cimentiers
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Projet de TMB/Incinération du SYCTOM @Romainville/Bobigny : AURA Environnement en soutien à Collectif ARIVEM !
- Par auraenvironnementparis
- Le 30/09/2017
- Dans AURA Environnement & Zéro Waste France
Les écolos d'AURA Environnement apportent leur soutien total au COLLECTIF de l’ARIVEM (PANTIN – BOBIGNY –ROMAINVILLE – NOISY LE SEC - MONTREUIL – LE PRE ST GERVAIS – BAGNOLET – BONDY – AUBERVILLIERS – LES LILAS - PARIS XIX) et à Zéro Waste France !
Ce week-end à Paris, vous pouvez rencontrer les écolos-marxistes d'AURA Environnement en échangeant avec eux sur les déchets dans le village Alternatiba - lors du festival des alternatives citoyennes -, place de Stalingrad à Paris 19°.
Le 18/09/2017, le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE, a rencontré Thibault TURCHET, le juriste de Zéro Waste France (avocat de formation et juriste, responsable des affaires juridiques en charge de la planification régionale) à son siège parisien, en bas de Montmartre.
Une stratégie a été mise en place parallèlement entre AURA Environnement et ZERO WASTE France visant à tracer une ligne rouge à ne pas dépasser pour les exploitations de décharges en France qui ne valorisent pas leurs déchets, qui ne respectent pas la loi TECV en ne donnant pas la priorité au recyclage et à la valorisation (comme c'est le cas actuellement avec le projet LCJ3 COVED aux Granges-Gontardes dans la Drôme que commencent à dénoncer le collectif CPERG des populations locales soutenues par AURA Environnement).
AURA Environnement tracera la ligne rouge et les précieuses informations seront ainsi collectées par Zéro Waste France qui les fera remonter - ensuite - lors des réunions officielles avec certains camarades-fonctionnaires du ministère de l'Ecologie et de l'ADEME.
AURA Environnement a demandé à notre camarade Thibault notre co-admission (avec Zéro Waste France) lors des séances de travail avec le ministère de l'Ecologie pour oeuvrer à un meilleur partage de l'information avec les acteurs nationaux de la valorisation des déchets.
AURA Environnement ne s'oppose pas qu'à certaines décharges mais aussi à de trop nombreuses installations de TMB (tri mécano-biologique) qui sont une ruine pour les collectivités territoriales et les contribuables avec, notamment leurs composts infâmes (souvent composé de métaux lourds et pulvérisés sur nos terres agricoles innocentes) ; à TOUTES les installations qui font de l'infâme CSR, (combustible solide de récupération, qui n'est que de l'incinération déguisée), et qui rejettent dioxines et métaux lourds tout en engorgeant fourneaux et cheminées des cimentiers français (Lafarge, Vicat....) qui en ont plus que marre de devoir supporter SEULS la charge de ses apports exponentiels de ces usines/CSR qui poussent comme des champignons allucinogènes ; à certains porteurs de projets qui veulent se faire de la "thune" facile sur des plateformes de soit-disant valorisation ou de stockage de mâchefers (le mâchefer est un déchet industriel spécial ou d'incinération qui est source de pollution lorsqu'il est en contact avec l'eau. Ce sont surtout des matériaux incombustibles obtenus en fin de four et utilisé en travaux publics pour, notamment, la construction de nouvelles routes), alors que certains de ces porteurs de projets ne sont pas des professionnels des déchets mais souvent des petits investisseurs privés qui ne se privent pas de faire de "juteux" gains, parce que leur conception capitaliste les portent à gagner des marchés publics sur le dos d'entreprises nationales qui, elles, investissent pour garantir les emplois de demain du camarade-éboueur à la camarade-secrétaire !
A noter : chez VEOLIA, par exemple, les actions positives se multiplient :
- la RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) intègre les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans les activités de l’entreprise et tient compte des interactions avec l’ensemble des parties-prenantes. Il s’agit donc de leur contribution positive au développement durable !
- 2 sites VEOLIA d’Ile-de France ont accueilli ces derniers jours des visites d’étudiants de l’enseignement supérieur : le centre de tri des déchets de Nanterre et l’usine de production d’eau potable de Neuilly-sur-Marne.
S"il y a des écolos-boboïstes qui ont de nombreux reproches à faire à AURA Environnement, nos camarades ouvrièr-es et salarié-es savent qu'ils pourront TOUJOURS compter sur NOTRE défense de l'ensemble de nos entreprises françaises, parce que NOUS, ici, nous sommes d'abord Marxistes et que nous sommes des patriotes également. Et ce sont les masses populaires qui font rentrer du pognon dans les entreprises spécialisées dans les Déchets. Une grève gigantesque des éboueurs comme à Saint-Etienne dans la Loire, comme l'an passé, pour l'Euro 2016 et c'était toute une ville qui était paralysée. Nos CAMARADES du peuple de base avec qui nous sommes en contact en permanence nous disent qu'ils aimeraient voir TOUS les jours des défenseurs de l'environnement comme nous, parce qu'entre EUX et Nous, il y a des valeurs d'ordre premier comme le Partage, la Considération, l'Union, la Fidèlité, des valeurs.... d'inspiration empruntées à Quo Vadis. C'est pour cela que nous pensons que notre Comité central a suivi la bonne et juste voie : celle de l'inspiration écolo-marxiste, où la défense des animaux et de l'environnement est calquée sur la discipline "garde rouge-antispéciste" (Garde-rouge, qui s'inspire du Petit livre rouge : "Au point de vue de l'organisation, il faut appliquer avec rigueur le principe de la vie démocratique sous une direction centralisée. Les organismes supérieurs doivent bien connaître la situation dans les organismes inférieurs et la vie des masses, afin d'avoir une base objective pour une direction juste". (L'Elimination des conceptions erronées dans le Parti. Décembre 1929. Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome I) !
Ainsi, le SYCTOM (agence métropolitaine des déchets ménagers, Paris) organisait jeudi 21/09/2017 son premier atelier portant sur le "gisement des déchets" qui sont acheminés sur son centre de Romainville/Bobigny.
Voici une petite synthèse de cette réunion avec un public inexistant et totalement snobée par nos élus (hormis l'élue en charge des déchets pour Est Ensemble), où les associations ont ferraillé avec les porteurs du projet de TMB/Incinération .
Augmentation du nombre de villes qui enverraient leurs déchets chez nous
Les villes qui envoient leurs déchets au centre du SYCTOM de Romainville/Bobigny constituent "le bassin versant" (autour de 400.000 tonnes).
Ce bassin versant est déjà très vaste (une partie de la ville de Paris et nombre de communes du 93), mais le SYCTOM prévoit dans son projet de l'étendre de façon significative.
Le SYCTOM veut sortir de toute logique de mutualisation des capacités de traitement existante à l'échelle de notre région qui est pourtant en surcapacité de traitement
A l'échelle de l'ensemble du territoire du SYCTOM, plus de 130.000 tonnes de déchets sont incinérés dans des usines qui ne lui appartiennent pas, situées en Ile-de-France.
La volonté politique du SYCTOM est de constituer sa propre capacité à incinérer ces 130.000 tonnes à Romainville/Bobigny.
Il requalifie cette mutualisation francilienne actuelle comme étant une "sous-capacité de traitement sur son bassin versant" afin de justifier son projet de construire sa propre usine au milieu de celles déjà existantes chez ses voisins proches.
Les incinérateurs situés donc près de chez nous qui ne recevraient plus ces 130.000 tonnes devraient par conséquent chercher des déchets à brûler ailleurs, bien au delà de l'Ile-de-France.
Un pourcentage d'augmentation de la population contestable
Le SYCTOM justifie également son besoin d'une nouvelle usine sur l'argumentaire d'une augmentation de la population de 0,32 % par an (le SYCTOM a encore gonflé ce chiffre lors de sa dernière présentation).
Or cette donnée de l'INSEE se rapporte à l'ensemble de l'Ile-de-France et se réduit à 0,20 % par an pour la seule population des 5 départements couverts par le SYCTOM.
A l'horizon 2031, cet écart représente 121.254 personnes, soit 31.000 tonnes de trop dans les projections du SYCTOM.
Le SYCTOM s'exonèrerait du respect de la loi sur la transition énergétique (LTECV)
Le SYCTOM refuse d'intégrer dans son dossier de programmation de son usine les objectifs de recyclage de 55% en 2020 et de 65% en 2025, tel qu'inscrit dans la loi.
Alors que la LTECV précise que ces objectifs ont une portée locale, le SYCTOM invoque pour sa part qu'il s'agit de seuils à atteindre à l'échelle nationale, à comprendre que certaines régions ou territoires pourraient être en deçà de ces seuils et d'autres au-dessus.
Les chiffres officiels du SYCTOM indiquent que sur son territoire, la poubelle en mélange destinée normalement aux non recyclables contient 42,6 % de déchets pour lesquels une consigne de tri existe, soit un gâchis considérable.
Le pourcentage de collectes sélectives n'est que de 13,4 % avec un taux de captage de 30,2 %.
Une mauvaise note donc également sur la qualité du tri pour la faible part qu'il représente.
Ces résultats actuels extrêmement mauvais indiquent que la marge de progression est énorme.
En atteignant seulement la moitié des objectifs de la loi LETCV sur cette partie de l'Ile-de-France, l'idée même de ce projet d'usine serait inenvisageable, d'où cette volonté du SYCTOM de s'en exonérer.
Rappelons que le SYCTOM représente à peu près 10% des déchets produits dans toute la France et que l'Ile-de-France n'a pas de bons résultats sur les taux de recyclages atteints, en grande partie du fait du territoire du SYCTOM qui a des résultats catastrophiques.
Le devenir des mâchefers, un sujet embarrassant
Le projet du SYCTOM d'un incinérateur, notamment à Romainville/Bobigny, soulève la question du devenir des mâchefers qui ont récemment fait l'objet de plusieurs articles de presse, soit du fait des grandes difficultés d'exutoire de ces matériaux potentiellement polluants dont plus personne ne veut, mais également du fait d'une décharge sauvage sur des terres agricoles de Seine-et-Marne dont une partie des mâchefers entreposés illégalement proviennent officiellement de l'incinérateur du SYCTOM d'Ivry-sur-Seine.
Le SYCTOM affirme que tous ses mâchefers sont valorisés ce qui est contredit par cette triste expérience.
A comprendre que le SYCTOM paie (très cher) pour que ses mâchefers soient "valorisés", sans autre traçabilité fiable, sachant que ce terme ne veut rien dire.
Chantal LEVEQUE & MC de PORTEBANE
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Inauguration centre de tri Généris #3 à Ploufragan : Jean-Yves Le Drian est-il aveugle ou borgne pour Morlaix ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/11/2016
- Dans Halte stockage CSR Guyot Environnement vers Morlaix
Alors que la nouvelle vitrine de Kerval Centre-Armor
le centre de tri Généris #3 était inauguré à Ploufragan
dans les Côtes d'Armor en présence de Jean-Yves Le Drian :
les alentours du centre de stockage de CSR de Guyot Environnement
étaient "mitraillés" de photos par AURA Environnement vers Morlaix !
En haut en blanc, le centre de stockage de balles de CSR (issues de nos poubelles) de Guyot Environnement vers Morlaix, en dessous, un petit ru rougeâtre (flêche rouges) se dirige directement vers la rivière "La Pennélé" ! Toute la zone est marécageuse, on s'enfonce entre 40 et 60 cm de profondeur voire plus. Le sol est gorgé de produits aqueux et les odeurs sont pestilentielles.
Entourés de nombreux gardes-du-corps et une flopée de RG, l'inapprochable ministre de la Défense et président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, est venu inaugurer le centre de tri sélectif Généris #3 exploité par Suez à Ploufragan où plus de 17 800 T de déchets (journaux, revues, magazines, cartons, bouteilles plastiques claires, briques alimentaires, pots de yaourt, aluminium) sont triés.
Ce sont la plupart de ces élus présents hier avec Jean-Yves Le Drian lors de l'inauguration du centre de tri Généris #3 à Ploufragan qui ont décidé d'octroyer plus de 20 millions d'euros à Guyot Environnement pour la future Unité de tri-valorisation des Châtelets (plus de 330 000 € de frais financiers/an pour les études, le bâtiment VRD, le process de tri et séparation hors plateforme et cabine, plateforme, cabine, équipements mobiles - si besoin -) ! Qu'en pense la Chambre régionale des comptes ? Est-il normal d'avoir autant de frais financiers ?
"Trier pour payer moins cher" vers Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, "Souci de sensibilisation et de pédagogie" ailleurs en France, alors que la pollution des sols vers le centre de stockage de Guyot Environnement sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère risque de coûter une petite fortune. L'Etat semble laisser pourrir la situation. Personne n'en parle, même pas la presse locale. Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!
Généris #3 est un site exemplaire vanté par le syndicat Kerval Centre Armor qui en fait sa vitrine en terme de communication. #3 car ce site en est à sa 3° modernisation (2006, 2013, 2016). Propriétaire : Kerval Centre Armor. Création : 2001. Capacité nominale : 38 000 T. 17 833 T de déchets en 2015 pour Généris #3 sur un territoire de 350 000 habitants, comprenant la zone centrale des Côtes d'Armor, allant de Saint-Brieuc à Binic, Loudéac et Lamballe. Exploitant : Suez Environnement.
Pendant que les élu-es de la région faisaient des risettes au président Le Drian, nos camarades d'AURA Environnement pataugeaient dans la boue aux abords du centre de stockage des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) - retrouvées encore une fois éventrées sur le site de Saint-Martin-des-Champs (Morlaix) et plus particulièrement en remontant le cours d'eau de la petite rivière martyr "La Pennelé" !
AURA Environnement a alerté déjà les services de l'Etat, mais rien y fait. L'Etat laisse faire ! L'Etat nous cache la vérité !
....Pendant ce temps-là, en dessous du centre de stockage de CSR vers Morlaix, le jus couleur tomate s'écoule, dans les sols puis direction la rivière "La Pennelé" !!!!
Dans un premier temps, AURA Environnement demandait à un huissier de la région du Finistère Nord de constater l'état de ces balles de CSR éventrées et laissées à l'air libre qui dégagent des odeurs, puis alertait la préfecture de Bretagne, l'ONEMA et le DDTM du Finistère !
Le 15/11/2016, Serge LE DAFNIET (DDTM 29, service Eau Biodiversité, responsable du pôle police de l'eau), nous répondait que "Le dossier est en cours de traitement par le service installations classées, une visite a déjà été effectuée. Compte-tenu de la nature des produits, et de la configuration des lieux, il n'y a pas de risque de pollution de l'eau".
Question à la DDTM 29 : à quoi sert ce tuyau dans le lit de la rivière La Pennélé ?
Or, ce week-end, nos camarades d'AURA Environnement ont enfilé leurs bottes et effectué une visite des alentours de ce centre de stockage géré par Guyot Environnement, non pas uniquement par la route goudronnée qui rejoint Kérolzec, le château de Bagatelle ou la commune de Saint-Sève.
Les sentinelles d'AURA Environnement sont allées pateauger dans les terrains mouvants de la petite rivière "La Pennélé", en passant non loin du Moulin de la fontaine blanche.
Les petits poissons de la rivière "La Pennélé" vont certainement très apprécier de gober du "ketchup" issu des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) éventrées pour la pluart de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs sur le site de Kérolzec. Les CSR sont des déchets solides (bois, plastiques, papiers, cartons, tissus... issus des déchets industriels banals (DIB), des refus de tri en collecte sélective, des déchets non-fermentescibles extraits des unités de tri mécano-biologique (TMB) ou encore des déchets collectés par certaines filières de responsabilité élargie du producteur (REP)...) broyés afin d'être consumés dans des installations de co-incinération, et plus particulièrement les cimentiers qui font la pluie et le beau temps. En France, les 3 cimentiers s'entendent pour faire casquer au producteur le minimum afin que cette option soit moins chère que l'enfouissement) !!! Cette somme n'a bien évidemment rien à voir avec la soit-disante valeur énergétique de ce produit infâme qui en se consumant dégagé des dioxines et des furannes !!!!
Et là : stupeur ! Des petits ruisselets rougeâtres s'évacuent de ce centre de stockage de Saint-Martin-des-Champs géré par Guyot Environnement, la même entreprise qui a gagné le marché de fabrication de CSR sur la zone des Châtelets....grâce aux élu-es de Kerval Centre Armor, non-loin du centre de tri Généris #3 inauguré hier après-midi par Jean-Yves Le Drian !
Non seulement l'eau qui se dégage vers la rivière "La Pennelé" est rouge à souhait, mais en plus, de fortes odeurs pestilentielles se dégagent dans les environs de ce site de Kérolzec.
L'ONEMA est-elle allé, là où les sentinelles d'AURA Environnement se sont rendues alors que les associations environnementales locales comme "Bretagne vivante" ou "Eaux et rivières en Bretagne" ne font absolument aucune visite. Tout juste se contentent-ils de se renvoyer les liens de notre site internet d'AURA Environnement.
Quand est-ce que la région Bretagne va cesser d'alimenter en subventions ces associations qui doivent avoir de sacrés charges d'exploitation pour ne pas venir nous épauler sur le terrain ?
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour défendre cette charmante petite rivière innocente "La Pennélé". Mais que sont donc les CSR ? Faute de définition claire, ils constituent un combustible peu connu et réduit à 3 critères qualitatifs : leur pouvoir calorifique et leur teneur en chlore et en mercure !!!! Allo l'Ademe Bretagne ! Allo Morlaix Communauté ! Allo Gilbert PLASSART ! Allo Bretagne Vivante ! Nous attendons fissa votre avis car les petits poissons ont soif d'eau pure !!!!
Que font les associations de pèche, regroupées en AAPPMA, comme celle de la région de Morlaix qui n'a pas hésité à faire du bon travail en faisant appel à des bénévoles pour le nettoyage de la rivière "La Penzé" et dont le bureau se compose de la sorte :
- Président : Jean-Yves MOAL
- Vice-président : Jean-Paul CHARLES
- Secrétaire : Gilles APPERE
- Trésorier : Henri-Noël CHOLET
Combien de temps la petite rivière "La Pennelé" devra être la martyr de Morlaix ?
Depuis Octobre 2015 rien ne bouge !
AURA Environnement appelle à une mobilisation générale
à Saint-Martin-des-Champs pour dénoncer le laxisme de l'Etat !
Tandis que la rivière "La Pennélé" déguste un max, les balles de CSR du centre de stockage de Guyot Environnement - pourtant si bien envelopées et ficelées par Comdec Paal - éclatent au nez et à la barbe des services de l'Etat, des élus, des collectivités, des associations "écologiques" régionales et locales - trop locales d'ailleurs -, des associations de pêcheurs !!!
Que font les RG pour remonter l'information à Le Drian ? Ils recueillent des infos sur les militants de la cause environnementale ? Qu'en pensent les élu-es du département voisin des Côtes d'Armor et plus précisément de Kerval Centre-Armor qui verseront 23 millions d'euros à Guyot Environnement à Ploufragan dans les années à venir ?
Contactée par AURA Environnement, l'entreprise GUYOT Environnement nous a indiqué que les eaux étaient ferrugineuses (d'où la couleur rougeâtre) et que cela était dû au fait que le site actuel était assis sur une ancienne carrière.
El Maximo Paul TOP