Borde Matin
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Elle avait voté NON #SUEZ Roche-la-Molière. #Frapna votera OUI #Coderst26 POUR extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/02/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
Alors que la Frapna s'est déchaînée au CODERST42 contre
la décharge de SUEZ de Borde-Matin à Roche-la-Molière !
STOP A L'INJUSTICE !
Des torrents de boue se déversent aux Granges-Gontardes :
AURA Environnement demande à la FRAPNA Drôme Nature Environnement
et au MNLE de s'opposer au projet de décharge VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
lors du prochain CODERST26 !
AURA Environnement a déclenché l'opération "Rouge-Gorge" à Chatuzange-le-Goubet CONTRE le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA.
AURA Environnement a donc décidé d'interpeller la FRAPNA Drôme Nature Environnement et le MNLE pour qu'ils se déchaînent comme la FRAPNA l'a fait contre le projet d'extension de SUEZ à Borde-Matin à Roche-la-Molière dans la Loire.
AURA Environnement qui était également opposé à ce projet a réussi par ailleurs, à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) alors que....... la FRAPNA avait voté POUR au Coderst 69 !!!
Voici notre courrier à la FRAPNA et au MNLE !
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AURA Environnement Le 09/02/2020
Association loi 1901
Identification R.N.A : W033003439
Protection environnementale et de défense des animaux
7, rue du Creux de l’Enfer
63000 CLERMONT-FERRAND
06 40 29 68 72
Mail : aura-environnement@protonmail.com
Site : http://www.aura-environnement.com
A
FRAPNA Drôme Nature Environnement
38, rue de Verdun
26 000 VALENCE
et
MNLE-26-07
La Verne
26 800 MONTOISON
Objet :
Contestation Extension décharge VEOLIA Chatuzange-le-Goubet CODERST
MAIL + RAR
Camarades,
Le 03/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement a écrit au préfet de la Drôme pour lui dire qu’il s’opposait à cet ordre du jour du Coderst du 13/02/2020.
Le préfet de la Drôme nous a entendu. Le Coderst 26 n’examinera pas l’extension de la décharge de Veoila dans le Nord de la Drôme dans sa cession du 13/02/2020.
Nous combattrons avec toute notre dernière énergie ce projet ahurissant de décharge de 140 000 T à Chatuzange-le-Goubet dans un département déjà largement saturé en nombre de DND.
Le préfet et la Dreal-26 ne peuvent pas autoriser de sur-capacité par rapport à ce qui est prévu dans le PRGD pour la Drôme, soit 150 kt maximum pour l’ensemble des 2 projets de Chatuzange-le-Goubet et de Roussas/Les Granges-Gontardes.
Tout est écrit en page 398 du PRPGD adopté en décembre 2019 :
4.7.3.6 Prescriptivité et recommandations retenues par le Plan
« Compte tenu de cette situation d’excédent de capacité de stockage et de la difficulté à faire évoluer les projets et les installations existantes, le plan ne prévoit pas d’aller en dessous des maximas imposés par la règlementation en termes de capacité (1.1Mt en 2025), même si les besoins courants sont plus faibles.
Ceci afin de ne pas rendre encore plus difficile le respect des principes d’autonomie et de proximité.
Cette posture se justifie également par le fait que l’analyse de sensibilité montre que le passage de 2025 peut être délicat, que les capacités excédentaires (entre les besoins et les maxima) peuvent servir à des besoins périphériques, ou faciliter la gestion des déchets en situation exceptionnelle.
Afin de respecter le principe de proximité, le plan rend prescriptif par bassin de vie, c’est à- dire par département, les capacités maximales annuelles des installations de stockage de déchets non dangereux à partir de 2025. La somme des capacités par département respecte la capacité régionale maximale autorisée de 1,1 million de tonnes par an à partir de 2025 et jusqu’à l’échéance du PRPGD :
Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025, en Aura : 1 100 000 T.
Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025 dans le département de la Drôme : 300 000 tonnes.
200 000 T pour Donzère et 100 000 T pour Coved Roussas/Les Granges-Gontardes maximum en comptant les réquisitions, il n’y a donc plus de place pour le DAE de Chatuzange-le-Goubet.
Comment peut-on autoriser 140 000 T dans le Nord de la Drôme à Chatuzange-le-Goubet alors que les capacités autorisables sont largement saturées ?
Depuis le PRPGD, il n’y a donc plus de place pour une 3° décharge dans la Drôme mais aussi dans le respect de la loi de transition énergétique.
Nous espérons que la Frapna nous soutiendra au prochain Coderst alors qu’elle avait voté POUR la prolongation de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal (69) et que nous avons réussi à faire fermer en exerçant un recours au TA de Lyon contre l’APC de Mr le préfet du Rhône qui visait à poursuivre une prolongation de plus sans consultation des élus locaux et des riverains qui subissaient depuis des années les odeurs pestilentielles générées par cette immonde décharge.
Nous espérons que la Frapna et le MNLE-26 soutiendront les populations locales réunies autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) lors du prochain avis consultatif du CODERST qui devrait se prononcer prochainement sur l’extension de la décharge VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet alors que la FRAPNA avait voté CONTRE l’extension d’exploitation du site de Borde-Matin géré par Suez, cette fois-ci, au Coderst du 05 février 2018 dans la Loire (Source : http://www.activradio.com/le-coderst-donne-son-feu-vert-a-lextention-dexploitation-du-site-de-borde-matin-par-suez/) .
La Frapna n’avait pas hésité pour insister, lors de l’enquête publique (27/02/2017 au 29/03/2017) contre l’extension de la décharge Suez RV Borde Matin, sur : « un centre de stockage qui génère de nombreuses nuisances sur le plan écologique…. il serait temps de faire jouer la solidarité régionale…. Un grand centre de stockage pour la région est une aberration écologique…. ».
Afin de tenir compte des dispositions de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, nous comptons sur la Frapna Auvergne-Rhône-Alpes et le MNLE-26 pour que le projet présenté par ONYX- ARA VEOLIA ne dépasse pas 70 000 T/an s’il était présenté à l’ordre du jour du futur Coderst 26.
Préservons l’eau, l’air et nos surfaces agricoles naturelles à Chatuzange-le-Goubet. Nous ne voulons pas de réhausse du casier existant, la création d’un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l’autre côté de l’autoroute A 49 avec la construction d’un pont très coûteux pour les collectivités territoriales.
Nous contesterons le futur AP si celui-ci autorise ce projet inutile de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND) car il ne peut y avoir d’autre intérêt général que la réduction drastique des déchets.
Je vous joins le courrier adressé à Mr le préfet de la Drôme et à la Dreal.
Cordialement
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)
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GIROUETTE ? Eric Berlivet, maire de Roche la Molière, a voté pour le projet de Suez à la CSS 2016 en tant que Vice-Pdt SEM !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/02/2018
- Dans SUEZ Borde Matin à Roche-la-molière - Loire -
Eric BERLIVET, le maire de Roche-la-Molière,
FAVORABLE projet SUEZ de Borde Matin à la CSS 2016
en tant que vice-président Saint-Etienne Métropole mais
CONTRE lors rassemblement des anti devant sa mairie !
Les rouchons qui s'étaient rassemblés samedi devant la mairie de Roche-la-Molière répondant à l'appel de leur maire Eric BERLIVET contre le projet d'extension du centre d'enfouissement technique de sa commune porté par SUEZ, n'y comprennent plus rien.
En effet, lors de la CSS (Commission de suivi de sité) du 06/12/2016, BERLIVET Eric ne s'exprimant pas en tant que maire de Roche-la-Molière mais en tant que vice-président de Saint-Etienne Métropole s'est déclaré
"... à ce titre, favorable au projet - de SUEZ - dans le sens où il améliore la gestion environnementales et technique du site et la situation fiscale TGAP pour la collectivité....".
Le seul a avoir émis un avis défavorable a été le représentant de la FRAPNA Loire, notre camarade Jacky BORNE.
Pourquoi ce virage à gauche toute dans cet appel du maire Eric Berlivet, « contre la volonté de l’État d’autoriser la poursuite de l’exploitation du centre d’enfouissement de Borde-Matin jusqu’en 2053 » dans un rassemblement qui a mobilisé plus de 300 personnes dont les militant-es écolos-marxistes d'AURA Environnement qui étaient aux côté de la sénatrice marxiste de la Loire, Cécile CUKIERMAN près du maire LR de Saint-Etienne et président de Saint-Etienne Métropole, Gabriel PERDRIAU ?.
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Devenir site enfouissement déchets Borde Matin Roche-la-Molière : Gouvernement cloue le bec à député #Juanico
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/12/2017
- Dans Centre d'enfouissement Borde Matin à Roche-la-Molière
Alors que ce centre d'enfouissement existait
sous la gauche qui a contribué à son expansion
le député PS de la Loire Régis Juanico
se veut plus vert que vert et se fait clouer le bec
à l'assemblée nationale par le Gouvernement :
M. le président. La parole est à M. Régis Juanico, pour exposer sa question, no 47, relative au devenir du site d’enfouissement des déchets de Borde Matin à Roche-la-Molière.
M. Régis Juanico. Ma question s’adressait à M. le ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire. Elle porte sur le devenir du site d’enfouissement des déchets de Borde Matin, à Roche-la-Molière, dans la Loire. Le groupe exploitant, Suez, a déposé en avril dernier à la préfecture de la Loire un dossier de demande de prolongation d’autorisation d’exploitation du site jusqu’en 2051, soit vingt-cinq ans de plus que la durée actuellement autorisée. Les élus locaux, ainsi que les acteurs de la société civile, sont fortement mobilisés contre un tel projet. Ils considèrent, à juste titre, que les habitants de la commune ont suffisamment subi les nuisances liées à l’exploitation du site depuis 1972 : nuisances olfactives, trafic permanent de poids lourds ou encore pollution visuelle par grand vent.
Plus que la durée en elle-même, les élus, dont je fais partie, sont farouchement opposés au projet d’augmentation de la capacité de stockage du site. L’exploitant demande en effet une rehausse de ses casiers de stockage, ainsi qu’une extension géographique de ses installations, pour une capacité totale de stockage du site qui passerait de 5 355 000 tonnes déjà autorisées à 11 404 000 tonnes, avec une capacité de 500 000 tonnes annuelles au maximum, soit 300 000 tonnes par an en moyenne, jusqu’en 2051.
En doublant la capacité totale de stockage du site, dans une tendance baissière du volume de déchets enfouis annuellement dont on ne peut que se réjouir, il est aisé de comprendre que le site pourra être exploité plus longtemps : en l’occurrence, pendant la durée d’une génération humaine supplémentaire, pendant vingt-cinq ans. C’est bien de l’augmentation de la capacité de stockage totale du site, liée à la rehausse des casiers de stockage, ainsi qu’à son extension géographique, que découle l’importante durée de l’éventuelle prolongation de l’autorisation d’exploitation, et non l’inverse.
La question de la durée de l’autorisation d’exploitation n’est pas l’enjeu majeur, contrairement à ceux de la capacité de stockage et du volume de déchets enfouis annuellement. Au regard des orientations législatives nouvelles de réduction à la source de la quantité de déchets enfouis, les capacités de stockage actuelles semblent suffisantes et n’appelleraient donc pas à une extension. En effet, la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte et son décret d’application imposent une réduction des capacités de stockage de déchets autorisées dans les prochaines années.
Les capacités de stockage demandées par l’exploitant dans ce dossier sont exorbitantes au regard des capacités respectées en Auvergne-Rhône-Alpes : elles représentent entre un tiers et 50 % des capacités totales au niveau régional à l’horizon 2020 et 2025, selon les objectifs de la loi. Le département de la Loire et sept communes du secteur travaillent actuellement à l’élaboration d’un périmètre de protection et de mise en valeur des espaces agricoles et naturels périurbains – un PAEN – dont les objectifs semblent clairement incompatibles avec l’extension géographique des installations de l’exploitant, laquelle conduirait à une détérioration ou une destruction de l’espace envisagé. Pour toutes ces raisons, et parce que ce sujet revêt un enjeu majeur pour la population de Roche-la-Molière, commune de 10 000 habitants, je souhaite connaître la position du Gouvernement sur ce dossier, ainsi qu’un point d’avancement précis et un calendrier de décision actualisé.
M. le président. La parole est à M. le secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire.
M. Sébastien Lecornu, secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire. Monsieur le président, monsieur le député, permettez-moi d’excuser l’absence de Nicolas Hulot, ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire, qui m’a chargé de vous répondre. Votre question porte sur l’avenir de l’installation de stockage de déchets non dangereux située à Roche-la-Molière, dans votre département de la Loire. Je vais tenter de vous préciser où en est la procédure du point de vue du droit. Cette installation, exploitée par la société Suez, est actuellement autorisée à recevoir des déchets jusqu’en 2026. Comme vous l’avez rappelé, elle a effectivement fait l’objet d’une demande d’autorisation d’augmentation globale de capacités et de durée d’exploitation. Votre inquiétude sur cette augmentation de la capacité de stockage totale du site est, bien entendu, légitime.
Je tiens néanmoins à rappeler que la loi relative à la transition énergétique a fixé des objectifs ambitieux de diminution du stockage des déchets pour 2020 et 2025 et que le Plan climat, annoncé par Nicolas Hulot en juillet, a placé l’économie circulaire au cœur de notre feuille de route ministérielle. Concernant l’installation que vous citez, cette demande apparaît tout à fait compatible avec le récent plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux. Des discussions ont bien évidemment eu lieu entre les services de l’État et l’exploitant. L’instruction se poursuit à la fois au niveau national et au niveau régional, pour apporter une réponse à l’exploitant qui tienne évidemment compte de la trajectoire de diminution du stockage, fixée par la loi.
Ces discussions devraient se conclure au plus tard au premier trimestre 2018. Nous devons, collectivement, être responsables pour que ces objectifs soient tenus. Des efforts doivent donc être engagés, notamment par les exploitants de ces installations. Sachez que le plan régional de prévention et de gestion des déchets, déclinaison de la loi relative à la transition énergétique, est en cours d’élaboration. Il permettra d’orchestrer la diminution de la mise en décharge sur le territoire. L’ensemble du ministère reste à votre disposition pour veiller à l’application de la procédure dans le bon sens.
M. le président. La parole est à M. Régis Juanico.
M. Régis Juanico. Je ne peux pas me satisfaire de la réponse de M. le ministre. La loi exige une réduction des capacités de stockage des déchets autorisées dans les prochaines années. Or, si l’autorisation est donnée à l’exploitant, une commune de 10 000 habitants concentrera entre un tiers et 50 % des capacités totales de stockage de déchets pour l’ensemble de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes. J’en appelle au Gouvernement pour examiner à nouveau ce dossier, car cette commune a déjà fait beaucoup en termes de solidarité territoriale en matière de traitement des déchets. Nous devons étudier les solutions alternatives à l’enfouissement et voir, très concrètement, comment limiter la production des déchets à la source.
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CoDERST 69 du 15/12/2016 prolongation ISDND NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : FRAPNA 69 votera-t-elle pour 1 décharge ZERO Valorisation ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/12/2016
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Depuis qu'AURA Environnement a mis les pieds dans le plat, les débats font rage dans le landerneau lyonnais !
Alors que la FRAPNA 42 s'est opposée au CoDERST 42 à la décharge
de Borde-Matin dans la Loire qui incluait la valorisation....
La FRAPNA 69 votera-t-elle jeudi 15/12/2016 pour la prolongation
de la décharge archaïque ZERO Valorisation de Saint-Romain-en-Gal ?
AURA Environnement vient d'apprendre aujourd'hui qu'Emmanuel ADLER, le titulaire de la Frapna 69 (Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature. Le suppléant désigné par le préfet étant Pierre LAGAT) était "malade" et ne pouvait pas représenter cette association de défense de l'environnement au prochain CoDERST du 15/12/2016 à Lyon qui doit rendre son avis sur une énième prolongation de la décharge de Saint-Romain-en-Gal que ni le maire, ni les élu-es, ni les populations locales, ni les riverains qui ont alerté AURA Environnement ne veulent entendre parler !
Peut-être que ce sera Lydie Memosa (en charge des dossiers relatifs aux problématiques déchets et pollutions (air, sol, lumineuse, eaux et qui anime le réseau Sentinelles) qui prendra la défense des populations locales en votant "CONTRE" une énième prolongation de l'ISDND gérée par l'entreprise NICOLLIN.
Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, ce serait ahurissant de constater qu'elle serait en contradiction avec son collègue de la Loire, Jacky BORNE, qui, lui (après des échanges houleux et pénibles avec le secrétaire général de la préfecture de la Loire, selon certains témoins), a voté CONTRE le projet de valorisation porté par SUEZ sur le site de Borde-Matin à Roche-la-Molière et qui incluait.... de la valorisation !
Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, ce serait scandaleux de constater qu'elle voterait POUR une décharge d'un autre âge qui ne produit même pas de l'électricité avec le biogaz !
Car la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, c'est du brûlage du biogaz en torchère avec une TGAP associée à 40 €/T car il n'y a pas de valorisation !
Il suffit de se rendre, comme l'ont fait les militant-es d'AURA Environnement dans le quartier du "Melay" à Saint-Romain-en-Gal pour se rendre compte de ce que c'est une décharge archaïque avec des odeurs pestilentielles à couper le souffle qui défigurent le parc naturel régional du Pilat !
Alors que la DDPP 69 et l'UT de la Dréal 69 commencent à nous faire de la rétention de l'information, les populations locales de Saint-Romain-en-Gal épaulées par AURA Environnement maintiendront la "pression" jusqu'à la fermeture DEFINITIVE de cette décharge dont l'Etat ne cesse d'accorder prolongation sur prolongation au mépris de l'environnement !
Si la Frapna du Rhône votait POUR une énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, nous irions à la déflagration totale et nous en informerions massivement les écologistes (militants et sympathisants) de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes ! Et nous n'hésiterions pas à donner un "grand coup de pied" dans le panier des ex-larges subventions accordées par l'ex-présidence QUEYRANNE - au nom du contribuable rhônalpin - et dénoncées par le nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, qui ne cesse de nous sortir rapports de la chambre régionale des comptes sur rapports de la chambre régionale des comptes !
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Les ZADistes d'AURA Environnement anti-Usine à poubelles CSR vers Saint-Etienne s'expliquent dans la presse :
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/11/2016
- Dans Collectif CHUPA (Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon-Loire)
Les ZADistes du Collectif forézien C.H.U.P.A
(Collectif Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)
opposé-es au projet de Méga Usine à poubelles avec du CSR
s'installent définitivement dans le PAF Auvergnat/Rhône-Alpin !
Le Progrès de la Loire, édition du 08/11/2016
L'assemblée générale des écologistes anarcho-marxistes d'AURA Environnement et des populations riveraines indépendantes de tout esprit partisan concerné-es par le projet de Méga Usine à poubelles de la Loire et visant à produire au moins 55 000 T de l'infâme CSR (Combustible solide de récupération) sur un des 2 sites pressentis à Andrézieux-Bouthéon (15 km au nord de Saint-Etienne) se précise puisqu'elle est prévue le 31/12/2016, comme ils l'ont indiqué dans l'édition du quotidien "Le Progrès" de la Loire de cette semaine.
Le collectif C.H.U.P.A - dont le porte-parole désigné par les opposants est Marc-Claude de PORTEBANE - rassemble plus de 10 000 signatures (Internet : 3 268 signatures - Pétition papier : 7 996 signatures) est opposé au projet de méga Usine à poubelles sur pas moins de 2 sites potentiels voulus par le SYDEMER de Saint-Etienne dans le sud-Forez : la ZAIN Opéra parc international (La Fouillouse/Andrézieux-Bouthéon) et la ZA l'Orme/Les Sources (Veauche/Andrézieux-Bouthéon vers Saint-Bonnet-les-Oules).
Le collectif C.H.U.P.A, c'est aussi plusieurs dizaines de militant-es et de vastes soutiens issu-es de la société civile qui n'en ont jamais autant su sur la pseudo-valorisation de nos poubelles dans des projets coûteux pour les contribuables, désastreux pour l'environnement, contributeurs à la paranoïa des élu-es en France qui n'en ont que cure des citoyens de base mais qui ne reculent que devant des rapports de force avec les opposants à leurs délires de toute puissance comme à Sivens (Tarn) où, ils n'ont pas hésité la force gendarmesque CONTRE un pauvre garçon - Rémi FRAISSE - qui n'était qu'un résistant à cette saloperie de barrage ne servant qu'à servir la cause bourgeoise et capitaliste de la FNSEA et des gros propriétaires fonciers ui, EUX, n'hésitent pas à déverser leur violence contre l'Etat avec leurs remorques de fumiers divers et avariés !
Un peu comme dans les régimes fascistes, on peut se mettre potentiellement à la place de certains élus, élus par les "Mougeons - moutons/pigeons -" qui ont aussi plus de respect que les animaux martyrisés eux-aussi : "Si tu n'es pas d'accord pour dire OUI à nos projets mégalomaniaques, on te TUERA avec des armes totalement disproportionnées. On écrasera toute contestation. Si les grenades ne suffisent pas, nous enverrons les chars pour vous écraser dans des bains de sang car nous sommes certains d'être une nouvelle caste féodale anti-républicaine qui aime déguster les petits fours et boire dans de belles coupes de champagne reposant sur de belles toiles cirées comme des parquets aux ordres du beaucoup plus fort et moins brillant que le mauvais bois dont nous ne sommes que les VRP...." !!!
Mais ..... ATTENTION ... au réveil populaire comme aux USA avec la colère des masses populaires ignorées qui ont élu massivement le majestueux Donald TRUMP tandis que les dominants de la mondialisation, sinistres-ministres "collabos de la bourgeoisie de droite comme de gauche", si sûrs d'eux tout en le détestant du plus profond de leur âme - s'ils en ont une, d'ailleurs - n'avaient senti venir la poubelle populaire irrémédiable en plein boomerang pour ne pas dire en pleine poire, cette poire Guyot, par exemple, ou "Tu es Belle Hélène" qui ne pollue pas notre environnement et qui est aussi aussi source, non pas de conflits potentiels avec les défenseurs de Dame nature, mais de vitamines variées dont la B, la C, la provitamine A et la carotène, excellentes pour la forme physique et intellectuelle, surtout lorsqu'il s'agit d'être en permanence vigilants vers nos vergers que nous ne voulons pas pollués par des tas d'ordures !
Avant d'avoir été reconnu comme étant un interlocuteur fiable par le ministère de l'Environnement, le collectif C.H.U.P.A a dû multiplier les actions militantes, les contacts loyaux avec presque tous les élu-es des 600 000 habitants de ce territoire du Sud-Forez qui coupe pratiquement le département de "La Loire" en 2, les multiples tractages pratiquement tout seul, l'occupation du terrain médiatique permanent et ce, nonobstant la dictature de l'information que lui a opposé le SYDEMER puisque le collectif C.H.U.P.A a dû saisir plusieurs fois la CADA et aussi en faisant fi aux nombreuses "menaces" de certains élus qui ont même publiquement proposé de déchirer la pétition de la colère populaire du Sud-Forez en ne la désirant absolument pas dans leurs mairies !
Marc-Claude de PORTEBANE, président d'AURA Environnement :
- porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
- porte-parole du Collectif C.H.U.P.A reconnu comme interlocuteur fiable par
le ministère de l'Environnement et reçu par le directeur cab' préfet 42
- porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
- président de la commision "Déchets" à la Fapel22 (Bretagne, Côtes d'Armor).
Après la période estivale 2016, le collectif C.H.U.P.A a déclenché - dans le plus grand secret - l'opération "Comment Yukong déplaça les montagnes", en clair, appliquer cette doctrine de Mao tsé toung : "Prendre sa résolution, ne reculer devant aucun sacrifice, surmonter toutes les difficultés pour remporter la victoire".
Le représentant infaillible du collectif C.H.U.P.A a donc écrit au président du SYDEMER pour lui dire qu'il était au "parfum" des fouilles archéologiques réalisées par l'INRAP de Lyon sur la ZAIN Opéra parc international alors que personne n'en parle, que ce soit dans les medias ou chez les politiciens parce que là, le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, on en a marre et plus que marre qu'il aille fouiner, fouiner et encore fouiner avec le soutien des ouvrières et des ouvriers comme des intellectuels ; qu'il veuille s'installer lui et son collectif pendant des décennies à Andrézieux-Bouthéon et sa région ; qu'il soit réputé unanimement comme non-violent ; qu'il soit pour la réthorique pacifiste et contre la violence de certains casseurs qui viennent uniquement pour "casser du flic pour juste casser du flic" à longueurs de journées en buvant de la bière et en fumant des joints et qui, finalement, désservent les causes légitimes des populations locales vite abandonnées puis soudainement exposées aux mesures de rétorsion des potentats locaux ; qu'il ait le toupet d'avoir le soutien des populations locales et riveraines de toutes les causes de défense de l'environnement et de protection des animaux ; que par-dessus le marché qu'il veuille, maintenant, constituer une ZAD (Zone à défendre) calquée sur celle de Notre-Dame-des-Landes mais verrouillée, de surcroît, par la discipline marxiste et plus précisémment maoïste issue de la Ligne de masse qui n'a que pour unique objectif de "Servir le peuple" via "Le petit livre rouge" qui prône l'auto-éducation idéologique ; qu'il soit un militant "endurci" par plus de 30 ans de militantisme que ce soit à Greenpeace, chez les autonomes anti-THT de Basse-Normandie, chez les antinucléaires, chez les anti-CSR qui risquent d'être brûlées dans des chaudières utilisant de la Biomasse comme vers Pierrelate pour alimenter potentiellement le réseau chaleur de la Ferme aux crocodiles ; qu'il veuille aussi prendre la défense de ce boeuf retrouvé écartelé face au bitume à Rethel dans les Ardennes ; qu'il soit un opposant irréductible du Combustible Solide de Récupération (CSR) issu de plus de 155 000 T de nos DMR (Encombrants résiduels, autres déchets résiduels, OMr + refus CS) du Sud-Forez et qui risque d'être produit dans les prochaines années sur une des 2 zones vers Andrézieux-Bouthéon ; qu'il soit opposé au "Jus en excès" issu de la méthanisation des autres déchets organiques en se posant les bonnes questions comme quelle quantité de "jus", comment sera traité ce fameux "jus" et dans quelles conditions et que deviendront les résidus de combustion des CSR ; qu'il vienne de recevoir tout dernièrement un "appel de détresse" de Marc ACTIS, le président de l'association "Accueil & Qualité de vie" qui est opposé au projet de nouvelle prison dans sa commune de Saint-Bonnet-les-Oules voisine d'Andrézieux-Bouthéon et ce, non loin de la ZA l"Orme/Les Sources.... ici même où le projet de Méga Usine à poubelles du SYDEMER risque bien de produire et de commercialiser 55 000 T de cet infâme CSR (qui produit des dioxines et des furannes pendant la combustion) à des cimentiers comme Lafarge mais aussi des entreprises locales du département de la Loire, et de surcroît alimentaires surnommées par le SYDEMER comme "Partenaires" et présentées comme "Gros consommateurs", à l'exemple - entre autres - de LUSTUCRU FRAIS (Lorette), de NATRA ZAHOR FRANCE (fabrication de cacao et chocolat à Saint-Etienne), de la FROMAGERIE GUILLOTEAU (à Pélussin), des SALAISONS DE LA BRECHE (préparation industrielle de produits à base de viande à Saint-Just-Saint-Rambert) ou d'une autre marque totalement prestigieuse comme CANDIA (basée à La Talaudière), etc....
Car lorsque l'on voit les photos prises cette semaine par AURA Environnement et les militants du collectif "Greenbretagne" à Saint-Martin-des-Champs (Morlaix, Bretagne) et qui montrent clairement et de façon nette et précise comment sont stockées à l'air libre ces balles éventrées de CSR chez Guyot Industries (Guyot Environnemment) sur le site de la ZI de Kérolzec, il y a du souci à se faire quant aux pollutions potentielles de la petite rivière "La Pennelé" surtout lorsque l'on observe que les services de l'Etat semblent archi débordés comme l'ONEMA ou la Dréal dans le Finistère pour ne pas verbaliser ce qui avait déjà été dénoncé - également -, fin 2015, par l'association ROBIN des BOIS de Paris alors que les associations environnementales bretonnes comme "Bretagne vivante", "Eaux et Rivières de Bretagne" ne se préoccupent absolument pas des risques potentiels et inadmissibles sur la qualité de l'environnement dans le Finistère, pour ne parler que de ce département !!!
Le CSR, parlons-en mesdames et messieurs les élu-es ! On en VEUT pas de cette saloperie ni à Morlaix, ni vers Pierrelatte, ni vers Saint-Etienne, ni vers Paris, ni partout ailleurs !
Une visite "officielle" du site de Kérolzec est organisée le 07/12/2016 par l'exploitant "Guyot Environnement" avec les représentants de "Bretagne vivante" de Brest et de Morlaix, de l'association "Eaux et Rivières de Bretagne", d'autres associations mais pas d'AURA Environnement et de Robin des Bois.
Inutile de vous préciser que "Bretagne vivante" et "Eaux et Rivières de Bretagne" perçoivent de grosses subventions de la part de la Région Bretagne, ce que n'avait d'ailleurs pas hésiter à dénoncer le collectif "GreenBretagne" et "AURA Environnement" dans une pétition qui a fait un "carton" et qui a recueilli, pour l'instant, plus de 23 000 signatures depuis le 14/08/2016 : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-extension-usine-intolerable-cochons-landunvez/24312
Le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, a donc pris sa plume corrosive, le 28/09/2016, pour écrire au président du SYDEMER dont le siège est dans les locaux de Saint-Etienne Métropole (Loire, Région Auvergne/Rhône-alpes) en lui précisant 5 points importants pour ne pas dire cruciaux :
1- "....En effet, l’INRAP a effectivement conduit une fouille à l'endroit que nous lui avons indiqué (au SO, en face du nouveau stade « L’envol Stadium » mais plus au sud). Ce travail de Post-fouilles en est à ses débuts. L’INRAP a pu mettre en évidence une série d'occupations humaines à caractère rurales qui permettront à terme de reconstituer un historique de l'occupation humaine sur place sur une durée de près de 2000 ans de l'âge du Bronze à l'Antiquité"...
2- "Je demande que cet élément nouveau soit pris en considération, dans le cadre des études sur le choix du site, par le SYDEMER que vous présidez."
3- "J’en profite également pour vous demander, une nouvelle fois, les rapports du bureau d’études sur les comparaisons des différents sites retenus (L’Orme/Les Sources à Andrézieux-Bouthéon, Borde Matin à Roche-la-Molière, Z.A.I.N Opéra Parc International sur les communes d’Andrézieux-Bouthéon/La Fouillouse)."
4- "Ces documents sont indispensables pour que les associations et les riverains puissent se faire une vraie opinion des critères pris en compte sur le choix du site de la future « Usine à poubelles » Méthanisation/CSR."....
5- "Je vous rappelle votre devoir de transparence vis-à-vis des populations locales depuis la création du SYDEMER et sa démarche de concertation".
Avec les preuves accablantes que nous disposons sur le site de stockage de Kérolzec vers Morlaix, toutes les collectivités qui voudront produire du CSR ou qui envoient déjà vers les cimentiers qui ne courrent pas les rues cette infâmie créee par l'être humain devront s'attendre à trouver la RIPOSTE des défenseurs de la nature martyrisée !
Le stockage du CSR est mal géré en France ! Il doit être dénoncé et l'Ademe doit se pencher sur la question au lieu d'attribuer de colossales subventions au nom du contribuable à des firmes qui semblent n'avoir rien à "cirer" de l'environnement !
Une couche de peinture verte sur un camion, un logo, une enseigne, un mur d'entreprise ne semble être qu'une ignoble farce pour notre environnement proche qui récolte la misère - pas seulement dans le Finistère - d'endroits (pourtant classés comme ICPE - Installlations Classées pour la Protection de l'Environnement -) soit-disant protégés par des enquêtes publiques que nous n'avons de cesse de dénoncer comme étant des "parodies" car malheureusement, les élu-es de droite comme de gauche s'aventurent dangeureusement sur le chemin de la "Dictature" de type facilement "absolutiste" sans partage et sans limite, en ne voulant SURTOUT pas de concertation directe avec les populations locales et les riverains parce qu'elles/ils ont peur des réactions épidermiques des gens comme le camarade incontrôlable Marc-Claude de PORTEBANE qui préfère mourir debout que de mourir couché et qui "fout la merde" depuis plus de 30 ans contre ces élites méprisantes et leurs projets de porcheries industrielles, leurs projets de centre de vivisection, leurs projets d'usines à méthanisation ou leurs projets de méga usines à poubelles qui sont, la plupart du temps des "gouffres à pognon" pour les gloutons de l'empire capitaliste qui commence d'ailleurs par s'effriter devant la Résistance populaire, qu'elle soit anarcho-marxiste ou tout simplement apolitique et ce, afin de consolider de ce qu'il reste de cette République française que le nouveau président américain, Donald TRUMP accuse de "n'être plus la France" !
Paul TOP
Article paru dans l'Idiot provincial : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/blog/collectif-halte-usine-poubelles-vers-andrezieux-boutheon-loire/les-zadistes-d-aura-environnement-anti-usine-a-poubelles-csr-vers-saint-etienne-s-expliquent-dans-la-presse.html