que la phase d’exploitation est prévue pour durer 20 ans et constitue la période pendant laquelle l’impact est le plus important. Le dossier masque donc le réel impact paysager du projet.
- Alors que nombre d’activités présentes sur le site sont retenues par le plan de protection de l’atmosphère de Grenoble dans le cadre d’un suivi des émissions diffuses de poussières (carrières, traitement de déchets du BTP, recyclage, enrobage, transformation du bois), le dossier n’indique pas de dispositif ou étude en matière de suivi des émissions de poussières. Le projet ne respecte donc pas le PPA de Grenoble.
- « Une visite du SDIS est prévue afin de valider » le bon dimensionnement des ouvrages de collecte des eaux incendie [p.104]. A ce stade, rien ne démontre que la sécurité incendie du projet est assurée alors même que le site a connu 5 incendies d’origine interne entre 2007 et 2015 (Etude des dangers, p. 24).
- Il est fait mention du « défrichement » d’un « bosquet relictuel » alors qu’aucun document dans le dossier n’apporte la preuve du dépôt d’une demande d’autorisation de défrichement, contrairement aux exigences de l’article R.512-4 du Code de l’environnement. Le pétitionnaire ne respecte donc pas la réglementation.
- Pollution des eaux souterraines :
- La nappe des alluvions de l’Isère à l’aval de Grenoble est présentée comme une nappe libre de « vulnérabilité importante ». Or, le niveau des plus hautes eaux dépasse le fond supposé des alvéoles les plus anciennes alors même que ces alvéoles ne sont pas aménagées en fond de façon à isoler les déchets de la nappe. Il est donc malheureusement logique que le suivi de la qualité des eaux par le réseau de piézomètres de contrôles mette en évidence un impact sur les eaux souterraines. Les piézomètres situés à l’aval de la décharge révèlent en effet des teneurs élevées en ammonium, sodium, conductivité, COT… autant de paramètres traceurs de l’impact d’une décharge sur les eaux souterraines.
- Les concentrations élevées dans les piézomètres au moment des crues sont expliquées comme une pollution de la nappe par l’Isère (concentrations élevées dans le piézomètre situé en amont de la décharge). Cette augmentation ne pourrait être due plutôt : à l’augmentation du volume de déchets baignant dans la nappe (remontée de la nappe) et à l’inversion du régime évoqué (nappe drainant l’Isère) modifiant le sens d’écoulement des eaux (le piézomètre situé en amont de la décharge devenant alors un piézomètre situé en aval, comme les autres) ? C’est bien la décharge qui pollue l’Isère et non l’inverse !
- Le dossier présente la création d’une décharge supplémentaire au-dessus d’une ancienne décharge comme ayant un « impact positif » sur la qualité des eaux souterraines. Comment est-ce que le fait d’ajouter du déchet sur du déchet pourrait-il améliorer cette qualité ? La mise en place dès à présent, et non sur 20 ans, d’une couverture étanche sur l’ancien site aurait été nettement plus efficace, en complément de mesures plus appropriées permettant d’isoler rapidement les déchets de la nappe souterraine.
- Alors que les eaux internes ruisselant sur la plateforme de compostage présentent systématiquement des analyses non conformes aux normes de rejets au moins depuis 2011 (date des plus anciennes analyses présentées), « une surverse existe » au niveau du bassin qui les collecte et « une partie des eaux rejoint le milieu naturel. Le volume correspondant des difficilement quantifiable. ». Comment l’exploitant peut-il présenter de telles non conformités à la réglementation nationale en vigueur ? Comment peut-il dans ces conditions prétendre à poursuivre une exploitation qui aurait dû cesser depuis longtemps déjà ?
Il apparaît urgent de fermer cette décharge et de prendre des mesures appropriées pour protéger la nappe de l’Isère, au lieu de poursuivre encore et toujours son remplissage.
- Les informations concernant la Trame Verte et Bleue (TVB) se basent sur une étude du Conseil Général de l’Isère datant de 2001. C’est d’autant plus regrettable que le Schéma Régional de Cohérence Environnementale (SRCE), qui a notamment pour objet les continuités écologiques, a été approuvé par la Région Rhône Alpes le 16/07/2014. Ce document, qui a pourtant plus de deux ans à présent, n’est pas même mentionné par l’étude. Or le SRCE identifie le secteur dans lequel se trouve le site comme présentant un « enjeux de maintien et/ou de restauration des liaisons entre grands ensembles naturels et agricoles. Le volet TVB de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- L’état initial ne fait référence à aucune activité en aval immédiat du site alors que la présence d’une pisciculture est mentionnée en page 4 de l’annexe G (note de caractérisation hydro-biologique du canal de Saint Quentin). Ce manquement est d’autant plus grave que les rejets des eaux de ruissellement de la décharge se font en amont de cette activité.
- Le rapport d’étude d’impacts volet patrimoine naturel joint en annexe est trop ancien et aurait nécessité une réelle mise à jour. En effet, la première page de l’étude réalisée par le bureau d’études Evinerude est datée de février 2012, ce qui remonte à près de 5 ans. Pourtant, on constate à la lecture du rapport que la totalité des cartes et figures réalisées par le bureau d’études datent de 2011 et, plus grave, qu’il en va de même pour les visites de terrain. Ces dernières ont eu lieu entre mai et septembre 2011, et remontent donc à plus de 5 ans. Dans l’étude d’impacts il est indiqué en page 85 qu’une demi-journée est venue compléter ces investigations en 2013, mais elle n’est même pas répertoriée dans le décompte réalisé sous le tableau, aucune conclusion ne semble avoir été tirée de ce passage et le rapport joint en annexe n’en fait aucune mention. Le volet faune/flore de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- La campagne d’odeurs date de 2011, comment comparer les résultats de cette campagnes au regard de l’activité actuelle étant donné que le dossier ne renseigne que sur les années 2013 et 2014 ? Le volet odeurs de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- Le dossier fait état de 200 camion / jour sans plus de détail. Ce bilan est minorant, le trafic présenté ne prenant pas en compte le trafic VL, ni le trafic lié aux travaux de création de casier (apport de matériels et matériaux), ni celui lié aux travaux de déplacement des plates-formes d’activités (mâchefer, compostage, bois, inertes du BTP). L’impact du projet sur le trafic routier est donc incomplet de même que l’analyse des nuisances liées au trafic en termes de bruit et de qualité de l’air.
VI. Remarques sur l’Etude des risques sanitaires (ERS)
- Le volet sanitaire de l’étude d’impacts présente de nombreux manquements : tout d’abord, il n’est pas conforme à la circulaire du 9 août 2013 relative à la démarche de prévention et de gestion des risques sanitaires des installations classées soumises à autorisation et au guide INERIS de 2013 sur l’Evaluation de l’état des milieux et des risques sanitaires. L’Interprétation de l’Etat des Milieux doit en effet permettre de qualifier le milieu dans lequel se trouve l’installation à étudier, de façon à évaluer l’impact réel, supplémentaire, du projet sur son milieu. Or cette étude est totalement absente du dossier. Non seulement aucune analyse n’a été réalisée pour évaluer la qualité de l’air, des sols, voire des végétaux, mais de plus l’étude présentée n’adopte pas la logique d’une démarche intégrée. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc non réglementaire.
- Alors que la décharge existante aurait dû donner lieu à des mesures sur sites, l’étude se contente bien souvent de données bibliographiques. Ce point est particulièrement problématique pour les poussières. En effet, l’étude se base sur des données bibliographiques relatives au déchargement d’ordures ménagères, en retenant qui plus est l’hypothèse basse. Etant donné les activités présentes sur le site, dont certaines sont particulièrement génératrices de poussières (plateforme de mâchefers, plateforme de déchets du BTP, broyage de bois), les données d’entrée de l’étude semblent extrêmement sous estimées (pas de prise en compte des activités de broyage, de stockage, de reprise lors du chargement, etc. sur les matériaux pulvérulents). Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- Alors que la décharge va rejeter des lixiviats dans le milieu aqueux, l’ERS n’a pas jugé nécessaire de retenir ce vecteur. Pourtant, des kilogrammes de métaux vont être rejetés annuellement dans ce milieu (9kg de chrome, 8kg d’arsenic, 56 kg de cuivre, etc.). Quel est l’impact du rejet de ces métaux lourds dans l’Isère, alors même qu’une pisciculture se situe à l’aval du site ?
- Pour les paramètres étudiés au regard des objectifs de la qualité de l’air, les concentrations présentées ne doivent pas être lues comme des concentrations mais comme un apport supplémentaire apporté aux concentrations déjà existantes. Ainsi, une contribution de 17% à la pollution ambiante est jugée comme « non significative » dans l’étude présentée. De même, pour certains paramètres, la décharge génère à elle seule des concentrations qui atteignent 50% de celles mesurées sur la station A7 Nord Isère déjà très fortement impactée par le trafic. La poursuite d’activité de la décharge est donc à proscrire et son arrêt améliorera sensiblement la qualité de l’air locale.
- Concernant le benzène, composé cancérigène avéré, les hypothèses de concentration retenues retiennent une valeur médiane (et non moyenne) de concentrations observées dans la bibliographie, sans donner plus d’explication. Pourquoi la valeur maximale (le double) n’a-t-elle pas été retenue ? Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- La station de traitement des lixiviats n’est pas considérée comme une source dans les émissions gazeuses. Pourtant, la présence de bassins est forcément une source d’évaporation et donc d’émissions. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- Des « erreurs » apparaissent au niveau des VTR présentées dans le tableau, tendant à présenter des VTR largement plus élevées que les valeurs réelles (exemple : facteur de 10 3 pour le benzo(a)pyrène, erreur pour le dichloroéthane, pour cadmium)… Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc malhonnête.
- Les concentrations estimées au niveau des points R1, R2 et R3 (p.59), c’est-à-dire chez les riverains les plus proches du site, dépassement largement les valeurs toxicologiques de référence (VTR) du benzène, substance hautement cancérigène. Le projet présente donc un risque majeur pour la santé des riverains.
- Malgré toutes ses lacunes, l’étude reconnaît que les substances émises conduisent à augmenter l’apparition de cancer sur les riverains. Comment accepter la poursuite pendant encore 20 ans d’un tel risque pour la population locale ? Conformément à l’article 5 de la Constitution française, le principe de précaution doit s’appliquer et le projet être refusé.
VII. Remarques sur l’Etude des dangers
- La décharge de Lély se situe à 5 km seulement du site SEVESO seuil haut Titanobel, spécialisé dans les explosifs, et fait partie de la zone susceptible d'être impactée par de dangereux effets de surpression. Le dossier se contente de dire que, « le PPRT Titanobel n’ayant à ce jour pas été approuvé, les activités industrielles voisines au site ne sont pas retenues comme sources d’agression dans le reste de l’étude ». Ce postulat n’est pas satisfaisant car il se base sur l’avancement d’une procédure pour juger de l’importance d’un risque et de son intérêt à être étudié. Il est urgent d’attendre l’approbation du plan de prévention des risques technologiquespour s’assurer de la compatibilité du projet Lély avec le site de Titanobel.
- Le risque sismique est étudié dans le cadre de l’étude de stabilité des digues (dossier technique, annexe G) mais non retenu comme source d’agression dans l’étude des dangers (p.15). Pourtant, l’effet de site (phénomène de liquéfaction des sols sableux saturés situés sur des horizons rocheux lors d’un séisme) est totalement ignoré. Or, ces phénomènes conduisent à une amplification des durées et des amplitudes des secousses. Les hypothèses retenues pour les études sont ainsi extrêmement minorantes et masquent les dangers réels du projet.
A suivre.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQ).
-
Décharge COVED-PAPREC à Roussas : AURA Environnement déclenche la riposte défense gibier de chasse et habitants !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
Grâce aux populations locales vers Roussas dans la Drôme :
AURA Environnement et le CPER
(Collectif de protection de l'Environnement vers Roussas) exigent
la fermeture définitive de l'immonde décharge COVED-PAPREC !
X, le plus proche voisin de la décharge COVED-PAPREC a multiplié, en vain, les recours pour ne faire face qu'au MEPRIS !!!
Alerté-es par les populations locales, depuis plus de 15 jours, les militant-es de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et AURA Environnement sillonnent les sentiers attenant l'immonde décharge Coved-Paprec qui défigure le patrimoine local de Roussas dans la Drôme depuis de trop nombreuses années.
AURA Environnement tire la sonnette d'alarme.
Que font les services de l'Etat contre les envols de plastiques de COVED-PAPREC sur les arbres...
....et les sols largement pollués où broûtent paisiblement chevreuils ou sangliers...
......avant d'aller boire dans les creux d'eaux de la voie forestière si chère à Didier de l'ONF ?
Que font d'ailleurs, les élu-es de la commune de Roussas, pour rappeler à COVED-PAPREC les bonnes règles de transport sur la voie publique lorsque les camions - encore - estampillés "COVED" déchargent en roulant, en partie, leurs odeurs, leurs feuilles et leurs branchages d'hiver, comme nous l'avons signalé à l'Unité de la Dréal 26...aujourd'hui 01/02/2017 !
Que font les élu-es de la Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan lorsque les productions locales, moteur d'une économie viticole moribonde, essaient d'innover en terme de respect de la qualité de vie comme cette cuvée AOC "Tentation de la Marquise" vinifiée par la famille BOUR dans le cadre d'un partenariat avec Ludovic ESTRAN, un jeune viticulteur de Roussas, qui cultive l'ensemble de ses terres en Agriculture biologique ! Qu'en pense l'INAO, d'ailleurs ?
A suivre.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement