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Décharge SUEZ à Gueltas : les PV des CSS confirment les propos d'AURA Environnement !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/10/2023
- Dans STOP au projet de nouvelle décharge de SUEZ à GUELTAS après 2027 !
La direction de Suez RV Ouest reconnaît que
14 plaintes ont été recensées sur le site de Gueltas
dont 3 evènements odorants (H2S) !
Dans le projet de PV de la CSS (Commission de suivi de site) du 05/06/2023 concernant cette décharge de Gueltas dans le Morbihan en Bretagne, on nous apprend que "3 évènements de type H2S ont été recensés en 2022".
Alors que l'on voudrait nous faire croire qu'il n'y aurait pas d'odeurs à Gueltas, la direction de Suez RV Ouest a indiqué que 14 plaintes ont été recensées sur le site de Gueltas, dont 3 évènements odorants (H2S).
Le H2S (Hydrogène sulfuré) n'est pas de l'eau de cologne pour se parfumer mais une saloperie de gaz incolore, composant naturel du pétrole, à odeur caractéristique d'oeufs pourris. Le H2S est un gaz toxique qui pénètre par les voies respiratoires. Compte tenu de son caractère insidieux, l'exposition à ce gaz revêt souvent un caractère accidentel qui peut être fatal ! De plus, ce gaz est susceptible de former avec l'air une atmosphère explosible. Le risque d'incendie est élevé en présence d'une source de chaleur, la température d'auto-inflammation étant de 250 °. Les salariés de SUEZ encourent donc des risques mais, aussi, très certainement les populations locales de Gueltas. D'où l'importance d'utiliser des détecteurs de gaz fixes ou portatifs qui permettent d'avertir les salariés lorsque les seuils d'alerte sont atteints. En cas de fuite, il est préconnisé d'utiliser un masque de protection respiratoire isolant ! (Souces réglementaires : articles R. 4222-10 et suivants concernant les locaux à pollution spécifique, articles R. 4412-1 et suivants sur la prévention des risques chimiques + recommandations CNAM R. 420) !
Ainsi, on apprends que Mme la sous-préfète de Pontivy-Ploërmel a demandé aux dirigeants de SUEZ "si des jurys de nez ont été constitués pour objectiver les nuisances". Ce à quoi la direction de SUEZ a répondu par la négative !
Pourquoi aucun jury du nez à Gueltas, alors que SUEZ s'est engagé en 2021 d'en mettre un en place concernant la décharge de Retzwiller (aire d'attraction de Mulhouse). En effet, des volontaires sont recrutés, parmi les riverains, pour les former à la détection des odeurs. L'objectif étant d'avoir un jury de nez capable de donner l'alerte au plus vite en cas d'incident.
En effet, rebaptisé "Le village qui pue" en 2018 par ses habitants, Retzwiller (Haut-Rhin) doit composer avec sa décharge d'enfouissement et ses saloperies de mauvaises odeurs. (Source : France 3 Grand Est) !
Nous attendons donc que Ouest France nous donne plus d'informations car, en 2022, on était pas du tout informé-es ! Nous avons juste droit à une charge totale contre AURA Environnement soutenue par les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy, parce que nous dérangeons : https://www.ouest-france.fr/bretagne/gueltas-56920/la-maire-de-gueltas-en-colere-contre-une-tractation-denigrant-le-projet-dincinerateur-de-suez-89730aba-607f-11ee-8dd6-487677f72183 ! Comme si c'était pratiquement un "crime" d'être des opposants de cette décharge de Gueltas qui a connu nombre de manifestations, de mécontentements des populations riveraines, d'action au tribunal administratif : https://abp.bzh/dechets-toujours-plus-a-gueltas-25182
Nous nous sommes déjà opposé-es à l'extension de la décharge de SUEZ à Roche-la-Molière dans la Loire et nous avons été massivement soutenu-es par les populations locales !
Nous avons fait fermer DEFINITIVEMENT la prolongation de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône) au tribunal administratif de Lyon.
Il n'y aura pas d'après 2027, à Gueltas, dans le Morbihan.
Les medias nationaux sont déjà à notre écoute !
Notre pétition "cartonne" sur internet : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832 , ainsi qu'en version papier que nos 888 sentinelles de l'environnement bretonnes font signer dans les 4 départements bretons, tout simplement parce que nous disons la Vérité !
Chez nous, nous sommes disciplinés et nous n'allons jamais contre l'Etat ! A Gueltas, l'ultra gauche d'AURA Environnement a sifflé la fin de la récréation ! Le Sentier lumineux des forces écolos-marxistes est en marche ! Nous sommes toujpurs dans le secret le plus absolu ! Nous avançons comme nos camarades les loups ou les ours que nous adorons !
NE MONTREZ PAS PUBLIQUEMENT VOTRE OPPOSITION - POUR L'INSTANT - !
A Gueltas, nous avons demandé à nos camarades de ne rien dire, ne pas se montrer avec des pancartes ou autres, d'être comme le Sentier lumineux, dans le silence le plus total ! Nous ne sommes pas partisan-es de la contre-réaction bourgeoise intempestive ! Le secret doit TOUJOURS être gardé dans toute stratégie ! Economisons nos forces pour les Justes du TA de Rennes !
Certes, nous avons dit aujourd'hui au journaliste de Ouest France que nous aimerions bien participer à un débat sur l'avenir de cette décharge de Gueltas avec les élu-es et les dirigeants de SUEZ RV & Ouest. Mais, c'est tout-tout !
CAR, ca commence par bien faire ce genre de décharge à "l'ancienne" ! Il semblerait qu'il y a bien qu'à Gueltas où l'on soit potentiellement contents de cette décharge de SUEZ !
En Seine-et-Marne, notre camarade le maire de Trilport en a plus que marre de la décharge CAPOULADE-SUEZ d'Isles-les-Meldeuses ! Lui et son conseil municipal ont lancé une pétition redoutable : http://non-aux-210-camions.org/petition/ !
Partout, en France, les français en ont marre des décharges et surtout les populations locales !
Ainsi, lors de la CSS du 11/07/2022, nous apprenons que notre camarade Clotilde FORTIN, chargée de mission déchets à la Région Bretagne s'alarmait sur l'avenir de cette décharge de Gueltas : "... dans le cadre du plan régional adopté il y a 2 ans, la réglementation impose des limites de stockage qui atteindront rapidement 180 000 T pour la région Bretagne, ce qui interrogera après 2027" !
En effet, l'arrêté préfectoral de la décharge de Gueltas expire en.... 2027 pour la partie stockage !
Il n'y a jamais eu de points de rejet en milieu naturel, voudrait-on nous faire croire ?
Or, dans cette CSS du 05/06/2023, des rejets ponctuels ont été reconnus par SUEZ : "REJET N° 1 : dépassement sur les HCT en novembre...." et "REJET N° 5 : 3 dépassements en couleur vraie (mars et novembre) et en MES (mars), du fait des très faibles niveaux des flux".!
A lire le journal "Ouest France", nous mentirions !
Alors que les pas cools du tout de ces saloperies de HCT (Hydrocarbures totaux) - pétrole brut ou raffiné, kérosène, essences, fuel, gasoil, lubrifiants, huiles à moteurs - peuvent être d'origine naturelle ou synthétique. L'analyse des hydrocarbures fait partie des paramètres de contrôle de différents déchets dans l'environnement car leur présence peut être un indicateur d'une pollution anthropique et présenter une certaine toxicité pour l'écosystème, l'homme et nos camarades animaux !
N'oublions pas que nous sommes antispécistes très attaché-es à la cause animale qui nous est particulièrement très chère !
Nous espérons que les dépassements en couleur vraie n'étaient pas "orangeâtres" ! D'ailleurs, on ne nous dit pas de quelle couleur étaient-ils ? Allô Halloween, bientôt les enfants de Gueltas viendront sonner à votre porte pour réclamer des bonbons à l'heure de votre feuileton préféré et des décorations un peu kitch !
Et on ne vous donnera pas trop de détails sur les particules fines "des trop mimies" MES (matières en suspensions). Leur effet néfaste est mécanique, par formation de sédiments et d'un écran empêchant la bonne pénétration de la lumière d'une part (réduction de la photosynthèse), ainsi que par colmatage des branchies des poissons d'autre part. Leur effet est par ailleurs chimique par constitution d'une réserve de pollution potentielle dans les sédiments !
Nous attendons les expertises réalisées sur les étangs et les 22 ha de zones humides de Branguily !!!
Par ailleurs, les échanges, lors de ces CSS (2021 - 2022 - 2023 -), ont été particulièrement houleux puisque portés par notre camarade JP GUIDEVAY, de l'association Eaux et Rivières de Bretagne !
Exemple : "Mr GUIDEVAY a constaté une augmentation des déchets en démollition en 2020" ; "Mr GUIDEVAY s'étonne de l'importance de la production de biométhane, non souhaitée à l'origine du projet" ; "Mr GUIDEVAY déplore les problèmes qui en résultent, la matière organique attirant les mouettes et créant des nuisances olfactives" ; "Mr GUIDEVAY demande si le centre de Gueltas connaît des fuites de méthane" ; "Mr GUIDEVAY s'enquiert de l'arrêt définitif du TMB" ; "Mr GUIDEVAY revient sur le dépassement du tonnage autorisé" ; "Mr GUIDEVAY relève une quantité importante de déchets en provenance du Finistère et des Côtes d'Armor. Il s'enquiert d'un plan régional devant remplacer les plans départementaux" ; " Mr GUIDEVAY observe que les usines CSR ne sont pas anodines non plus en rejets gazeux" ; "Mr GUIDEVAY s'enquiert de précisions sur les dépassements de PH" ... !!!
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Membre de l'espace collaboratif Plateforme d'échanges - Plan régional de prévention et de gestion des déchets - à la Région Bretagne à Rennes
Porte-parole du collectif GreenBretagne
Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
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Décharge SUEZ #Gueltas : cet étrange rapport du 06/06/2023 de l'UD Dreal de Lorient !
- Par auraenvironnementparis
- Le 18/09/2023
- Dans STOP au projet de nouvelle décharge de SUEZ à GUELTAS après 2027 !
Pourquoi les ruisseaux proches des étangs
en face de la décharge SUEZ à Gueltas sont pollués
alors que le PZ1 est ras le sol au bord d'un étang ?
Flèche bleu : le petit ruisseau pollué qui va aux étangs de Branguily !
Flèche rouge : juste en face, la décharge de SUEZ de Gueltas !
Ce rapport de l'UD (unité départementale) de la Dreal du Morbihan - basée 34, rue Jules Legrand à Lorient - en date du 06/06/2023 et adressé à - SUEZ RV Ouest, rue de la Terre Adélie à Saint-Grégoire - faisait suite à une inspection qualifiée d'action "coup de poing" par l'inspection des installations classées du Morbihan.
En effet, le 03/05/2023, l'UD 56 se présentait à la décharge SUEZ de Gueltas soumise à la directive IED - n° 2010/75/UE relative aux émissions industrielles qui a pour objectif de parvenir à un niveau élevé de protection de l'environnement grâce à une prévention et à une réduction intégrées de la pollution proenant d'un large éventail d'activités industrielles, comme c'est notamment le cas ici - , car, elle visait à s'assurer que la surveillance des eaux souterraines est exercée conformément aux prescriptions qui l'encadrent afin de garantir l'absence d'impact de l'activité sur ces dernières.
Et ce ne sont pas les élu-es de Pontivy Communauté dont la commune de Gueltas qui vont vous informer - via leur site internet ou leur page facebook - sur ce qui se passe à l'intérieur et à l'extérieur de cette décharge de SUEZ RV Ouest qui bénéficie d'un AP (arrêté préfectoral) en date du 20/11/2013, soumis à autorisation, et bien planquée dans la forêt de Branguily, où l'air est très souvent irrespirable, au secours mouettes, goëlands, espèces protégées ou non, prière de Saint-Gildas de vous promener avec votre masque à gaz, il y en a marre de ces odeurs pestilentielles qui se vaporisent sur le stade de foot ou dans le centre de Gueltas, dans les quartiers de Penprat, de Calavret, de la Villeneuve ou de Kerboquet à Noyal-Pontivy !
Cette décharge a une capacité annuelle de réception de 195 000 T de poubelles par an - en provenance de toute la Bretagne - et sa capacité maximale de stockage autorisée est de 4 800 000 m3, alors que la densité des ordures n'est pas la même par type de matériau !!!
Nous mêmes ainsi que certains juges des TA (tribunaux administratifs) français ont du mal à s'y retrouver. Exemple : si la densité du bois est de 0,7 tonne/m3, alors 1 m3 de bois est égal à 0,7 tonne alors que les déchets non-inertes (DIB) ont un poids moyen de 0,1 à 0,6 T par m3 (très variable en fonction de la typologie exacte des déchets) !
Ce 03/05/2023, ces points de contrôle portaient sur la protection, l'identification et l'entretien des piézomètres. Ils ne faisaient pas suite à une précédente inspection et ont été déclarés "Sans objet".
MAIS ! MAIS ! MAIS, il faut toujours se méfier de l'eau qui dort !
L'UD de la Dreal 56 qui a contrôlé la surveillance des eaux souterraines, (suivant l'arrêté ministériel du 15/02/2026, article 19), étant opérée au moyen d'un réseau de 6 piézomètres implantés en périphérie de la décharge dont 2 en amont (PZ3 et 6), a TOUT DE MEME constaté plusieurs anomalies dans ces fiches de constat :
- "Certains piézomètres doivent être fermés", tandis que "le PZ1 doit être réhaussé et identifié".
En effet, au niveau de la protection des piézomètres, il a été constaté que "le capot de fermeture est installé sur la tête des forages", que "le PZ1 est situé au ras du sol au bord d'un étang", et qu'il "ne permet pas un parfait isolement du forage des inondations et de toute pollution par les eaux superficielles" et que "la tête des forages n'est pas fermée" ! Bonjour le sérieux de SUEZ RV Ouest !
Ces carences étant susceptibles de suites administratives, nous aimerions savoir depuis combien de temps a duré cette "comédie" ?
En effet, la Dreal de Bretagne peut proposer au préfet du Morbihan, conformément aux articles L.171-7 et L.171-8 du code de l'environnement, des suites administratives.
ARGUMENT n° 1 d'AURA Environnement : pour ces carences, cette décharge devra fermer définitivement en 2027 !
- "Tous les forages ont été identifiés par un numéro correspondant au plan de positionnement des piézomètres" MAIS "Seul le PZ1 n'est pas marqué". Susceptible de suites par la Dreal Bretagne.
ARGUMENT n° 2 d'AURA Environnement : pour cette lacune, cette décharge devra fermer définitivement en 2027 !
- "Les forages sont entretenus" MAIS "le PZ1 doit être réhaussé étant au ras du sol au bord de l'étang". Susceptible de suites par la Dreal Bretagne.
ARGUMENT n° 3 d'AURA Environnement : pour cette déficience, cette décharge devra fermer définitivement en 2027 !
Alors que les risques chroniques - physico-chimiques, paramètres biologiques et bactériologiques - en période de basses eaux et de hautes eaux souterraines ont été déclarés "Sans suite" par la Dreal 56, comment se fait-il que l'innocent petit ruisseau situé en face de cette décharge soit, au niveau superficiel, de couleur orangeâtre ?
Nous demandons DONC à Pascal BOLOT, le préfet du Morbihan de faire effectuer "fissa" par ses services UNE analyse de la radioactivité par spectrométrie gamma afin de contrôler le bruit de fond radiologique des radionucléides présents dans les eaux souterraines - INDEPENDANTE - et - AGREE - par l'autorité de sûreté nucléaire - OU par l'Institut de radioprotection et de sureté nucléaire - pour la sécurité de l'Etat et pour les habitants de Gueltas, de Noyal-Pontivy et des communes environnantes !
Si les services de l'Etat ne doivent se servir uniquement ques des données de SUEZ via leur laboratoire "CARSO", nous demanderons à nos camarades de Greenpeace de réaliser PARTOUT sur les territoires de Gueltas et de Noyal-Pontivy, - pour ne pas parler de Pontivy - !
Nous serons les ultimes défenseurs des étangs, tourbières et marais des 100 ha de cette forêt de Branguily, un site "naturel" composé de zones humides qui a fait l'objet d'un inventaire qui a mis en évidence la biodiversité des milieux et espèces à préserver comme les chauves-souris, les rongeurs, les libellules, les grives, les rossignols, les fauvettes, les pouillots, les mésanges, les bruants des roseaux, les grèbes huppées, etc...
Les vents de la révolte se lèvent sur Gueltas, et nous espérons que les vents mauvais disparaîtront définitivement en 2027 pour les habitant-es et les animaux de Gueltas !
Nous ferons connaître la situation actuelle de Gueltas au monde entier, via notre pétition internationale qui a déjà mobilisé plus de 29 185 signatures en même pas 1 toute petite semaine : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832
SUEZ ne nous écoute pas ! L'Etat doit nous entendre !
Marc-Claude de PORTEBANE
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+ de 34 547 signatures. PETITION. Bretagne : Sauvons ce pauvre poney ! STOP projet extension décharge #SUEZ à Gueltas !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/09/2023
- Dans STOP au projet de nouvelle décharge de SUEZ à GUELTAS après 2027 !
Bretagne : Sauvons ce pauvre poney !
STOP projet extension décharge #SUEZ à Gueltas !
LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832
Soutenu par les populations locales de Gueltas, au coeur de notre si chère Bretagne, le collectif GreenBretagne a alerté l'association nationale AURA Environnement à propos de l'actuel projet de nouvelle décharge de SUEZ R&V Ouest, après 2027, dans cette si belle région de Pontivy, où de paisibles poneys ou chevaux respirent de l'air à la limité du respirable, où de nombreuses personnes n'en peuvent plus de cette infâme gigantesque dépôt d'ordures dans leur commune, que ce soit vers le stade de foot, à la terrasse du très sympa bar, restaurant, épicerie situé non-loin de la mairie, de l'église garante des valeurs traditionnelles bretonnes et républicaines, voire même dans le prolongement de la base de loisirs de Boju où les amoureux de l'Art déambulent soit dans le musée à ciel ouvert, soit au travers des chemins balisés, vers des patrimoines ruraux ou vers les étangs de Branguily qui hébergent, tout au long de l'année, une population riche et variée d'oiseaux, d'insectes et de petits mammifères !
Nous allons vous démontrer de ce qu'il en est de la protection de l'environnement et des animaux vers la décharge de SUEZ R&V Ouest dans cette si jolie et ombragée forêt de Branguily parsemée d'étangs mais, pestilentielle au niveau des odeurs infernales qui parfument arbres centenaires, ruisseaux où gazouillent dans de drôles couleurs plutôt orangeâtres, pour ne pas dire à vomir de tout son fiel, des espèces protégées comme le Lézard des murailles ou, parmi la flore, quelques brindilles de Lys martagon que nous avons repéré aux alentours !
Il est hors de question de brader notre patrimoine en terme de protection de la faune et de la flore pour une mince "poignée de dollars" (250 millions d'euros au bas mot) avec une entreprise comme SUEZ, qui paie déjà mal ses fournisseurs !
En ces mauvais temps caniculaires, nous devons être plus que vigilant, et nous espérons que les juges de l'honorable TA (tribunal administratif) de Rennes seront sensibles à nos arguments lorsqu'éclatera la véritable et silencieuse riposte du sentier lumineux des habitants de Gueltas et des communes de Pontivy Communauté car "le changement climatique augmente la probabilité et la gravité des phénomènes météorologiques, comme les inondations" indique le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) - fondateur : Assemblée générale des Nations unies), car, estime Florence HABETS, hydroclimatologue au CNRS, "plus il fait chaud, plus l'atmosphère est capable de contenir de l'eau qu'elle va puiser, entre autres, daans les sols. C'est donc un seul et même phénomène physique qui alimente à la fois la sécheresse et l'augmentation des précipitations" !
Ces températures extrêmes atteintes s'imposeront désormais comme "la nouvelle norme", selon l'Organisation météorologique mondiale, qui pointe comme principal facteur "le changement climatique induit par l'homme et dû aux émissions de gaz à effet de serre" (GES).
Ces épisodes de chaleur intense se développeront plus particulièrement en Europe. Donc ZERO décharge à Gueltas ! Tout comme ZERO déchets maintenant, demain et après-demain !
Alors que la terre commence à craqueler à de nombreux endroits dans Pontivy Communauté, après 2023, il sera beaucoup trop tard pour ne pas réagir à ce projet de nouvelle décharge à Gueltas ! Pas plus de nouvelle chaudière à haut pouvoir calorifique inférieur (HPCI) que de ces "nouvelles technologies" que l'on vous promet "vertueuses" ou autres "poudres de perlimpin" de Michel le magicien à Gueltas ou ailleurs.
Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de décharge dans le Finistère et que Gueltas et sa région devront supporter - encore - de nombreux camions, qui, déjà, de nos jours s'alignent assez souvent, en file indienne sur la D125, le long de la déchèterie, dans l'attente de décharger à la décharge leurs poubelles ?
Assez de cette autre pollution visuelle, car de très nombreux habitant-es de Gueltas en ont plus que marre et ce, depuis l'AP (arrêté préfectoral) d'exploitation en date de.... novembre 2013 !
Comment se fait-il que ce petit fossé s'écoulant vers l'étang 1, situé juste en face de la décharge, dans ce bois de Branguily, ait une telle sinistre couleur orangée ? Qu'en disent les inspecteurs de l'Office français de la biodiversité (OFB) et les services de la préfecture du Morbihan ? D'où viennent ces percolations absolument inadmissibles et intolérables pour les animaux s'abreuvant de petites gorgées en ces temps de canicule et de sécheresse avérée, suite aux alertes de Météo France ?
La Fédération de la pêche du Morbihan s'en alarme-t-elle ?
Et pourquoi donc les élu-es de Gueltas n'ont-ils pas validé les travaux d'extension du réseau d'eau potable au hangar de la forêt de Branguily, et situé..... en face de la décharge ? De peur d'y voir de simples touristes, des pêcheurs, des photographes amateurs de lieux insolites, des randonneurs y passer la nuit, le week-end ou le jour de la fête de Saint-Gildas ?
Comment faire de la randonnée pédestre à Gueltas sur des chemins balisés pour observer et sentir les ravages de cette décharge où prolifèrent nombre de goëlands argentés (Larus argentatus) et mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus) ?
C'est très simple. Il suffit de se rendre de Gueltas à Noyal-Pontivy, avec un masque à gaz tout en contournant la décharge et de parcourir le circuit de découverte des étangs sur 1,5 km dans ce qui a été cette superbe forêt de Branguily. Vous pouvez, ensuite, bifurquer aux alentours de Kerlaizan (toujours munis de votre masque à gaz) et de suivre au plus près les grillages de cette décharge. Prévoir également une serviette en cas de vomissements et des cachets contre le mal de tête. N'oubliez pas votre portable au cas où vous tomberiez dans les pommes pour appeler votre médecin généraliste, ou tout simplement, le 15, si besoin s'en faisait ressentir ! N'oubliez pas également des boules QUIES si vous êtes exposé-es à l'utilisation par SUEZ d'affaroucheurs pyrotechniques sur ce site de Gueltas (Recommandation de Saint-Gildas pour prendre contact au préalable avec la DDTM56, service Eau, Nature et Biodiversité - Unité Nature, forêt et Chasse - à Vannes au 02 56 63 74 89) !
A quoi cela sert-il, pour SUEZ, d'utiliser un fauconnier spécialisé pour effaroucher ces paisibles goëlands et mignonnes petites mouettes avec l'aide de puissants rapaces - Buse de Harris et Faucon pélerin -, et de demander à la DDTM du Morbihan une dérogation aux articles L.411-1 du code de l'environnement, pour nous dire ensuite que SUEZ s'engagera dans une "démarche environnementale ambitieuse" si la décharge poursuivait son activité après 2027 ?
De qu'elles ambitions parlons-nous ? Des ambitions pour cette firme capitaliste composée d'actionnaires comme Meridiam, de GIP et du groupe Caisse des dépôts (20 % dont 8 % pour CNP Assurances), ou pour les populations locales de Gueltas lassées par tant d'années où elles n'ont pas été écoutées par SUEZ, ni entendues par les services de l'Etat du "mort" Morbihan sourd aux plaintes des Gueltasie-nes qui ont quand même le droit de vivre en toute quiétude dans leurs maisons ou leur appartement avec leurs toutous ou leurs minous ! Sans compter les agricultrices et les agriculteurs vertueux vis-à-vis des démarches Bio et locales ! Quel respect pour ces pauvres vaches normandes, armoricaine ou frisonnes broutant de façon innocente non-loin de cette décharge de Gueltas ? Quel impact pour leur morphologie, leur pis et leurs organes vitaux ?
Idem pour ces pauvres poneys qui ne peuvent parler de vive voix à la direction régionale de SUEZ R&V Ouest à Saint-Grégoire, car les émissions de biogaz canalisées et souvent non traitées vers l'atmosphère proviennent des fuites du réseau de captage, des arrêts de fonctionnement de la torchère (très souvent, des bouchons de condensats ne permettent pas la mise en dépression)ainsi que de la qualité de la combustion opérée au sein de celle-ci ! Les recommandations de l'ADEME - au titre de la directive EPER - fixent un objectif généralement appliqué pour un captage de 85 % des émissions pestilentielles. Cet objectif ne pouvant être atteint que dans le cas des casiers disposant d'une couverture peu perméable ou d'une géomembrane.
Donc, au bas mot, ce pauvre poney respirerait 15 % de ces émissions diffuses de méthane par jour en provenant de cette décharge de Gueltas ?
Nous, Collectif GreeBretagne soutenu par AURA Environnement, in solidum avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like sur Facebook), nous demandons aux élu-es de Gueltas de ne pas accorder le moindre permis de construire pour l'extension de cette décharge de SUEZ, aux services administratifs de l'urbanisme et aux élu-es de Pontivy Communauté de ne rien instruire du tout et de tout bloquer, ainsi qu'aux services de l'Etat du Morbihan, la fermeture définitive de cette décharge de Gueltas à l'horizon 2027 avec des mesures drastiques de dépollution. Finissons-en avec cette "verrue" dans cette commune touristique de Gueltas et ses roulottes au Domaine des Can'haltes, laissez les Gueltadien-nes qui ne roulent pas sur l'or en paix avec leur environnement ! Source : https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
C'est donc dans ce dossier dit "d'intérêt régional" qu'était spécifié leurs "ambitions environnementales" - mais sutout les impacts socio-économiques pour le territoire, ainsi que les "Solutions alternatives et atouts" - (comprendre : que risque-t-il d'arriver en cas de recours individuels et/ou associatifs devant le TA de Rennes) -, lors de cette parodie de "CONCERTATION PREALABLE" qui s'est déroulée du 22/05 au 28/06/2023 sur les communes de Gueltas, de Saint-Gonnery, de Rohan, de Noyal-Pontivy, de Kerfourn et de Crédin - aux frais de SUEZ - à laquelle nous avons refusé de participer parce que nous réservons nos arguments sur le fond pour nos futures requêtes introductives à Mesdames et Messieurs les présidents et conseillers composant le tribunal administratif de Rennes !Et nous attendons toujours le bilan de cette "Concertation préalable" où peu de gens se seraient exprimé-es et qui était "ouverte à toutes les personnes intéressées, qu'elles résident ou non dans l'une de ces communes" (Page 16) et qui devait être mis en ligne durant l'été 2023 ! Nos camarades de Nouvelle Calédonie, de Nice à Clermont-Ferrand, de Mayotte à Tours ont donc pu s'exprimer librement !
Lorsque l'on pollue l'environnement et les animaux, cela fait toujours "bonne figure" à une firme capitaliste comme SUEZ de lancer une parodie de "Concertation préalable" avec les habitants alors que, le reste de l'année, les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy ont souvent droit aux représentants de la décharge qui viendraient, par exemple, prendre en photo un tas de fumier en disant que cela sent "mauvais".
Evidemment que le crottin de cheval et les bouses de vaches ne sentent pas très bon mais cela n'est pas du tout comparable à une décharge qui recueille plus de 195 000 T/an de poubelles de toute la Bretagne, à Gueltas, tout en ayant un impact considérable sur tous les enjeux écologiques réglementaires et sanitaires dans le cadre de la démarche ERC (Eviter - Réduire - Compenser) !
Et que penser du mépris à peine voilé pour les riverains de cette décharge de Gueltas en disant dans la presse "...Nous avons toujours deux à trois plaintes d'opposants historiques.... argumente Ronan ERTUS....." (Ouest France du 23/06/2022). Alors que le reste du village serait content de ce genre de décharge qui permetrait à la Bretagne "d'être moins dépendante en termes d'énergie" ?
La Bretagne "moins dépendante en énergie" MAIS la pauvre commune de Gueltas dans le Morbihan beaucoup plus polluée pratiquement toute l'année, été comme hiver, brouillard épais ou pas, canicule et sécheresse conjuguées !!!
Panneaux solaires : OUI. A condition que le site soit fermé définitivement en 2027. Décharge : NON ! Qu'ils s'en aillent !
Exigeons une enquête internationale sur les conditions de vie des animaux et des humains de Gueltas exposés aux nuisances infernales de cette décharge !
Source : http://www.aura-environnement.com/blog/stop-au-projet-de-nouvelle-decharge-de-suez-a-gueltas-apres-2027/operation-reuz-bras-stop-projet-nouvelle-decharge-suez-a-gueltas-apres-2027.htmlMarc-Claude de PORTEBANE
Contact : aura-environnement@protonmail.comPrésident d'AURA Environnement
Porte-Parole du COGB (Collectif GreenBretagne)
Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
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Opération "REUZ BRAS" : STOP projet nouvelle décharge SUEZ à Gueltas après 2027 !
- Par auraenvironnementparis
- Le 09/09/2023
- Dans STOP au projet de nouvelle décharge de SUEZ à GUELTAS après 2027 !
Bretagne : STOP au projet de la nouvelle décharge
de SUEZ à Gueltas après 2027 !
Soutenu par les populations locales de Gueltas, au coeur de notre si chère Bretagne, le collectif GreenBretagne a alerté l'association nationale AURA Environnement à propos de l'actuel projet de nouvelle décharge de SUEZ R&V Ouest, après 2027, dans cette si belle région de Pontivy, où de paisibles poneys ou chevaux respirent de l'air à la limité du respirable, où de nombreuses personnes n'en peuvent plus de cette infâme gigantesque dépôt d'ordures dans leur commune, que ce soit vers le stade de foot, à la terrasse du très sympa bar, restaurant, épicerie Le Gweltaz situé non-loin de la mairie, de l'église garante des valeurs traditionnelles bretonnes et républicaines, voire même dans le prolongement de la base de loisirs de Boju où les amoureux de l'Art déambulent soit dans le musée à ciel ouvert, soit au travers des chemins balisés, vers des patrimoines ruraux ou vers les étangs de Branguily qui hébergent, tout au long de l'année, une population riche et variée d'oiseaux, d'insectes et de petits mammifères !
Nous allons vous démontrer de ce qu'il en est de la protection de l'environnement et des animaux vers la décharge de SUEZ R&V Ouest dans cette si jolie et ombragée forêt de Branguily parsemée d'étangs mais, pestilentielle au niveau des odeurs infernales qui parfument arbres centenaires, ruisseaux où gazouillent dans de drôles couleurs plutôt orangeâtres, pour ne pas dire à vomir de tout son fiel, des espèces protégées comme le Lézard des murailles ou, parmi la flore, quelques brindilles de Lys martagon que nous avons repéré aux alentours !
Il est hors de question de brader notre patrimoine en terme de protection de la faune et de la flore pour une mince "poignée de dollars" (250 millions d'euros au bas mot) avec une entreprise comme SUEZ, qui paie déjà mal ses fournisseurs !
En ces mauvais temps caniculaires, nous devons être plus que vigilants, et nous espérons que les juges de l'honorable TA (tribunal administratif) de Rennes seront sensibles à nos arguments lorsqu'éclatera la véritable et silencieuse riposte du sentier lumineux des habitants de Gueltas et des communes de Pontivy Communauté car "le changement climatique augmente la probabilité et la gravité des phénomènes météorologiques, comme les inondations" indique le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) - fondateur : Assemblée générale des Nations unies), car, estime Florence HABETS, hydroclimatologue au CNRS, "plus il fait chaud, plus l'atmosphère est capable de contenir de l'eau qu'elle va puiser, entre autres, daans les sols. C'est donc un seul et même phénomène physique qui alimente à la fois la sécheresse et l'augmentation des précipitations" !
Ces températures extrêmes atteintes s'imposeront désormais comme "la nouvelle norme", selon l'Organisation météorologique mondiale, qui pointe comme principal facteur "le changement climatique induit par l'homme et dû aux émissions de gaz à effet de serre" (GES).
Ces épisodes de chaleur intense se développeront en Europe et plus particulièrement en Bretagne, comme dans le Morbihan.
Donc ZERO décharge à Gueltas ! Tout comme ZERO montagnes de déchets et de biodéchets à Gueltas demain et après-demain !
Alors que la terre commence à craqueler à de nombreux endroits dans Pontivy Communauté, après cette année 2023, il sera beaucoup trop tard pour ne pas réagir à ce projet de nouvelle décharge de Gueltas ! Pas plus de nouvelle chaudière à haut pouvoir calorifique inférieur (HPCI) que de ces "nouvelles technologies" que l'on vous promet "vertueuses" ou autres "poudres de perlimpin" de Michel le magicien à Gueltas ou ailleurs.
Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de décharge dans le Finistère et que Gueltas et sa région devront supporter - encore - de nombreux camions, qui, déjà, de nos jours s'alignent assez souvent, en file indienne sur la D125 - qui relie Cléguérec à Rohan - , le long de la déchèterie, dans l'attente de décharger à la décharge leurs poubelles ?
Assez de cette autre pollution visuelle, car de très nombreux habitant-es de Gueltas en ont plus que marre et ce, depuis l'AP (arrêté préfectoral) d'exploitation en date de.... novembre 2013 !
De 70 000 T/an au début, à... 195 000 T/an + transfert de 3 000 T/an de biodéchets aujourd'hui, quelles augmentations !
Et on nous apprend qu'un pôle organique de valorisation et de transfert des biodéchets d'une capacité d'environ 20 000 T/an sera crée à partir de 2027 ?
Comment se fait-il que ce petit fossé s'écoulant vers l'étang 1, situé juste en face de la décharge, dans ce bois de Branguily, ait une telle sinistre couleur orangée ? Qu'en disent les inspecteurs de l'Office français de la biodiversité (OFB) et les services de la préfecture du Morbihan ? D'où viennent ces percolations absolument inadmissibles et intolérables pour les animaux s'abreuvant de petites gorgées en ces temps de canicule et de sécheresse avérée, suite aux alertes de Météo France ?
La Fédération de la pêche du Morbihan s'en alarme-t-elle ?
Qu'en est-il d'ailleurs de l'état du "Parcours de pêche", dans le canal de Nantes à Brest, vers l'écluse à sas de Kériffé située sur la commune de Gueltas ? Allô Bretagne Culture Diversité - Sevenaduroù Breizh - ?
Et pourquoi diantre les élu-es de Gueltas n'ont-ils pas validé les travaux d'extension du réseau d'eau potable au hangar de la forêt de Branguily, et situé..... en face de la décharge ? De peur d'y voir de simples touristes, des pêcheurs, des photographes amateurs de lieux insolites, des randonneurs pour y passer la nuit, le week-end ou le jour de la fête de Saint-Gildas ?
Comment faire de la randonnée pédestre à Gueltas sur des chemins balisés pour observer et sentir les ravages de cette décharge où prolifèrent nombre de goëlands argentés (Larus argentatus) et mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus) ?
C'est très simple. Il suffit de se rendre de Gueltas à Noyal-Pontivy, avec un masque à gaz tout en contournant la décharge et de parcourir le circuit de découverte des étangs sur 1,5 km dans ce qui a été cette superbe forêt de Branguily. Vous pouvez, ensuite, bifurquer aux alentours de Kerlaizan (toujours munis de votre masque à gaz) et de suivre au plus près les grillages de cette décharge. Prévoir également une serviette en cas de vomissements et des cachets contre le mal de tête. N'oubliez pas votre portable au cas où vous tomberiez dans les pommes pour appeler votre médecin généraliste, ou tout simplement, le 15, si besoin s'en faisait ressentir ! N'oubliez pas également des boules QUIES si vous êtes exposé-es à l'utilisation par SUEZ d'affaroucheurs pyrotechniques sur ce site de Gueltas (Recommandation de Saint-Gildas pour prendre contact au préalable avec la DDTM56, service Eau, Nature et Biodiversité - Unité Nature, forêt et Chasse - à Vannes au 02 56 63 74 89) !
A quoi cela sert-il, pour SUEZ, d'utiliser un fauconnier spécialisé pour effaroucher ces paisibles goëlands et mignonnes petites mouettes avec l'aide de puissants rapaces - Buse de Harris et Faucon pélerin -, et de demander à la DDTM du Morbihan une dérogation aux articles L.411-1 du code de l'environnement, pour nous dire ensuite que SUEZ s'engagera dans une "démarche environnementale ambitieuse" si la décharge poursuivait son activité après 2027 ?
De qu'elles ambitions parlons-nous ? Des ambitions pour cette firme capitaliste composée d'actionnaires comme Meridiam, de GIP et du groupe Caisse des dépôts (20 % dont 8 % pour CNP Assurances), ou pour les populations locales de Gueltas lassées par tant d'années où elles n'ont pas été écoutées par SUEZ, ni entendues par les services de l'Etat du "mort" Morbihan sourd aux plaintes des Gueltasie-nes qui ont quand même le droit de vivre en toute quiétude dans leurs maisons ou leur appartement avec leurs toutous ou leurs minous ! Sans compter les agricultrices et les agriculteurs vertueux vis-à-vis des démarches Bio et locales ! Quel respect pour ces pauvres vaches normandes, armoricaine ou frisonnes broutant de façon innocente non-loin de cette décharge de Gueltas ? Quel impact pour leur morphologie, leur pis et leurs organes vitaux ?
Idem pour ces pauvres poneys qui ne peuvent parler de vive voix à la direction régionale de SUEZ R&V Ouest, car les émissions de biogaz canalisées et souvent non traitées vers l'atmosphère proviennent des fuites du réseau de captage, des arrêts de fonctionnement de la torchère (très souvent, des bouchons de condensats ne permettent pas la mise en dépression) ainsi que de la qualité de la combustion opérée au sein de celle-ci ! Les recommandations de l'ADEME - au titre de la directive EPER - fixent un objectif généralement appliqué pour un captage de 85 % des émissions pestilentielles. Cet objectif ne pouvant être atteint que dans le cas des casiers disposant d'une couverture peu perméable ou d'une géomembrane.
Donc, au bas mot, ce pauvre poney respirerait 15 % de ces émissions diffuses de méthane par jour en provenant de cette décharge ?
Nous, Collectif GreeBretagne soutenu par AURA Environnement, in solidum avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like sur Facebook), nous demandons aux élu-es de Gueltas de ne pas accorder le moindre permis de construire pour l'extension de cette décharge de SUEZ, aux services administratifs de l'urbanisme et aux élu-es de Pontivy Communauté de ne rien instruire du tout et de tout bloquer, ainsi qu'aux services de l'Etat du Morbihan, la fermeture définitive de cette décharge de Gueltas à l'horizon 2027 avec des mesures drastiques de dépollution. Finissons-en avec cette "verrue" dans cette commune touristique de Gueltas et ses roulottes au Domaine des Can'haltes, laissez les Gueltadien-nes qui ne roulent pas sur l'or en paix avec leur environnement ! Source : https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
C'est donc dans ce dossier dit "d'intérêt régional" qu'était spécifié leurs "ambitions environnementales" - mais sutout les impacts socio-économiques pour le territoire, ainsi que les "Solutions alternatives et atouts" - (comprendre : que risque-t-il d'arriver en cas de recours individuels et/ou associatifs devant le TA de Rennes) -, lors de cette parodie de "CONCERTATION PREALABLE" qui s'est déroulée du 22/05 au 28/06/2023 sur les communes de Gueltas, de Saint-Gonnery, de Rohan, de Noyal-Pontivy, de Kerfourn et de Crédin - aux frais de SUEZ - à laquelle nous avons refusé de participer parce que nous réservons nos arguments sur le fond pour nos potentielles futures requêtes introductives à Mesdames et Messieurs les présidents et conseillers composant le tribunal administratif de Rennes !
Lorsque l'on pollue l'environnement et les animaux, cela fait toujours "bonne figure" - pour se donner bonne conscience - à une firme capitaliste comme SUEZ de lancer une parodie de "Concertation préalable" avec les habitants alors que, le reste de l'année, les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy ont souvent droit aux représentants de la décharge qui viendraient, par exemple, prendre en photo un tas de fumier en disant que cela sent "mauvais".
Evidemment que le crottin de cheval et les bouses de vaches ne sentent pas très bon mais cela n'est pas du tout comparable à une décharge qui recueille plus de 195 000 T/an de poubelles de toute la Bretagne, à Gueltas, tout en ayant un impact considérable sur tous les enjeux écologiques réglementaires et sanitaires dans le cadre de la démarche ERC (Eviter - Réduire - Compenser) !
Et que penser du mépris à peine voilé pour les riverains de cette décharge de Gueltas en disant dans la presse "...Nous avons toujours deux à trois plaintes d'opposants historiques.... argumente Ronan ERTUS....." (Ouest France du 23/06/2022). Alors que le reste du village serait content de ce genre de décharge qui permetrait à la Bretagne "d'être moins dépendante en termes d'énergie" ?
La Bretagne "moins dépendante en énergie" MAIS la pauvre commune de Gueltas dans le Morbihan beaucoup plus polluée pratiquement toute l'année, été comme hiver, brouillard épais ou pas, canicule et sécheresse conjuguées !!!
Qu'elles analyses ont été réalisées sur la production de miel sur le chemin de "Ty Néhué" à "Boclemence" sur la commune de Noyal-Pontivy et de l'impact de toutes ces pollutions olfactives, notamment, sur les abeilles et leurs habitats qui butinent avant les lieux-dits "Bodiquel" et "Le Mene" ....
.... situés en zones agricoles déjà bordées d'éoliennes à cheval entre les communes de Gueltas et de Noyal-Pontivy non-loin du site des Prés de Kerlaizan (au sud-ouest de la décharge) largement gangrenés par des nuées de frelons asiatiques dont on ne sait encore d'où ils viennent ?
Panneaux solaires : OUI. A condition que le site soit fermé définitivement en 2017. Décharge : NON ! Qu'ils s'en aillent !
Idem à Carnac on n'en veut pas de ce Mr Bricolage, avec cette monstrueuse destruction de 39 menhirs figurant sur la liste indicative Unesco et situés sur le chemin de Montauban ! Qu'ils s'en aillent eux aussi ! Le Morbihan n'a pas vocation à s'autodétruire en matière environnementale !
Peut-être qu'on va nous expliquer pourquoi il n'y a pas d'eau dans le lavoir de Gueltas, dans le cadre des animations estivales de Pontivy Communauté, afin d'écouter les contes de lavoirs de Martine la conteuse venue spécialement de Quiberon pour nous faire remonter le bon vieux temps autour de ce petit bassin d'antan, lorsque l'on faisait la lessive, pourquoi pas au Savon Breton, naturel et Bio composé de très sympas ingrédients comme le beurre de Karité, entre lavandières de Bretagne, tout en respirant de l'air pur et non, pestilentiel comme 2023 ! Car, à l'époque, après la pandémie de choléra dans les années 1830, l'Etat s'était dit que les femmes ne pouvaient plus continuer à laver leur - linge sale - dans les rivières, au risque de répandre ce qu'on appelait des "miasmes". D'où l'idée géniale de la création de ces lavoirs ! Si on n'arrête pas l'histoire, l'eau s'arrête désormais de couler en 2023 au lavoir de Gueltas ! Et pourquoi diantre cet arrêt ? Que nous cache-t-on ? L'écrivain breton Pier Jaker HELIAZ parle du lavoir de sa commune en disant que c'est "le journal de la paroisse". Pourquoi ne pas laisser à boire aux petits oiseaux ?
Et bien, camarades, ce sera le cas en 2023 et vous pouvez compter sur le collectif GreenBretagne soutenu par AURA Environnement pour vous parler des rejets atmosphériques de cette "paroisse-décharge" de Gueltas, comme le monoxyde de carbone, le CO, les oxydes d'azote, le méthane, le CH4 et les poussières totales ou pour la torchère de la décharge, encore du monoxyde de carbone, du CO, des oxydes de soufre, du SO², de l'acide chlorhydrique et l'HF !
Car, il ne faut pas compter sur la commune de Gueltas pour nous informer correctement sur la vie municipale en cours, en 2023 !
Pas moyen d'avoir le moindre compte-rendu des conseils municipaux de Gueltas pour l'année 2023, que ce soit pour consultation sur son téléphone où nous n'avons eu que le "droit" de gagner à la page 404 ....
.... idem sur le site internet de la commune http://www.gueltas.fr/fr/comptes-rendus où le dernier compte-rendu municipal remonte à juillet 2022 pour le CM datant de juin 2022 !!!
La seule info minicipale réside dans la consultation de la borne numérique rouge (inconsultable la nuit et les jours de coupure de courant, etc...) installée vers la mairie et mise à disposition de la population qui n'y comprend rien, et que l'on peut juste consulter en plein cagnard ou sous la pluie (pas d'abri)....
..... Pas de photocopies possibles. Si on prend une photo des infos sur l'urbanisme ou autres compte-rendus, les images sont floutées par une verticale noire balayante. D'ailleurs, "une caméra est-elle installée dans cette borne" nous ont demandé certaines personnes du village ?
Aucune info papier sur l'instruction du permis de construire qui sera accordé ou non à SUEZ R&V Ouest et qui sera instruit, ensuite, par le service urbanisme de Pontivy Communauté ! Pas d'infos papier sur le devenir de ces pauvres poneys subissant les nuisances non-loin de cette énorme décharge. Pas d'info papier sur la qualité de l'eau du robinet. Pas d'info papier sur les plaintes des habitants, etc...
Aucune info papier sur les compte-rendus des différentes réunions des CSS (Commissions de suivi de site) qui doivent être mises pourtant à notre disposition en mairie de Gueltas. Nous en avons fait la demande pour les 3 dernières années, au secrétariat de mairie de Gueltas, vendredi 08/09/2023.
Depuis silence radio ! Bonjour la transparence avec les populations de Gueltas, alors que SUEZ R&V Ouest (page 14 du document de son projet industriel de recyclage et de valorisation énergétique sur le site de Gueltas) nous parle d'une "Gestion rigoureuse et contrôlée" !
Vue des bureaux du siège de SUEZ R&V Ouest de Saint-Grégoire vers Rennes ?
Où se trouvent les rapports annuels d'activité ? Nous les avons vainement cherché sur internet = ZERO. Et ZERO également sur le site internet de la commune de Gueltas. ZERO + ZERO = ZERO. Ont-ils été transmis aux populations locales de Gueltas ? Les nouveaux arrivants dans la commune savent-ils qu'il y a un projet de développement de cette décharge pour l'après 2027 ?
Pourtant ces rapports annuels d'activité de cette décharge SUEZ à Gueltas - sont obligatoirement transmis à la préfecture du Morbihan à Vannes, à la sous-préfecture de Pontivy ainsi qu'à la mairie de Gueltas..... où ils sont normalement librement consultables - sans en avoir à en justifier la demande. La CADA (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) a toujours été claire là-dessus. Ils sont établis conformément aux prescriptions de l'article 26 de l'arrêté ministériel du 15/02/2016, des articles R. 124-1 et R125-2 du code de l'Environnement et de l'article 10.1.3 de l'arrêté préfectoral de la préfecture du Morbihan en date du 20/11/2013 réglementant l'activité de l'Ecopôle de Gueltas.
Nous avons - vainement - essayé de les obtenir auprès du secrétariat de la mairie de Gueltas. La secrétaire de mairie nous a dit être "occupée" car il y avait une dame qui était en train de rédiger un chèque bancaire, et de lui faire une demande par mail !!!! Grrr !
Surveillance de masse, alors que la loi n° 78-17 du 06/01/1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ne stipule pas qu'il faille faire une demande d'information par mail dès lors que le demandeur a informé la collectivité de son identité.
Elle s'est même posé la question de savoir s'ils étaient communicables ou non ..... au public, alors qu'elle nous a indiqué qu'un membre de sa famille travaille pour la décharge SUEZ de Gueltas. Que nenni ! ZERO. Au diable Vauvert, allez donc voir ailleurs si l'herbe est plus verte que chez les as de Gueltas !
Petite info non-confidentielle : AURA Environnement est membre-associé à la CSS de la décharge de LELY Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère, à la préfecture de l'Isère, en partenariat avec nos camarades de la DREAL38 et autres services de l'Etat, et cela se passe très bien. DONC, ce n'est pas à nous qu'il va falloir nous la "faire à l'envers" à Gueltas en nous refusant des documents destinés au public ! Ici, nous sommes pour la protection de l'Etat, pas pour sa décomposition !
Pas grave, nous avons demandé à notre avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne de les obtenir auprès de la mairie de Gueltas.
A la veille de la future enquête publique, cela démontrera au commissaire enquêteur toute la "communication" mise en place pour ne pas informer correctement les populations locales de Gueltas qui ne savent rien parce qu'on ne leur dit rien ! La plupart des gens que nous interrogé nous ont dit ne rien savoir ! Génial !
Les constructeurs de pavillons sur le territoire de la commune de Gueltas informent-ils correctement les futurs propriétaires sur les risques des nuisances olfactives de cette décharge, car, généralement les gens ne dont pas la différence entre déchèterie et décharge ?
Les architectes DPLG - notamment de Noyal Pontivy - en parlent-ils aux futurs occupants de ces coquettes habitations individuelles ? C'est qu'une fois que leurs maisons sont bâties que les nouveaux propriétaires apprennet qu'il y a une décharge dans leur commune ? Qu'elles mises en garde manuscrites ont-elles été délivrées par les notaires lors de ces acquisitions foncières ?
Pas d'info papier sur la suite donnée à la sympathique secrétaire de mairie, que nous avons vu en mairie de Gueltas vendredi 08/09/2023 en fin de matinée, et qui a également téléphoné au directeur de la décharge SUEZ à Gueltas à propos d'une énième complainte des habitants relative aux nuisances olfactives que nous avons également constaté, ce jour-là, vers le terrain de foot dans la commune !
Lequel terrain de football est un espace non-traité engagé pour relever le défi de l'eau en collaboration avec le syndicat mixte du Grand bassin de l'Oust (SMGBO) - 11 EPCI, 164 000 habitants, 284 500 ha, ancré dans 3 départements bretons tel le Morbihan, l'Ile-et-Villaine et les Côtes d'Armor, 3 040 agriculteurs, 7 bassins versants, 2 sièges pour Pontivy Communauté, partenariat avec la très sympa Agence de l'eau Loire Bretagne, le conseil régional de Bretagne, le CIVAM (Centre d'initiatives pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu rural) ou le Groupement des agriculteurs biologiques 56 - qui met en oeuvre des actions de gestion quantitative et qualitative de la ressource en eau tout en assurant des missions en faveur des milieux naturels et de la biodiversité sur son territoire. Et pas contre les nuisances olfactives de la décharge de SUEZ située à moins d'1 km à vol d'oiseau ? Rien ! A l'Ouest rien de nouveau ! Circulez, il n'y a rien à voir !
Alors qu'ailleurs, les contribuables des communes voisines de Pontivy Communauté - comme ici à Saint-Gonnery - ont le droit d'avoir leur panneau d'affichage "à l'ancienne", en version papier, comme presque partout dans de très nombreuses communes petites ou grandes en France !
Les animaux de Gueltas ont-ils vocation à boire de l'eau souillée ? Les animaux de passage ou non à Gueltas ont-ils le droit de ne pas s'abreuver correctement juste en face de la décharge de SUEZ à Gueltas ? Qui respecte leurs droits et leurs libertés fondamentales au nombre de 5 : libres de la soif, de la faim et de la malnutrition ; libres de l'inconfort ; libres de s'exprimer ; libres de la douleur, de toute blessure et de la maladie ; libres de la peur et du stress !
L'herbe que mangent ces pauvres poneys, à quelques centaines de mètres de cette décharge de SUEZ à Gueltas a-t-elle été analysée ? Ainsi que l'eau qu'ils consomment au quotidien ? Quel est l'état de leurs poumons ?
Nous allons demander à la Fondation Brigitte Bardot de prendre le relais, sur l'état de la condition animale pour ce pauvre poney et ses potes, pour les autres chevaux païssant à quelques encablures, pour les vaches laitières qui ruminent dans les environs à l'est, à l'ouest et au sud de cette décharge ! Quel impacts sur leur santé, toutes ces odeurs ?
En ce qui concerne la partie nord de cette décharge de SUEZ à Gueltas, nous allons demander l'aide de la LPO afin d'étudier les cas des très nombreux goëlands qui se désaltèrent dans les étangs proches, et qui font le va et vient avec la décharge, au diable l'avarice, il y a des asticots et d'autres sympatiques bestioles qui pullulent en abondance, n'en doutons pas, camarades !
Non seulement les populations locales seront informées par le collectif GreenBretagne mais aussi par AURA Environnement au niveau national. Les populations locales ne voudront entendre parler d'un quelconque permis de contruire (délivré par la mairie de Gueltas mais instruit par Pontivy Communauté) et encore moins d'un moindre AP (arrêté préfectoral) d'autorisation d'exploiter pendant de très nombreuses années !
HIER décharge à ciel ouvert ! AUJOURD'HUI, on nous parle d'un "ECOPOLE", comme si la nature des déchets était différente ! LOL !
Ainsi, le collectif COGB à déversé un déluge de 10 000 tracts, - de façon exemplaire (car recyclables) -, dans toute la région de Gueltas à Noyal-Pontivy....
.... de Rohan à Saint-Gonnery à Saint-Gérand à Radenac, de Crédin à Pleugriffet...
.... de Réguiny à Sainte-Brigitte, sans oublier Pontivy, où il n'y a bien qu'à Pontivy Communauté où on a refusé nos tracts ! Bonjour l'exemplarité de la communication locale avec nos camarades contribuables dans la cité du médecin-général Robic, du quartier de la Cavalerie ou de la place d'Anne de Bretagne !!!
A Gueltas, pas une boite-aux-lettres n'a été épargnée ! Tout a été "rasé" de façon méthodique et discplinée !
Nos tracts sont dispo au très sympa bar-resto-épicerie-traiteur Le Gweltaz, rue Saint-Gildas....le Sage, priez pour nos pauvres camarades de Gueltas..... où les élu-es semblent préférer le resto de Sain-Gonnery, au secours, arrêtez vos conneries, faites donc vivre notre si beau village de Gueltas et son petit commerce de proximité !
Gildas d'origine celtique, et connu sous le prénom latin d'Algigius, protègez notre chère bourgade de Gueltas qui recueille + de 195 000 T de poubelles ménagères majoritairement traitées par incinération dans ces cancérigènes UVE (unités de valorisation énergétique), de déchets des DAE (déchets des activités économiques) dans de malodorantes décharges qui changent continuellement d'appellation comme ISDND (Installation de déchets non-dangereux) ou de CET (Centre d'enfouissement technique) alors que ce ne sont que de vulgaires décharges comme celle qui pue à Chatuzange-le-Goubet (VEOLIA) et, que nous avons attaqué au TA de Grenoble !
AURA Environnement a fait fermer au TA de Lyon l'infâme décharge de Nicollin à Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, alors que les populations locales n'en pouvaient plus de ces odeurs insupportables depuis trop de nombreuses années ! Nous avons aussi gagné notre référé contre la modification du PLU de la commune des Granges-Gontardes qui visait à installer la décharge de COVED-PAPREC au TA de Grenoble ! Et nous n'avons pas perdu devant le conseil d'Etat !
Nous nous sommes mobilisé-es massivement contre l'incinérateur de VEOLIA vers Troyes, à la Chapelle-saint-Luc, comme le rapportait le journal l'Est Eclair !
Tout comme nous avons massivement mobilisé nos camarades contre l'arrêté préfectoral autorisant la déchage de SUEZ à Roche-la-Molière dans la Loire, sans oublier notre massive mobilisation à Loon-Plage vers Dunkerque contre le projet IndaChlor, l'usine d'Indaver. Source : https://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat#
Tout comme, en 2016, nous avons, déjà, appelé à la mobilisation générale contre le centre de tri Généris de KERVAL Centre Armor à Ploufragan !
Idem pour l'aggrandissement du centre de tri à Saint-denis-de-Pile (Gironde) ! Là-bas, nous avons mobilisé les populations locales pour contester au TA de Bordeaux le PC (permis de construire) et l'arrêté préfectoral dans 2 procédures distinctes !
Et, dernièrement, fin juillet 2023, nous avons attaqué au TA de Toulon (Var) l'arrêté préfectoral autorisant le projet ECOVAL-BTP de MAT'ILD (filiale d'EUROVIA - VINCI) dans la commune de Pourcieux située à quelques km d'Aix-en-Provence !
Nous ferons DONC fermer la décharge de Gueltas !
Nous ne cèderons rien ! C'est pour vos futures générations que nous sommes ici, à Gueltas, car, nous connaissons méticuleusement les dossiers de décharges ou d'incinérateurs de déchets en France, et notre avocat, Me François RUFFIE du barreau de Libourne, sait parfaitement, lui aussi, exploiter toutes les failles de ces gigantesques décharges à ciel ouvert qui pourrissent la vie des populations locales, du matin au soir, pendant la nuit (nombreux témoignages de Gueltas et de Noyal-Pontivy - où nos tracts sont dispo au très sympa bar du Manoir), que ce soit lorsque nous voulons déguster de très bonnes merguez vegan ou non, étendre le linge de la famille ras-le-bol dees odeurs d'oeuf pourri, jardiner pour cueillir de si belles tomates qui ne seront jamais Bio, ou, tout simplement faire causette en copin-es en buvant une bière de la Duchesse Anne sans états d'âme !
Inutile de papoter inutilement sur Facebook ou autres réseaux sociaux - qui nous espionnent déjà largement - et de raconter inutilement ce que le Collectif GreenBretagne est susceptible de préparer ou non à Gueltas ! Les firmes capitalistes n'ont pas à savoir ce que nous pensons ! Brouillons les pistes de l'Intelligence artificielle. Inutile aussi de faire des manifs contre-productives contre nos camarades de l'Etat ou les petits commerçants qui n'ont pas à subir dans les centre-ville des rassemblements nuisibles à notre cause !
Inspirez-vous, camarades, de notre expérience du sentier lumineux vers un avenir plus radieux ! Seule, la stratégie intelligente et la solidarité priment dans la vie ! Que l'on vienne de Triffouillis-les-Oies ou de Pétaouchnock, nous devons être, au diable Vauvert, toutes et tous solidaires de nos camarades-habitant-es de Gueltas et des communes environnantes qui ne doivent pas supporter, après 2027, ENCORE des nuisances et ENCORE des nuisances et TOUJOURS des nuisances notamment olfactives lorsque les Ecureuils rouges du Gueltas Football Club courrent à bout de soufle vers la D4 !
Heureusement que toutes les 1 500 000 T de DND ne sont pas stockées en Bretagne et que 46 % de ces déchets sont exportés dans les régions voisines, essentiellement en Pays de Loire, car, ce serait l'enfer en Bretagne et plus particulièrement à Gueltas que nos camarades-citoyens de Rennes, de Brest, de Saint-Brieuc ou de Quimper ne connaissaient pas avant que nous ne leur en parlions massivement de vive-voix !
Sous l'écrasante chaleur de cette semaine 36 de septembre 2023, nos camarades simplement vêtus, pratiquement sans eau (car l'eau du robinet de Gueltas serait imbuvable), ont massivement informé les populations locales sur ce qui se "tramera" dans les prochaines années à Gueltas où nous MOBILISERONS massivement nos camarades !
"REUZ BRAS", tel a été le nom de code de notre opération, en soutien des populations locales qui sont intimement convaincues que leur si chère commune de Gueltas deviendra un cauchemar pour leurs enfants, leurs bébés, leurs petit-enfants, pauvres chouchous, nous vous jurons que cette décharge de Gueltas sera fermée en 2027 !
Retrouvez nos camarades dimanche 17/09/2023 lors de la dernière manche du championnat de Bretagne de course de côte de moto au lieu-dit "Le Guer" à Gueltas (organisé par le Moto-club Baleer bro - MCBB -), et venez nombreux signer notre pétition papier et électronique qui a déjà recueilli plus de 29 000 signatures en quelques jours seulement : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832
Et n'oubliez pas de flâner vers les roulottes sur le site de Boju vers le canal Nantes/Brest !
Vive le bien-être à Gueltas !!!
A suivre...
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-Parole du COGB (Collectif GreenBretagne)
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Projet Centre de tri #TRIGIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE : les raisons de la colère Rouge
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/04/2023
- Dans STOP au projet de nouvelle décharge de SUEZ à GUELTAS après 2027 !
AURA Environnement
Association loi 1901
Identification R.N.A : W033003439
7, rue du Creux de l’Enfer
63000 CLERMONT-FERRAND
06 40 29 68 72
aura-environnement@protonmail.com
Collectif SCTL
(Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne)
à
SPL TRIGIRONDE
Mr le président Jérôme GUILLEM
8, Route de la Pinière
33910 SAINT-DENIS-de-PILE
In fine
- Mr le président du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE
- Mr le président du SEMOCTOM
- Mr le président du SICTOM SUD-GIRONDE
- Mr le président de la CC MEDOC ESTUAIRE
- Mr le président de la CC MEDULLIENNE
- Mr le président de la CC CONVERGENCE GARONNE
Par LRAR et courriel
Clermont-Ferrand, le 16/03/2021
Monsieur le président,
Suite à votre appel d’offres concernant la Mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la définition et la construction d’un centre de tri départemental.
Avis n° 19-137512. Date limite des offres : 04/10/2019.
J’ai l’honneur de solliciter la communication des documents administratifs relatif à l’AO précité :
- De l’avis d’attribution de marché n° 19-137512
- Les différents appels d’offres que la SPL TRIGIRONDE a mis en ligne sur le bulletin officiel des annonces des marchés publics (BOAMP) depuis sa constitution
- Le compte-rendu de l’ouverture des plis par les membres du bureau de la SPL concernant l’appel d’offres précité et « décidant l’attribution de l’appel d’offre à telle entreprise.
- La proposition retenue lors de l’ouverture des plis
- Le contrat signé par l’entreprise retenue et la collectivité SPL TRIGIRONDE
- Le cahier des charges de la SPL TRIGIRONDE à l’entreprise retenue
- Le volet technique des travaux et aménagements.
- Le rapport d’analyses des offres
- Le PV de présence des élu-es à la CAO + la décision d’attribution du projet
- La sécurisation financière (coûts annuels de fonctionnement, l’investissement et le coût d’amortissement annuel, les coûts de traitement annuels, etc….).
A ce titre, je me permets de vous indiquer que nous agissons conformément aux articles L 300-1 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration relatifs à la liberté d’accès aux documents administratifs.
Il convient également de souligner que certaines de ces informations entrent dans la catégorie d’informations relatives à l’environnement au titre de l’article L. 124-1 et suivants du Code de l’environnement.
Je vous rappelle que la CADA a indiqué qu’une fois signés, les marchés publics et les documents qui s’y rapportent sont considérés comme des documents administratifs soumis au droit d’accès institué par la loi du 17/07/1978.
Les notes, classements et éventuelles appréciations de l’entreprise lauréate du marché sont donc librement communicables, tout comme l’offre de prix détaillée de l’entreprise retenue ainsi que l’offre de prix globale des entreprises non-retenues. (Source : Avis de Mme le Rapporteur général-adjoint, Conseillère de tribunal administratif à la Cada).
Sont exclus de notre demande de communication, les éléments suivants :
- les mentions relatives aux moyens techniques et humains ;
- les mentions concernant le chiffre d’affaires, les coordonnées bancaires ;
- les références autres que celles qui correspondent à des marchés publics.
Nous sommes donc communicables et également consultables sur place :
- Le Cahier des clauses particulières (CCAP)
- Le Cahier des clauses techniques particulières (CCTP)
- Le Règlement de la consultation (RC)
- La Liste des candidats admis à présenter une offre
- Le Rapport de présentation du marché
- Le PV d’ouverture des plis
- La Lettre de notification du marché
- L’acte d’engagement et ses annexes (après occultation des coordonnées bancaires ou RIB et de l’annexe financière)
- Le rapport d’analyse des offres
- Les éléments de notation et de classement
- L’Offre de prix globale ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)
- La Lettre de candidature (DC4) de l’entreprise attributaire
- L’Etat annuel des certificats reçus (DC7) de l’entreprise attributaire
- La Déclaration du candidat (DC5) de l’entreprise attributaire
- L’Offre de prix global ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)
- L’Offre de prix détaillée, le détail unitaire des prix
- Le mémoire technique, etc….
Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par le conseiller communautaire de la CC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. (Source : Le Républicain Sud-Gironde du 11/03/2021).
En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la société TriGironde, prochainement située à Saint-Denis-de-Pile, à au moins 60 km des communes concernées.
Nous avons donc pris en considération les itinéraires parcourus les plus courts (par des voitures citadines) et le temps consacré (toujours par des voitures citadines), Source (ViaMichelin), de ces communes de la CC Convergence Garonne en direction de Saint-Denis-de-Pile :
- Podensac (siège de la CC Convergence Garonne) : 52 km – 1 h de trajet en voiture
- Arbanats : 49 km – 00h53 de trajet en voiture
- Barsac : 54 km – 1h03 de trajet en voiture
- Béguey : 52 km – 00h53 de trajet en voiture
- Budos : 68 km – 1h18 de trajet en voiture
- Cadillac : 51 km – 00h57 de trajet en voiture
- Cardan : 45 km – 00h50 de trajet en voiture
- Cérons : 52 km – 1h de trajet en voiture
- Donzac : 46 km – 00h51 de trajet en voiture
- Escoussans : 43 km – 00h47 de trajet en voiture
- Gabarnac : 52 km – 00h57 de trajet en voiture
- Guillos : 66 km – 1h12 de trajet en voiture
- Illats : 58 km – 1h05 de trajet en voiture
- Landiras : 65 km – 1h10 de trajet en voiture
- Laroque : 48 km – 00h53 de trajet en voiture
- Lestiac-sur-Garonne : 48 km – 00h53 de trajet en voiture
- Loupiac : 52 km – 00h58 de trajet en voiture
- Monprimblanc : 49 km – 00h54 de trajet en voiture
- Omet : 47 km – 00h53 de trajet en voiture
- Paillet : 47 km – 00h49 de trajet en voiture
- Portets : 47 km – 00h50 de trajet en voiture
- Preignac : 58 km – 1h06 de trajet en voiture
- Pujols-sur-Ciron : 62 km – 1h11 de trajet en voiture
- Rions : 49 km – 00h54 de trajet en voiture
- Saint-Michel-de-Rieufret : 56 km – 1h de trajet en voiture
- Sainte-Croix-du-Mont : 53 km – 1h de trajet en voiture
- Virelade : 50 km – 00h56 de trajet en voiture
Le constat est en effet éloquent !
Les habitant-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) se posent des questions sur la pertinence de votre projet de centre de tri :
- Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?
- Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter sur nos routes de campagne ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?
- La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers le futur centre de tri de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?
- De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets vise-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?
- Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire. Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.
Des études sont en cours, le nouveau centre de tri de TRIGIRONDE devrait ouvrir ses portes fin 2022. (Source : SMICVAL, Renforcer la prévention et le recyclage, dans le respect de la réglementation).
Comment dans ces conditions envisagez-vous l’avenir de votre futur centre de tri alors qu’au niveau de la Covid-19, la France ne s’en sort pas, un an après le premier confinement (Source : franceinfo du 16/03/2021) ?
A titre d’exemple, dans la semaine du 06/03 au 12/03/2021, à Saint-Denis-de-Pile, il a été constaté entre 3 et 9 nouveaux cas de Covid-19, 144 tests de dépistage ont été réalisés. (Source : d’après les chiffres de Santé Publique France, estimations Linternaute.com).
- Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.
Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?
Les populations réunies autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies ont représentés une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces centres de tri de plus en plus gros, qui engendrent la peur au quotidien.
A titre d’exemple :
- Le 28/05/2020, alors que les employés s’apprêtaient à quitter le centre de tri de déchets de Bénesse-Maremne (Landes), un incendie s’est déclaré au Sitcom Côte sud des Landes. Le départ de feu, dans les déchets de type « encombrants » stockés sur un espace extérieur, a rapidement gagné en puissance, et les pompiers ont été appelés sur site. Le feu, « couvant », a été éteint à 1 h 10 du matin. 1 500 tonnes de détritus ont été touchées, ce qui a sollicité 30 pompiers de Capbreton, Tosse, Magescq, Saint-Martin-de-Seignanx et Dax (Source : Sud-Ouest https://www.sudouest.fr/2020/05/28/benesse-maremne-40-incendie-au-centre-de-tri-de-dechets-7520962-3301.php ).
- Le 04/07/2020, une partie du hangar de 20 000 m² du centre de tri a brûlé à Istres provoquant une épaisse fumée. Le tweet des pompiers13 en dit long : « 80 #Pompiers13 et une trentaine d'engins sont engagés sur un violent feu d'entrepôt, quartier Prignan à #Istres, provoquant d'importantes fumées. 2000 m2 ont brûlé. Les pompiers mettent tout en œuvre pour éviter la propagation de l'incendie. Evitez le secteur ! ».
- Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232 ).
- Le 14/08/2020, un violent incendie s’est déclaré dans la zone industrielle de Milhaud (Gard). A leur arrivée à minuit, 45 sapeurs-pompiers et 23 véhicules, dont un poste de commandement, ont été confrontés au feu de d’environ 20 000 m3 de déchets de démolition : bois, plastiques, papiers, etc…. Des engins de chantier ont été utilisés pour déplacer les déchets afin de faciliter leur extinction et une équipe spécialisée en risques chimiques s’est même rendue sur place pour vérifier l’absence de pollution dans le Vistre situé à proximité. Le Vistre est un fleuve côtier français qui traverse la Vistrenque, région naturelle et agricole du département du Gard, en région Occitanie. Son cours a été aménagé pour déboucher aujourd'hui dans le Canal du Rhône à Sète. (Source France Bleu Gard Lozère https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/violent-incendie-en-cours-dans-la-zone-industrielle-de-milhaud-1597385279 ).
- Le 21/09/2020, un spectaculaire incendie a ravagé un bâtiment d’une entreprise spécialisée dans le recyclage et la valorisation des déchets industriels où étaient stockés des matériaux composés de papier, de plastique, de bois. Un important dégagement de fumée était visible à des kilomètres. Les équipes du SDIS 68 avaient rapidement établi un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du site. La préfecture a activé le centre opérationnel départemental et demande d'éviter le secteur. Le barriérage mis en place dans le quartier aux abords de l'entreprise en question a été progressivement levé par les services de police. Les élèves et le personnel du collège Hector Berlioz ont quitté l'établissement et sont rentrés chez eux. Une information a été transmise par le collège à l'ensemble des familles, a précisé la préfecture. (Source : France 3 Grand Est https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/colmar/colmar-spectaculaire-incendie-ravage-batiment-entreprise-schroll-1876078.html ).
- Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une performance du recyclage sur le plan économique ?
- Votre projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains ?
- Le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues. Dans l’annexe 1 (communes reconnues en état de catastrophe naturelle), dans le département de la Gironde, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile. C’est donc dans ce contexte défavorable que la SPL TRIGIRONDE envisage de créer un centre de tri de plus 35 000 T, et ce, sans que les populations locales en aient été informées au préalable ? En avez-vous informé les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile ? Quelles incidences en cas de sévère inondation ?
- Nous avons relevé – photos à l’appui – que de l’eau stagnait dans les fossés et même sur les terrains agricoles, aux abords du « Pôle recyclage » du SMICVAL, route de la Pinière. Quels risques pour l’avenir des populations locales en cas de potentielle catastrophe naturelle ?
- La DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré que lors de la visite en date du 10/07/2019, l’inspection des installations classées a constaté les faits suivants, et que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’AP d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;
- articles 1.1 et 2.1 :
_ L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;
- articles 5.2 de l’annexe :
_ Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;
- articles 5.3 de l’annexe :
_ La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;
- article 7.2 de l’annexe :
_ L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :
- en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;
En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).
La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….
- Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?
- Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002, de respecter sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ; sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ; sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!
- Un pauvre cheval accompagné d’un bouc se trouvent à l’arrière du « Pôle recyclage » actuel, non-loin du Chemin des Moines. Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?
Avez-vous pris en considération le CAUSE animale étant donné que le site retenu par la SPL TRIGIRONDE pour y construire ce méga centre de tri de plus de 35 000 T dépasse depuis 2016 les analyses en Phosphore total, en Azote global, en MES, DB05 et DCO ?
- Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de centre de tri parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !
Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.
- La SPL a augmenté de façon vertigineuse son capital social …. Avec l’argent public. Les 530 000 contribuables composant la SPL TRIGIRONDE (SMICVAL, SEMOCTOM, SMICOTOM, SICTOM SUD-GARONNE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULLIENNE) sont-ils informé-es des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE ? En effet, l’AG extraordinaire des actionnaires réunie le 16/06/2020 a décidé d’augmenter le capital social de TRIGIRONDE de 1 025 000 euros pour le porter de 225 000 € à 1 250 000 € par la création de 1 025 000 actions nouvelles de 1 euro nominal chacune émises au pair, à libérer lors de la souscription d’une somme de 560 000 euros représentant 54,63 % du nominal, etc…
- Pourquoi ne pas informer les 530 000 contribuables des 361 communes que le SMICVAL est titulaire d’une créance sur la Société de 221 603 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULIENNE est titulaire d’une créance sur la Société de 22 283 euros ; que le SEMOCTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 134 828 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE est titulaire d’une créance sur la Société de 29 055 euros ; que le SMICOTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 82 63 euros ; que le SICTOM SUD GIRONDE est titulaire d’une créance sur la Société de 69 840 euros ?
- Les 530 000 contribuables de toutes ces communautés de communes sont-ils correctement informés via un site internet entièrement dédié à la SPL TRIGIRONDE alors que cette société ne dispose pas de locaux et que c’est le SMICVAL qui lui met à disposition des espaces de travail ? Est-il possible d’avoir une copie de cette convention temporaire de mise à disposition d’espaces de travail appartenant au SMICVAL ?
Le Département de la Gironde n’a-t-il pas suffisamment de locaux disponibles dans son parc immobilier afin de mettre à la disposition de la SPL TRIGIRONDE d’espaces de travail suffisants pour faire respecter la lutte contre la Covid-19 ?
- Quel est l’urgence d’espaces de travail mis à disposition par le SMICVAL alors que le conseil d’administration de TRIGIRONDE s’est réuni en date du 03/11/2020…. par visio-conférence ?
- Pourquoi n’est-il pas mentionné dans la 9° résolution du PV des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE, en date du 03/11/2020, les mesures de précautions à prendre, plus particulièrement dans le respect du Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19 ?
L’employeur doit ainsi, notamment, évaluer les risques et mettre à jour le document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’entreprise en y intégrant les mesures nécessaires pour éviter au maximum le risque de contamination : information et sensibilisation, organisation du télétravail, réorganisation du travail et des flux pour respecter les règles de la distanciation, gestion et suivi des installations d’aération/ventilation, moyens de protection (masques, écrans de séparation des postes de travail…), nettoyage et désinfection des locaux…).
Les missions de l’employé de TRIGIRONDE, en l’occurrence le DG, cadre développeur habitué aux montages complexes (SEM, SPL, PPP, MPGD) avec une agilité à assurer un développement maîtrisé, sont multiples. Il doit être suffisamment protégé par des résolutions en ce sens puisqu’il doit mettre en œuvre la stratégie du conseil d’administration en définissant les objectifs et les moyens nécessaires à sa bonne exécution. Ses missions principales étant d’assurer, tout de même, la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri, de participer à la définition de la stratégie d’entreprise de TRIGIRONDE.
Comment se fait-il que ce soit le SMICVAL qui ait été chargé de son recrutement ?
Nous avons observé nombre de parcelles de vignobles autour du futur centre de tri. Qu’elle est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?
Question coûts de ce futur centre de tri, les chiffres ne semblent jamais les mêmes :
- investissement du seul bâtiment évalué « à la louche » à 20 millions d’euros en 2017.
- investissement de 18 millions d’euros en 2019.
- évaluation du chantier à 20 millions d’euros.
- « Flou financier » dans la presse de ces derniers jours.
Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir que les députés ont donné leur aval en commission ce dimanche 14/03/2021 à la mise en place d’une “contribution” poids lourds dans les régions qui le souhaitent et qui sera examiné fin mars dans l’hémicycle. “L’objectif est de favoriser le transport des marchandises par des moyens moins émetteurs de gaz à effet de serre (ferroviaire, fluvial…)”, précise l’exposé des motifs du projet de loi.
Avez-vous programmé cet éventuel surcoût régional pour les camions bennes à ordures chargés de collecter le sélectif dans votre cahier des charges ?
En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».
On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :
- la multiplication des centres de tri,
- l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation.
Joëlle KERGREIS, directrice-adjointe à la direction exécutive des programmes de l’ADEME indique « Nous souhaitons que les progrès obtenus dans les filières de gestion des déchets s’accompagnent de transports également optimisés. Nous sommes vigilants à conserver un regard croisé sur les problématiques environnementales, afin que les bénéfices d’une action ne soient pas entachés d’effets néfastes par ailleurs… ».
Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).
Or, l’analyse détaillée, flux par flux, des papiers et emballages recyclables du SMICVAL, par exemple, est sans arrêt en augmentation (+ 0,9 % en 2019).
L’évolution des tonnages entrant au centre de tri actuel du SMICVAL a explosé, à + de 3,8 % (évolution 2018/2019).
Tous les indicateurs sont en constante augmentation, que ce soit en collecte en porte-à-porte en bac jaune, en apport direct par les professionnels, en apport en pôle recyclage, en apport direct par les professionnels, en apport dans les BAV, en apport direct par les professionnels et particuliers sur pesée. Les films plastiques – en apport direct par les professionnels – culminent à plus de 100 % !
Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.
Dans les territoires déjà concernés par l’extension des consignes de tri, chaque habitant du territoire de la SPL TRIGIRONDE devrait donc recycler plusieurs kg supplémentaires d’emballages par an.
Or, nous avons observé – photos à l’appui – que de nombreux dépôts sauvages de plastiques, de sacs noirs d’OMr et de matelas polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais.
Certains espaces verts ont d’ailleurs été nettoyés par des bénévoles du Forum citoyen en direction du chemin des Lorettes ! Qu’en est-il de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?
Comment, dans ces conditions, voulez-vous « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ?
Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?
Par ailleurs, il y a lieu de se poser quelques questions puisque les SPL font l’objet même de critiques dans leur propre mode de fonctionnement.
Le principe de l'utilisation des sociétés publiques locales (SPL) est critiqué, certains y voyant un moyen pour les administrations d'échapper au code des marchés publics et de donner des emplois aux amis du pouvoir.
Christian Julienne, président du laboratoire d'idées libéral Héritage et Progrès, écrit ainsi : « Toutes les grandes villes, les départements et autres vont être naturellement tentés de créer ces sociétés publiques locales pour y mettre les vice-présidents, adjoints, chefs de service et autres amis politiques heureux de devenir entrepreneurs avec l’argent des contribuables et sans se soumettre à la concurrence. […] En outre, le texte lui-même constitue un véritable appel au délit de favoritisme, à la prise illégale d’intérêts et à l’abus de bien social ». Ce point de vue n'est toutefois partagé que par un petit nombre de personnes, la SPL n'assouplissant pas le régime des outils déjà à la disposition des collectivités locales, comme les EPIC, les SEML, ou encore les associations transparentes. Elles répondent au contraire à une critique sur la non-transparence des SEML quant au choix des partenaires privés actionnaires au capital.
Pour ses défenseurs, la SPL reste un outil privé à disposition d'un pouvoir public et est donc un outil, parmi d'autres, permettant d'éviter l'emploi de fonctionnaires publics pour accomplir des missions de service public.
Nous vous remercions de bien vouloir rassurer les 500 000 habitants composant les 361 communes de la SPL TRIGIRONDE en nous communiquant votre point de vue.
Dans l’attente de vos réponses et dans l’attente d’un RDV avec votre DG en vos locaux dans le respect du Protocole national face à l’épidémie de COVID-19 , je vous prie de croire, Monsieur le président, à l’assurance de ma considération distinguée.
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PROJET MAT'ILD DECHARGE MACHEFERS Le Bar sur-Loup (06) : AURA Environnement déclenche l'Opération "Tanière du Loup" !
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/01/2023
- Dans STOP DECHARGE MACHEFERS MAT'ILD LE BAR SUR-LOUP Alpes-Maritimes !
AURA Environnement inonde de tracts
les alentours de Le Bar sur-Loup CONTRE
le projet de décharge de mâchefers proposé par MAT'ILD !
Photo : le président d'AURA Environnement au centre, entouré par le maire de Le Bar sur-Loup (à sa gauche)
François WYSZKOWSKI et le 1er adjoint aux travaux et à l'Urbanisme Georges CAUVIN !
En 2 jours, AURA Environnement en soutien aux populations locales regroupées au sein du Collectif SDV83-06 (STOP DECHETS VAR-ALPES-MARITIMES) a déclenché l'opération "Tanière du Loup" à Le Bar sur-Loup, à Gourdon, le long de la route Napoléon, en tractant massivement dans toutes les boites aux lettres pour que, massivement, les voix s'élèvent lors de l'enquête publique qui s'est achevée le 13/01/2023.
Suite à nos tractages massifs, nos camarades de la région de Le Bar sur-Loup ont donc répondu massivement sur les registre du commissaire-enquêteur et sur l'espace dédié en ligne afin de s'opposer à ce projet dit de "Fabrication de matériaux alternatifs".
"Alternatifs"..... un nouveau mode de communication alors qu'il aurait été plus simple de parler de ces infâmes mâchefers !
Nous avons rencontré plusieurs fois en mairie de Le Bar sur-Loup le commissaire enquêteur pour lui demander la tenue d'une réunion publique comme cela s'est fait lors de notre lutte contre le projet de "décharge" de MAT'ILD à Pourcieux (Var), mais, celui-ci a catégoriquement refusé....
..... alors que nous estimons que les populations locales n'ont pas été suffisamment informées du projet, puisqu'il faudra qu'elles subissent une longue liste de griefs, comme :
- L'augmantation du trafic routier sur un réseau pas du tout adapté. Entre Nice/Antibes et Le Bar Sur-Loup, la RD 3 : un SEUL accès très dangereux qui regorge de camions à bennes basculantes,
- L'augmentation de la pollution due au trafic routier supplémentaire pour plus de 50 T de CO²/an,
- L'augmentation de l'accidentologie sur le parcours retenu vers le parc d'activité de La Sarrée,
- La pollution du sol en phase travaux due aux déblais de 96 000 m3 et aux 18 000 m3 de remblais,
- La pollution des sols dûe aux surplus de terre (78 000 m3) à évacuer en phase travaux,
- La retombée des poussières de mâchefers sur les terrains avoisinants pouvant servir de pâturages y compris la faune et la flore existante (comme le lys Martagon), y compris la culture des bigaradiers,
- La pollution de l'air qui impactera irrémédiablement la vallée de la Sarrée,
- La pollution de l'air en phase exploitation dûe aux poussières fines,
- La pollution olfactive due à la mâturation des mâchefers estimés de 60 000 T à 100 000 T/an !!!!
- La pollution de l'eau par une maîtrise hypothétique des eaux pluviales (risque de débordements des bassins),
- La pollution de l'eau de nos sources, qui viennent en grande partie de Caussols et des montagnes environnantes, par un risque potentiel de fuites des bassins de rétention ou par débordement non-maîtrisé par l'exploitant,
- La pollution de la nappe souterraine par infiltrations du jus des lixiviats (la nappe sous-jacente alimente la région à hauteur de 55 millions de m3/an),
- La perturbation de la faune par purge de la falaise (escargots de Nice, chauve-souris, lézard des Murailles, Lézard vert à raies.....),
- Le traitement physico-chimique (arrosage) des mâchefers visant à diminuer le potentiel polluant de ces derniers et à le concentrer dans les lexiviats, et non, à l'éliminer !
- La séparation aéraulique (soufflage) qui risque d'entraîner des poussières dans l'atmosphère,
- Le risque de perturbation de l'observation pour l'observatoire du SERGA à Caussols (radar de l'aviation civile visible depuis le bord de mer) et situé sur un plateau karstique !
Les tracts d'AURA Environnement sont disponibles en mairie de Le Bar sur-Loup. N'hésitez pas à vous en servir !
Ainsi qu'au Bistrot Le Donjon, rue Francis Paulet à Le Bar sur-Loup !
- Le risque de chute de blocs et d'éboulements sur la RD3 dûs aux passages des camions,
- Le bassion de rétention qui ne sera équipé que d'un repère visuel pour la gestion du niveau des liquides et ce, sans plus de contrôles,
- Les observations de la MRAe qui recommande de procéder à une campagne de mesures atmosphériques précisant la nature des substances contenues dans les poussières et leur concentration....
Les échanges que nous avons eu avec Guy HERON, le commissaire enquêteur, se sont déroulés en forme de "dialogues de sourd". Du jamais vu !
Suite à notre réunion avec le maire de Le Bar sur-Loup, nous lui avons demandé d'organiser une réunion publique en sa présence. Il a refusé. Nous avons demandé une prolongation de 15 jours de l'enquête publique parce que nous prensons que les populations locales n'ont pas été correctement informé-es du projet de A à Z. Il a refusé.
A quoi ça sert alors un commissaire-enquêteur s'il n'y a pas de réunion d'information avec l'exploitant ?
Or, il nous semblait important de contredire les témoignages en faveur du projet déposés par BTP06 et MODBLOC PACA qui stipulaient que le procédé MAT'ILD est breveté (INPI) pouvant laisser supposer à un gage de qualité du fait de ce(s) brevet(s).
Ceci a été contesté par par un internaute (propriétaire de 3 brevets, dont un à l'international), car un brevet n'est absolument pas un gage de qualité de fabrication mais simplement une protection juridique commerciale.
Nous aurions aimé poser publiquement la question relative aux accords potentiels entre la société V. MANE FILS et MAT'ILD concernant l'eau issue de la station de l'usine de Notre-Dame qui devrait être utilisée pour l'humification des mâchefers. Il semblerait que la V. MANE FILS n'aurait pas donné son accord. Alors, si ce n'est le cas, d'où proviendrait donc cette eau vitale pour une bonne utilisation de ce projet d'usine à mâchefers issus du 06 ?
Et si cela ne suffit pas, nous irons voir les producteurs AOC concernés comme les producteurs d'Huile d'olive, d'olives tout court et de pâte de Nice.
Ensuite, nous nous irons voir les 38 producteurs labélisés en IGP, comme l'agneau de Sisteron, le miel de Provence, le vin et le Mousseux des Alpes-Maritimes, le vin nouveau ou primeur des Alpes-Maritimes ou le vin de la Méditerranée qui ne sont, certainement pas au courant d'un tel projet hallucinatoire !
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AURA Environnement s'oppose au projet de décharge MAT'ILD à Pourcieux-Saint-Maximin
- Par auraenvironnementparis
- Le 09/09/2022
- Dans STOP Déchets Var (SDV)
NON au projet de décharge des déchets
de MAT'ILD (Eurovia) à
Pourcieux - Saint-Maximin-la-Baume !
Le comité central d'AURA Environnement a appelé les populations locales - via à un tractage massif de 5 000 tracts - à la mobilisation générale fin août 2022 en se rendant massivement à la réunion publique qui s'est tenue à salle des fêtes de Pourcieux (Var) afin de s'opposer à ce projet de décharge entre Pourcieux et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.
C'est ainsi que les habitant-es des communes concernées ont répondu massivement à notre appel, certaines personnes n'étant même pas au courant du projet aux portes de leur village et des vignobles AOP Côtes de Provence et AOP Côtes de Provence dénomination Sainte-Victoire !
Agissons aujourd’hui pour ne pas le regretter pendant 30 ans !
La société qui porte le projet a 9 millions de dettes pour 12 millions de CA et seulement 1 000 € de capital social !!!
Ce n’est pas sérieux pour exploiter une telle décharge qui nécessite des capacités techniques et financières importantes.
- NON aux norias de camions devant le collège et le lycée de nos enfants
- NON à la pollution de notre ressource en eau en ces temps de canicule
- NON aux odeurs nauséabondes
- NON aux envols de déchets dans notre forêt et nos vignobles
- NON au risque d’incendie dans le Mont Aurélien
- NON à la perte de valeur de nos terres et de nos maisons
- NON à la pollution de l’air
MOBILISONS-NOUS contre ce projet funeste que l’Etat veut faire passer en force en organisant une enquête publique en plein mois d’août !!!
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d'AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif STOP DECHARGES VAR-Alpes-Maritimes (SDV83-06)
- Membre du Comité de Liaison pour la Protection du massif de l'Estérel et du lac de Saint-Cassien (Var)
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Question droiture fac de droit Jean Monnet #Saintetienne : Véolia peut mentir à vie décharge Chatuzange-le-Goubet ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 15/10/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
Bobards en série aux populations locales
proches de la décharge ONYX-VEOLIA
de Chatuzange-le-Goubet depuis 2012 !
Qu'en pense le doyen Jean-Baptiste BONNET
de la faculté de droit "Jean Monnet" de Saint-Etienne ?
A l'extérieur du campus en ces mauvais temps de Covid-19, prière de mettre le masque.... pour mieux en rire de ce qu'il se disait en 2012 dans la presse locale de Chatuzange-le-Goubet.
Ces polémiques faisaient suite à une pétition - version papier - lancée par les populations locales de la décharge mal gérée d'ONYX-VEOLIA et la presse locale soutenait mordicus l'exploitant et la mairie au détriment de la qualité de vie des citoyens.
Quels contrepoids disposent donc les riverains d'une décharge qui disperse de continuelles nuisances lorsque les medias se font le chantre du capitalisme ?
AURA Environnement a donc décidé de lancer l'offensive en apportant son total soutien au collectif CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) pour que le projet de prolongation et d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA ferme définitivement ses portes au 31/12/2021.
Le CDFEC qui rassemble plus d'une centaine de militant-es a le soutien des populations locales ulcérées par la pollution visuelle, l'envol des plastiques et les odeurs nauséabondes d'une décharge qui longe l'autoroute A49 !
RIPOSTE au capital !
PLUIE de MISSIVES sur Chatuzange-le-Goubet :
AURA Environnement déclenche l'opération
"Tonnerre d'Hiver" !
Répondant au désespoir des camarades du collectif de Défense de l'Environnent de Chatuzange-le-Goubet (CDFEC) - indépendant et apolitique - qui désirait une contre-attaque, AURA Environnement a donc déclenché l'opération "Tonnerre d'Hiver" (nom de code : eigne1005) sur tout le territoire de la commune de Chatuzange-le-Goubet.
Plus de 3 000 tracts ont surgi dans les boites aux lettres des habitant-es de la commune les informant de l'offensive surprise lancée par nos camarades drômois du CDFEC et surtout de ce qui les attendait pour les 23 années à venir et ce, jusqu'au 31/12/2043, alors qu'en 2012, "Drôme Hebdo" du 25/10/2012 affirmait que "Le site ne va pas s'aggrandir, c'est faux, il va même fermer en 2022" tandis que les riverains exprimaient leur ras-le-bol de toutes ces nuisances.
"Drôme Hebdo" parlait même d' "une prétendue extension du site", comme si les habitants locaux étaient desinformés ! Un comble ! A quoi bon faire des études de droit ?
Or, l'arrêté préfectoral (n° 26-2020-07-09-002) signé par le préfet de la Drôme le 09/07/2020 vient justifier les craintes des populations locales. Prolongation de la décharge : oui. Extension de la décharge : oui. Projet de pont autoroutier : oui. Encore des odeurs : oui. Encore des envols de plastiques : oui. Nuisance visuelle : oui. Dégradation du cadre de vie : oui. Encore plus d'enfouisssements de déchets : oui. Possibilité de tonnages supplémentaires : oui. Nouvelles rondes infernales de camions : oui. Encore un nouveau casier, cette fois de l'autre côté de l'A49 et encore plus proche des maisons d'habitations : oui. Nouvelles nuisances sonores : oui. Ambroisie en alerte danger : oui. "Bip bip" de recul des engins lourds : oui. Nuisances sonores des tirs de minage et leurs terribles vibrations 1 à 2 fois/jour : oui......
........Stress lié à la transmission des vibrations par le sol : oui. Privation du monde agricole de 17,2 ha de terres cultivables de bonne valeur agronomique, au nez et à la barbe de la CDPENAF (Commission départementale des espaces naturels agricoles et forestiers) : oui. Risque potentiel d'impact du réseau d'irrigation du canal de la Bourne exploité par le Syndicat d'Irrigation Drômois (SID) : oui. Ecopâturage par nos camarades moutons sur les surfaces végétalisées remplies de poubelles : oui. Rafales de vent du Nord sur le futur casier J soufflant en direction de l'A49 : oui. Lixiviats : oui. Le "Pôle Stockage Energie" est-il juste un nom commercial donné au site d'ONYX ARA-VEOLIA à Papelissier, au 810 chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet : oui. Dialogue de sourds avec les riverains depuis les années 2010 : oui. Contestation de l'arrêté préfectoral au tribunal administratif de Grenoble : ENFIN OUI !
Ensuite, AURA Environnement a lancé une pétition (internet et papier) qui récolte à ce jour plus de 60 000 signatures en même pas 1 semaine : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) ! https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012
Le Covid-19 et les mesures de sécurité - dont la distanciation sociale - imposées aux citoyens nous ont empêché de manifester en masse devant la mairie de Chatuzange-le-Goubet.
Nous appellons les masses populaires qui nous soutiennent à opter pour une manifestation virtuelle sur les chemins de Chatu, le 08 novembre 2020 à 10h !
Camarades laboureurs de votre avenir, avançons vers la victoire à Chatuzange-le-Goubet ! .
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+ de 64 000 Signatures. PETITION : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/10/2020
- Dans Pétition AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
LIEN de la PETITION :
https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012
64 848 Signatures ------ 693 Commentaires
Auteur :
Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Destinataire(s) :
Emmanuel Macron (Président de la République)
Madame la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Madame Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot
La pétition
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'extension intolérable de la décharge à poubelles d'ONYX-VEOLIA où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD).
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Or, l’association de protection des animaux et de l’environnement AURA Environnement a pu observer que de pauvres ânes allaient devoir – ENCORE – subir les aléas de cette décharge immonde qui n’en finit pas de polluer l’existence des animaux et des humains puisque l’arrêté préfectoral du 09/07/2020, n° 26-2020-07-09-002, signé par le préfet de la Drôme, viendra submerger une commune déjà largement polluée par d’infâmes odeurs malodorantes et des envols de plastiques, du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an, du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an, du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an. Cerise sur le gâteau : sur demande de l'exploitant, la décharge sera autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
AURA Environnement a constaté, le 15/03/2018, des envols de plastiques sur l'autoroute A49 reliant Valence à Grenoble et qui longe cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022.
Mais cela ne suffit pas, il faut encore et encore plus de déchets à enfouir dans le Nord du département de la Drôme.
L’avis des animaux ne compte pas, alors qu’ils ne sont pas considérés tels des meubles mais comme êtres vivants !
Ils doivent vivre dans la dignité avec tout cela comporte en terme d’espace vital adapté à leur condition physique !
Un projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aide des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui devrait desservir le futur casier J dont la partie Nord-Est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIEFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
Le rapport de l'enquête publique du 21/01/2019 dirigée par le commissaire enquêteur, Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers !
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel ; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on creuse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
« Nous vivons dans un monde de folie incontrôlable, un monde en contradiction totale avec les règles les plus élémentaires que la nature nous enseigne depuis des millénaires, un monde de cinglés qui prend en otage les animaux, essayant de les rendre responsables de tous les maux dont notre puissance de destruction les accable à travers nos propres dérives ». Brigitte BARDOT « Pourquoi » Editions du Rocher
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons, in solidum, aux services de l’Etat :
- La fermeture définitive de cette décharge de Chatuzange-le-Goubet.
- Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.
- Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants avalés par les animaux.
- Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’État 01/10/1996) et désagréments divers !
L’antispécisme appelle à une nouvelle révolution copernicienne contre les tenants de l’obscure tradition qui tentera toujours de défendre l’indéfendable, par peur de voir son modèle rassurant vaciller en s’opposant de façon systématique au tri sélectif des déchets et à la loi de transition énergétique !
Les habitants et tous les animaux de Chatuzange-le-Goubet pourront toujours compter sur le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.
Mobilisons-nous à Chatuzange-le-Goubet, Romans et Valence !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 800 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/- Président d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
- Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), -
Chatuzange-le-Goubet : le Collectif CDFEC s'oppose à l'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/10/2020
- Dans Pôle stockage énergie VEOLIA Chatuzange-le-Goubet
Le CDFEC se mobilise
(Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet)
et s'opposera au projet d'extension intolérable
de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) né de la fusion avec le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC), soutenu par AURA Environnement, a décidé de s'opposer au projet d'extension de la décharge rajeunie en "pôle stockage énergie d'ONYX-VEOLIA" à Chatuzange-le-Goubet, où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains.
Cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022 assure vouloir un projet de continuité - dont est défavorable le CDEFC - en ne prenant pas en compte les enjeux locaux de traitement des déchets.
Par leur transformation et valorisation en électricité, ce "pôle de stockage énergie" ne relèvera pas vraiment les défis de la transition énergétique et de l'économie circulaire puisque les odeurs persistent.
Très attentif sur le suivi du ruisseau de la "Béaure" qui draine la nappe de la molasse à l'est de ce pôle, le CDEFC, en vérifiant plusieurs analyses, a constaté qu'il faisait l'objet d'un suivi trimestriel en amont et en aval du site. Ce suivi réalisé par le laboratoire d'analyses de la Drôme permettrait ainsi d'appréhender les éventuelles contaminations pouvant sortir du flanc est du site (anciens dépôts). Nous ne lâcherons donc rien sur l'innocent "Béaure" !
En ce qui concerne les odeurs, le CDEFC a pu constater qu'elles continuaient d'augmenter cet été 2020 en dépit des évolutions réglementaires, alors que l'exploitant assure que des vannes de régulation automatisées et connectées aux prévisions météorologiques devraient être installées. Elles devraient permettre un réglage et une optimisation du réseau de biogaz pour anticiper les nuisances olfactives, alors que ce n'est pas le cas de nos jours !!!!
Le CDEFC a relevé d'immondes perceptions d'odeurs et d'envols de plastiques sur l'autoroute reliant Romans à Grenoble et qui longe cette décharge.
Le CDEFC a demandé à AURA Environnement pour qu'elle intervienne auprès du préfet de la Drôme afin que cessent ces envols de plastiques, qui, portées par les vents violents, sont nuisibles pour les populations locales et les automobilistes.
Ainsi, le 04/04/2018, AURA Environnement, après avoir constaté des envols de centaines de plastiques sur l'A49 écrivait à AREA..
En effet, le 15 mars 2018, nous étions parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet et nous avions observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme on pouvait le constater via nos photos. Plusieurs sacs plastique s'étaient retrouvés sur notre pare-brise. Ce qui n’est pas normal et particulièrement dangereux.
Nous demandions à AREA s’il existait un plan de collecte des déchets qui s’envolent d’ONYX, si des pénalités existaient dans ces cas de pollution visuelle et environnementale, combien de fois cela se reproduisait-il dans une année, quelles sanctions AREA envisageait de prendre en cas de récidive ? Des accidents se sont-ils déjà produits à cet endroit à cause de ces envols ?
Lassé d'attendre une réponse qui ne venait pas, le 25/08/2020, le président d'AURA Environnement écrivait directement aux actionnaires américains d'APRR (Bron - Rhône-), le gestionnaire du réseau via sa filiale AREA (Saint-Marcellin - Isère -) :
"Vous vous êtes bien gardés ne pas donner suite à notre courrier (photos à l’appui), du 04/04/2018 vous alertant sur les dangers encourus par les conducteurs de véhicules concernant les envols de plastiques longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », et ce, de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet,
Pourtant, lors d’une réunion dans la Drôme, le 22/05/2018, j’ai rencontré Mr RIVAT de VEOLIA qui m’a bien confirmé que vous lui aviez fait part de nos observations sur ces envols inadmissibles. Il semblerait d’ailleurs que les contrôles des envols de plastiques par l’UT Dreal Drôme-Ardèche n’aient pas été suffisamment effectués, car comment expliquer que des milliers de plastiques puissent joncher votre l’A49 dont vous en avez la concession via le consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie) ?
Comme vous ne voulez toujours pas nous répondre, j’ai écrit au préfet de la Drôme, le 15/08/2018, tout juste après le dramatique incident du pont de Gênes en Italie, pour lui faire part de votre attentisme plutôt inquiétant.
D’autant plus que vous n’êtes pas sans savoir que la société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes de Vaulx-en-Velin, vient de demander la recevabilité de sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat, de sa décharge de Chatuzange-le-Goubet, classée en ISDND.
La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Dans ce dossier de recevabilité par les services de l’Etat dans la Drôme, VEOLIA indique qu’un pont est nécessaire sur l’autoroute A49, pour l’exploitation du futur casier J (Phase 3, exploitation de ce casier pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette autoroute…).
Dans la présentation de son projet d’extension de sa décharge sur des terrains agricoles, VEOLIA précise qu’il s’est rapproché de la société AREA « pour la signature d’une convention bipartite pour la réalisation des études, de la construction et de l’entretien du pont enjambant l’autoroute A 49 ».
Au vu de nos constats d’envols de plastiques sur les pare-brises des utilisateurs de votre A 49, nous ne pensons pas que VEOLIA fasse pleinement bénéficier la société ONYX ARA de son « savoir-faire » et de ses capacités en matière de gestion des déchets, notamment en matière de tri, de collecte, de recyclage ou de stockage, puisque les plastiques s’envolent et pullulent dangereusement sur une autoroute dont la devise est « Nous sommes là » !!!
Je suis vraiment désolé, mais vous n’êtiez pas vraiment là lorsque nous avons constaté ces envols de plastiques sur l’A 49, en ces jours de vents mauvais de début de printemps 2018.
Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis.
Nous vous alertons sur les dangers encourus par la construction d’un tel pont enjambant l’A 49 pour rejoindre le potentiel futur casier J qui aura notamment, les caractéristiques suivantes : surface 7 000 m² ; longueur 220 m ; largeur minimale 23 m ; pente uniforme de 5% vers le Nord-Ouest.
En effet, au vu de ce qui vient de se passer à Gênes, nous demanderons au tribunal administratif de désigner des experts afin d’intégrer pleinement l’évaluation de la stabilité du casier J, en phases d’exploitation et de post-exploitation en terme de conditions normales et sous séisme du fait de la proximité immédiate de cette autoroute A 49.
Le projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
AURA Environnement met en garde les utilisateurs de cette autoroute A 49 et sur ce projet d’étude de faisabilité entre le concessionnaire autoroutier AREA et VEOLIA, tout cela parce que la société VEOLIA veut faire encore plus d’économies afin, notamment, de conserver les infrastructures existantes à l’exploitation de ce casier J, alors que les autres casiers sont déjà MAL gérée par ONYX qui ne respecte déjà pas ses obligations de sécurité des usagers de votre autoroute A49 qui est déjà la « poubelle » autoroutière de la Drôme, grâce à l’incompétence d’ONYX-VEOLIA !
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?
AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aides des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui desservira ce casier J dont la partie Nord est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
En ce qui concerne les risques technologiques et le transport des matières dangereuses, il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).
Sans compter que VEOLIA, en retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet reconnaît – dans sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat – que les incendies constituent les évènements principaux affectant les installations de traitement et d’élimination des déchets, suivis par les rejets de produits dangereux, puis les explosions (stockage de déchets interdits explosibles, ou fuite de biogaz).
Depuis 2007, 8 départ de feu sont survenus dans le casier de stockage en cours d’exploitation (Source VEOLIA).
Quelles incidences en terme d’accidentologie pour le futur pont enjambant votre autoroute A 49 ?
Toujours en terme de retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet, VEOLIA reconnaît qu’un autre facteur de risque est « constitué par le vent, compte-tenu de la proximité de l’autoroute A 49 » puisque que « des envols de déchets pourraient en effet provoquer un accident ».
C’est exactement ce qu’AURA Environnement vous a dénoncé dans notre courrier du 04/04/2018. Vous avez préféré ne rien dire, façon « à l’italienne » : on ne répond que lorsque que l’on est acculé par la presse, le gouvernement, les populations, uniquement lorsqu’il y a des dizaines de morts sur une autoroute européenne ?
Avec les photos d’envols de plastiques en masse sur l’A 49 qu’AURA Environnement a envoyé à AREA, nous ne pouvons qu’émettre un sérieux doute sur les mesures mises en œuvre par VEOLIA pour prévenir ce risque majeur avec la mise en place de filets pare-envols troués ou tout simplement pliés sous l’effet des vents forts !!!
Après le dramatique accident du pont de Gênes, AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, de rassurer les populations locales de Chatuzange-le-Goubet, sur le projet de collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
- Comment sera assurée sa protection physique ?
- Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
- Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
- Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?"
Et ce n'est que le 06/09/2018 qu'AREA nous répondait !!
Il est clair que notre mail du 04/04/2018 à AREA avait fait réagir VEOLIA qui parle de "fait" plutôt "exceptionnel" comme si c'était la première fois que les envols de plastiques, c'était de la faute du vent et du manque de prévisions de la préfecture de la Drôme !!!
Le rapport de l'enquête publique (EP) dirigée par le commissaire enquêteur (CE) Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers.
Le projet d'extention phase 3 (casier J) sans le pont sur l'A49
Documents, Photos © AURA Environnement
En effet, un commentateur (dont le nom n'a pas été publié, indique : "Différentes mesures sont proposées pour limite les envols. Pour autant on sait qu'il très difficile de les supprimer totalement. La position du casir J situé au nord et sous le vent du nord par rapport à l'autoroute A49 me paraît préoccupante (risques pour la circulation autoroutière en cas d'envolement massifs).....".
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on ceruse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
L'actuelle décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet....
Les mêmes réjouissances pour les riverains après 2022 ???
Bonjour les dégâts : du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an
Du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an
Du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an
Cerise sur le gâteau : Sur demande de l'exploitant, la décharge sera
autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
(Source : Arrêté préfectoral n° 26-2020-07-09-002 du 09/07/2020)
Sur l'impact environnemental, la Frapna pose les bonnes questions : "Le site du projet est très proche et se rapproche encore dans son évolution, des habitations. L'impact sanitaire de l'équipement sur les populations est-il évalué ? Sur quels critères, sur quel échantillon de population, avec quel suivi ? ".
Dommage que la FRAPNA ait approuvé la demande d'autorisation d'extension de cette décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet, lors du CODERST du 16/06/2020 ! Si on ne peut plus compter sur les associations environnementales de la Drôme !
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour s'y être opposé depuis le début en ayant demandé de maintes fois le programme du CODERST à la préfecture de la Drôme !
Les réjouissances à venir pour les riverains :
Casier H (Uniquement la réhausse à compter du 01/01/2022, en tant que simple poursuite d'exploitation) : Surface à la base, hors digues : 60 000 m² ; Capacité de stockage : 300 000 m3...
Casier I : Hauteur des déchets : 40 m ; Capacité de stockage : 1 400 000 m3....
Casier J : Hauteur des déchets : 41 m ; Matériaux excavés : 784 000 m3 ; Capacité de stockage : 1 240 000 m3...
Cette décharge a bénéficié en 1976 d'un premier arrêté préfectoral, puis d'autres casiers de déchets non-dangereux (DND) ont été autorisés. Ils ont été appelés A, B, C, D, E, F, G, et H. Seul le casier H est encore en exploitation. Il a été nautorisé jusqu'au 01/01/2022 par arrêté préfectoral n° 04-1193 ezn date du 23/03/2004. La quantité maximale de DND pouvant être accueillis s'élevant à 180 000 T/an...
Le cauchemar continuera donc pour les riverains de cette décharge. Les promesses de fermeture définitive ne valent pas plus qu'un pet jeté à la figure des populations locales.
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
Place aux futurs casiers I, J et ainsi de suite.... pour les futures générations qui naîtront avec la dévalorisation de leur milieu naturel et de leurs habitats...
Où est l'intérêt général dans tout cela ?
IL EST GRAND TEMPS DE DIRE STOP à la poursuite de la DECHARGE d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qui est en train de devenir la poubelle du Nord de la Drôme !
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
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AURA Environnement fait capoter l'ODJ du Coderst 26 extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/02/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
AURA Environnement et le collectif CHDVC
- Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet -
déclenchent l'opération "Rouge-gorge" en faisant capoter
l'ordre du jour du Coderst du 13/02/2020 qui aurait permis de
donner 140 000 T à l'extension #décharge d'ONYX-VEOLIA
avec le feu vert de la FRAPNA Drôme nature environnement ?
Alors que des cloportes essaient de saboter les actions d'AURA Environnement et du Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas/Les Granges-Gontardes largement soutenu par une grande partie des gontardien-nes qui ont gagné à la sueur de leur front le recours en référé contre le 1er PLU des Granges-Gontardes et la Cassation, AURA Environnement a décidé de déclencher la riposte contre les oiseaux de mauvaise augure qui veulent nous savonner la planche, pour ne pas dire mentir aux populations locales lors d'actuelle enquête publique sur le PLU des Granges-Gontardes en minimisant notre rôle.
AURA Environnement, en boomerang, a donc décidé de déclencher l'opération "Rouge-gorge" contre le projet d'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA qui ne repectera pas les conditions de la loi de transition énergétique (LTE)..
Tandis que l'ordre du jour avait été envoyé à tous les membres du Coderst de la Drôme pour la session du 13/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu AURA Environnement a décidé d'interpeller le préfet de la Drôme, Hugues MOUTOUH et la Dreal 07/26 sur notre opposition au projet d'extension de la décharge de Chatuzanges-le-Goubet, parce qu'il n'y pas de place au projet de Veolia au Nord de la Drôme, parce que les populations locales en ont plus que marre des envols de plastiques dans les champs ou sur l'autoroute A49, des odeurs, du projet de pont enjambant l'A 49, etc....,
Camarades, vous voudrez bien trouver ci-joint le contenu de notre courrier au préfet de la Drôme.
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Monsieur le préfet,
Il semblerait que le prochain Coderst 26 ait à rendre un avis le 15/02/2020 sur un projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet et présenté par la société ONYX ARA du groupe VEOLIA. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.
Le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement s’oppose à ce potentiel ordre du jour du Coderst et contestera, in fine, votre futur AP autorisant ce projet de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND).
La décharge à Chatuzange-le-Goubet a bénéficié en 1976 d’un premier AP d’autorisation d’exploiter un casier de stockage de DND, appelé zone de stockage « SIVOM ». Ensuite, d’autres casiers (A à H) de DND ont été exploités sur une surface globale d’environ 45 ha. Le casier H est encore en exploitation (Réhausse par digue périphérique). Il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par AP n° 04-1193 su 23/03/2004. La
quantité maximale de ces DND pouvant être accueillis s’élève à 180 000 T/an.Ceci représentait et représente encore, déjà, une position quasi-monopolistique dans le nord de la Drôme alors que les besoins en DND dans la Drôme ne sont pas répartis de façon équitable et surtout pas du tout en corrélation avec la loi de transition énergétique.
Les populations locales rassemblées autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) ne veulent pas d’une nouvelle autorisation d’exploiter de cette décharge qui accueille des DND ultimes comme les refus des opérations de tri et recyclage des déchets, des ordures ménagères résiduelles, des encombrants de déchèteries, des déchets d’activités économiques, des refus de broyats automobiles (RBA) et des mâchefers utilisés comme couverture intermédiaire.
Ces DND proviennent principalement des départements de la Drôme et de l’Ardèche mais aussi de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie.
Ce projet ne pourrait se faire que via un PLU déjà totalement acquis à sa cause et fait « sur-mesure » et ce, au dépens de l’abandon de nos zones agricoles ainsi que par l’apport d’une quantité annuelle maximale de déchets de 150 000 T entre 2022 et 2024, puis de 140 000 T à compter de 2025, hors dépannages ponctuels de dernière minute, pour une quantité journalière dite maximale de 1 500 T.
Cette extension nécessiterait 2 nouveau casier :
- Le I, accolé au casier H, pendant 10 ans
- Le casier J pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette
autoroute.Les populations locales ne veulent pas d’une extension de cette décharge qui devrait porter son exploitation sur une période s’étalant de 2022 à 2043, avec risque d’AP interminaux concernant des vides de fouille qui n’en finiraient plus pour cette capacité de stockage estimée à minima de 2 940 000 m3 moins 1 014 000 m3, soit environ 1 800 000 T qui seraient commercialisés.
Le Plan de prévention et de gestion des déchets non-dangereux régional, non encore notifié, s’est donné comme objectif prioritaire d’imposer à partir de 2025, une capacité annuelle d’élimination par stockage des DND qui ne soit pas supérieure à 50 % de la
quantité des DND admis en installation de stockage en 2010 (Article R. 541-17).Nous aimerions que les compatibilités de projets en cours en ce début 2020, dans la Drôme, ne soient pas discriminatoires les unes, les autres.
Pourquoi tolérer un projet titanesque de 140 000 T comme celui de VEOLIA dans le Nord de la Drôme et refuser le projet PAPREC aux Granges-Gontardes, au Sud de ce département qui annonce lui, dans l’actuelle enquête publique (EP) que 75 000 T de DND ?
Deux poids, Deux mesures ?
Puisque la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 fixe une réduction de la mise en décharge de 50% des déchets non-dangereux à l’échéance 2025 par rapport à 2010, pourquoi le projet PAPREC ne répondrait-il pas, lui aussi, finalement, à l’intérêt général puisqu’on peut lire qu’il entend respecter ce que la loi impose : le développement de la réutilisation et du recyclage des déchets ?
Avec de tels objectifs que nous ne contestons pas, et ce, dans le cadre d’une planification rigoureuse et une politique ambitieuse des différentes collectivités, la réduction de la quantité de déchets à enfouir ne devrait-elle pas être plus importante et s’accroître régulièrement chaque année, comme par exemple, dans le Nord de la Drôme et plus précisément à Chatuzange-le-Goubet étant donné que ceci devrait
engager une planification rigoureuse et une politique efficace des différentes collectivités ?Cette planification devrait permettre un calcul adapté des besoins en centre d’enfouissement dans les années à venir, pour le département de la Drôme et pour les départements voisins. Pour limiter les transports et responsabiliser chaque territoire sur les impacts de ces décharges, il semble donc nécessaire de les répartir géographiquement au plus près des besoins.
Le gisement des déchets Drôme/Ardèche appartient à tous les exploitants et ne doit pas être réparti à deux monopoles existants qui voudraient gérer l’avenir de la valorisation des déchets de façon inéquitable et totalement opportuniste.
Le plan Drôme-Ardèche de prévention et de gestion des déchets estimait, pour 2010, les déchets enfouis en « décharges » à 599 500 tonnes par année, dont 200 500 tonnes « importées » d’autres départements que la Drôme et l’Ardèche. Sur l’année 2025, pour appliquer la loi TECV, les déchets enfouis sur ce territoire devront être réduits à 299 750 tonnes dont 100 250 importées.
Or, le monopole n’est absolument pas conventionné par la loi dite de TECV.
Autoriser ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet qui ne répond pas à l’intérêt général, c’est développer la production des déchets pour alimenter l’économie locale, c’est admettre que nous n’engagerons pas leur réduction de façon équitable sur les départements de la Drôme et de l’Ardèche !
Sans parler de l’avenir de la compatibilité de ce projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet, nous ne pouvons pas tolérer de nouveaux dysfonctionnements détectés suite au non-respect des consignes du protocole de sécurité mis en place pour cette décharge de Chatuzange-le-Goubet, comme ce fut le cas en 2015 (source : rapport de l’exploitant 2016), avec :
- La distance de sécurité non-respectée lors du vidage des bennes
- Le risque de chute des chauffeurs sur bennes
- Les bennes non-adaptées aux déchets
- La vitesse excessive sur le site des « Pourcieux »
- Le non-respect des panneaux de signalisation
- Le non-port des EPI
- Les bennes non-bâchées arrivant sur le site.Nous aimerions que vous puissiez transmettre à la DREAL de l’Unité inter-départementale Drôme-Ardèche notre demande de rapports de contrôle de cette ICPE de Chatuzange-le-Goubet en terme d’inspection approfondie, courante, ponctuelle, annoncée ou inopinée, planifiée ou circonstancielle conformément à l’arrêté ministériel du 15/02/2016 relatif aux ISDND (Articles 16-IV et 31 : « radioactivité » ;
Article 16- II : « pesage » ; Article 14 – II : « Bassin de stockage des eaux de ruissellement internes au site » ; Article 16-III : « Toute canalisation de rejet à l’extérieur de l’installation est équipée d’un dispositif, synchronisé avec les rejets, mesurant le pH, la conductivité et la quantité d’effluents rejetés » : Article 33- III « Débroussaillage et procédure relative à la conduite à tenir en cas d’incendie sur l’installation » ; Article II non applicable aux ISDND existantes « Volume minimal à tenir et niveau des lixiviats stocké », et à l’AP d’autorisation d’exploiter.Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC ne veulent plus d’odeurs qui constituent la nuisance la plus dénoncée par les riverains (Source : Rapport de la DREAL du 04/07/2018), puisqu’en 2016, pas moins de 21 réclamations de riverains agacés ont été enregistrées, dont 19 portant sur les odeurs émises au niveau du site. La période estivale étant la plus délicate, la température
élevée accélère la biodégradation étant donné que la vie en extérieur est beaucoup plus importante qu’en hiver.La mauvaise gestion par ONYX-VEOLIA des déchets et des lixiviats a donc été la panacée sur le site des « Pourcieux » à Chatuzange-le-Goubet et ce, aux dépens de la qualité de vie de nos camarades-riverains.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC dénoncent la non-maîtrise des envols des déchets et ce, nonobstant l’équipement de filets pare-envols, comme ce fut le cas, lorsque le 04/04/2018 nous avons alerté les sociétés APRR et AREA, gestionnaire de cette autoroute. Nous avions observé (photos-preuves à l’appui) de nombreux envols de plastiques en provenance du site d’exploitation d’ONYX situé au lieu-dit « Pourcieux » sur cette chaussée très fréquentée, axe Valence-Grenoble.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC sont opposées au projet préalable d’aménagement d’un pont devant franchir l’A 49 au Sud-Est du casier « J » en forme d’un dôme fantasque, et qui sera supérieur à 225 m NGF, car ceci n’évitera pas l’augmentation du trafic routier du hameau des « Blaches » et du quartier des « Pourcieux », mais surtout un surcoût aux collectivités territoriales aux finances locales exsangues dû, tout d’abord aux études de faisabilité de ce projet technique.
Les risques technologiques et le transport des matières dangereuses sont à prendre en compte de façon primordiale. Il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).
Ce projet de pont sur l’A 49 est prévu pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera ancrée dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC s’interrogent sur le devenir du collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
- Comment sera assurée sa protection physique ?
- Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
- Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
- Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?AURA Environnement a réussi à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal au tribunal administratif de Lyon après des décennies d’injustices sur les populations locales. AURA Environnement a gagné son référé suspensif et la cassation en faisant suspendre un PLU au sud de la Drôme.
Nous irons contester le futur arrêté préfectoral d’autorisation (AP) car le projet de Chatuzange-le-Goubet est un projet inutile.
Le constat est unanime : pour les départements Drôme-Ardèche, les syndicats intercommunaux et toutes les collectivités n’ont pas suffisamment investi dans la réduction des déchets. Donc, les puissants industriels en position de monopole s’entendent pour agrandir les sites existants. C’est en effet plus facile de se développer sur des territoires où l’acceptation de la population est presque déjà acquise ; pour l’exploitant, faire grossir un site permet aussi des économies d’échelle.
Ces décharges impactent l’environnement, aujourd’hui et pour l’avenir de nos enfants de Chatuzange-le-Goubet : destruction des milieux, pollution du sol, de l’eau, de l’air…
Plusieurs millions de tonnes de déchets enfouies, vilain cadeau pour les générations futures ! Alors que les ressources naturelles vont manquer, alors que le dérèglement climatique menace les humains, refusons l’inaction.
Réduisons donc les déchets dans le Nord de la Drôme et stoppons ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet !
Mr le préfet, vous ne devez accorder que 70 000 T au projet de décharge de Chatuzange-le-Goubet.
Dans l’attente de votre réponse et de celle de vos services, je vous prie de croire, Mr le préfet, à l’expression de ma considération très distinguée.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) -
AURA Environnement gagne référé au Tribunal administratif de Grenoble contre PLU Les Granges-Gontardes STOP décharge COVED !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/12/2018
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
AURA Environnement soutenue massivement par gontardien-nes
et les habitants des communes voisines a gagné
SEULE son référé au tribunal administratif de Grenoble CONTRE
révision PLU visant installation décharge COVED de Roussas !
La commune des Granges-Gontardes condamnée à nous verser 800 €.
Le camarade Marc-Claude de PORTEBANE a mis toute son énergie
au services des habitant-es des Granges-Gontardes !
Alors que la minuscule association locale AGRAVE et la FRAPNA 26 ont totalement refusés de nous soutenir !!!
Par une requête enregistrée le 08/11/2018, l'association AURA Environnement, M. Cédric BERTELLO, Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, Mme Sophie BEYSSIER, M. Stephan BEYSSIER, M. Henri BOUR, Mme Catherine CURIE, M. Pierre GAUTHIER, M. Gilles HECQUET, Mme Marie-Thérèse HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, Mme Hélène IVANEZ, M. Jean IVANEZ, M. Gil LAMURE, M. Eric MARTINEZ, M. Claude REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, Mme Marie-José ROUSTANT et M. Jean-Michel TARTARIN, représentés par Me François RUFFIE du barreau de Libourne, ont demandés au juge des référés :
1°) de suspendre l'éxécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme, sur le fondement des articles L.122-12 ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-du code de justice administrative ;
2°) de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes une somme de 2 000 € à verser à chacun des requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Nous soutenions que :
- aucune évaluation environnementale n'a été réalisée en méconnaissance de l'article L. 121-10 du code de l'environnement ; les conclusions du commissaire-enquêteur doivent être regardées comme défavorables ; la condition d'urgence de l'article L. 521-1 du code de justice administrative est, par ailleurs, remplie ;
S'agissant des moyens propres à créer un doute sérieux sur la légalité de la délibération ;
- aucune évaluation environnementales n'a été effectuée ; l'analyse de la DREAL est erronée quant à la durée de l'atteinte à l'environnement et au regard du fait que la zone UI se situe en ZNIEFF de type 1 ; les informations transmises à la DREAL semblent être partielles ;
- le rapport de présentation est insuffisant au regard des articles L. 521-2 et L. 151-4 du code de l'environnement et cette insuffisance n'est pas palliée par le projet d'aménagement et de développement durable lui-même insuffisant ;
- les modalités de la concertation définies par la délibération du 29 juin 2010 n'ont pas été respectées en méconnaissance de l'article L. 300-2 du code de l'urbanisme : la création de la zone UI n'avait pas été évoquée au moment de la concertation ;
- le dosier d'enquête publique ne contenait pas certains avis des personnes publiques associées en méconnaissance de l'article R. 123-8 du code de l'environnement et leur ajout tardif n'a pu couvrir cette irrégularité ;
- le plan local d'urbanisme n'est pas compatible avec le SDAGE en méconnaissance de l'article L. 131-7 du code de l'urbanisme ;
- le plan local d'urbanisme ne prend pas en compte le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux en méconnaissance de l'article L. 541-15 du code de l'environnement ;
- le zonage UI est entaché d'erreur manifeste d'appréciation.
... La commune des Granges-Gontardes était représentée par Me BARD et la COVED par Me BRAUD...
Au cours de l'audience publique du 27 novembre 2018, ont été entendus le rapport de Mme HOLZEM (juge des référés désignée le 01/09/2017 par le président du tribunal), les observations de Me RUFFIE représentant l'association AURA Environnement et autres, de Me BARD représentant la commune des Granges-Gontardes, de Me BRAUD représentant la société COVED, de Marc-Claude de PORTEBANE, président de l'association AURA Environnement et de Michel APROYAN, maire de la commune des Granges-Gontardes.
La clôture de l'instruction a été prononcée à l'issue de l'audience...
La juge des référés du tribunal administratif de Grenoble a considéré ce qui suit :
- 1. Par une délibération du 11/09/2018 le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme. Ce plan local d'urbanisme prévoit, notamment, la création d'un secteur UI définit par le règlement comme aynat "pour vocation de permettre l'extension de la partie "enfouissement" de la plateforme multi-filières de tri, stockage, enfuissement, valorisation des déchets non-dangereux de Roussas". Les requérants sollicitent la suspension de l'exécution de cette délibération sur le fondement de l'article L. 122-12 (devenu L. 122-11) ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-1 du code de justice administrative.
Sur l'intervention en défense :
2. La société COVED, qui assure la gestion du centre d'enfouissement de Roussas en limite directe de la commune des Granges-Gontardes et dont l'extension est envisagée, justifie d'un intérêt au mmaintien de la délibération en cause. Son intervention en défense est, par suite, recevable.
Sur les fins de non-recevoir soulevées en défense :
3. D'une part, M. et Mme BERTELLO, M. et Mme BEYSSIER, M. GAUTHIER, M. et Mme HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, M. MARTINEZ, M. REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, et M. et Mme ROUSTANT déclarent tous être habitants de la commune des Granges-Gontardes. Le maire de la commune, interrogé sur ce point à l'audience, a confirmé que plusieurs habitants de la commune sont parties de l'instance. Leur qualité d'habitant de la commune leur confère intérêt pour agir à l'encontre de la délibération approuvant le plan local d'urbanisme. Ainsi, sans qu'il y ait lieu de rechercher si les autres requérants ont qualité ou intérêt pour agir contre la délibération contestée, la fin de non-recevoir soulevée doit être écartée.
4. D'autre part, contrairement à ce qui est soutenu en défense, la requête visée a été formellement présentée conformément aux dispositions de l'article R. 414-3 du code de justice administrative. La fin de non-recevoir soulevée à ce titre doit être écartée.
Sur la demande de suspension d'exécution présentée sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative :
En ce qui concerne l'urgence :
5.......
6.......
En ce qui concerne les moyens propres à créer un doute sérieux :
7........
8...........
9..........
10. Il en résulte de tout ce qui précède qu'il y a lieu de suspendre l'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme.
Sur les frais de procès :
11. En vertu des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative, le tribunal ne peut pas faire bénéficier la partie tenue aux dépens ou la partie perdante du paiement par l'autre partie des frais qu'elle a exposés à l'occasion du litige soumis au juge. Les conclusions présentées à ce titre par la commune des Granges-Gontardes et la société COVED, ces dernières au demeurant irrecevables, doivent dès lors être rejetées. Il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes, une somme de 800 € à verser aux requérants au titre des frais exposés et non compris dans les dépens. .
ORDONNE
Article 1er : L'intervention de la société COVED est admise.
Article 2 : L'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 est suspendue.
Article 3 : La commune des Granges-Gontardes versera une somme de 800 € aux requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Article 4 : Le surplus des conclusions des parties est rejeté.
Article 5 : La présente ordonnance sera notifiée à l'association AURA Environnement, à M. Cédric BERTELLO, à Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, à Mme Sophie BEYSSIER, à M. Stephan BEYSSIER, à M. Henri BOUR, à Mme Catherine CURIE, à M. Pierre GAUTHIER, à M. Gilles HECQUET, à Mme Marie-Thérèse HUGUES, à M. Jean-Marc HUGUES, à Mme Hélène IVANEZ, à M. Jean IVANEZ, à M. Gil LAMURE, à M. Eric MARTINEZ, à M. Claude REDON, à M. Jean-Luc ROUSTANT, à Mme Marie-José ROUSTANT, à M. Jean-Michel TARTARIN, à la commune des Granges-Gontardes et à la société COVED.
Fait à Grenoble, le 04 décembre 2018.
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(Précisions d'AURA Environnement : les points 5, 6, 7, 8 et 9 étant très longs seront développés dans les prochains jours lors de nos différentes mises à jour).
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Décharge #LelyEnvironnement Saint-Quentin/Isère : le Collectif SD-SQI ne lâchera rien !
- Par auraenvironnementparis
- Le 28/05/2018
- Dans STOP décharge Lely Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère
Avant la tenue de la CSS 2018 préfecture Grenoble :
le collectif SD-SQI écrit au préfet de l'Isère
et planifie de nombreuses actions pour 2018 !
Le Collectif des riverains Stop Décharge- Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) soutenu par les antispécistes et écolos-marxistes d'AURA Environnement s'est réuni fin avril 2018, sous la houlette de Marc-Claude de PORTEBANE, pour décider des actions 2018 afin de bien surveiller la décharge de Lély Environnement située au lieu-dit "L'Echaillon".
RAR au préfet de l'Isère :
Dans la lettre en RAR adressée au préfet de l'Isère, nous lui avons dit ce que nous avons décidé collectivement :
- Le SD-SQI a voté à l’unanimité ses représentants à la prochaine CSS de 2018 et pour les années suivantes : Titulaire : Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : Elisabeth BOUTEAU, Suppléante-adjointe en cas d’absence de la camarade suppléante : Valérie NAON.
- Le SD-SQI désire effectuer une visite annuelle du site de Lély Environnement, et ce, au moins un mois avant la réunion de la CSS, et ce, en présence du maire et du représentant, élu, à la commission environnement de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère.
- Le SD-SQI a voté à l’unanimité ses représentants à la commission communale « Environnement » qui doit ABSOLUMENT se tenir en mairie : Titulaire : Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : Elisabeth BOUTEAU, Suppléant-adjoint : Dominique BOUTEAU.
- Le SD-SQI demande à la préfecture de l’Isère que nous soient communiqués les informations sur les éléments suivants conformes aux dispositions de l'arrêté ministériel du 15/02/2016, et ce, sans avoir à saisir la CADA :
- la mise en place de barrières passive et active en fond des nouveaux casiers,
- la mise en place d'une couche de renforcement sous les barrières active et passive afin de protéger ces barrières de l'effet de tassements,
- la collecte et la valorisation du biogaz (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site,
- la collecte des eaux de ruissellement interne à la zone de stockage dans une série de bassins puis rejet par bâchée (un contrôle du pH et de la conductivité est prévu avant chaque bâchée, complété par une mesure annuelle de l'ensemble des paramètres réglementés),
- la poursuite de la surveillance des eaux souterraines au droit du site,
- la mise en place d'un suivi des tassements, conformément à l’arrêté préfectoral.
- En ce qui concerne les mâchefers, Le SD-SQI aimerait avoir des précisions annuelles sur leurs conditions de stockage. Tout comme, il nous paraît indispensable d’avoir communication des services de l’Etat sur :
- Le taux de présence de métaux lourds dans les essais de la lixiviation règlementaire.
- Le plan de gestion des lots de mâchefers.
- Le registre tenu par l'exploitant LELY Environnement à la disposition de l'inspecteur des installations classées (origine, date d'arrivée, localisation des mâchefers).
6- Avant chaque CSS, le SD-SQI demande que lui soit envoyé – en même temps que la mairie – et en 2 exemplaires (1 pour le président, 1 pour la secrétaire) -, le rapport annuel complet et réglementaire que doit remettre l’exploitant LELY ENVIRONNEMENT aux services de l’Etat...
RAR au MAIRE de Saint-Quentin-sur-Isère :
Comme nous l’avons indiqué à la Mission de coordination interministérielle de la préfecture de l’Isère dans notre dernier courrier en RAR, nous aimerions que la réunion de cette Commission environnement 2018 se tienne avant la CSS prévue cet été en préfecture de l’Isère.....
.....Ce qui nous intéresse, dans cette future réunion de cette Commission environnement communale, c’est d’aborder chaque année, le sujet relatif à l’ISDND de LELY Environnement et d’en faire un rapport annuel de présentation à la CSS annuelle aux représentants de l’Etat et de l’exploitant.
En aucun cas, notre collectif SD-SQI n’acceptera que cette Commission environnement communale ne se tienne pas rigoureusement chaque année et que les populations locales ne soient pas correctement informées..
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Avis autorité environnemental projet Indachlor Loon-Plage : AURA Environnement fait capoter enquête publique !
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/03/2018
- Dans STOP Projet IndaChlor à Loon-Plage vers Dunkerque !
Grâce vigilance d'AURA Environnement et CPERD :
la nouvelle enquête publique risque de se dérouler
du 11 avril au 26 mai 2018 !
C'est reparti pour un tour. Depuis qu'AURA Environnement avait indiqué vouloir exercer un recours au tribunal administratif pour faire annuler l'enquête publique relative au projet Indachlor à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque (GPMD), les services de l'Etat ont préféré recommencer une nouvelle enquête publique.
Confirmation également du côté de la mairie de Loon-Plage qui a reçu tout frais, ce matin, l'arrêté préfectoral n° DCPI - BICPE - CA indiquant quil fallait attendre le délai d'obtention de l'arrêté préfctoral définif dans une durée de 6 mois.
AURA Environnement a également mis en garde le secrétariat de la mairie de Loon-Plage afin de faire vérifier par les services de l'urbanisme si les travaux n'avaient pas été commencé par l'exploitant, car, comme nous la confirmé la préfecture du Nord, Indaver a bel et bien voulu commencer les travaux.
Or, le secrétaire général de la préfecture du Nord aurait mis le holà en refusant toute élaboration de construction.
L'exploitant belge perd du temps. Qu'il repasse la frontière !
Le Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) soutenu par AURA Environnement appelle donc à une nouvelle mobilisation générale de ses militant-es.
Nous ne répèterons pas les erreurs de la dernière enquête publique qui a vu une très faible participation des masses populaires qui ne se sont pas vraiment senti concernées par ce projet Seveso dangereux.
Les camarades du peuple de base détestent les écolos-verts, ce genre de boboïstes qui ont perdu toute représentativité dans l'opinion publique parce que ce sont avant tout des politiciens.
Les camarades du peuple de base de Dunkerque préfèrent les écolos-rouges insoumis comme nous qui se rangent derrière les bannières de la classe ouvrière à qui on veut imposer une usine belge qui a déjà mal fait ses preuves dans le port d'Anvers, avec cette violente explosion de solvants. Pour mémoire, les habitants de Stabroek ont dû garder leurs fenêtres et leurs portes fermées : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw
Un camarade marxiste du Nord signe la pétition d'AURA Environnement
Sauvons nos animaux, nos populations locales et nos animaux à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque CONTRE le projet dangereux IndaChlor voulu par les belges !
Nous gardons également un oeil vigilant sur le projet d'extension de la décharge de la Bistade à Sainte-Marie-Kerque dans le département voisin du Pas-de-Calais !
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Région #Grenoble : le collectif SD-SQI soutien #AURAEnvironnement hausse le ton c'est bon !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2018
- Dans STOP décharge Lely Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère
Plus de 20 militant-es ont répondu à l'appel du
Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère)
à la salle de l'ex-mairie Saint-Quentin-sur-Isère
protestations extension décharge LELY Environnement !
Sous la houlette du camarade antispéciste écolo-marxiste Marc-Claude de PORTEBANE, plus de 20 militant-es du Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) - dont 7 excusé-es -, et soutenu par AURA Environnement, se sont réuni-es le 26/01/2018 à 18h à la salle de l'ancienne mairie de Saint-Quentin-sur-Isère afin de protester contre l'arrêté préfectoral du préfet de l'Isère du 19/12/2017 autorisant l'extension de l'ISDND de Lély Environnement au lieu-dit "L'Echaillon", un site qui a fait l'objet d'un diagnostic faune/flore dans le cadre de la réalisation de l'étude d'impact et que des espèces protégées ont été identifiées, notamment la Renoncule Scélérate qui s'est développée dans le bassin de stockage des eaux pluviales de la plate-forme de compostage.
Le porte-parole du Collectif SD-SQI et membre de la CSS, Marc-Claude de PORTEBANE, a soumis au vote (à l'unanimité) une visite annuelle du site en demandant au préfet de l'Isère qu'il valide également notre demande de rencontre des dirigeants de la société LELY Environnement et ce, en présence du maire et du représentant, élu, à la commission environnement de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère qui ne s'était pas tenue convenablement comme nous l'avons indiqué à la CCS 2017 en préfecture de l'Isère.
Le SD-SQI sera particulièrement vigilant sur les dispositions de l'arrêté ministériel du 15/02/2016 qui prévoit notamment :
- la mise en place de barrières passive et active en fond des nouveaux casiers,
- la mise en place d'une couche de renforcement sous les barrières active et passive afin de protéger ces barrières de l'effet de tassements,
- le traitement des lixiviats (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site puis rejet dans l'Isère en un point de rejet unique ; (une surveillance en continu du débit, pH et conductivité est prévue ainsi qu'un contrôle trimestriel de l'ensemble des paramètres réglementés),
- la collecte et la valorisation du biogaz (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site,
- la collecte des eaux de ruissellement interne à la zone de stockage dans une série de bassins puis rejet par bachée (un contrôle du pH et de la conductivité est prévu avant chaque bachée, complété par une mesure annuelle de l'ensemble des paramètres réglementés),
- la réalisation d'une cartographie des émissions diffuses et d'une campagne de mesure de la qualité de l'air,
- la poursuite de la surveillance des eaux souterraines au droit du site,
- la mise en place d'un suivi des tassements et de la stabilité des talus.
La thématique des mâchefers a été abordée.
Marc-Claude de PORTEBANE a indiqué que les mâchefers admissibles sur le site seraient issus d'installation de "traitement thermique de déchets non-dangereux" (référencés sous le code déchet 19 01 12) et seraient répartis sur 3 zones dont la surface affectée aux installations (équipements, dépôts et utilités associés) sera exclusivement limitée à :
- 8 800 m² pour la réception des mâchefers valorisables
- 1700 m² pour la plate-forme de traitement (criblage/ferraillage)
- 7 200 m² pour le stockage des "produits finis".
Le SD-SQI insistera à la prochaine CSS de 2018 (commission de suivi de site) en préfecture de l'Isère, (Représentation votée à l'unanimité. Titulaire : le camarade Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : la camarade Elisabeth BOUTEAU, Suppléante-adjointe : la camarade Valérie NAON), pour demander des précisions sur les conditions de stockage des mâchefers :
- Quel taux de présence de métaux lourds dans les mâchefers ?
- Mise à notre disposition du plan de gestion des lots de mâchefers.
- Communication du registre tenu par l'exploitant LELY Environnement à la disposition de l'inspecteur des installations classées (origine, date d'arrivée, localisation des mâchefers).
- Communication du contrôle visuel annuel de l'étanchéité du sol des aires de stockage des mâchefers ainsi que des aires de circulation.
- Les mesures de contrôle du stockage des mâchefers à même le sol qui sera interdit par l'AP.
A la prochaine CSS, nous demanderons que nous soit communiquée l'étude du BRGM, les études de prévention des pollutions atmosphériques potentielles, les études de gestion des effluents aqueux, le rapport sur la stabilité et l'intégrité de la digue de confinement, le rapport du débit odeur rejeté qui doit être compatible avec l'objectif de qualité de l'air ambiant tel que préconnisé par l'AP, le plan de gestion des déchets applicable à la plate-forme de compostage d'une surface totale de 26 300 m², le rapport annuel d'activité, le suivi des eaux souterraines, le rapport sur la liste des critères minimaux applicables aux rejets d'effluents liquides dans le milieu naturel (Effluents ne provoquant pas de coloration persistante du milieu récepteur et ne dégageant pas d'odeur) comme les MEST (matières en suspension totale), le COT (carbone organique total), la DCO (demande chimique en oxygène), les métaux lourds, les hydrocarbures totaux, les Phénols, l'Azote gobal ainsi que la DBO5 (demande biochimique en oxygène).
La demande de rencontre des dirigeants du site - qui a reçu un avis positif de l'exploitant - sera communiquée dans les prochaines semaines.
Le SD-SQI a prévu un pique-nique Vegan le samedi 26 mai 2018 à midi sur un terrain privé à Saint-Quentin-sur-Isère. Chacun-e apportera son cabas et nous partagerons collectivement fruits et légumes de nos productions locales. Chats et toutous sont les bienvenus. Le lieu - tenu secret - vous sera exclusivement donné par mail.
Identification et inscription obligatoire par mail à aura-environnement@protonmail.com ou à fidel-castrol@protonmail.com
Chantal LEVEQUE & Marc-Claude de PORTEBANE
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Tractage massif #CPERG soutenu par INAO & Révision PLU Granges-Gontardes : Commissaire enquêteur refuse projet décharge COVED !
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/11/2017
- Dans Commissaire enquêteur PLU refuse projet décharge COVED aux Granges-Gontardes
Révision PLAN LOCAL d'URBANISME Granges-Gontardes
Commissaire enquêteur refuse projet décharge COVED :
le CPERG mobilise et tracte maison par maison
et reçoit soutien massif de l'INAO !
Le 20/11/2017, la mairie des Granges-Gontardes en Drôme provençale recevait le rapport et l'avis du Commissaire enquêteur sur les résultats de l'enquête publique concernant la révision du PLU au Granges-Gontardes, mais ne le mettait pas tout de suite à la disposition des citoyens.
Le 21/10/2017, AURA Environnement écrivait à Pascal BRIE qui instruit le projet "LCJ3" de décharge COVED en demandant à l'UT-Dreal de Valence si celle-ci avait l’intention de "bloquer la recevabilité de ce DDAE pour incompatibilité de ce projet avec le document d’urbanisme" tout en précisant " .. Nous aimerions savoir si une telle activité de décharge serait compatible avec la présence de jeunes compétiteurs au Club de Tir Sportif de Montélimar (CTSM) qui devrait de facto déménager et qui a vu, de 2016 à 2017, ses effectifs passer de 233 à 252, une progression significative de ses effectifs en hausse de 18 %, une fréquentation en hausse de 61 % en 2 ans, et qui est…. à la recherche de bois de chauffage pour le poêle !!! .".
Un poêle, du bois de chauffage, des munitions, des jeunes enfants, un centre de tir ceinturé une future décharge d'au moins 75 000 T de déchets (DND) ! AURA Environnement attend la réaction du maire de Montélimar Franck REYNIER, un exemple de droiture très "à cheval" sur les principes !!!
Le 22/11/2017, la mairie des Granges-Gontardes mettait en ligne le rapport final et les conclusions motivées du Commissaire enquêteur (AURA Environnement dénonçant le format Calameo a demandé que soit mis en ligne, au moins, les conclusions au format Pdf. Ce qui a été fait pour ces dernières puisque les gens nous disent avoir du mal à imprimer ou enregistrer les fichiers Calameo) : http://www.les-granges-gontardes.fr/IMG/pdf/Conclusions_motivees_5503.pdf
A la demande d'AURA Environnement, le format Pdf est très bien lisible, lui !
AU SECOURS Mr LE PRESIDENT du TRIBUNAL ADMINISTRATIF de Grenoble ! Si vous arrivez à télécharger ou à imprimer le rapport final du Commissaire enquêteur ! (Ci-dessous : capture d'écran uniquement possible de Calameo réalisée par AURA Environnement). Merci de le transmettre aux Gontardien-nes qui attendent de le lire à la lueur de leur sueur : http://fr.calameo.com/read/005224812f3b26f2f724d
Le 23/11/2017, le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-les Granges-Gontardes) aidé par le collectif "Comité Local Catholique des Granges-Gontardes" (CLC-GG - porte-parole : Louise-Marie de PORTEBANE)....
..... déclenchait la Phase 2 de l'opération dite "Raisins de la colère rouge" et tractait massivement dans tout le village, rue par rue, chemin par chemin, maison par maison, habitant par habitant puisque l'enquête publique a rendu son verdict : les habitants des Granges-Gontardes ne veulent pas de décharge COVED (projet LCJ3) et le projet de PLU doit être modifié pour l'interdire !
Pour le CPERG "Le conseil municipal doit suivre l’avis négatif du commissaire enquêteur, écouter sa population, respecter la démocratie participative et renoncer à ce projet néfaste pour la commune".
Pourquoi ce projet est funeste pour la commune ? Parce qu’il nuirait à notre qualité de vie, serait dangereux pour la santé de nos enfants, supprimerait les activités sportives de la Combe Jaillet et menacerait nos vignobles AOC ainsi que les emplois associés.
Le CPERG soutenu par AURA Environnement a reçu dernièrement le soutien de l'INAO (Institut national de l'origine et de la qualité) qui vient d'écrire à l'UT Dreal de Valence qui instruit le dossier COVED pour le compte du préfet de la Drôme. L'INAO indique que "La commune des Granges-Gontardes est située dans les aires géographiques des AOP "Picodon" et "Grignan-les-Adhémar". Elle appartient également aux aires de production des IGP "Ail de la Drôme", "Miel de Provence", "Pintadeau de la Drôme", "Volailles de la Drôme" ainsi qu'à celles des IGP viticoles (ex vin de pays), "Comtés Rhodaniens", "Drôme" et "Méditerranée"...".
Pour l'INAO, "L'enjeu majeur concernant la valorisation des terres sous SIQO est sans conteste la filière viticole AOC". Les SIQO (Signes d’identification de la qualité et de l’origine) sont des démarches officiellement reconnues par les pouvoirs publics !
Une étude attentive du dossier a amené l'INAO à faire des observations qui suivent sur ce projet de décharge aux Granges-Gontardes :
- Le projet est prétendument présenté comme une extension d'une activité de stockage de déchets non-dangereux sur la commune limitrophe de Roussas. Or, il s'agit bien de la construction d'un nouveau site sur la commune des Granges-Gontardes.
- Le projet s'inscrit dans le périmètre de l'aire parcellaire délimitée de production de l'AOC "Grignan-les-Adhémar" et impacterait directement (consommation de terres potentiellement valorisables en AOP) 13,25 hectares.
- Le secteur concerné compte parmi les meilleurs terroirs de l'AOC pour ce qui concerne le milieu physique et notamment les sols. En outre, le "Bois des Mattes" constitue d'une part le coeur historique de production et d'autre part l'un des terroirs emblématiques de cette AOC.
- De plus, parmi les 13 opérateurs, une exploitation se situe à 50 m des futures installations et 2 autres exploitations également en cave particulière se situent à moins de 2 km du site.
- En terme d'impact paysager, parmi les travaux envisagés, il est question de réaliser un merlon de 50 m de hauteur, ouvrage conséquent qui sera très visible notamment depuis la D 133 ce qui défigurera davantage le paysage environnant forestier et viticole.
- Ce projet est incompatible avec un tourisme localement très axé sur la synergie qui existe entre produits de terroir et qualité paysagère qui prend tout son sens notamment dans l'oenotourisme.
- Enfin, ce dossier ICPE s'ajoute à d'autres assez récents dont des extensions de carrières répétées, intervenues sur cette commune (des Granges-Gontardes) du même secteur qui impactent de manière récurrente l'aire parcellaire délimitée de l'AOC "Grignan-les-Adhémar".
- Par conséquent, l'INAO émet un avis défavorable à l'encontre de ce projet - de décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes en Drôme provençale, NDLR - qui entraînerait la disparition de 13,25 ha de l'aire délimitée de l'AOC "Grignan-les-Adhémar".
Depuis 1 semaine, AURA Environnement tente désespérement de joindre l'UT-Dreal de Valence ! SILENCE RADIO !
Nous attendons DONC une réponse rapide du Maire des Granges-Gontardes qui doit annoncer publiquement que le conseil municipal revoit son projet de PLU pour empêcher définitivement le projet de décharge COVED sur les Granges-Gontardes.
Jusqu’au retrait définitif du projet de décharge, restons mobilisé-es !
Plus de 20 585 personnes ont déjà signé notre pétition dont 381 commentaires. N'hésitez pas à la signer, de bien valider votre signature et de bien la partager un max pour faire entendre la voix du Peuple Gontardien : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
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Mauvaise nouvelle pour la Coved : tribunal administratif d'appel #Lyon matraque SICTOM Nord-Allier !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/11/2017
- Dans Interdiction de construire de nouveaux TMB
La cour administrative d'appel de lyon vient de préciser les dispositions de la loi de transition énergétique, qui en 2015 a qualifié de "non pertinente la création de nouvelles installations de tri mécano-biologique d'ordures ménagères résiduelles n'ayant pas fait l'objet d'un tri à la source des biodéchets" (article L541-1 I 4° du Code de l'environnement).
AURA Environnement considére, à la lumière des débats parlementaires, que de nouvelles usines seraient tout simplement interdites et que les Préfets auraient l'obligation de rejeter les nouvelles demandes d'autorisation. Les magistrats saisis confirment ainsi cette lecture.
Le 4 juillet 2017, la Cour administrative d'appel de Lyon a d'abord jugé que les Préfets ont, en vertu de cette loi, le pouvoir de refuser les nouvelles demandes d'autorisation d'exploiter de telles usines.Texte intégral
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure
1°) Le Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) Nord Allier a demandé, sous le n° 1301074, au tribunal administratif de Clermont-Ferrand d'annuler la délibération du 18 juin 2013 par laquelle le conseil général de l'Allier a adopté le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de l'Allier et la décision de son président du 4 juillet 2013 rejetant son recours gracieux, ainsi que la condamnation du département de l'Allier à lui payer une somme de 3 000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
2°) le Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) Nord Allier a demandé, sous le n° 1301486, au tribunal administratif de Clermont-Ferrand d'annuler l'arrêté n° 2361/13 du 2 septembre 2013 en tant que, par celui-ci, le préfet de l'Allier a refusé l'extension de stockage de déchets non dangereux associé à une unité de tri mécano-biologique et de compostage au lieu-dit "Pommay brûlé" sur le territoire de la commune de Chézy, de lui accorder l'autorisation d'exploiter l'unité de tri mécano biologique et l'autorisation d'étendre l'installation de stockage des déchets non dangereux de Chézy en enjoignant au préfet de fixer, dans un délai de deux mois, les conditions indispensables à la protection des intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 du code de l'environnement suivant la procédure prévue aux articles R. 512-25 et R. 512-26 de ce même code, subsidiairement d'enjoindre au préfet de lui accorder l'autorisation sollicitée assortie des prescriptions de nature à prévenir les dangers ou inconvénients que peuvent présenter les installations projetées et de condamner l'Etat à lui payer une somme de 3 000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Par un jugement n° 1301074 et n° 1301486 du 3 juin 2014, le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, après les avoir jointes, a rejeté ces demandes.
Procédure devant la cour
Par une requête n° 14LY02514 enregistrée le 4 août 2014 et deux mémoires complémentaires enregistrés le 5 septembre 2014 et le 29 juin 2015, le Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) Nord Allier, représenté par Me Defradas, avocat, demande à la cour, dans le dernier état de ses écritures :
1°) d'annuler ce jugement n° 1301074 et n° 1301486 du 3 juin 2014 du tribunal administratif de Clermont-Ferrand ;
2°) d'annuler la délibération du 18 juin 2013 par laquelle le conseil général de l'Allier a adopté le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de l'Allier et la décision de son président du 4 juillet 2013 rejetant son recours gracieux ;
3°) d'annuler l'arrêté n° 2361/13 du 2 septembre 2013 en tant que, par celui-ci, le préfet de l'Allier a refusé l'extension de stockage de déchets non dangereux associé à une unité de tri mécano-biologique et de compostage au lieu-dit "Pommay brulé" sur le territoire de la commune de Chézy ;
4°) de lui accorder l'autorisation d'exploiter cette unité de tri mécano biologique et l'autorisation d'étendre l'installation de stockage des déchets non dangereux de Chézy et d'enjoindre au préfet de l'Allier de fixer, dans un délai de deux mois, les conditions indispensables à la protection des intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 du code de l'environnement selon la procédure prévue aux articles R. 512-25 et R. 512-26 de ce même code ;
5°) à titre subsidiaire, d'enjoindre au préfet de lui accorder, dans un délai de deux mois, l'autorisation sollicitée assortie des prescriptions de nature à prévenir les dangers ou inconvénients que peuvent présenter les installations projetées ;
6°) de condamner le département de l'Allier et l'Etat à lui payer, chacun, les frais non compris dans les dépens qu'il avait demandés en première instance ;
7°) de condamner le département de l'Allier et l'Etat à lui payer, chacun, une somme de 5 000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Il soutient que :
- le jugement attaqué est irrégulier en ce qu'il a omis de statuer sur le moyen tiré de ce que le plan de prévention et de gestion des déchets devait obligatoirement reprendre le choix de créer une extension de l'installation de stockage de déchets et une unité de tri mécano biologique à Chézy dès lors ce projet avait fait l'objet de délibérations de son assemblée générale des 16 décembre 2009 et 21 décembre 2010 sollicitant l'ouverture d'une enquête préalable à la déclaration d'utilité publique du projet et approuvant ce projet ;
- le jugement attaqué est encore entaché d'une omission de statuer sur le moyen tiré de ce que les auteurs du plan n'étaient pas fondés à exclure purement et simplement un procédé de gestion des déchets et, en particulier le procédé de gestion des déchets non dangereux par tri mécano biologique ;
- c'est à tort que le tribunal a considéré que la nomination des membres de la commission et de suivi du PPGDND prévue par le II de l'article R. 541-18 du code de l'environnement n'avait pas à être nominative ; qu'une telle irrégularité ne relève pas du champ de la jurisprudence "Danthony", ni de celui de l'article 70 de la loi du 17 mai 2011 alors, en outre, que c'est également à tort que le tribunal a considéré que, dès lors que cette commission avait un rôle consultatif et que lui-même y avait été représenté et mis à même de défendre ses intérêts, l'absence de désignation nominative des membres de cette commission ne l'avait privé d'aucune garantie ;
- les premiers juges ont considéré à tort que les installations existantes permettent, à elles seules, d'atteindre les objectifs fixés par l'article L.541-1 du code de l'environnement pour retenir que les auteurs du PPGDND n'étaient pas tenus de retenir les projets des personnes morales de droit public qui contribuent aux objectifs prévus par l'article 46 de la loi du 3 août 2009 ;
- le tribunal s'est fondé à tort sur ce que ses projets avaient été pris en compte au stade de l'analyse menée par les auteurs du plan pour admettre que le plan avait pu ne pas les retenir dans l'immédiat ;
- les premiers juges se sont, également à tort, fondés sur les circonstances que l'inventaire dressé pour établir le plan départemental faisait état d'une surcapacité de traitement de 67 785 tonnes de déchets, que la production des déchets serait réduite selon le plan, que des installations d'élimination de déchets existantes seraient en capacité de traiter les déchets, qu'un déficit de capacité de traitement ne se ferait ressentir qu'à l'horizon 2028-2030, que le projet d'extension de l'ISDND de Chézy avait été retenu par le plan à titre conservatoire, que le plan départemental pouvait faire l'objet d'une révision partielle ou complète, et que l'article 46 de la loi du 3 août 2009 impose de justifier strictement le dimensionnement ses projets d'installations, pour considérer que ces projets pouvaient ne pas être retenus dans l'immédiat par le plan ;
- en outre, l'ensemble de ces circonstances ne peuvent justifier l'exclusion immédiate de ses projets d'installations puisque ceux-ci permettent de mettre en oeuvre la hiérarchie des modes de traitement des déchets selon les objectifs de l'article L.541-1 du code de l'environnement, qu'ils sont situés au plus près des lieux de production des déchets concernés et devaient, dès lors, être immédiatement retenus par le plan départemental conformément aux principes de proximité et de correction, par priorité à la source, des atteintes à l'environnement ;
- pour considérer que ses projets d'installations pouvaient ne pas être retenus dans l'immédiat par le plan, les premiers juges ont, à tort, retenu qu'en application de l'article 46 de la loi du 3 août 2009 les installations devraient justifier strictement leur dimensionnement et sur la circonstance que le département de l'Allier ne serait pas lié par l'arrêté du préfet de l'Allier déclarant d'utilité publique les installations en cause, alors que ces projets d'installations devaient être repris par le plan pour être réalisés dans l'immédiat dès lors qu'ils avaient été entérinés par les délibérations susmentionnées de son assemblée générale des 16 décembre 2009 et 21 décembre 2010 ;
- pour considérer que les auteurs du plan n'avaient pas méconnu les dispositions du d) du 3° du II de 1' article L. 541-14, les premiers juges se sont, à tort, fondés sur ce que le plan avait fixé des priorités pour la valorisation des composts issus des déchets organiques et sur la circonstance que le département avait exclu le compost issu du procédé de tri mécano-biologique alors que le PPGDND de l'Allier ne pouvait pas écarter le procédé de traitement par tri mécano-biologique ;
- contrairement à ce qu'a retenu le tribunal, la valorisation du compost issu du procédé mécano-biologique n'est soumise à aucune incertitude de nature à justifier l'exclusion de ce procédé alors, en outre, que l'attente des textes européens susceptibles d'en interdire ou limiter l'utilisation ne pouvait justifier l'exclusion de ce procédé, pas plus que la circonstance que la réalisation d'objectifs fixés par le plan puisse aboutir à la réduction des quantités de déchets envoyés en unité de stockage puisque ce procédé ne peut être assimilé à un traitement en unité de stockage ou en unité d'incinération ;
- contrairement à ce qu'a retenu le tribunal, le plan étant entaché d'illégalité, le préfet ne pouvait retenir aucun motif d'incompatibilité entre le plan et les projets d'installations en cause pour justifier le refus qui lui a été opposé au titre de la législation sur les installations classées ;
- il n'avait pas soulevé, contrairement à ce qu'a considéré le tribunal, de moyen à l'encontre de l'arrêté préfectoral tiré de l'illégalité, par voie d'exception, du PPGDND, mais avait soutenu que le préfet, qui était tenu d'écarter ce plan en raison de son illégalité, avait entaché sa décision d'une erreur de droit en se fondant sur ce que les projets n'étaient pas compatibles avec lui pour refuser l'autorisation sollicitée ;
- contrairement à ce qu'ont estimé les premiers juges, les dispositions de l'article R. 512-3 du code de l'environnement, qui ne portent que sur la composition du dossier de demande, ne prévoient pas qu'un refus d'autorisation doive être opposé si le projet d'installation n'est pas compatible avec un plan, de prévention et de gestion des déchets non dangereux ;
Par un mémoire en défense, enregistré le 14 novembre 2014 et un mémoire complémentaire enregistré le 5 janvier 2016, le département de l'Allier, représenté par le cabinet d'avocats Gide Loyrette Nouel, avocat, conclut au rejet de la requête et à la condamnation du Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) Nord Allier à lui payer une somme de 3 000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Il fait valoir qu'aucun des moyens soulevés par le SICTOM Nord Allier n'est fondé.
Par un mémoire en défense enregistré le 23 décembre 2014 et un mémoire complémentaire enregistré le 2 décembre 2016, le ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer conclut au rejet de la requête.
Il fait valoir que :
- aucun des moyens de la requête n'est fondé ;
- en outre, l'article L. 541-1 du code de l'environnement dans sa rédaction issue de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 prévoit que désormais "la généralisation du tri à la source des biodéchets, (...), rend non pertinente la création de nouvelles installations de tri mécano-biologique d'ordures ménagères n'ayant pas fait l'objet d'un tri à la source des biodéchets, qui doit donc être évitée et ne fait, en conséquence, plus l'objet d'aides des pouvoirs publics" ; que dès lors que l'article L. 512-14 de ce code précise que les dispositions prises en ce qui concerne les installations classées pour la protection de l'environnement doivent prendre en compte les objectifs fixés par l'article L. 541-1, la cour pourra, en sa qualité de juge de plein contentieux, faire application de ces dispositions nouvelles et juger que le refus du préfet d'autoriser les installations litigieuses est, en tout état de cause, justifié.
Vu les autres pièces du dossier ;
Vu :
- la loi n° 2009-967 du 3 août 2009 ;
- la loi n° 2011-525 du 17 mai 2011 ;
- le code de l'environnement ;
- le code de justice administrative ;
Les parties ayant été régulièrement averties du jour de l'audience.
Après avoir entendu au cours de l'audience publique :
- le rapport de M. Jean-François Alfonsi, président,
- les conclusions de M. Marc Clément, rapporteur public,
- et les observations de Me Descamps, avocat, substituant Me Defradas, avocat, pour le SICTOM, ainsi que celles de Me Dufour, avocat, pour le département ;
1. Considérant que par sa requête susvisée, le Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères (SICTOM) Nord Allier relève appel du jugement du 3 juin 2014 par lequel le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, après les avoir jointes, a rejeté ses demandes dirigées, d'une part, contre la délibération du conseil général de l'Allier du 18 juin 2013 adoptant le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de l'Allier et la décision de son président du 4 juillet 2013 rejetant son recours gracieux et, d'autre part, contre l'arrêté n° 2361/13 du 2 septembre 2013 en tant que, par celui-ci, le préfet de l'Allier a refusé l'extension de stockage de déchets non dangereux associé à une unité de tri mécano-biologique et de compostage au lieu-dit "Pommay brûlé" sur le territoire de la commune de Chézy ;
Sur la régularité du jugement attaqué :
2. Considérant qu'en relevant, au point 10 du jugement attaqué, que si les auteurs du plan "doivent prendre en compte les projets des personnes morales de droit public responsables du traitement des déchets, sous réserve qu'ils contribuent aux objectifs définis à l'article 46 de la loi n° 2009-967 du 3 août 2009, ils ne sont toutefois pas tenus de les retenir lorsque, notamment, les installations existantes permettent, à elles seules, d'atteindre les objectifs visés à l'article L. 541-1 du code de l'environnement" le tribunal administratif, qui n'était pas tenu de répondre au détail de l'argumentation développée devant lui, a implicitement, mais nécessairement, écarté le moyen tiré de ce que le conseil général devait obligatoirement retenir le projet du SICTOM Nord Allier dès lors que celui-ci avait été approuvé par délibérations de son assemblée générale des 16 décembre 2009 et 21 décembre 2010 ;
3. Considérant qu'en constatant, aux points 11, 12 et 13 de son jugement, que le procédé de traitement des déchets non dangereux par tri mécano-biologique n'avait pas été exclu par principe, mais seulement dans l'immédiat, le tribunal administratif a suffisamment répondu au moyen tiré de ce que les auteurs du plan n'étaient pas fondés à écarter purement et simplement un procédé de traitement des déchets non dangereux ;
Sur la légalité de la délibération du conseil général de l'Allier du 8 juin 2013 :
4. Considérant que par arrêté du 19 septembre 2011, le président du conseil général de l'Allier a, sur le fondement de l'article R. 541-18 du code de l'environnement, nommé les membres de la commission consultative d'élaboration et de suivi du plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de l'Allier en les désignant par les fonctions qu'ils occupent au sein de chaque service, collectivité, organisme ou association mentionnés notamment aux 5° à 11° de cet article ; qu'en admettant même, comme le soutient le syndicat requérant, que cette façon de procéder serait irrégulière au regard des dispositions en cause du code de l'environnement, faute que les membres de cette commission y eussent été nommément désignés, c'est à bon droit que, eu égard aux attributions purement consultatives de cette commission et aux dispositions de l'article 70 de la loi du 17 mai 2011, le tribunal administratif a retenu qu'un tel manquement, à le supposer établi, n'avait été susceptible ni de priver ce syndicat d'une garantie, ni d'exercer une influence sur le contenu du plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux de l'Allier adopté par la délibération litigieuse ; qu'il y a lieu, dès lors, d'écarter le moyen, repris en appel, tiré de ce que l'irrégularité entachant la désignation des membres de cette commission a présenté un caractère substantiel qui a privé le SICTOM Nord Allier d'une garantie, par adoption des motifs retenus par les premiers juges ;
5. Considérant qu'aux termes de l'article L. 541-14 du code de l'environnement : "II. Pour atteindre les objectifs visés aux articles L. 541-1 et L. 541-24, le plan : // 1° Dresse l'inventaire des types, des quantités et des origines des déchets à éliminer, y compris par valorisation, et des installations existantes appropriées ; // 2° Recense les délibérations des personnes morales de droit public responsables du traitement des déchets entérinant les choix d'équipements à modifier ou à créer, la nature des traitements retenus et leurs localisations. Ces choix sont pris en compte par le plan départemental dans la mesure où ils contribuent aux objectifs définis à l'article 46 de la loi n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en oeuvre du Grenelle de l'environnement ; (...)" ; que, contrairement à ce qui est soutenu, ces dispositions, qui obligent les auteurs d'un plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux à examiner les choix d'équipements à modifier ou à créer qui, contribuant aux objectifs précisés par l'article 46 de la loi du 3 août 2009, ont été entérinés par les personnes morales droit public responsables du traitement des déchets, ne peuvent être interprétées comme leur imposant de retenir de tels projets qui, alors même qu'ils rempliraient les conditions requises, peuvent être écartés pour des motifs tenant, notamment, à l'appréciation portée sur les capacités actuelles et futures des installations de traitement des déchets existantes, aux hypothèses retenues quant à la réduction projetée de la production de déchets ou, comme en l'espèce, aux incertitudes techniques et réglementaires relatives aux procédés proposés ;
6. Considérant que, comme l'ont retenu à bon droit les premiers juges, il n'est pas sérieusement contesté que le département de l'Allier dispose actuellement d'installations de traitement des déchets non dangereux dont la capacité est excédentaire et que, dans les hypothèses retenues, conformes aux objectifs définis tant par l'article L. 541-1 du code de l'environnement que par l'article 46 de la loi du 3 août 2009, d'une optimisation des capacités de traitement des déchets non dangereux par la diminution de la production de tels déchets et d'une réduction des apports de déchets extérieurs au département, cette capacité demeurera, même sans la mise en service de l'installation projetée par le SICTOM Nord Allier, excédentaire jusqu'en 2024 ; que dans ces conditions les auteurs du plan litigieux, qui ne se sont pas fondés sur l'absence de justification du dimensionnement du projet en cause et, contrairement à ce qui est soutenu, n'ont pas exclu par principe le procédé de traitement des déchets non dangereux par procédé mécano-biologique, ont légalement pu décider de ne pas retenir, dans l'immédiat, la création à Chézy d'une installation de traitement des déchets non dangereux fonctionnant selon un tel procédé ;
Sur les conclusions dirigées contre l'arrêté du préfet de l'Allier du 2 septembre 2013 :
7. Considérant qu'aux termes de l'article L. 541-1 du code de l'environnement dans sa rédaction issue de la loi susvisée du 17 août 2015 : "I. - La politique nationale de prévention et de gestion des déchets est un levier essentiel de la transition vers une économie circulaire. Ses objectifs, adoptés de manière à respecter la hiérarchie des modes de traitement des déchets définie au II, sont les suivants : // (...) 4° Augmenter la quantité de déchets faisant l'objet d'une valorisation sous forme de matière, notamment organique, en orientant vers ces filières de valorisation, respectivement, 55 % en 2020 et 65 % en 2025 des déchets non dangereux non inertes, mesurés en masse. (...) La généralisation du tri à la source des biodéchets, en orientant ces déchets vers des filières de valorisation matière de qualité, rend non pertinente la création de nouvelles installations de tri mécano-biologique d'ordures ménagères résiduelles n'ayant pas fait l'objet d'un tri à la source des biodéchets, qui doit donc être évitée et ne fait, en conséquence, plus l'objet d'aides des pouvoirs publics (...)" ; qu'eu égard à ces dispositions nouvelles, en vigueur à la date du présent arrêt, et à l'office du juge en ce qui concerne le contentieux des autorisations ou refus d'autorisation d'exploiter les installations classées pour la protection de l'environnement, il y a lieu de considérer que c'est à bon droit que, par son arrêté attaqué, le préfet de l'Allier a refusé au SICTOM Nord Allier l'autorisation d'exploiter à Chézy une installation de traitement des déchets non dangereux mettant en oeuvre un procédé de tri mécano biologique ;
8. Considérant qu'il résulte de tout ce qui précède que le SICTOM Nord Allier n'est pas fondé à soutenir que c'est à tort que, par son jugement attaqué, le tribunal administratif de Clermont-Ferrand a rejeté ses demandes ;
Sur les conclusions tendant à l'application de l'article L. 761-1 du code de justice administrative :
9. Considérant que les dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative font obstacle à ce que le département de l'Allier et l'Etat, qui ne sont pas parties perdantes, soient condamnés à rembourser au SICTOM Nord Allier les frais, non compris dans les dépens, qu'il a exposés tant en première instance qu'en appel ; qu'il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de condamner le SICTOM Nord Allier à payer au département de l'Allier une somme de 2 000 euros sur le fondement de ces mêmes dispositions ;
DECIDE :
Article 1er : La requête susvisée du Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères Nord Allier est rejetée.
Article 2 : Le Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères Nord Allier paiera au département de l'Allier une somme de 2 000 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Article 3 : Le présent arrêt sera notifié au Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères Nord Allier, au département de l'Allier et au ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer.
Délibéré après l'audience du 13 juin 2017, à laquelle siégeaient :
- M. Jean-François Alfonsi, président,
- M. Hervé Drouet, président-assesseur,
- Mme Nathalie Peuvrel, premier conseiller.
Lu en audience publique le 4 juillet 2017. -
ORGUES de STALINE déferlent aux Granges-Gontardes : CPERG invite élus à réviser PLU sans décharge PAPREC/COVED !
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/11/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
A l'initiative du CPERG la rencontre avec les élu-es
a "tourné au vinaigre" parce qu'ils attendent
que nous baissions "notre froc" pour ne pas aller
au tribunal administratif afin de contester
la révision du PLU validant projet décharge COVED !
Le Dauphiné Libéré de ce week-end : http://www.ledauphine.com/drome/2017/11/10/centre-d-enfouissement-de-la-coved-dialogue-de-sourds-entre-les-elus-et-marc-claude-de-portebane
Le CPERG (Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) soutenu par plus d'un tiers des gontardien-es lors de l'enquête publique de révision du PLU a pris contact avec les services de l'Etat (préfecture de la Drôme, sous-préfecture de Nyons, Dreal & DDPP 26), les dirigeants de l'exploitant PAPREC/COVED, les élu-es des communes de Roussas, Valaurie et....des Granges-Gontardes qui devraient valider la prochaine révision du PLU qui ouvrirait un "boulevard" à l'extension de la décharge COVED de Roussas vers la petite commune voisine des Granges-Gontardes.
La rencontre avec les élu-es des Granges-Gontardes a été planifiée par le CPERG au bout de 2 rencontres en mairie, avec le maire des Granges-Gontardes, Michel APROYAN, qui, à nos yeux, n'a pas suffisamment communiqué avec ses administrés avant l'enquête publique relative à la révision du PLU en leur disant in fine TOUTE la VERITE : sous la modification des zones sportives de l'actuel moto-cross et de l'auto-cross se cache l'extension de la décharge PAPREC/COVED de la commune limitrophe de Roussas qui a déposé un DDAE intitulé "LCJ3" - La Combe Jaillet 3 - à la préfecture de la Drôme fin août 2017 en précisant le lieu-dit avec exactitude : "La combe Jaillet" aux Granges-Gontardes !
Présent depuis plus d'un an dans la région des Granges-Gontardes, le CPERG attendait de pied ferme la décision d'extension de la décharge COVED de Roussas qui se faisait attendre puisque la CSS 2016 du site ne s'était pas réunie conformément à ses statuts, ce que nous dénoncions dans une 1ère pétition qui rassemble plus de 20 000 signatures https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978
La non-tenue de cette CSS en 2016 a certainement permis à l'exploitant de "cacher" son projet d'extension de décharge vers les Granges-Gontardes et de prendre ainsi de "vitesse" les populations locales qui, sans l'aide du CPERG soutenu par AURA Environnement ne se seraient pas vraiment mobilisé-es, puisque sans nos tractages massifs aux Granges-Gontardes, la population commençait sérieusement à s'endormir sur le registre des commentaires du commissaire-enquêteur Patrick BERGERET nommé par le TA pour diriger l'enquête publique de révision du PLU des Granges-Gontardes.
En effet, après avoir constaté que seulement 2 personnes avaient paisiblement écrit 2 commentaires "Péperre" sur le registre, le CPERG décidait de se structurer et de passer à l'action en tractant massivement dans le village très étendu des Granges-Gontardes en ouvrant les yeux des gontardien-es sur le véritable enjeu de cette modification du PLU qui visera à installer sur 2 zones à vocation sportives un projet de décharge d'au moins 75 000 T de déchets face à nos vignobles de notoriété internationale comme ceux du "Baron d'Escalin" dont la réputation commerciale devrait pâtir de l'image d'une décharge située juste en face de ses vignobles de la vallée du Rhône où "le terroir, le savoir-faire, l'histoire" sont mis en exergue par la commercialisation du Domaine d'Escalin (cépage Syrah 100 %), l'Esprit d'Escalin (cépages Syrah 45 % et Grenache 55¨%), le Jardin d'Escalin (cépage Syrah 100 %), le Rosé d'Escalin (cépage grenache 100 %), le Vergobbi Rosé ((cépages Grenache 70 % et Syrah 30 %), le Vergobbi (Grenache 70 % et Syrah 30 %) pour ne pas parler du Vergobbi Grand V (Cépages 50 % et Syrah 50 %), car le terroir des vignobles du "Baron d'Escalin", c'est, en lisant la plaquette publicitaire, "Une belle association du sol et du mistral, en fait un terroir d'exception. Les Vignobles Baron d'Escalin sont un terroir d'alluvions rhodaniennes et de gros galets roulés du quaternaire. Autres éléments indispensables pour le fruit, la chaleur et la régulation thermique. Le mistral souffle sur le vignoble tout au long de l'année".
Le mistral souffle toute l'année, en effet, et juste en face de la future décharge PAPREC/COVED, la qualité des vins des Granges-Gontardes prendra certainement un sacré "coup de plomb dans l'aile" !
A-t-on déjà vu, dans le monde entier, des vignobles situés juste en face d'une décharge ?
Le CPERG aidé d'AURA Environnement soutenu déormais par l'INAO et l'ensemble des vignerons de la Vallée du Rhône dont ceux de l'Appellation AOC Grignan-les-Adhémar, ira contester la révision du PLU devant le tribunal administratif pour que la future "verrue" ne vienne ternir un territoire d'exception où la philosophie allie respect et tradition lorsque la qualité des vins prend racine dans le respect du terroir et de la vigne, dans le savoir-faire de la vinification et l'alchimie de l'assemblage !
Il n'y a pas d'autre issue que le respect dû à l'environnement et à la protection des animaux aux Granges-Gontardes !
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Collectif SDOE Leader Opposition Décharge Immonde OPALE Environnement Sainte-Marie-Kerque (62) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/10/2017
- Dans STOP décharge OPALE Environnement à Sainte-Marie-Kerque
Le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)
de Sainte-Marie-Kerque soutenu par AURA Environnement
sera présent ce week-end pour soutenir les
populations locales qui en ont plus que marre
de cette décharge immonde de "La Bistade" !
Comme l'indique La Voix du Nord, "Les élus ne décolèrent toujours pas du vote l’an passé de la CCRA d’accorder à Opale Environnement le droit de doubler son tas d’ici 2032".
Le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement) va organiser la résistance....
....et apporter ses connaissances techniques du dossier aux populations locales de Sainte-Marie-Kerque ....
....qui se sont déjà mobilisées à "fond" lors de l'enquête publique qui se terminera dans quelques jours, le 27/10/2017.
D'ores et déjà, la Résistance s'organise avec le collectif SDOE, soutenu par AURA Environnement...
.....vers cette petite commune qui vit l'horreur depuis de trop nombreuses années.
Dernière permanence du commissaire-enquêteur de cette enquête publique à la mairie de Sainte-Marie-Kerque :
.............ce samedi 21 octobre 2017 de 8 h à 11 h.
Les militant-es du SDOE feront le tour des habitations....
.....pour bien vous faire comprendre les véritables enjeux de l'historique de cette décharge qui est née sur un TISSU de MENSONGES aux populations locales !
Nous invitons les populations locales à venir s'installer dans le petit village des Granges-Gontardes dans la Drôme et de parler de leur vécu !
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31° Congrès national #Amorce Clermont-Ferrand : AURA Environnement séduit par la déchetterie Veolia de Gerzat !
- Par auraenvironnementparis
- Le 19/10/2017
- Dans Aura Environnement
AURA Environnement POUR Economie Circulaire
chez déchetterie Pro VEOLIA à Gerzat :
Olivier BIANCHI, maire de Clermont-Ferrand
Laurent BATTUT, président du VALTOM
& Gilles VINCENT, président d'AMORCE
ont lancé le 31° congrès d'AMORCE !
Ce jeudi 19/10/2017, AURA Environnement a visité une déchetterie d'exception réservée aux professionnels, chez VEOLIA à Gerzat - dans le cadre du 2° Jour du Congrès national d'AMORCE ...
.... qui est une des meilleures associations de collectivités et professionnels du secteur privé et associatif et spécialiste - selon elle - "dans les domaines de la gestion des déchets, des politiques énergétiques et des réseaux de chaleur".
Parmi les sujets principaux retenus lors de ce séminaire, nous avons retenu :
- La polémique sur le loi de finances et de transition écologique : vers un pacte fiscal concerté sur l'économie circulaire et ... une dotation climat territoriale !
- Les retours des collectivités sur les principales annonces du gouvernement Philippe relatives à la transition écologique !
- Le volet énergie de la loi de finances pour 2018 !
- Le volet déchets de la loi de finances pour 2018 (Contexte et mesures prévues par le projet de loi de finances pour 2018, Proposition de pacte fiscal multi-acteurs pour l'économie circulaire avec Création d'une éco-contribution ou d'une TGAP amont sur les produits ne bénéficiant pas d'une filière nationale de recyclage pour financer les plans d'entreprise d'économie circulaire ; vers une TVA écologique en faveur de l'économie circulaire ; vers la création d'une TGAP incitative ; Affectation progressive de 100 % des recettes de la fiscalité sur les déchets au financement de la politique des déchets).
- La filière REP des emballages ménagers + Filière des déchets dangereux des ménages (DDS) + Filière REP des déchets d'ameublement (DEA) + Filière des déchets du BTP !
- Les annonces du gouvernement concernant la lutte contre la précarité énergétique (Convention territoriale de résorption de la précarité énergétique).
- Le contexte et l'annonce du gouvernement en matière de distribution d'électricité.
Le président d'AURA Environnement s'est entretenu avec le directeur général de la Prévention des risques au ministère de l'Ecologie, Marc MORTUREUX, sur nos contacts actuels en cours sur le dossier IndaChlor à Loon-Plage mais aussi sur le "sktech" actuel dans la Drôme et plus précisémment aux Granges-Gontardes où AURA Environnement s'oppose à la modification du PLU dans cette commune et qui déboucherait inévitablement - s'il était accepté - sur le projet de décharge PAPREC/COVED déposé à la préfecture de la Drôme le 31/08/2017.
Séduit, mais que de GASPILLAGES dans ce BAS MONDE !
A suivre
Textes & Photos MC de PORTEBANE ©
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Décharge OPALE Environnement Sainte-Marie-Kerque : Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement) organise #Résistance !
- Par auraenvironnementparis
- Le 17/10/2017
- Dans STOP décharge OPALE Environnement à Sainte-Marie-Kerque
Le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)
de Sainte-Marie-Kerque soutenu par AURA Environnement
organise #Résistance enquête publique CONTRE
prolongation décharge OPALE Environnement :
Plus de 55 habitant-es révolté-es durcissent le ton !
Le Collectif SDOE a tenu ce matin sa 1ère réunion opérationnelle à Sainte-Marie-Kerque ...
... (département du Pas-de-Calais, arrondissement de Calais, canton de Marck....
....communauté de communes de la région d'Audruicq, population : 1 593 habitants)....
....dans le cadre de l'opération intitulée " Bruit de Cristal" !
SAUVONS nos vaches de Sainte-Marie-Kerque des mauvaises odeurs de la décharge du village, avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux !... .
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Décharge OPALE Environnement dans le Pif d'AURA Environnement : DEHORS de Sainte-Marie-Kerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 16/10/2017
- Dans STOP décharge OPALE Environnement à Sainte-Marie-Kerque
AURA Environnement déclenche l'opération "Bruit de Cristal"
et soutient le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)
contre la prolongation de la décharge d'OPALE Environnement
à Sainte-Marie-Kerque dans le Pas-de-Calais !
Une fois de plus, on se demande comment est organisée la gestion des déchets dans les Hauts-de-France et particulièrement sur le littoral … alors que l’enquête publique d’un nouvel incinérateur de déchets dangereux qui menace des emplois locaux est en train de se terminer (projet INDACHLOR porté par le belge INDAVER à Loon-Plage dans le GPMD – Grand Port Maritime de Dunkerque -), une autre enquête pour un projet tout aussi aberrant est à l’œuvre sur notre beau littoral > l’extension de capacité de stockage de la décharge de la Bistade à Sainte-Marie-Kerque !!!
La loi sur la transition énergétique n’est-elle pas claire pour chacun de nous ? Les tonnages enfouis en décharge doivent bien baisser de 50% en 2025, non ?
La Région et en particulier les départements du Nord et du Pas-de-Calais possèdent déjà de grandes capacités d’enfouissement telles que celle d’Hersin-Coupigny (SITA) ou encore Blaringhem (BAUDELET ENVIRONNEMENT) … Pourquoi en créer de nouvelles ???
Rappelons également que :
- la nouvelle usine du SEVADEC (Calais) va combiner les techniques de pointe en matière de tri et de retraitement, permettant de transformer des déchets résiduels en biogaz injecté dans le réseau de GrDF ou en combustible solide, elle va permettre de faire chuter de manière drastique les déchets qui sont aujourd’hui enfouis, en particulier à la Bistade (ndlr, Déclaration de Guy Allemand, Président du SEVADEC),
- L’incinérateur de Saint-Omer (FLAMOVAL – VEOLIA) a obtenu en 2016 la possibilité de recevoir des déchets provenant de la région Nord pas de Calais, soit en dehors des limites du syndicat ….
Comment peut-on justifier une telle aberration ??? Comment l’Etat peut-il cautionner de telles pratiques ???
Pour le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)
Porte-parole Marc-Claude de PORTEBANE
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REVUE DE PRESSE :
La Voix du Nord > vendredi 6 octobre 2017 > Édition(s) : Calais
Les élus de Bourbourg contre l'extension de la décharge de la Bistade
SAINTE-MARIE-KERQUE. Après avoir lancé le débat par la lecture du projet, le maire Francis Bassemon a sollicité les avis des élus.Par la voix de Sophie Coudevylle, l'opposition a refusé catégoriquement que se prolonge l'exploitation. Patrick Squimbre, pour la majorité, a ensuite repris point par point la situation : « Nous ne pouvons faire aux autres ce que nous n'aimerions pas qu'ils nous fassent. Imaginez-vous, un lieu de stockage à proximité du centre d'une ville. On avait dit aux habitants qu'une fois que la date serait atteinte, l'exploitation sera arrêtée et voilà qu'on leur dit d'en prendre pour quelques années de plus. » Patrick Squimbre ajoute : « Vivre auprès d'une décharge, vivre avec les inquiétudes liées aux pollutions comme l'a démontré le maire de Saint-Pierrebrouck, non, ce n'est pas possible. » Les élus ont ensuite voté à l'unanimité contre ce projet d'extension, portant à ce jour à deux le nombre de communes opposées. Toutefois, chacun a pu aussi indiquer que les déchets et leur traitement nécessitaient une réflexion pour faire en sorte de trouver des solutions pérennes et satisfaisantes. Pour rappel, Opale Environnement, gestionnaire du site, doit doubler son stock de déchets d'ici 2032 (**). P.B. (CLP) * Holque, Cappellebrouck, Sainte-Marie-Kerque, Ruminghem, Saint-Folquin
Nord Littoral > mardi 3 octobre 2017
La décharge s'élève… les protestations aussi
Tous les ingrédients sont là pour qu'on pense qu'ils sont en train de nous rouler…», résume Thierry Lurson, président de l'association La Bistade environnement. Vingt-trois ans que l'association dénonce les nuisances liées à la décharge de la Bistade : odeurs « insoutenables », prolifération de mouettes attirées par les déchets, craintes de contamination des terres voisines et des nappes phréatiques…« Dès le début, on dit que c'est une ineptie de monter une pareille décharge dans un hameau de 256 habitants…» Alors ils ne désarment pas.
Doutes sur la consultationMais alors que les premières consultations publiques ont commencé (lire ci-contre), l'heure n'est pas à l'optimisme. D'abord parce que le CSS (comité de suivi du site) annuel a été plusieurs fois reporté cette année, les privant d'informations fraîches : « D'habitude il avait lieu en mars, l'an dernier il avait été repoussé en juin. Cette année, il a été repoussé plusieurs fois, la dernière date fixée c'était le 15 septembre et depuis, pas de nouvelles…» Or, quand on est privé d'informations fiables, on a tendance à flairer complots et intérêts occultes… Comme par exemple lors du vote de la CCRA en septembre 2016, qui donnait son accord à une prolongation de l'exploitation du site jusqu'en 2032, au lieu de 2021 comme prévu initialement. Dans le public, Thierry Lurson et le trésorier de l'association Bruno Cuvelard gardent un souvenir écœuré de l'épisode : « Qu'Opale environnement veuille rentabiliser un site qu'ils ont acheté en prolongeant sa durée de vie, ça se comprend. Mais tous ces élus qui ont voté pour ou qui se sont abstenus… Parce qu'ils ont eu peur que le tarif du traitement des déchets augmente, et parce qu'ils imaginaient que les taxes perçues allaient servir pour installer le réseau de fibre optique…» C'est d'autant moins compréhensible, arguent-ils, que les directives européennes sont défavorables à la prolongation ou à l'extension de ce genre de décharges, et que la région compte deux incinérateurs de déchets, qui tourneraient au ralenti faute de déchets à consommer… Mais ce qui les inquiète le plus, c'est que les propriétaires des parcelles situées dans un rayon de 200 mètres de la décharge ont commencé à recevoir des courriers recommandés de la préfecture, pour les prévenir que des servitudes y seront prochainement installées.
Pas de ça chez moiSi le processus d'enquête publique est régulièrement cité dans ce document, Thierry Lurson trouve que l'État va un peu vite en besogne…« Ça veut dire que l'État a déjà entériné la décision et le projet d'Opale environnement, peu importent les résultats de l'enquête publique ? » Malgré tout, ils conservent des raisons de continuer à espérer : le soutien des élus directement concernés, d'abord : « Aux conseils municipaux de Sainte-Marie-Kerque et Bourbourg, il y a eu unanimité contre ce projet. Et à Saint-Pierre et à Holque, ils sont majoritairement contre aussi…» Et puis il y a cette procédure judiciaire qu'ils ont remporté : « On était 75 requérants pour faire reconnaître les nuisances et la perte de valeur de l'immobilier autour de la décharge. On a payé des experts qui coûtent des fortunes, on a décrit la détresse humaine de gens qui vivent avec ça dès qu'ils ouvrent leurs volets. Et on a gagné, Opale a perdu et a payé. On est prêts à retourner au tribunal s'il le faut. Même si pour eux, ça ne doit représenter qu'une ligne comptable dans un budget prévisionnel…»
déchets et immobilierThierry semble déterminé à se battre, quand bien même certains opposant(e)s historiques sont partis. D'autres n'osent pas s'exprimer, préférant faire profil bas. Bruno, lui, va déménager dans le sud et cherche à vendre sa maison : « Quand vous expliquez le problème, les acheteurs ne disent pas : Vous me faites un rabais de 10000 euros. Ils disent : On va chercher ailleurs…» Edouard Odièvre
« De l'incompréhension », pour Opale environnement
Hélène Guy, la présidente d'Opale environnement, a elle-même été sollicitée suite à l'envoi des recommandés de la préfecture au sujet de l'implantation de ces fameuses « servitudes » :« Il y a une vraie incompréhension sur l'enjeu de ces servitudes. C'est une obligation réglementaire prévue par le ministère de l'Environnement : on ne doit pas laisser des maisons se construire autour d'un site de stockage. En l'occurrence, il s'agit surtout de parcelles agricoles, donc non constructibles. En fait, on doit soit acheter les parcelles, soit mettre en place des servitudes. Mais il n'y a pas d'expropriation ! » Quant au fait que la réunion du comité de suivi 2017 a été repoussée, c'est là aussi du strict ressort de la préfecture. Et le retard pris peut s'expliquer par le changement de juridiction : le dossier de la Bistade était jadis suivi par la préfecture de Saint-Omer, puis a basculé vers la sous-préfecture de Calais. Si on y rajoute le moment de latence qui suit toujours la mutation et la nomination d'un nouveau sous-préfet, le report de cette réunion peut s'expliquer. Mais promis-juré, elle doit avoir lieu avant la fin de l'année… Sur le projet en lui-même Hélène Guy insiste : « Il ne s'agit pas seulement d'une surélévation : aujourd'hui les alvéoles sont à 22 mètres et doivent passer à 32 mètres. Mais comme le site a eu plusieurs vies, on travaille à l'enlèvement des anciens déchets pour extraire ceux qui sont valorisables. »
Les faits
Les faits1982 : une décharge est créée au hameau de la Bistade, sur la commune de Sainte-Marie-Kerque. Au début simple stockage au sol, elle se modernise progressivement
1997 : La décharge est reprise par Opale environnement. Le stockage au sol est abandonné, les déchets sont superposés puis partiellement recyclés. A terme, l'idée est de moderniser le processus de stockage et de retraiter une partie des plus anciens déchets enfouis.
2002 : Création de l'association la Bistade environnement, qui proteste notamment contre les nuisances liées à l'activité de la déchetterie.
Septembre 2016 : Opale environnement demande la prolongation de la durée d'exploitation de la décharge jusqu'en 2032. Par 24 voix pour et 9 voix contre, la demande est acceptée par le CCRA.
Juillet 2016 : les propriétaires de parcelles situées à 200 mètres autour de la décharge reçoivent un courrier recommandé leur signifiant l'installation de servitudes sur leurs terrains.
27 septembre 2017 : Première journée d'enquête publique en Mairie de Sainte-Marie-Kerque.
Voix du Nord > Par P. B. (Clp) | Publié le 27/09/2017
SAINT-PIERRE-BROUCK
Le prolongement de la durée de vie de la décharge de La Bistade inquiète
Une enquête publique vient de démarrer au sujet du prolongement de la durée d’exploitation de la zone de stockage d’Opale Environnement, dont la bute doit presque doubler, à La Bistade à Sainte-Marie-Kerque, à deux pas du village de Saint-Pierre-Brouck.
Le maire de Saint-Pierre-Brocuk s’inquiète notamment du risque d’infiltrations provenant de la décharge et qui pollueraient l’Aa.Certes, le conseil municipal aura à se prononcer, mais au vu des arguments avancés, nul doute qu’on s’oriente vers un vote contre la poursuite de l’exploitation du site de stockage de déchets implanté sur la commune voisine de Sainte-Marie-Kerque. « Les communes dans le périmètre proche sont appelées à se prononcer et une enquête publique a démarré ce mercredi à la mairie de Sainte-Marie-Kerque, pour un mois », souligne Gérard Grondel. Le maire invite sa population à y participer.
« Le site est implanté à La Bistade, à 1,5 km du village, en zone humide, dans un périmètre de wateringues, et à un niveau à peine au-dessus de celui de la mer, tout proche de l’Aa. » Pour l’élu, cet élément est important dans la compréhension de ce qui pourrait devenir un souci majeur pour le Dunkerquois. « Les déchets sont déversés puis recouverts de terre. Il est prévu de passer d’un mont de 17 m de haut à un de 32 m. Ce qui est prévu, c’est donc de passer à un tonnage de 800 kg/m2 sur 32 m soit 25 tonnes au m2. »Que se passerait-il en cas d’infiltrations dans le canal, qui alimente les industries dunkerquoises ? Quel serait l’impact tant écologique qu’économique ?
Au-delà de ces calculs, ce qui inquiète le plus Gérard Grondel, c’est la proximité avec l’Aa. « Un peu en aval de la décharge, au Guindal, les pompes des Eaux du Dunkerquois alimentent le canal, lui-même servant aux industries à hauteur de 24 millions de m3/an. Que se passerait-il en cas d’infiltrations ? Quel serait l’impact tant écologique qu’économique sur les industries dunkerquoises ? Enfin, se basant aussi sur des échanges avec certains habitants, même si l’exploitant du centre fait beaucoup pour avoir un site propre, des odeurs persistent, un peu comme une bouteille de gaz ouverte à proximité. » Des agriculteurs sont déjà impactés par le site actuel puisqu’ils ne peuvent plus produire pour un groupe agroalimentaire qui refuse les produits locaux.
Des riverains ont récemment écrit au ministre de la Transition écologique et solidaire. Dans leur courrier, ils ont repris l’historique du site, des rapports qui en prévoyaient la fermeture (qui ne pouvait se faire avant sous peine de dédommagement de l’État) et se sont inquiété aussi d’une éventuelle reconduction d’exploitation.
« En 2017, comment peut-on prétendre encore enterrer des déchets alors que des incinérateurs existent et sont sous-alimentés ? Va-t-on privilégier des intérêts financiers au détriment de la sécurité et la santé publique ? »
Enquête publique à la mairie de Sainte-Marie-Kerque jusqu’au 27 octobre. Permanences du commissaire enquêteur les 12 et 27 octobre de 14 h à 17 h ; les 3 et 21 octobre de 8 h à 11 h.Le Phare Dunkerquois > mercredi 1er au mardi 7 février 2017 > Édition(s) : Le Journal des Flandres
VŒUX
La Bistade, pas en odeur de sainteté
SAINT-PIERREBROUCK En 2017, ceux qui veulent s'installer dans le village dirigé par Gérard Grondel le pourront. Le bailleur La Maison Flamande a mis en vente 10 parcelles en accession à la propriété, ainsi que quatre logements locatifs sur le terrain à l'angle de la route de Bourbourg et la rue de la Chapelle. « L'appel d'offres des voiries et réseaux diversa été rendu », a déclaré le maire.Concernant le centre de stockage de déchets situé au hameau de la Bistade, sur le territoire de Sainte-Marie-Kerque, de l'autre côté de l'Aa, le maire a annoncé que le site sera complet en 2018. « Opale environnement a pour projet de prolonger son autorisation d'exploitation, la bute passerait de 17 à 32 mètres de hauteur », a-t-il annoncé tout en soulevant une problématique environnementale. «Cette décharge se situe le long de l'Aa, les industries dunkerquoises puisent de l'eau au Guindal, et les odeurs ? » À ce sujet, le maire a insisté pour que les habitants les signalent dès que possible en sous-préfecture. « Ayant participé à la commission de suivi de site, j'ai appris qu'aucune plainte n'avait été faite concernant les odeurs. »
Au chapitre des bonnes nouvelles, les employés municipaux vont entreprendre la restauration des abat-sons de l'église, le Sivom des rives de l'Aa et de la Colme a par ailleurs programmé la restauration et la protection des vitraux. « Quant à la salle multi-activités, les appels d'offres doivent être rendus pour le 20 janvier. »
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Révision PLU Les Granges-Gontardes : Tribune Montélimar + VICTOIRE Collectif CPERG mobilisation en masse Enquête publique !
- Par auraenvironnementparis
- Le 15/10/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
L'hebdo La Tribune de Montélimar parle de la contagion
du collectif CPERG soutenu par AURA Environnement
pour mobilisation MASSIVE populations locales
OPPOSEES au projet de révision du PLU qui conduira
inéluctablement au projet de décharge PAPREC/Coved ou NON !
Jeudi 12/10/2017, le CPERG a réussi son 1er objectif, lors du dernier jour de la présence du commissaire-enquêteur et de la clôture à 19h de l'enquête publique relative à la révision du PLU de la commune des Granges-Gontardes ?
Le CPERG soutenu par AURA Environnement est pleinement satisfait de ses objectifs comme d'avoir appelé à venir massivement les populations locales des Granges-Gontardes à déposer sur le registre LEUR OPPOSITION...
.....au projet de décharge déposé le 31/08/2017 à la préfecture de la Drôme par le groupe PAPREC/COVED.
La Tribune de Montélimar/Tricatin du 12/10/2017
Notre "maillage" de la commune des Granges-Gontardes a parfaitement réussi et ce, grâce aux gontardien-nes qui ont eu le COURAGE de nous soutenir dans un contexte de suspicion généralisée et de "chasse" aux opposants au futur projet de décharge PAPREC/COVED sur les terrains actuels du Moto-cross et de l'Auto-cross qui vont devoir trouver une autre "aire de jeu".
Si le CPERG est très favorable à la libération immédiate de la zone de l'Auto-cross (car ZERO BAIL), par contre, il est carrément opposé au départ du Moto-cross des Granges-Gontardes. Et nous soutiendrons nos motard-es prochainement via une opération Nationale de sensibilisation.
Nous demandons à être reçu-es par le Ministère.
Les gontardien-es qui ont répondu massivement à l'appel du CPERG ont montré que la LUTTE ne fait que commencer pour éviter que l'image des Granges-Gontardes soit désormais asssociée à GGD "Granges-Gontardes-Décharge" !
A suivre avec délectation et gourmandise, dans les prochains jours, la liste de ces nombreux contestataires de ce PLU qui soutiennent en MASSE le CPERG soutenu par AURA Environnement !
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Si on veut pas décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes, Mieux vaut ne pas la permettre dans PLU !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/10/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Le maire des Granges-Gontardes ne peut pas dire que le PLU
n'a rien à voir avec la décharge PAPREC/COVED
puisque c'est PLU qui permettra décharge s'il est adopté.
Inversement, si la population se mobilise et obtient
le rejet du projet de PLU, la décharge deviendra impossible
et les habitants auront gagné leur tranquillité.
Le CPERG soutenu par AURA Environnement
qui regroupe les populations locales des Granges-Gontardes
s'oppose à la révision du PLU qui permettra à la future décharge PAPREC/COVED
d'installer son projet "LCJ3" déposé fissa à la préfecture de la Drôme fin août 2017 !
POUR RAPPEL : le projet de décharge COVED/PAPREC "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes ce sera :
- Une capacité globale de stockage de 1,35 millions de T, soit un volume de 1,35 millions de m3 de déchets DAE et DMA
- Une durée d'exploitation de 18 ans
- Une capacité de moyenne de 75 000 T par an et maximum de 100 000 T par an (source : DDA déposé par PAPREC/COVED, ISDND dite "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes). d
Ce projet dit "LCJ3" intègrera :
- Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond de casier, les digues et couvertures,
- Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environs.
- Superficie de la demande d'autorisation : 13,5 ha
- Superficie exploitable de la zone de stockage : Fond de casier : 4,9 ha. Superficie projetée : 8,2 ha.
- Tonnage annuel : Tonnage moyen : 75 000 T/an. Tonnage maximum : 100 000 T/an.
- Durée de vie résiduelle : 18 ans (fin 2040).
- Hauteur de stockage maximum : Côte finale du modelage : 180 m NGF. Hauteur de stockage de déchets : entre 34 et 40 m.
- Phasage : Un casier avec phases d'avancement selon la progression de l'avancement du stockage (Phasage avec avancement par zone d'exploitation successive en cours d'exploitation).
- Rayon d'affichage (3 km) et communes concernées : Malataverne, Alan, Roussas, Les Granges-Gontardes, Donzère.
- COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME :
Le groupe PAPREC/COVED semble tellement sûr de lui qu'il confrme bien dans son DDAE déposé le 31/08/2017 à la préfecture de la Drôme que "L'enquête publique est prévue en septembre 2017, avec un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017. Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées" !
Un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017 ?
En comprenant les potentiels recours en annulation déposés par les associations nationales de défense de l'environnement dont certainement le CPERG via AURA Environnement ?
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Décharge Delta Déchets à Orange : le collectif COPEJ (Orange Pressée, Ecorce à jeter) déclenche l'opération "Orange Sanguine" !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/10/2017
- Dans STOP Décharge Delta Déchets à Orange
Le COPEJ (Collectif Orange Pressée, Ecorce à Jeter)
soutenu par AURA Environnement lance l'opération
"Orange Sanguine" contre radioactivité, odeurs infernales
abus des dépassements en tonnages en mâchefers....
CONTRE la décharge Delta Déchets
située en zone péri-urbaine à Orange !
NON A LA PROLONGATION DE LA DECHARGE D'ORANGE !
Le COPEJ n'est absolument pas favorable à l'extension ou à une prolongation du site actuel de cette décharge située au "Coudoulet" à Orange, car, non seulement il se trouve en zone péri-urbaine mais aussi parce que les populations locales en ont plus que marre des odeurs pestilentielles mais aussi de la radioactivité qui a été détectée au niveau des portiques de sécurité.
Le COPEJ demande au préfet du Vaucluse la liste des signalements qui lui ont été faits en 2015 & 2016.
Le COPEJ a élu Marc-Claude de PORTEBANE
comme son porte-parole soutenant http://rougemidi.org/
ABUS
- Alors que toutes les garanties avaient toujours été données aux population locales, DELTA Déchets a reconnu avoir reçu 50 702 T de mâchefers alors que la limitation de l'autorisation fixe le quota à 50 000 T. Ainsi que 14 408 T de gravats. Ces mâchefers qui ne sont pas valorisables proviennent des Alpes Maritimes et des Bouches-du-Rhône.
- Concernant les eaux souterraines DELTA Déchets a été pris en défaut concernant la non-prise en compte de certains paramètres sur des pièzomètres lors des analyses quadri-annuelles. L'an passé, Sabrina GUILLEVIC (Dreal 84) précisait que les paramètres qui n'avaient effectivement pas été pris en compte "l'ont été sur les analyses suivantes". Ah Bon ? Intéressant tout cela ! D'autant plus qu'il peut exister des forages de particuliers pouvant servir à l'alimentation en eau potable des foyers où de potentiels nouveaux-nés sont susceptibles de boire leur biberon avec cette eau.
- Lixiviats : l'exploitants DELTA Déchets a reconnu que le changement du bassin des lixiviats avait présenté des "anomalies" sur la nappe phréatique. Leur qualité laissant à désirer puisque l'année 2015 n'est pas allé dans le même sens que les années précédentes, notamment par rapport à la matière organique et à l'azote total. Après contrôle, les eaux du bassin A sont rejetées vers "La Meyne". Cette sympa petite rivière est un affluent gauche du Rhône. Dans le seul département du Vaucluse, la Meyne traverse les 2 seules communes d'Orange et de Caderousse.
- Odeurs : à certains moment de l'année (vent du sud), les odeurs ont été perçues en 2015 à plus de 400 m du site, avec de très fortes odeurs pestilentielles d'OMr (ordures ménagères). En 2016, DELTA Déchets reconnaissait qu'en 2014, une étude avait été menée par vent de Sud et que cette condition météo particulière avait été "bien prise en compte". L'année 2017 touchant presqu'à sa fin, le COPEJ, actif depuis fin août 2017, va vous donner ses appréciations, d'autant plus, qu'en 2016, Thierry DEMARET, le secrétaire général de la préfecture du Vaucluse avait tapé du "poing sur la table" en faisant remarquer qu'en 2015, "la situation ne semblait pas s'être améliorée depuis 2014 puisqu'à l'époque les odeurs n'étaient ressenties qu'à 110 m du site par vent de Sud". Celles et ceux qui disent qu'une décharge ça ne pue pas, en seront pour leurs frais puisqu'en 2006, les odeurs pestilentielles avaient été ressenties à 1 600 m du site. En 2015, les restaurateurs situés à "Orange-les-Vignes" n'en pouvaient plus et demandaient qu'elle était la procédure à suivre en cas de perception d'odeurs pour leurs clients, leur personnel et eux-même. Tandis que le "Jury de Nez" - AURA Environnement connaît très bien ce leader en science des odeurs, puisqu'il applique les normes NFX 43-103 et EN 13725 - avait constaté, lui, une NETTE dégradation en 2015 !
AURA Environnement aimerait savoir pourquoi les autorités préfectorales du Vaucluse permettent que les rampes de brumisation ne sont pas mises en route le week-end pour la simple raison qu'il n'y a pas de réception de déchets le samedi et le dimanche !!! Ca coûte de l'argent ou ça ne rapporte pas assez de marge nette en fin d'année ???
C'est quand même inadmissible d'exposer les populations locales à de tels inconvénients alors que les enquêtes publiques sont faites pour "sécuriser" les populations locales pour leur faire croire au Père Noël.
C'est pour toutes ces raisons - et d'autres - qu'AURA environnement et le COPEJ ont déclenché ce week-end l'opération dite "Orange sanguine" avec le soutien des populations locales qui n'en peuvent plus de ne pas se faire entendre depuis de trop nombreuses années.
Sauvons nos animaux innocents et nos populations locales vers Orange.
Comme le grand Ignace de Loyola, (Fidel Castro a étudié chez les Jésuites), nous vous demandons de consigner vos expériences mal vécues sur le cahier de l'onglet "Contacts" d'AURA Environnement. Nous irons vous soutenir avec nos défauts et nos qualités.
A force de presser l'orange (la ville, les contribuables, les déchets), il est grand temps de "jeter" l'écorce qui peut devenir Bio-dégradable dans plusieurs décennies : l'exploitant hors du Vaucluse en ne lui permettant pas d'obtenir une nouvelle autorisation de prolongation ou d'extension..... après 2018, d'autant plus qu'il se situe en zone péri-urbaine et que les populations locales des décharges en ont marre de chez marre des promesses et encore des promesses de ces parodies d'enquêtes publiques qui auraient un grand besoin d'être réformées alors que les demandes d'autorisation d'exploiter sont plus rapides qu'avant et reliées pour que les autorisations deviennent uniques avec le nouveau DAEU qui est entré en vigueur au 01/10/2017.
Alors que les droits des populations locales n'ont de cesse d'être grignotés, d'années en années, pour laisser la place à la dictature des merdias alliés aux capitalistes qui ne cessent d'augmenter leurs bénéfices sur le dos des travailleurs et des populations locales en les polluant, et ce, sans parler de ces gros gourmands en CO² qui ne cessent de grossir les fonds de pension étrangers qui pullulent sur notre sol de la région PACA ou de la région AURA en passant par la drôle de Région des Hauts-de-France à la Bretagne !
Marc-Claude de PORTEBANE
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Quand Michel APROYAN le maire des Granges-Gontardes écrivait au préfet 26 pour se plaindre de la décharge COVED à Roussas !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/10/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes
écrivait au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED
de la commune de Roussas, et de celle de Sita Mos à Donzère
alors que maintenant il veut absolument installer une décharge COVED
de 75 000 T à 100 000 T de déchets DND dans sa commune !!!
Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes prenait sa plume pour écrire au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED de Roussas et celle de Donzère (Copies au ministre-maire de Donzère, le député, le maire de Roussas, le maire de La Garde Adhémar, la conseillère générale, les sociétés COVED et SITA Mos, le Dauphiné Libéré, la Tribune).
Objet : "Centres d'Enfouissement Techniques (CET) de Donzère et Roussas".
En effet, le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN se plaignait au préfet que "Depuis plusieurs mois, la commune des Granges-Gontardes et ses administrés subissent des nuisances olfactives de plus en plus insupportables", en ajoutant que "Ces nuisances proviennent du CET de Donzère exploité par la société SITA Mos et/ou celui de Roussas exploité par la société COVED. Certes ces installations ne sont pas récentes mais ce phénomène d'odeurs qui s'est aggravé depuis plusieurs mois reste pour nous assez inexplicable".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN continuait : "Nous avons donc alerté les exploitants à plusieurs reprises. Notre dernier courrier est resté lettre morte de la part de SITA Mos. Pour autant, les deux exploitants, n'ont pas d'explications probantes. C'est ce qui nous inquiète : pas d'explications, pas de solutions à apporter à moins qu'on ne nous dise pas tout...".
AVANT, IL Y AVAIT DES ODEURS à ROUSSAS ET PAS D'ARGENT pour les Granges-Gontardes !
BIENTOT, IL Y AURA DE L'ARGENT pour les Granges-Gontardes ET PLUS D'ODEURS aux Granges-Gontardes !
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN martelait : "Cette nuisance se propage jusque dans la plaine de la Garde Adhémar : Christian ANDRUEJOL, maire, m'a interpellé sur le sujet. Je crois savoir qu'il a aussi questionné les exploitants car nombre de ses administrés résidant dans la plaine se sont également plaints.".
Nous sommes bien d'accord avec le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN quand il se sentait impuissant "Face à cette problématique, nous nous sentons complètement dépourvus ; contrairement au bruit par exemple, l'odeur n'est pas "mesurable", tout du moins que je sache. D'où notre difficulté d'évaluer cette nuisance, de la quantifier et de faire reconnaître qu'elle existe et qu'elle est croissante".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN demandait donc au préfet 26, "de bien vouloir convoquer une CLIS (Commission Locale d'Information et de Surveillance" exceptionnelle réunissant si possible les deux exploitants en même temps.", car, "L'objectif de cette CLIS serait de faire toute la lumière sur ce phénomène d'odeurs, d'identifier les causes et bien évidemment pour nous et nos administrés de trouver des solutions rapides et radicales".
"SOLUTIONS RADICALES" ? Hum ! Hum ! Très intéressant tout cela pour les collectifs CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas- Les Granges-Gontardes) et le tout nouveau Collectif OVO (Orgues Vertes d'Olive) qui se battent de concert avec le soutien d'AURA Environnement contre le projet de modification actuel du PLU des Granges-Gontardes visant à installer pour 18 ans la nouvelle décharge COVED (celle qui puait en 2009, selon le maire des Granges-Gontardes) sur les terrains qui seraient déclassés de l'auto-cross et du moto-cross après l'actuelle enquête publique sur le PLU !..
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN persistait non sans raison : "Les deux sites sont installés chez nos voisins de Donzère et de Roussas mais en limite territoriale de notre commune" en indiquant au préfet de la Drôme "Ce sont les habitants des Granges Gontardes qui en subissent les conséquences à longueur d'année sans que la commune en ait au moins quelques retombées économiques.....".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN "s'en prenait" également la COVED : "Monsieur le préfet, vous n'étiez pas en poste à ce moment-là, mais je vous informe qu'en avril 2008, sur le site de Roussas, un incendie d'une intensité difficilement maîtrisable a généré, pendant plusieurs jours, un panache de fumées irritantes, ne présentant pas de toxicité aiguë, dixit les résultats d'analyses. La commune des Granges Gontardes s'est retrouvée dans ce panache oh combien "odorant" puisque c'est jusqu'a Bollène que ces fumées ont été senties !".
Dans sa conclusion, l'excellent maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN déclarait, également : "Nous sommes conscients que ces déchets doivent trouver une issue de traitement mais aujourd'hui, pour les habitants des Granges Gontardes, trop c'est trop...".
Ce sera, en effet, "TROP c'est TROP" du début 2018 (date possible enquête publique projet décharge COVED LCJ3 aux Granges-Gontardes) à la fin de l'exploitation de la décharge de Roussas, en ajoutant encore les 18 ans supplémentaires d'exploitation COVED aux Granges-Gontardes, le CPERG est bien d'accord avec vous Monsieur le maire des Granges-Gontardes !
EN 2017 : CHANGEMENT de DISCOURS de Michel APROYAN dans le bulletin municipal de septembre 2017 mis dans les boites-aux-lettres des citoyens des Granges-Gontardes ce tout début de semaine ....
- Faire une école pour les enfants et accepter la décharge COVED pour les polluer ?
- L'intérêt financier 2017 de la commune des Granges-Gontardes passe-t-il avant la santé des habitants ?
- Une voiture électrique pour les agents techniques pour une démarche "éco responsable"
tandis qu'odeurs et envols de plastiques, cartons et papiers légers de la décharge COVED
déferleront encore sur nos vignobles AOC du caveau du "Baron d'Escalin"
(où l'on déguste le super "Vergobbi Rosé" avec modération)
nos champs d'oliviers, végétation de la commune des Granges-Gontardes !!!
...... (5 jours après le tractage massif du CPERG dans ces mêmes boites-aux-lettres et la venue d'une douzaine de personnes qui ont répondu massivement à l'appel du CPERG pour rencontrer le commissaire enquêteur, samedi 23/09/2017, à 10 h, en mairie des Granges-Gontardes), le MAIRE des GRANGES-GONTARDES VEUT cette fois FAIRE VENIR la DECHARGE COVED sur sa commune des Granges-Gontardes.
Envolées les odeurs de la décharge COVED ? Ce n'est plus "trop c'est trop" comme en 2009, alors que la CSS (Commission de suivi de site qui a remplacé l'ex-CLIS) de la décharge COVED à ROUSSAS, (comme l'a maintenant maintes fois dénoncé AURA Environnement aux services de la préfecture de la Drôme et dans une pétition,) ne s'est même pas réunie en 2016 !!! C'est dire comment est surveillée cette décharge COVED à Roussas qui puait les ordures en 2009 et qui respirerait presque le parfum des poubelles lors de la future installation de Coved aux Granges-Gontardes !
C'est un SCANDALE et personne ne s'en est offusqué ni à Roussas ni même aux Granges-Gontardes ?
Curieux tout cela, non ? D'un côté le maire et d'autres personnes sonnent la charge contre la décharge voisine de Donzère et de l'autre, cela ne les dérange pas qu'il n'y ait pas eu de CSS pour faire le point annuel en 2016 sur les envols de plastiques légers, par exemple, en provenance de la décharge Coved de Roussas sur les vignes AOC des Granges-Gontardes ?
En 2009, les habitants trouvaient que la décharge COVED c'était "trop c'est trop" ; en 2013, seule la décharge SITA semble faire l'objet de "nuisances" ; en 2017, le projet de décharge COVED n'apporterait donc que du "bonheur" avec des recettes supplémentaires parce que "les dotations de l'Etat fondent comme neige au soleil" aux citoyen-es des Granges-Gontardes et comme par miracle, AUCUNES ODEURS NI AUCUNES NUISANCES ne viendraient jusqu'au village des Granges-Gontardes qui sont pourtant en droite ligne sous les vents dominants, comme vous avez pu le constater dans la plaquette d'une synthèse de l'étude d'impact sur l'extension de la carrière des Granges-Gontardes où d'ailleurs les riverains des Granges-Gontardes, après avoir monté une pétitionnette, se plaignaient des envols de poussière et des passages de camions ?
C'est normal de voir ces trous béants des décharges COVED et carrière GSM sur les flancs de Roussas ? Ce sera normal de voir le petit village des Granges-Gontardes bientôt associé à une décharge, alors que la commune envisage avec le futur argent de la COVED de rénover le bourg ?
Il va falloir tirer tout cela au clair, camarades !
Comment se fait-il que le commissaire-enquêteur en charge de l'enquête publique sur la modification du PLU se soit subitement déplacé au début de cette semaine n° 30 de l'an de grâce 2017 après le passage en mairie de la population qui a répondu massivement aux tractages du CPERG ?
Nous attirons tout spécialement l'attention du préfet de la Drôme qui supervise le déroulement de cette enquête publique de modification du PLU !
Nous attendons les explications du Commissaire-enquêteur sur sa venue ce début de semaine dans un chemin des Granges-Gontardes.... juste après la mobilisation du CPERG !
Comme par hasard, les choses se sont activées depuis la mobilisation du CPERG aux Granges-Gontardes, la semaine dernière avec nos tractages massifs pour rappeler aux habitant-es des Granges-Gontardes leur devoir de citoyen en se rendant à l'enquête publique sur la modification du PLU dans leur commune !
Comme nous l'a dit le maire dernièrement, les gens sont informés et ne viennent même pas aux réunions du conseil municipal. Ce qui n'est pas normal lorsque l'on défend les valeurs de la République !
Nous passerons à la loupe les tenants et les aboutissants de TOUTES les modifications de zonage de cette enquête publique de modification du PLU, comme nous l'avons déjà fait, en 2016, dans la commune de Saint-Sorlin-en-Valloire située au nord de la Drôme, où AURA Environnement avait mobilisé en masse les citoyen-es de la commune pour la modification du PLU en faveur de la commune CONTRE l'extension d'une décharge intolérable qui regorgeait d'amiante.
A Saint-Sorlin-en-Valloire, grâce aux tractages massifs d'AURA Environnement, les habitants ont été très solidaires de leur maire - qui LUI nous a soutenu jusqu'au bout - et ont refusé que la décharge poursuive son activité en ayant à modifier le PLU qui aurait encore "bouffé" des zones agricoles !
AURA Environnement a gagné à Saint-Sorlin-en-Valloire ! Nous espérons faire de même dans le Sud de la Drôme, aux Granges-Gontardes, en barrant la route au projet de décharge COVED avec l'aide solidaire du maire, des élu-es et des citoyens attachés à leur territoire !
Mobilisez-vous CAMARADES ! PENSEZ à l'avenir de nos enfants ! Une décharge qu'elle soit de COVED ou de SITA MOS reste une décharge avec des nuisances intolérables qu'il convient de combattre, comme le dénonçaient le maire des Granges-Gontardes en 2009 et en 2013 avec les habitants !
CAMARADES des Granges-Gontardes : AURA Environnement et le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes et maintenant l'OVO (Collectif Orgues Vertes d'Olive) ne vous laisseront JAMAIS, JAMAIS tomber !
Comme pour la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal où notre huissier a constaté que des camions passaient à côté du pont bascule, nous relèverons, avec vous, s'il le faut le défi permanent....
....Nous serons potentiellement de toutes les procédures au tribunal administratif de Lyon POUR l'avenir des Granges-Gontardes, si cela s'avère nécessaire !
Le département de la Drôme ne va pas tolérer ENCORE une nouvelle décharge alors qu'il y a déjà celles de Chatuzange-le-Goubet et de Donzère, sans compter celle de Roussas qui doit bientôt fermer et qui veut maintenant s'écarter sur les terrains voisins des Granges-Gontardes en virant des milliers de motards et des centaines de badauds pour les RDV de pilotage de l'auto-cross exploitée par la société P2C-Racing qui va devoir mettre la clé sous la porte parce qu'elle risque de ne plus avoir bientôt de terrain pour exercer son activité professionnelle, comme actuellement, elle le fait et ce, sans AUCUN ....bail sur un terrain communal qui appartient aux contribuables qui ont le DROIT de demander des comptes à l'autorité administrative compétente ! Pourquoi un bail à nos camarades du Moto-cross et pas à celui qui dirige la société P2C-Racing qui a consulté un avocat vendredi dernier ? Où sont l'exemplarité et l'égalité Républicaine tant désirée par le président de la République, Emmanuel MACRON, à qui, nous allons demander personnellement son intervention dans cette histoire de projet de décharge aux Granges-Gontardes ?
Chacune et chacun sait que, lorsque le président MACRON "tape du poing sur la table", ça ne "bronche" pas chez les élu-es qui "filent doux" comme dans ce dossier où le président de la République vient de siffler la fin de la récréation en s'appuyant sur le Conseil d'Etat qui vient de débouter la société nordiste Innovent, promoteur d'un projet de parc éolien sur la Côte d'Opale, à Widehem et Frencq, entre Boulogne-sur-Mer et Le Touquet !
La pétition CONTRE le projet de décharge aux Granges-Gontardes fera-t-elle le buzz, comme celle de Dunkerque (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569) - (source : le Phare Dunkerquois - groupe La Voix du Nord) où AURA Environnement passera bientôt à l'offensive au tribunal administratif de Lille contre le futur arrêté préfectoral d'autorisation du projet "Seveso Seuil Haut" Indachlor porté par les belges de la SASU Indaver à Loon-Plage dans le GPMD (Grand-Port-Maritime-de Dunkerque) !
Forte de l'adhésion massive de plus de 18 000 signataires à notre 1ère pétition internet locale, nationale et internationale, EN SEULEMENT 5 jours, (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303 ), AURA Environnement ne va pas se gêner pour interpeller le président de la République Emmanuel MACRON afin qu'il fasse passer à la loupe sur ce tout ce qui se trame dans cette région de Roussas/Les Granges-Gontardes et plus particulièrement dans le département de la Drôme où la République semble n'être pas trop "En marche" mais plutôt "En Reculade" sur bien des principes auxquel-les, nous sommes toutes et tous attachés : la défense de la République avec ses valeurs fondamentales, équitables et immuables, comme la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, conformément à notre constitution ! Cf. le lien Twitter en faveur du président de la République : https://twitter.com/MCdeportebane/status/860556403886391296
Est-il vraiment démocratique que le secrétariat républicain de la mairie républicaine des Granges-Gontardes nous refuse, le 29/09/2017, la communication de documents administratifs publics ?
Est-il normal d'accorder un bail à telle structure et pas à une autre sur un terrain communal ?
Où en est notre demande de RDV avec le sous-préfet de Nyons ?
Pas de cela aux Granges-Gontardes comme à la décharge COVED de Roussas !
La loi TECV doit être respectée partout sur le territoire national car nos lois ne s'appliquent pas que sur certains pans de notre pauvre France !
La République est Une et indivisibe que ce soit aux Granges-Gontardes, à Saint-Sorlin-en-Valloire, à Vic-de-Chassenay, à Champigny-sur-Yonne...
....à Saint-Martin-des-Champs dans le Finistère ou à la décharge SUEZ de Narbonne où bientôt les "orgues de Staline" d'AURA Environnement ne vont pas tarder à déclencher les éclairs de l'orage des masses populaires et le déluge de la mobilisation citoyenne !
Venez à notre conférence de presse demain lundi 03 octobre 2017 à 18 h sur le terrain du moto-cross aux Granges-Gontardes rencontrer les journalistes !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
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Modif' PLU Les Granges-Gontardes : Collectif CPERG débarque mairie du Commissaire-enquêteur et dénonce projet SECRET décharge !
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/09/2017
- Dans #CPERG (Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes)
Plusieurs habitant-es choqué-es des Granges-Gontardes (26)
ont répondu favorablement à l'appel d'AURA Environnement et du CPERG
Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes
pour écrire leur indignation sur le registre du commissaire-enquêteur
en mairie dans le cadre de l'enquête publique modif' du PLU et SURTOUT dire
STOP au projet de décharge COVED sur l'actuel terrain du moto-cross !!!
OU VAS-TU, camarade égalitaire ?
L'appel évolutionnaire d'AURA Environnement et du CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) sonnant le tocsin CONTRE le projet d'une nouvelle décharge dans la Drôme, et plus particulièrement sur l'actuel terrain du Moto-cross des Granges-Gontardes, que PERSONNE ne veut ébruiter aux populations locales, s'est déchaîné comme une trainée de poudre dans tout le petit village des Granges-Gontardes où les militant-es du CPERG ont mis, secrètement selon leur méthode égalitaire tirée de "Quo Vadis" mais d'inspiration maoïste, en appliquant de façon rationnelle et disciplinée, l'opération dite des "Raisins de la colère Rouge"...... que nous avions annoncée sur notre site, mais aussi dans les communes voisines de Valaurie, Donzère, Roussas, La Garde Adhémar, Malataverne, Allan, Grignan, Montélimar, Valence, Aubenas !
L'appel Evolutionnaire et non, Révolutionnaire, a été entendu par les populations locales des Granges-Gontardes qui ont été abasourdies d'apprendre par AURA Environnement et le CPERG que, sous l'actuelle enquête publique de modification du PLU (plan local d'urbanisme) se cachait un projet de décharge dénommé "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" devant accueillir 75 000 T à 100 000 T de déchets sur l'actuel terrain du moto-cross des Granges-Gontardes exposé à tous les vents mauvais et SURTOUT dominants !!!!
En effet, les services de la DREAL de la Drôme, les élu-es des Granges-Gontardes, l'exploitant COVED (Direction Sud-Est à Roussas et plus particulièrement le demandeur du DDAE - Dossier de demande d'autorisation environnementale - présenté par ANTEAGROUP, direction régionale Sud, 34470 PEROLS, Tél. 04 67 15 91 10 - devaient espérer "péperre" cette modeste enquête publique du PLU, en évitant bien soigneusement d'informer les populations locales qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'auraient jamais rien su de ce projet de décharge aux Granges-Gontardes qui s'embrase au fil des jours !
C'est pour cela qu'une première délégation du Collectif CPERG - composée de son premier comité directeur avec Marc-Claude de PORTEBANE, une habitante du village qui tient à garder l'anonymat, Henri BOUR. - s'est rendue samedi matin, lors de la permanence du commissaire enquêteur en mairie des Granges-Gontardes.
RDV fixé à 10h du matin devant la mairie des Granges-Gontardes. Plus de 15 personnes ayant rejoint le CPERG se sont immédiatement rendues en mairie sans compter les absent-es qui se sont excusé-es - par téléphone ou par mail à aura-environnement@laposte.net de ne pouvoir venir ce jour-là rencontrer le commissaire-enquêteur et lui coucher par écrit leurs craintes sur ce funeste projet de décharge sur leur propre commune des Granges-Gontardes !
LES REVELATIONS SECRETES D'AURA Environnement et du CPERG sur ce que l'on vous cache sur le PROJET de DECHARGE COVED sur la commune des Granges-Gontardes :
COVED dispose d'une autorisation d'exploiter, pour son installation de stockage de déchets non-dangereux dite "LCJ2", sise sur la commune de Roussas au lieu-dit "La Combe Jaillet", pour une capacité maximale annuelle de 100 000 T jusqu'au 01/01/2022, conformément à l'arrêté préfectoral du 14/01/2005 et de l'arrêté complémentaire du 04/03/2015. Par ailleurs, COVED dispose pour le site de "Combe Jaillet", d'une autorisation pour son activité de tri de déchets non-dangereux, (Arrêté initial du 06/02/1995).
AURA Environnement était mis au parfum au milieu 2013, car, afin de pérenniser l'activité du pôle multi filières, COVED a engagé depuis 2012 des études de faisabilité pour prolonger son activité de stockage de déchets non-dangereux, sur le site du pôle multi filière de Combe Jaillet.
En effet, COVED souhaiterait étendre son site du pôle muliti filière, avec UN PROJET d'une NOUVELLE DECHARGE aux GRANGES-GONTARDES, destinée pour partie aux déchets d'activités économiques (DAE) et aux déchets ménagers et assimilés (DMA), pour :
- Une capacité globale de stockage de 1,25 millions de T, (soit un volume de 1,35 millions de m3)
- Une durée d'exploitation de 18 ans,
- Une capacité de moyenne de 75 000 T/an et maximum de 100 000 T/an !!!
Nous ne voulons pas de cela, comme à Roussas en 2013
dans notre commune des Granges-Gontardes
lorsque le Mistral se déchaînera sur nos vignes, lavandes !!!!
CE PROJET SECRET dit "LCJ3" intègrera :
- Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond du NOUVEAU casier, les digues et couverture,
- Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environ,
- Des aménagements spécifiques, liés au fonctionnement du nouveau site des GRANGES-GONTARDES, tels que des bassins de collecte des eaux de ruissellement interne du site et de collecte des lixiviats, des aménagements pour l'accès au site (voiries).
Dans son dossier de demande d'autorisation, la COVED fait comme si les impératifs liés à sa future activité et aux contraintes techniques qui en découleront étaient acquis comme par exemple la "Compatibilité avec le document d'urbanisme" comme si l'enquête publique de modification du PLU qui se déroule actuellement en mairie des Granges-Gontardes était déjà "pliée". MDR !
Le commissaire-enquêteur n'a pas été capable de nous dire - A nous les 3 délégués du CPERG admis dans la salle de la mairie des Granges-Gontardes et qui avons signé in solidum - à quoi était destinée la partie actuelle du terrain d'auto-cross/moto-cross (de couleur vert clair, zone Usl) enclavée dans la zone violette (zone Us) !!!!
D'après COVED, "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur, correspond à une zone "Ui" ayant "pour vocation l'extension de la plateforme multi filière de tri, stockage, enfouissement, valorisation de déchets non-dangereux (ISDND) et de production d'énergie électrique à partir de la méthanisation du CET de Roussas".
Donc, pour COVED, "Le règlement de cette zone est compatible avec les activités ICPE envisagées".
En clair : la modification du PLU actuel ayant été - déjà - probablement approuvée par le "Saint-esprit", les futures activités de l'ICPE (le projet de future décharge qui est une installation classée au titre de la protection de l'environnement ...avec enquête publique) seraient - déjà - compatibles par "anticipation" !
Foin de la réaction populaire, qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'aurait rien su et l'ensemble passait comme une "lettre à la Poste" !
NOUS REAGIRONS et NOUS RIPOSTERONS ! A Roussas, il y a eu du "laisser-aller" inadmissible ! La CSS de 2016 ne s'est pas réunie malgré les reproches d'AURA Environnement vis-à-vis du comportement étrange de la Dreal 26. Peut-être qu'ils voulaient certainement et SURTOUT PAS effaroucher les populations locales en parlant de futur projet de leur future décharge aux Granges-Gontardes amplifié d'au moins 75 000 T.
C'est pour cela qu'AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, le 21/08/2017, l'intégration d'AURA Environnement et du CPERG au sein de cette CSS. Pour l'instant AUCUNE réponse alors que les services de l'Etat ont 1 mois pour répondre. C'est clair, ils ne veulent pas "d'emmerdeurs" à leur CSS de Roussas qui proviennent de cette commune et/ou des Granges-Gontardes !
Or, nous avons des potes dans toute la France et AURA Environnement peut toujours compter sur ses camarades de l'ASPA qui ne lâchent absolument RIEN contre la décharge COVED de Vic-de-Chassenay et qui en ont plus que marre de chez marre, comme en témoigne ce document de France 3 Bourgogne-Franche-Comté sur leur capacité intacte de RESISTANCE http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/vic-de-chassenay-millery21-l-aspa-lance-le-compte-rebours-de-la-fermeture-du-centre-de-stockage-des-dechets-899213.html
Pour revenir aux Granges-Gontardes, COVED se veut rassurante et déjà certaine que le projet de décharge se fera bel et bien aux Granges-Gontardes" puisque "l"étude d'impact montre que le projet ne génère pas d'impact notable et que les mesures prises permettent de garantir la protection de l'environnement..." ! Les citoye-nes des Granges-Gontard apprécieront !!!
Depuis plus d'un an, AURA Environnement a averti les autorités préfectorales de la Drôme qu'il était hors de question de "toucher" à la zone Biotope qui "ceinture" en bonne partie la décharge de Roussas.
Donc, ils ne restait plus qu'une solution à COVED : analyser des solutions de substitution autres, comprendre le sympa terrain du Moto-cross. Ce qui fut fait en 2014 et 2016, puisque des reconnaissances géologiques auraient été réalisées pour "caractériser les formations géologiques encaissantes au droit du projet"..... des Granges-Gontardes, ce qui aurait permis à COVED de valider sur des critères géotechnique, géologique et hydrologique, la "faisabilité d'implantation" d'une telle décharge de DND (déchets non-dangereux) aux Granges-Gontardes !
Ceci est confirmé par COVED : "Cet élément a été décisif dans le choix de l'implantation du projet" ...aux Granges-Gontardes où l'on ne sait rien parce que l'on ne nous dit rien !
Pas grave, puisque le CPERG prépare banderoles, tracts, pancartes en prévision de la prochaine saison touristique hivernale où le soleil brillera plus que sur Paris dans cette jolie vallée des Granges-Gontardes de la Drôme provençale. Une riposte populaire est toujours accueillie favorablement par les masses populaires qui en ont marre de ne pas vivre tranquillement sur leurs territoire des Granges-Gontardes, où certains camarades du CPERG songent à s'en aller de leur commune cernée par les décharges de Donzère et de Roussas, les camions de la carrière de GSM où la dernière enquête publique a déjà été houleuse avec les riverains, l'autoroute A7 et son flot incessant de camions et de bagnoles, les TGV qui défilent jour et nuit, une gestion municipale du nouveau complexe écolier qui n'a fait qu'endetter leur commune des Granges-Gontardes !
COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME !
COVED nous dit qu' "un PLU est en cours d'élaboration sur la commune des Granges-Gontardes, depuis l'arrêté du 25/06/2010 qui a prescrit son élaboration", car, "Actuellement le document d'urbanisme est un POS" et que "Le projet est situé en zone NDL "zone naturelle à vocation d'équipements sportifs et de loisirs" et NCc "zone agricole protégée" où les carrières sont autorisées" et COVED souligne en gras que "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées".... comprendre la future décharge des Granges-Gontardes.
Dans la mesure où la procédure d'élaboration du PLU a été engagée avant le 31/12/2015 (date de délibération du conseil municipal de lancement de la procédure 2011), le POS continue de s'appliquer jusqu'à l'approbation du PLU qui doit intervenir au plus tard dans un délai de 3 ans après la publication de la loi ALLUR, (loi n° 2014-366 du 2403/2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové), le 26/05/2014.
Au-delà du 27/03/2017, c'est le règlement national d'urbanisme qui devrait s'appliquer, conformément à la loi ALLUR.
COVED indique donc que son projet de décharge aux Granges-Gontardes "sera compatible (de manière transitoire) au RNU dans la mesure où il se situe en dehors des zones habitées. La caducité du POS ne remettrai pas en vigueur le document d'urbanisme antérieur".
COVED continue "A l'approbation et opposabilité du PLU, le projet sera compatible au PLU" car "En effet, le projet est inscrit dans un projet de zonage Ui ayant pour vocation de permettre l'extension de la plate-forme multi-filières de tri, stockage, enfouissement, valorisation des DND....".
VOTRE AVENIR et CELUI de VOS ENFANTS des prochaines générations se joue MAINTENANT lors de cette enquête publique de modification du PLU. Ensuite, cher-es CAMARADES, ils sera TROP TARD pour changer le futur ZONAGE qui verra irrémédiablement s'installer la future décharge des Granges-Gontardes ! MOBILISEZ-VOUS MASSIVEMENT pour rejoindre notre Collectif du CPERG ! DES REUNIONS SERONT PREVUES POUR QUE VOUS PUISSIEZ MESURER CE QUE SERA VOTRE AVENIR ! Vous devez absolument manifester votre indignation au commissaire-enquêteur qui est là pour retransmettre vos doléances.
Ne soyez pas ignorants et encore moins ignares : SERVEZ-vous de ce document
Pour aller voir le commissaire-enquêteur à la mairie des Granges-Gontardes
Afin de bien lui montrer la direction des vents violents dominants qui
Pulvériseront odeurs et envols de plastiques ou de cartons légers sur nos terres !
CELLES ET CEUX QUI VOUDRONT VENDRE LEURS TERRAINS et/ou MAISONS auront du mal à les négocier parce que le nom des Granges-Gontardes sera désormais associé à DECHARGE !
REGARDEZ CE QUI SE PASSE DANS LES COMMUNES OU LES DECHARGES pullulent ! Vos ENFANTS et petit-enfants diront "Maman, Papa, c'est grâce à vous que nous avons une décharge au minimum de 75 000 T/an aux Granges-Gontardes située sous les vents dominants et que nous risquons de subir des envols par le vent d'éléments légers, comme les papiers WC, les cartons d'emballage de certains kebabs ou autres établissements, les plastiques aux odeurs sucrées ou salées souillés par les mouches-à-merde (sources de dégradation visuelle des abords..... "!
Pas certain aussi que ce projet de décharge aux Granges-Gontardes plaise également aux vignerons qui vont effectuer des recours auprès de l'INAO et qui voudraient rejoindre le CPERG......
A suivre (Des précisions seront apportées dans les prochaines heures et dans les prochains jours).
Merci de contacter - pour l'instant - nos camarades et accessoirement notre camarade Henri BOUR de Roussas très préoccupé par son travail et moi-même (le DDAE déposé déposé par COVED - ANTEA GROUPE est très compliqué) pour voir comment nous allons organiser la RIPOSTE dans les prochains jours et les prochains mois car COVED espère fissa une enquête publique sur la future décharge aux Granges-Gontardes au TOUT début 2018 ; grossir les rangs du CPERG et l'organisation de masse ; ne pas se diviser avec les camarades chasseurs (Nous soutenons nos camarades amérindiens Guarani en Guyane - qui connaisssent AURA Environnement et qui sont des chasseurs raisonnables, tout en luttant CONTRE le projet "Montagne d'Or" prévu près de Saint-Laurent-du-Maroni, dans l'Ouest Guyanais) ; définir nos stratégies de défense environnementale pour la défense des populations locales des Granges-Gontardes et des communes environnantes ; se MOBILISER 24h/24 pour que la RESISTANCE S'ORGANISE sur le terrain de l'actuel auto-cross/Moto-cross !
Nous recherchons d'URGENCE des camarades ouvrier-es, employé-es, technicien-nes ou des ingénieurs volontaires et bénévoles spécialisé-es dans tous les domaines pour passer au peigne fin le DDAE déposé par COVED et qui seront rattaché-es à la Cellule autonome du CPERG 2. La cellule du CPERG 1 sera celle du commandement égalitaire où la parité sera respectée. La cellule du CPERG3 sera celle qui veillera aux actions sur le terrain. La cellule du CPERG4 sera celle qui se chargera de veiller à la démission du maire et de l'équipe municipale dans le but de mettre en place de nouveaux élu-es apolitiques.
--- PAS QUESTION D'UNE DECHARGE de PLUS de 75 000 T AUX GRANGES-GONTARDES pendant 18 ans au minimum ! ---
POUR NE PAS AVOIR DIT LA VERITE
AUX HABITANTS DES GRANGES-GONTARDES :
EXIGEONS la DEMISSION in solidum du MAIRE
et du CONSEIL MUNICIPAL des GRANGES-GONTARDES !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d'AURA Environnement
- Porte-parole du CPERG (Collectif de Préservation de l'Environnement vers Roussas-Les Granges Gontardes)
- Fondateur et Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (51 000 Like sur Facebook).
- Membre apprécié des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne à Rennes.
- Membre de la CSS à la préfecture de Grenoble pour le Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère vers Grenoble (ISDND Lély à Saint-Quentin-sur-Isère)
- Membre de la Commission nationale de débat public (CNDP) au titre de représentant de nombreuses associations de défense environnementales
- Président du pôle Déchets à la Fédération d'associations FAPEL22.
- Porte-parole du Collectif CHUPA 42 (Collectif Halte Usine à Poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)
- Porte-parole des Collectifs GreenLoire (42) et GreenBretagne (19, 22, 35, 56)
- Porte-parole du CPEP (Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat) (42, 69)
- Membre de Greenpeace
- Représentant d'AURA Environnement à l'Université d'été 2017 d'EELV (Europe Ecologie Les Verts)
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Les vents mauvais de la future extension décharge COVED/PAPREC @Roussas au PLU des Granges-Gontardes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 14/09/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Modification et enquête publique PLU aux Granges-Gontardes
Extension de la décharge COVED/PAPREC de Roussas
sur le terrain actuel du Motocross (Zones UI et USL) :
à la demande des populations locales et des vignerons ulcérés
AURA Environnement lance l'opération "Raisins de la colère rouge" !
Alors que toutes les assurances avaient été données aux populations locales par leurs élu-es, COVED-PAPREC a déposé sa demande d'extension de sa méga décharge, non plus sur la commune de Roussas dans la Drôme mais cette fois, sur la commune voisine des Granges-Gontardes où les raisons de la colère explosent !
Alerté par les populations locales du Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Granges-Gontardes (CPERG), le comité central d'AURA Environnement a décidé de leur prêter assistance et vous donne l'info en prime time : la DAEU (demande d'autorisation environnementale unique) a été déposée à la préfecture de la Drôme le 31/08/2017.
Nom de code du projet d'extension du CET (centre d'enfouissement technique) de COVED/PAPREC : LCJ 3.
Présentation CONFIDENTIELLE en mairie des Granges-Gontardes le 03/04/2017 et aux élu-es de Roussas, le 29/06/2017.
L'emprise du nouveau projet sera de 13,6 ha dont 8 ha pour le stockage de pas moins d' 1 300 000 T sur une durée de 18 ans.
Les apports annuels seront de 75 000 T, (100 000 T maxi), soit légèrement - selon COVED-PAPREC - en dessous des apports actuels.
LEGEREMENT !!!!
L'enfouissement commencerait au bord de la D 133 derrière un merlon de terre pour s'étaler vers le moulon (petit monticule rocheux). Les pentes côté Ouest seraient en espalier et camouflées par des plantations de végétaux dont on sait parfaitement qu'il faudra plusieurs années pour obtenir une végétation dense.
Les casiers devraient fonctionner en mode bioréacteur pendant 24 mois.
Les déchets seraient de type ménagers et assimilés en provenance de Drôme-Ardèche, avec au moins 80 % d'apports en provenance de ces 2 départements.
Aucune mise en balle de ces poubelles ne sera prévue !!!
Les bassins de recueil des lixiviats seraient placés au bord de la RD 133.
La maîtrise totale des envols de plastiques lors des vents violents type Mistral ou vents dominants ainsi que des odeurs pestilentielles prendrait au minimum 3 ans.
Les déchets proviendraient à 75 % des départements de Drôme/Ardèche ( à hauteur d'un rayon de 50 km) et les 25 % restants des départements limitrophes à plus de 50 km (Départements 04, 05, 13, 34, de la ville de Bagnols, de Lyon et de Bollène).
Ca va donc ratisser large pour inonder les terres des Granges-Gontardes qui peuvent dire adieu à l'image de marque de leur pinard, de leurs champs de lavande et de leur économie locale. Sympa pour les habitant-es et les vignerons des Granges-Gontardes et des environs qui récolteront toutes les odeurs infernales.
CHUT Camarades !!!
Le maire des Granges-Gontardes - Michel APROYAN - préfère les poubelles aux raisins de ces si belles terres de cette Drôme provençale qui font la notoriété de toute la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes).
Les Granges-Gontardes sont situées à 8 km de Pierrelatte. Les communes les plus proches sont La Garde-Adhémar, Roussas, Valaurie.... Jusqu'en mars 2015, la commune dépendait du canton de Pierrelatte. À la suite du redécoupage cantonal de 2014, elle est rattachée au canton de Grignan.
Les employé-es et vignerons de l'AOC Grignan-les-Adhémar ont décidé de ne pas rester les bras croisés et de rejoindre massivement AURA Environnement.
Sauvons nos animaux et nos terroirs !
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Avant CODERST septembre prolongation décharge LELY Saint-Quentin-sur-Isère : AURA Environnement mobilise les Pro-Animaux !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/07/2017
- Dans Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère
Avant que le CODERST ne se réunisse le 21 septembre 2017
pour examiner fissa la prolongation de la décharge
Lély à Saint-Quentin-sur-Isère :
AURA Environnement prend la défense des animaux !
Lors de la CSS "sortie du chapeau" pour la 1ère fois depuis 2013, AURA Environnement qui était invité en préfecture de l'Isère en soutien des populations locales du collectif SD-SQI (Stop-Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) a appris par le secrétaire-général de la préfecture de l'Isère la date du prochain CODERSt qui se réunira le 21/09/2017 pour donner son avis sur le projet d'extension de la décharge Lély avant que le préfet de l'Isère ne signe l'arrêté préfectoral d'autorisation d'exploiter pour au moins 20 ans........ alors que les riverains qui ont "avalé les couleuvres" de leurs élu-es pendant de nombreuses années pensaient naïvement que cette décharge allait fermer définitivement en 2017.
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Décharge COVED à Vic-de-Chassenay (21) : AURA Environnement en soutien aux camarades-citoyens veille au grain avec l'ASPA et le maire !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/07/2017
- Dans HALTE décharge COVED à Vic-de-Chassenay
Depuis fin 2016, AURA Environnement a apporté
discrètement son soutien anarcho-marxiste
aux populations locales défendues aussi par
l'ASPA et les élu-es de Vic-de-Chassenay
CONTRE la décharge COVED-PAPREC !
Depuis la fin 2016, sur la demande quelques habitant-es, la présence de nos camarades d'AURA Environnement a été la plus discrète possible dans les environs de la petite commune de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or).
Le 23/12/2016, par courrier, nous informions le maire François-Marie DEFFONTAINES et le président de l'association ASPA, Richard RACINE, de notre volonté de ne pas vouloir affaiblir les luttes locales mais d'être prêts sur le terrain militant.
Nous invitions le maire et les militant-es de l'ASPA de ne pas croire aux balivernes d'une potentielle fermeture du site le 03 janvier 2018 et d'être vigilant-es, TOUT en faisant confiance, tout de même, à l'arrêté préfectoral du 08/12/2015 signé par la préfète Marie-Hélène VALENTE, accordant la mutation d'exploitation d'une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay (21140) et de Millery (21140) au lieu-dit "La Terre au Seigneur" sur une surface de 21,5 ha - dont 9,6 pour l'ISDND -, au profit de la SAS COVED (Collectes Valorisation Energie Déchets), dont le siège social est situé au 1, rue Antoine Lavoisier à Guyancourt (Yvelines) !
Cet arrêté préfectoral (A.P.) stipulant bien que la durée d'exploitation de cette ISDND est limitée jusqu'au 03/01/2018.
Ceci étant confirmé par l'article 2 qui confirme que la SAS COVED se substitue à la société Ecopoles Services dans l'intégralité des droits et obligations attachés à l'autorisation d'exploitation (notamment les conditions d'exploitation, de réhabilitation, remise en état et de suivi post-exploitation) accordé par l'AP modifié du 13/03/2006 et complété par les APC des 13/11/2007, 26/10/2010, 16/08/2011, 03/06/2014 et 16/07/2014 autorisant la société ECOPOLES SERVICES à exploiter une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay et Millery au lieu-dit "La Terre au Seigneur".
Quant à l'article 3, celui-ci indiquait que la SAS COVED devait transmettre au préfet de la Côte d'Or, dans un délai maximum d'un mois à compter de la notification du présent arrêté, les attestations du transfert des droits fonciers (bail emphytéotique) pour les parcelles concernées par l'AP d'autorisation d'exploiter du 13/06/2013 modifié.
Une conférence de presse sera tenue dans les prochaines semaines par AURA Environnement sur l'évolution de ce dossier puisque tous les regards sont désormais tournés vers la décharge de Duchy à Saint-Florentin, dans l'Yonne, mais aussi à Champigny-sur-Yonne, où nos camarades d'AURA Environnement sont en train de venir à la "rescousse", depuis plusieurs mois, de leurs camarades des populations locales, pourtant, elles aussi, défendues par nos camarades de l'ONDEC (Observatoire Contre les Nuisances de la Coved de Champigny).
De la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme, à la méga Usine à poubelles "Ecopôle de La Valasse" à Montblanc, AURA Environnement observe le petit monde des poubelles d'un oeil extérieur et de l'autre, regarde au fond de soi-même vers l'horizon des prochaines générations qui seront impactées par les odeurs, les envols de plastiques, les incendies de site pas toujours clairement expliqués aux populations locales !
Tout en gardant toujours à l'esprit toujours le bon sens de la protection de l'Etat - l'Etat, c'est nous -, les populations locales doivent organiser la Résistance avec AURA Environnement, dans la non-violence mais dans la détermination la plus totale !
Notre ignorance fait leur pouvoir ! Ne l'oublions pas, Camarades !
CAMARADES ne perdra jamais sont triple A :
- Avec les masses populaires riveraines - antispécistes ou non - des décharges ou autres installations dites de "valorisation" de nos déchets, en défense couplée de l'environnement et des animaux qui souffrent tout autant que les humains !
- Avec respect des services de l'Etat (Préfectures, Sous-préfectures, Dreal, DDPP, Douanes, etc....) et des exploitants !
- Avec détermination pour servir dans la discipline la Cause maoïste du Peuple selon les recommandations du Petit livre rouge !
Gardons, toujours à l'esprit, Camarades d'AURA Environnement et des différents Collectifs autonomes rattachés, cette citation issue du Petit livre rouge du président Mao : "Un dur travail est comme une charge placée devant nous et qui nous défie de la hisser sur nos épaules. Certaines charges sont légères, d'autres sont lourdes. Il y a des gens qui, préférant les charges légères aux lourdes, choisissent les légères et laissent les lourdes aux autres. Ce n'est pas une bonne attitude. D'autres camarades se comportent différemment ; ils laissent les avantages aux autres et portent eux-même les lourdes charges ; ils sont les premiers à supporter les épreuves, les derniers à jouir du bien-être. Ce sont de bons camarades. Nous devons tous prendre exemple sur leur esprit communiste". "Sur les négociations de Tchongking". (17 octobre 1945). Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome IV.
K1 (Camarade n°1)