maire
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GIROUETTE ? Eric Berlivet, maire de Roche la Molière, a voté pour le projet de Suez à la CSS 2016 en tant que Vice-Pdt SEM !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/02/2018
- Dans SUEZ Borde Matin à Roche-la-molière - Loire -
Eric BERLIVET, le maire de Roche-la-Molière,
FAVORABLE projet SUEZ de Borde Matin à la CSS 2016
en tant que vice-président Saint-Etienne Métropole mais
CONTRE lors rassemblement des anti devant sa mairie !
Les rouchons qui s'étaient rassemblés samedi devant la mairie de Roche-la-Molière répondant à l'appel de leur maire Eric BERLIVET contre le projet d'extension du centre d'enfouissement technique de sa commune porté par SUEZ, n'y comprennent plus rien.
En effet, lors de la CSS (Commission de suivi de sité) du 06/12/2016, BERLIVET Eric ne s'exprimant pas en tant que maire de Roche-la-Molière mais en tant que vice-président de Saint-Etienne Métropole s'est déclaré
"... à ce titre, favorable au projet - de SUEZ - dans le sens où il améliore la gestion environnementales et technique du site et la situation fiscale TGAP pour la collectivité....".
Le seul a avoir émis un avis défavorable a été le représentant de la FRAPNA Loire, notre camarade Jacky BORNE.
Pourquoi ce virage à gauche toute dans cet appel du maire Eric Berlivet, « contre la volonté de l’État d’autoriser la poursuite de l’exploitation du centre d’enfouissement de Borde-Matin jusqu’en 2053 » dans un rassemblement qui a mobilisé plus de 300 personnes dont les militant-es écolos-marxistes d'AURA Environnement qui étaient aux côté de la sénatrice marxiste de la Loire, Cécile CUKIERMAN près du maire LR de Saint-Etienne et président de Saint-Etienne Métropole, Gabriel PERDRIAU ?.
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Si on veut pas décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes, Mieux vaut ne pas la permettre dans PLU !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/10/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Le maire des Granges-Gontardes ne peut pas dire que le PLU
n'a rien à voir avec la décharge PAPREC/COVED
puisque c'est PLU qui permettra décharge s'il est adopté.
Inversement, si la population se mobilise et obtient
le rejet du projet de PLU, la décharge deviendra impossible
et les habitants auront gagné leur tranquillité.
Le CPERG soutenu par AURA Environnement
qui regroupe les populations locales des Granges-Gontardes
s'oppose à la révision du PLU qui permettra à la future décharge PAPREC/COVED
d'installer son projet "LCJ3" déposé fissa à la préfecture de la Drôme fin août 2017 !
POUR RAPPEL : le projet de décharge COVED/PAPREC "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes ce sera :
- Une capacité globale de stockage de 1,35 millions de T, soit un volume de 1,35 millions de m3 de déchets DAE et DMA
- Une durée d'exploitation de 18 ans
- Une capacité de moyenne de 75 000 T par an et maximum de 100 000 T par an (source : DDA déposé par PAPREC/COVED, ISDND dite "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes). d
Ce projet dit "LCJ3" intègrera :
- Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond de casier, les digues et couvertures,
- Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environs.
- Superficie de la demande d'autorisation : 13,5 ha
- Superficie exploitable de la zone de stockage : Fond de casier : 4,9 ha. Superficie projetée : 8,2 ha.
- Tonnage annuel : Tonnage moyen : 75 000 T/an. Tonnage maximum : 100 000 T/an.
- Durée de vie résiduelle : 18 ans (fin 2040).
- Hauteur de stockage maximum : Côte finale du modelage : 180 m NGF. Hauteur de stockage de déchets : entre 34 et 40 m.
- Phasage : Un casier avec phases d'avancement selon la progression de l'avancement du stockage (Phasage avec avancement par zone d'exploitation successive en cours d'exploitation).
- Rayon d'affichage (3 km) et communes concernées : Malataverne, Alan, Roussas, Les Granges-Gontardes, Donzère.
- COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME :
Le groupe PAPREC/COVED semble tellement sûr de lui qu'il confrme bien dans son DDAE déposé le 31/08/2017 à la préfecture de la Drôme que "L'enquête publique est prévue en septembre 2017, avec un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017. Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées" !
Un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017 ?
En comprenant les potentiels recours en annulation déposés par les associations nationales de défense de l'environnement dont certainement le CPERG via AURA Environnement ?
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AURA Environnement et Alain GALLU maire #Pierrelatte : Pas CSR poubelles eau chaude Ferme aux crocodiles !
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/10/2017
- Dans Aura Environnement
Pas de CSR issu des poubelles pour eau chaude
du réseau chaleur à la Ferme aux crocodiles :
Entre Pierre GALLU le maire de Pierrelatte
et AURA Environnement le jus passe !
AURA Environnement soutient à 100% la politique de la filière Bois
présentée le 29/09 à Région AURA par président Laurent WAUQUIEZ
qui va élaborer le futur plan régional des déchets Auvergne-Rhône-Alpes :
Pas de cette merde de CSR Ferme aux crocodiles à Pierrelatte !
AURA Environnement et Pierre GALLU se sont rencontrés dernièrement en mairie de Pierrelatte (26/09/2017) pour évoquer un sujet qui risquerait de devenir "explosif" dans les prochains mois avec AURA Environnement & et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux - qui regroupe plus de 50 000 fans sur Facebook et qui est capable de mobiliser rapidement plus de 500 militants proches de la cause animale et défendu par Me Renaud PORTEJOIE du barreau de Clermont-Ferrand et d'autres ténors d'autres barreaux proches des très grandes fondations de protection des animaux -.
AURA Environnement et le tout nouveau maire de Pierrelatte, Pierre GALLU, d'un commun accord, veilleront à ce que certaines chaudières de la banlieue de Pierrelatte brûlent bien de la Biomasse et non de la Biomasse mélangée avec ses infâmes CSR (Combustibles Solides de Récupération) issus des poubelles de la Drôme ou d'autres départements et qui ne sont que de l'incinération déguisée avec des furanes et des dioxines qui sont très dangereuses pour les populations locales.
Très stables chimiquement, peu bio-dégradables, les dioxines persistent dans l'environnement et les êtres vivants dans lesquels elles s'accumulent. La demi-vie de ces polluants est d'environ sept ans dans l'organisme humain. Depuis plusieurs années, la toxicité chronique des dioxines a fait l'objet d'intenses recherches. La toxicité chez l'homme pour une exposition chronique à faible dose est encore un sujet controversé car les études sur ce sujet sont difficiles à mettre en œuvre. Cependant, certaines études épidémiologiques (chez l'homme) rapportent une augmentation du nombre de cancers chez les personnes exposées à la dioxine la plus toxique : la 2,3,7,8 TCCD (appelée aussi « dioxine Seveso »), seule dioxine classée par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) comme substance « cancérogène pour l'homme ».
AURA Environnement s'est entretenu le 29/09/2017 à la Région Auvergne-Rhône-Alpes - très brièvement - avec Laurent WAUQUIEZ qui aime bien "l'homme à la casquette à l'étoile rouge" sur le futur sort des condtions de chauffage de la vapeur d'eau chaude propulsée à la Ferme aux crocodiles à Pierrelatte, et surtout sur le projet de décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes qui s'articule derrière..... le projet actuel de modification du PLU et qui révolte la majeure partie de ce petit village très attaché à son vignoble AOC et à ses ressources en eau potable !
Située à Pierrelatte dans la Drôme, la Ferme aux Crocodiles a ouvert ses portes en 1994. Elle a bénéficié, durant de nombreuses années, de chaleur provenant d’une usine d’enrichissement d’uranium.
Avec près de 318 000 visiteurs en 2011, la Ferme aux Crocodiles est le 5e site touristique le plus visité en Auvergne-Rhône-Alpes.
En 18 ans d’existence, elle s’est agrandie à plusieurs reprises et est aujourd’hui constituée d’une sphère tropicale géante de 8 000 m2 et d’un espace extérieur de 4 000 m2. Plus de 400 animaux y cohabitent : de nombreuses espèces de crocodiliens (10 des 23 existantes dans le monde) mais aussi des tortues géantes et des oiseaux exotiques. Des espèces rares comme le Gavial du Gange ou le caïman noir y sont notamment préservées, dans un environnement maintenu à une température de l’ordre de 26°C à 30°C.
C’est justement dans sa source de chaleur qu’a longtemps résidé la particularité de ce parc, outre son espace unique dédié aux crocodiliens (le plus grand d’Europe) : la Ferme aux Crocodiles a été installée à proximité de l’usine d’enrichissement d’uranium de Georges Besse I, dite « Eurodif » afin de bénéficier de ses rejets thermiques offrant une source de chaleur bon marché. Cette usine, utilisant la technologie de diffusion gazeuse, intégrait des compresseurs nécessaires à la haute pression du procédé. Les calories des circuits de refroidissement de ces compresseurs étaient valorisées par un réseau de chaleur auquel était connecté la Ferme aux Crocodiles.
En juin 2012, Georges Besse I a cessé sa production. L’usine qui la remplace, George Besse II, enrichit l’uranium par ultracentrifugation, une autre technologie qui ne permet plus d’alimenter le réseau de chaleur de la Ferme aux Crocodiles.
Cette dernière est aujourd’hui alimentée grâce à une chaufferie au gaz avant la mise en service d'une centrale de cogénération biomasse.
Avec la fermeture de l’usine disparaissait cette énergie sous forme d’eau chaude. Pour la remplacer et dans la foulée des orientations du Grenelle de l’environnement, il fut décidé de construire une centrale de cogénération biomasse : elle brûlerait du bois afin de produire de l’électricité (85 gigawatt-heure, GWh) et de la chaleur (170 GWh).
L’usine thermique représente 55 millions d’euros d’investissement, financés par Areva, qui en a réalisé la conception, la construction, l’installation et la mise en service. Entrée officiellement en activité le 4 octobre 2012, la centrale est exploitée par la société Coriance, une entreprise spécialisée dans l’exploitation de réseaux de chauffage urbain.
Mais son fonctionnement engendre des conséquences négatives tant sur le plan environnemental que social.
Cet été, lors des journées de l'université d'été à Dunkerque d'EELV à Dunkerque, le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE s'est entretenu - en marge du projet Indachlor à Loon-Plage porté par les belges d'Indaver - avec la députée européenne Michèle RIVASI. Le dossier CORIANCE a été évoqué.
L'utilisation potentielle de CSR issu des OMr (Ordures ménagères résiduelles) soulèvera les quartiers populaires derrière AURA Environnement de la région de Pierrelatte mais aussi les protectrices et les protecteurs de animaux qui protègent les caïmans et autres "objets de vitrine", enfermés dans des enclos pour faire du fric alors que les animaux sont fait pour vivre en liberté !
FAISONS RESPECTER LA LOI TECV :
AURA Environnement s'oppose dans toute la France
aux projets de CSR et aux décharges
qui ne font AUCUNE valorisation !
Or, AURA Environnement sait depuis plusieurs mois, que quelques bureaux d'études s'activent pour voir s'il serait possible de brûler cette merde de CSR (Combustible Solide de Récupération) dans des chaudières n'utilisant - pour l'instant - que de la Biomasse.
Nous disons bien .... pour l'instant car, les populations locales de Pierrelatte commencent par se poser des questions et ont demandé à AURA Environnement de faire éclater toute la lumière sur la place publique.
Les voilà en très bonne partie rassur-ées : il n'y aura pas de cette merde de CSR - que SEULES les cimenteries comme Lafarge et Vicat devraient logiquement cramer comme par exemple au Theil en Ardèche - dans les chaudières biomasse à la Ferme aux crocodiles ou dans les serres voisines qui produisent des fraises et des tomates et qui soutiendront à 100 % AURA Environnement si jamais cette saloperie de CSR déferlait sur la région de Pierrelatte.
Nous savons qui risque potentiellement de prendre de ce CSR. Nous avons déjà rencontré les dirigeants locaux de Coriance.
L'utilisation du bois ok et à condition de ne pas dévaster nos forêts par des coupes à blanc. La France, ce n'est pas l'Amazonie où bientôt AURA Environnement sera représentée pour défendre les amérindiens Guaranis. En effet, Le collectif "Or de question "qui regroupe des ONG locales et nationales - comme AURA Environnement - demande au gouvernement français l'arrêt immédiat des projets de méga-industrie minière, car l’économie guyanaise doit s’orienter vers un développement écologiquement et socialement soutenable et non au détriment de nos camarades amérindiens guaranis ou Wayana.
AURA Environnement et Pierre GALLU sont sur la même longueur d'ondes, tout comme nous l'étions lors de nos 2 rencontres avec l'excellente ex-maire Marie-Pierre MOUTON qui a été propulsée à la tête du conseil départemental de la Drôme qui commence à ZOOMER ce qu'il se passe aux Granges-Gontardes, car la politique des élu-es de la Drôme est de valoriser - plus que jamais le Tourisme - et de ne plus tolérer, par exemple, des projets de décharge " à l'ancienne" comme le projet de PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes qui révulse - comme une traînée de poudre - les populations locales du petit village des Granges-Gontardes mais aussi celles des autres villages comme Valaurie, Roussas, Réauville, Malataverne, Allan, La Garde-Adhémar, etc..., et mobilisées en masse derrière le Collectif CPERG soutenu AURA Environnement.
Il y a assez de décharges dans la Drôme ! La Drôme ne va quand même pas devenir la poubelle de la France !
Mieux vaut laisser le projet de décharge supplémentaire de 75 000 à 100 000 T/an aux Granges-Gontardes et déposé par PAPREC/COVED le 31/08/2017 dans les cartons de la Dreal de Valence !
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Quand Michel APROYAN le maire des Granges-Gontardes écrivait au préfet 26 pour se plaindre de la décharge COVED à Roussas !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/10/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes
écrivait au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED
de la commune de Roussas, et de celle de Sita Mos à Donzère
alors que maintenant il veut absolument installer une décharge COVED
de 75 000 T à 100 000 T de déchets DND dans sa commune !!!
Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes prenait sa plume pour écrire au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED de Roussas et celle de Donzère (Copies au ministre-maire de Donzère, le député, le maire de Roussas, le maire de La Garde Adhémar, la conseillère générale, les sociétés COVED et SITA Mos, le Dauphiné Libéré, la Tribune).
Objet : "Centres d'Enfouissement Techniques (CET) de Donzère et Roussas".
En effet, le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN se plaignait au préfet que "Depuis plusieurs mois, la commune des Granges-Gontardes et ses administrés subissent des nuisances olfactives de plus en plus insupportables", en ajoutant que "Ces nuisances proviennent du CET de Donzère exploité par la société SITA Mos et/ou celui de Roussas exploité par la société COVED. Certes ces installations ne sont pas récentes mais ce phénomène d'odeurs qui s'est aggravé depuis plusieurs mois reste pour nous assez inexplicable".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN continuait : "Nous avons donc alerté les exploitants à plusieurs reprises. Notre dernier courrier est resté lettre morte de la part de SITA Mos. Pour autant, les deux exploitants, n'ont pas d'explications probantes. C'est ce qui nous inquiète : pas d'explications, pas de solutions à apporter à moins qu'on ne nous dise pas tout...".
AVANT, IL Y AVAIT DES ODEURS à ROUSSAS ET PAS D'ARGENT pour les Granges-Gontardes !
BIENTOT, IL Y AURA DE L'ARGENT pour les Granges-Gontardes ET PLUS D'ODEURS aux Granges-Gontardes !
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN martelait : "Cette nuisance se propage jusque dans la plaine de la Garde Adhémar : Christian ANDRUEJOL, maire, m'a interpellé sur le sujet. Je crois savoir qu'il a aussi questionné les exploitants car nombre de ses administrés résidant dans la plaine se sont également plaints.".
Nous sommes bien d'accord avec le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN quand il se sentait impuissant "Face à cette problématique, nous nous sentons complètement dépourvus ; contrairement au bruit par exemple, l'odeur n'est pas "mesurable", tout du moins que je sache. D'où notre difficulté d'évaluer cette nuisance, de la quantifier et de faire reconnaître qu'elle existe et qu'elle est croissante".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN demandait donc au préfet 26, "de bien vouloir convoquer une CLIS (Commission Locale d'Information et de Surveillance" exceptionnelle réunissant si possible les deux exploitants en même temps.", car, "L'objectif de cette CLIS serait de faire toute la lumière sur ce phénomène d'odeurs, d'identifier les causes et bien évidemment pour nous et nos administrés de trouver des solutions rapides et radicales".
"SOLUTIONS RADICALES" ? Hum ! Hum ! Très intéressant tout cela pour les collectifs CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas- Les Granges-Gontardes) et le tout nouveau Collectif OVO (Orgues Vertes d'Olive) qui se battent de concert avec le soutien d'AURA Environnement contre le projet de modification actuel du PLU des Granges-Gontardes visant à installer pour 18 ans la nouvelle décharge COVED (celle qui puait en 2009, selon le maire des Granges-Gontardes) sur les terrains qui seraient déclassés de l'auto-cross et du moto-cross après l'actuelle enquête publique sur le PLU !..
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN persistait non sans raison : "Les deux sites sont installés chez nos voisins de Donzère et de Roussas mais en limite territoriale de notre commune" en indiquant au préfet de la Drôme "Ce sont les habitants des Granges Gontardes qui en subissent les conséquences à longueur d'année sans que la commune en ait au moins quelques retombées économiques.....".
Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN "s'en prenait" également la COVED : "Monsieur le préfet, vous n'étiez pas en poste à ce moment-là, mais je vous informe qu'en avril 2008, sur le site de Roussas, un incendie d'une intensité difficilement maîtrisable a généré, pendant plusieurs jours, un panache de fumées irritantes, ne présentant pas de toxicité aiguë, dixit les résultats d'analyses. La commune des Granges Gontardes s'est retrouvée dans ce panache oh combien "odorant" puisque c'est jusqu'a Bollène que ces fumées ont été senties !".
Dans sa conclusion, l'excellent maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN déclarait, également : "Nous sommes conscients que ces déchets doivent trouver une issue de traitement mais aujourd'hui, pour les habitants des Granges Gontardes, trop c'est trop...".
Ce sera, en effet, "TROP c'est TROP" du début 2018 (date possible enquête publique projet décharge COVED LCJ3 aux Granges-Gontardes) à la fin de l'exploitation de la décharge de Roussas, en ajoutant encore les 18 ans supplémentaires d'exploitation COVED aux Granges-Gontardes, le CPERG est bien d'accord avec vous Monsieur le maire des Granges-Gontardes !
EN 2017 : CHANGEMENT de DISCOURS de Michel APROYAN dans le bulletin municipal de septembre 2017 mis dans les boites-aux-lettres des citoyens des Granges-Gontardes ce tout début de semaine ....
- Faire une école pour les enfants et accepter la décharge COVED pour les polluer ?
- L'intérêt financier 2017 de la commune des Granges-Gontardes passe-t-il avant la santé des habitants ?
- Une voiture électrique pour les agents techniques pour une démarche "éco responsable"
tandis qu'odeurs et envols de plastiques, cartons et papiers légers de la décharge COVED
déferleront encore sur nos vignobles AOC du caveau du "Baron d'Escalin"
(où l'on déguste le super "Vergobbi Rosé" avec modération)
nos champs d'oliviers, végétation de la commune des Granges-Gontardes !!!
...... (5 jours après le tractage massif du CPERG dans ces mêmes boites-aux-lettres et la venue d'une douzaine de personnes qui ont répondu massivement à l'appel du CPERG pour rencontrer le commissaire enquêteur, samedi 23/09/2017, à 10 h, en mairie des Granges-Gontardes), le MAIRE des GRANGES-GONTARDES VEUT cette fois FAIRE VENIR la DECHARGE COVED sur sa commune des Granges-Gontardes.
Envolées les odeurs de la décharge COVED ? Ce n'est plus "trop c'est trop" comme en 2009, alors que la CSS (Commission de suivi de site qui a remplacé l'ex-CLIS) de la décharge COVED à ROUSSAS, (comme l'a maintenant maintes fois dénoncé AURA Environnement aux services de la préfecture de la Drôme et dans une pétition,) ne s'est même pas réunie en 2016 !!! C'est dire comment est surveillée cette décharge COVED à Roussas qui puait les ordures en 2009 et qui respirerait presque le parfum des poubelles lors de la future installation de Coved aux Granges-Gontardes !
C'est un SCANDALE et personne ne s'en est offusqué ni à Roussas ni même aux Granges-Gontardes ?
Curieux tout cela, non ? D'un côté le maire et d'autres personnes sonnent la charge contre la décharge voisine de Donzère et de l'autre, cela ne les dérange pas qu'il n'y ait pas eu de CSS pour faire le point annuel en 2016 sur les envols de plastiques légers, par exemple, en provenance de la décharge Coved de Roussas sur les vignes AOC des Granges-Gontardes ?
En 2009, les habitants trouvaient que la décharge COVED c'était "trop c'est trop" ; en 2013, seule la décharge SITA semble faire l'objet de "nuisances" ; en 2017, le projet de décharge COVED n'apporterait donc que du "bonheur" avec des recettes supplémentaires parce que "les dotations de l'Etat fondent comme neige au soleil" aux citoyen-es des Granges-Gontardes et comme par miracle, AUCUNES ODEURS NI AUCUNES NUISANCES ne viendraient jusqu'au village des Granges-Gontardes qui sont pourtant en droite ligne sous les vents dominants, comme vous avez pu le constater dans la plaquette d'une synthèse de l'étude d'impact sur l'extension de la carrière des Granges-Gontardes où d'ailleurs les riverains des Granges-Gontardes, après avoir monté une pétitionnette, se plaignaient des envols de poussière et des passages de camions ?
C'est normal de voir ces trous béants des décharges COVED et carrière GSM sur les flancs de Roussas ? Ce sera normal de voir le petit village des Granges-Gontardes bientôt associé à une décharge, alors que la commune envisage avec le futur argent de la COVED de rénover le bourg ?
Il va falloir tirer tout cela au clair, camarades !
Comment se fait-il que le commissaire-enquêteur en charge de l'enquête publique sur la modification du PLU se soit subitement déplacé au début de cette semaine n° 30 de l'an de grâce 2017 après le passage en mairie de la population qui a répondu massivement aux tractages du CPERG ?
Nous attirons tout spécialement l'attention du préfet de la Drôme qui supervise le déroulement de cette enquête publique de modification du PLU !
Nous attendons les explications du Commissaire-enquêteur sur sa venue ce début de semaine dans un chemin des Granges-Gontardes.... juste après la mobilisation du CPERG !
Comme par hasard, les choses se sont activées depuis la mobilisation du CPERG aux Granges-Gontardes, la semaine dernière avec nos tractages massifs pour rappeler aux habitant-es des Granges-Gontardes leur devoir de citoyen en se rendant à l'enquête publique sur la modification du PLU dans leur commune !
Comme nous l'a dit le maire dernièrement, les gens sont informés et ne viennent même pas aux réunions du conseil municipal. Ce qui n'est pas normal lorsque l'on défend les valeurs de la République !
Nous passerons à la loupe les tenants et les aboutissants de TOUTES les modifications de zonage de cette enquête publique de modification du PLU, comme nous l'avons déjà fait, en 2016, dans la commune de Saint-Sorlin-en-Valloire située au nord de la Drôme, où AURA Environnement avait mobilisé en masse les citoyen-es de la commune pour la modification du PLU en faveur de la commune CONTRE l'extension d'une décharge intolérable qui regorgeait d'amiante.
A Saint-Sorlin-en-Valloire, grâce aux tractages massifs d'AURA Environnement, les habitants ont été très solidaires de leur maire - qui LUI nous a soutenu jusqu'au bout - et ont refusé que la décharge poursuive son activité en ayant à modifier le PLU qui aurait encore "bouffé" des zones agricoles !
AURA Environnement a gagné à Saint-Sorlin-en-Valloire ! Nous espérons faire de même dans le Sud de la Drôme, aux Granges-Gontardes, en barrant la route au projet de décharge COVED avec l'aide solidaire du maire, des élu-es et des citoyens attachés à leur territoire !
Mobilisez-vous CAMARADES ! PENSEZ à l'avenir de nos enfants ! Une décharge qu'elle soit de COVED ou de SITA MOS reste une décharge avec des nuisances intolérables qu'il convient de combattre, comme le dénonçaient le maire des Granges-Gontardes en 2009 et en 2013 avec les habitants !
CAMARADES des Granges-Gontardes : AURA Environnement et le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes et maintenant l'OVO (Collectif Orgues Vertes d'Olive) ne vous laisseront JAMAIS, JAMAIS tomber !
Comme pour la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal où notre huissier a constaté que des camions passaient à côté du pont bascule, nous relèverons, avec vous, s'il le faut le défi permanent....
....Nous serons potentiellement de toutes les procédures au tribunal administratif de Lyon POUR l'avenir des Granges-Gontardes, si cela s'avère nécessaire !
Le département de la Drôme ne va pas tolérer ENCORE une nouvelle décharge alors qu'il y a déjà celles de Chatuzange-le-Goubet et de Donzère, sans compter celle de Roussas qui doit bientôt fermer et qui veut maintenant s'écarter sur les terrains voisins des Granges-Gontardes en virant des milliers de motards et des centaines de badauds pour les RDV de pilotage de l'auto-cross exploitée par la société P2C-Racing qui va devoir mettre la clé sous la porte parce qu'elle risque de ne plus avoir bientôt de terrain pour exercer son activité professionnelle, comme actuellement, elle le fait et ce, sans AUCUN ....bail sur un terrain communal qui appartient aux contribuables qui ont le DROIT de demander des comptes à l'autorité administrative compétente ! Pourquoi un bail à nos camarades du Moto-cross et pas à celui qui dirige la société P2C-Racing qui a consulté un avocat vendredi dernier ? Où sont l'exemplarité et l'égalité Républicaine tant désirée par le président de la République, Emmanuel MACRON, à qui, nous allons demander personnellement son intervention dans cette histoire de projet de décharge aux Granges-Gontardes ?
Chacune et chacun sait que, lorsque le président MACRON "tape du poing sur la table", ça ne "bronche" pas chez les élu-es qui "filent doux" comme dans ce dossier où le président de la République vient de siffler la fin de la récréation en s'appuyant sur le Conseil d'Etat qui vient de débouter la société nordiste Innovent, promoteur d'un projet de parc éolien sur la Côte d'Opale, à Widehem et Frencq, entre Boulogne-sur-Mer et Le Touquet !
La pétition CONTRE le projet de décharge aux Granges-Gontardes fera-t-elle le buzz, comme celle de Dunkerque (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569) - (source : le Phare Dunkerquois - groupe La Voix du Nord) où AURA Environnement passera bientôt à l'offensive au tribunal administratif de Lille contre le futur arrêté préfectoral d'autorisation du projet "Seveso Seuil Haut" Indachlor porté par les belges de la SASU Indaver à Loon-Plage dans le GPMD (Grand-Port-Maritime-de Dunkerque) !
Forte de l'adhésion massive de plus de 18 000 signataires à notre 1ère pétition internet locale, nationale et internationale, EN SEULEMENT 5 jours, (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303 ), AURA Environnement ne va pas se gêner pour interpeller le président de la République Emmanuel MACRON afin qu'il fasse passer à la loupe sur ce tout ce qui se trame dans cette région de Roussas/Les Granges-Gontardes et plus particulièrement dans le département de la Drôme où la République semble n'être pas trop "En marche" mais plutôt "En Reculade" sur bien des principes auxquel-les, nous sommes toutes et tous attachés : la défense de la République avec ses valeurs fondamentales, équitables et immuables, comme la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, conformément à notre constitution ! Cf. le lien Twitter en faveur du président de la République : https://twitter.com/MCdeportebane/status/860556403886391296
Est-il vraiment démocratique que le secrétariat républicain de la mairie républicaine des Granges-Gontardes nous refuse, le 29/09/2017, la communication de documents administratifs publics ?
Est-il normal d'accorder un bail à telle structure et pas à une autre sur un terrain communal ?
Où en est notre demande de RDV avec le sous-préfet de Nyons ?
Pas de cela aux Granges-Gontardes comme à la décharge COVED de Roussas !
La loi TECV doit être respectée partout sur le territoire national car nos lois ne s'appliquent pas que sur certains pans de notre pauvre France !
La République est Une et indivisibe que ce soit aux Granges-Gontardes, à Saint-Sorlin-en-Valloire, à Vic-de-Chassenay, à Champigny-sur-Yonne...
....à Saint-Martin-des-Champs dans le Finistère ou à la décharge SUEZ de Narbonne où bientôt les "orgues de Staline" d'AURA Environnement ne vont pas tarder à déclencher les éclairs de l'orage des masses populaires et le déluge de la mobilisation citoyenne !
Venez à notre conférence de presse demain lundi 03 octobre 2017 à 18 h sur le terrain du moto-cross aux Granges-Gontardes rencontrer les journalistes !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
-
Modif' PLU Les Granges-Gontardes : Collectif CPERG débarque mairie du Commissaire-enquêteur et dénonce projet SECRET décharge !
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/09/2017
- Dans #CPERG (Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes)
Plusieurs habitant-es choqué-es des Granges-Gontardes (26)
ont répondu favorablement à l'appel d'AURA Environnement et du CPERG
Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes
pour écrire leur indignation sur le registre du commissaire-enquêteur
en mairie dans le cadre de l'enquête publique modif' du PLU et SURTOUT dire
STOP au projet de décharge COVED sur l'actuel terrain du moto-cross !!!
OU VAS-TU, camarade égalitaire ?
L'appel évolutionnaire d'AURA Environnement et du CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) sonnant le tocsin CONTRE le projet d'une nouvelle décharge dans la Drôme, et plus particulièrement sur l'actuel terrain du Moto-cross des Granges-Gontardes, que PERSONNE ne veut ébruiter aux populations locales, s'est déchaîné comme une trainée de poudre dans tout le petit village des Granges-Gontardes où les militant-es du CPERG ont mis, secrètement selon leur méthode égalitaire tirée de "Quo Vadis" mais d'inspiration maoïste, en appliquant de façon rationnelle et disciplinée, l'opération dite des "Raisins de la colère Rouge"...... que nous avions annoncée sur notre site, mais aussi dans les communes voisines de Valaurie, Donzère, Roussas, La Garde Adhémar, Malataverne, Allan, Grignan, Montélimar, Valence, Aubenas !
L'appel Evolutionnaire et non, Révolutionnaire, a été entendu par les populations locales des Granges-Gontardes qui ont été abasourdies d'apprendre par AURA Environnement et le CPERG que, sous l'actuelle enquête publique de modification du PLU (plan local d'urbanisme) se cachait un projet de décharge dénommé "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" devant accueillir 75 000 T à 100 000 T de déchets sur l'actuel terrain du moto-cross des Granges-Gontardes exposé à tous les vents mauvais et SURTOUT dominants !!!!
En effet, les services de la DREAL de la Drôme, les élu-es des Granges-Gontardes, l'exploitant COVED (Direction Sud-Est à Roussas et plus particulièrement le demandeur du DDAE - Dossier de demande d'autorisation environnementale - présenté par ANTEAGROUP, direction régionale Sud, 34470 PEROLS, Tél. 04 67 15 91 10 - devaient espérer "péperre" cette modeste enquête publique du PLU, en évitant bien soigneusement d'informer les populations locales qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'auraient jamais rien su de ce projet de décharge aux Granges-Gontardes qui s'embrase au fil des jours !
C'est pour cela qu'une première délégation du Collectif CPERG - composée de son premier comité directeur avec Marc-Claude de PORTEBANE, une habitante du village qui tient à garder l'anonymat, Henri BOUR. - s'est rendue samedi matin, lors de la permanence du commissaire enquêteur en mairie des Granges-Gontardes.
RDV fixé à 10h du matin devant la mairie des Granges-Gontardes. Plus de 15 personnes ayant rejoint le CPERG se sont immédiatement rendues en mairie sans compter les absent-es qui se sont excusé-es - par téléphone ou par mail à aura-environnement@laposte.net de ne pouvoir venir ce jour-là rencontrer le commissaire-enquêteur et lui coucher par écrit leurs craintes sur ce funeste projet de décharge sur leur propre commune des Granges-Gontardes !
LES REVELATIONS SECRETES D'AURA Environnement et du CPERG sur ce que l'on vous cache sur le PROJET de DECHARGE COVED sur la commune des Granges-Gontardes :
COVED dispose d'une autorisation d'exploiter, pour son installation de stockage de déchets non-dangereux dite "LCJ2", sise sur la commune de Roussas au lieu-dit "La Combe Jaillet", pour une capacité maximale annuelle de 100 000 T jusqu'au 01/01/2022, conformément à l'arrêté préfectoral du 14/01/2005 et de l'arrêté complémentaire du 04/03/2015. Par ailleurs, COVED dispose pour le site de "Combe Jaillet", d'une autorisation pour son activité de tri de déchets non-dangereux, (Arrêté initial du 06/02/1995).
AURA Environnement était mis au parfum au milieu 2013, car, afin de pérenniser l'activité du pôle multi filières, COVED a engagé depuis 2012 des études de faisabilité pour prolonger son activité de stockage de déchets non-dangereux, sur le site du pôle multi filière de Combe Jaillet.
En effet, COVED souhaiterait étendre son site du pôle muliti filière, avec UN PROJET d'une NOUVELLE DECHARGE aux GRANGES-GONTARDES, destinée pour partie aux déchets d'activités économiques (DAE) et aux déchets ménagers et assimilés (DMA), pour :
- Une capacité globale de stockage de 1,25 millions de T, (soit un volume de 1,35 millions de m3)
- Une durée d'exploitation de 18 ans,
- Une capacité de moyenne de 75 000 T/an et maximum de 100 000 T/an !!!
Nous ne voulons pas de cela, comme à Roussas en 2013
dans notre commune des Granges-Gontardes
lorsque le Mistral se déchaînera sur nos vignes, lavandes !!!!
CE PROJET SECRET dit "LCJ3" intègrera :
- Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond du NOUVEAU casier, les digues et couverture,
- Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environ,
- Des aménagements spécifiques, liés au fonctionnement du nouveau site des GRANGES-GONTARDES, tels que des bassins de collecte des eaux de ruissellement interne du site et de collecte des lixiviats, des aménagements pour l'accès au site (voiries).
Dans son dossier de demande d'autorisation, la COVED fait comme si les impératifs liés à sa future activité et aux contraintes techniques qui en découleront étaient acquis comme par exemple la "Compatibilité avec le document d'urbanisme" comme si l'enquête publique de modification du PLU qui se déroule actuellement en mairie des Granges-Gontardes était déjà "pliée". MDR !
Le commissaire-enquêteur n'a pas été capable de nous dire - A nous les 3 délégués du CPERG admis dans la salle de la mairie des Granges-Gontardes et qui avons signé in solidum - à quoi était destinée la partie actuelle du terrain d'auto-cross/moto-cross (de couleur vert clair, zone Usl) enclavée dans la zone violette (zone Us) !!!!
D'après COVED, "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur, correspond à une zone "Ui" ayant "pour vocation l'extension de la plateforme multi filière de tri, stockage, enfouissement, valorisation de déchets non-dangereux (ISDND) et de production d'énergie électrique à partir de la méthanisation du CET de Roussas".
Donc, pour COVED, "Le règlement de cette zone est compatible avec les activités ICPE envisagées".
En clair : la modification du PLU actuel ayant été - déjà - probablement approuvée par le "Saint-esprit", les futures activités de l'ICPE (le projet de future décharge qui est une installation classée au titre de la protection de l'environnement ...avec enquête publique) seraient - déjà - compatibles par "anticipation" !
Foin de la réaction populaire, qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'aurait rien su et l'ensemble passait comme une "lettre à la Poste" !
NOUS REAGIRONS et NOUS RIPOSTERONS ! A Roussas, il y a eu du "laisser-aller" inadmissible ! La CSS de 2016 ne s'est pas réunie malgré les reproches d'AURA Environnement vis-à-vis du comportement étrange de la Dreal 26. Peut-être qu'ils voulaient certainement et SURTOUT PAS effaroucher les populations locales en parlant de futur projet de leur future décharge aux Granges-Gontardes amplifié d'au moins 75 000 T.
C'est pour cela qu'AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, le 21/08/2017, l'intégration d'AURA Environnement et du CPERG au sein de cette CSS. Pour l'instant AUCUNE réponse alors que les services de l'Etat ont 1 mois pour répondre. C'est clair, ils ne veulent pas "d'emmerdeurs" à leur CSS de Roussas qui proviennent de cette commune et/ou des Granges-Gontardes !
Or, nous avons des potes dans toute la France et AURA Environnement peut toujours compter sur ses camarades de l'ASPA qui ne lâchent absolument RIEN contre la décharge COVED de Vic-de-Chassenay et qui en ont plus que marre de chez marre, comme en témoigne ce document de France 3 Bourgogne-Franche-Comté sur leur capacité intacte de RESISTANCE http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/vic-de-chassenay-millery21-l-aspa-lance-le-compte-rebours-de-la-fermeture-du-centre-de-stockage-des-dechets-899213.html
Pour revenir aux Granges-Gontardes, COVED se veut rassurante et déjà certaine que le projet de décharge se fera bel et bien aux Granges-Gontardes" puisque "l"étude d'impact montre que le projet ne génère pas d'impact notable et que les mesures prises permettent de garantir la protection de l'environnement..." ! Les citoye-nes des Granges-Gontard apprécieront !!!
Depuis plus d'un an, AURA Environnement a averti les autorités préfectorales de la Drôme qu'il était hors de question de "toucher" à la zone Biotope qui "ceinture" en bonne partie la décharge de Roussas.
Donc, ils ne restait plus qu'une solution à COVED : analyser des solutions de substitution autres, comprendre le sympa terrain du Moto-cross. Ce qui fut fait en 2014 et 2016, puisque des reconnaissances géologiques auraient été réalisées pour "caractériser les formations géologiques encaissantes au droit du projet"..... des Granges-Gontardes, ce qui aurait permis à COVED de valider sur des critères géotechnique, géologique et hydrologique, la "faisabilité d'implantation" d'une telle décharge de DND (déchets non-dangereux) aux Granges-Gontardes !
Ceci est confirmé par COVED : "Cet élément a été décisif dans le choix de l'implantation du projet" ...aux Granges-Gontardes où l'on ne sait rien parce que l'on ne nous dit rien !
Pas grave, puisque le CPERG prépare banderoles, tracts, pancartes en prévision de la prochaine saison touristique hivernale où le soleil brillera plus que sur Paris dans cette jolie vallée des Granges-Gontardes de la Drôme provençale. Une riposte populaire est toujours accueillie favorablement par les masses populaires qui en ont marre de ne pas vivre tranquillement sur leurs territoire des Granges-Gontardes, où certains camarades du CPERG songent à s'en aller de leur commune cernée par les décharges de Donzère et de Roussas, les camions de la carrière de GSM où la dernière enquête publique a déjà été houleuse avec les riverains, l'autoroute A7 et son flot incessant de camions et de bagnoles, les TGV qui défilent jour et nuit, une gestion municipale du nouveau complexe écolier qui n'a fait qu'endetter leur commune des Granges-Gontardes !
COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME !
COVED nous dit qu' "un PLU est en cours d'élaboration sur la commune des Granges-Gontardes, depuis l'arrêté du 25/06/2010 qui a prescrit son élaboration", car, "Actuellement le document d'urbanisme est un POS" et que "Le projet est situé en zone NDL "zone naturelle à vocation d'équipements sportifs et de loisirs" et NCc "zone agricole protégée" où les carrières sont autorisées" et COVED souligne en gras que "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées".... comprendre la future décharge des Granges-Gontardes.
Dans la mesure où la procédure d'élaboration du PLU a été engagée avant le 31/12/2015 (date de délibération du conseil municipal de lancement de la procédure 2011), le POS continue de s'appliquer jusqu'à l'approbation du PLU qui doit intervenir au plus tard dans un délai de 3 ans après la publication de la loi ALLUR, (loi n° 2014-366 du 2403/2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové), le 26/05/2014.
Au-delà du 27/03/2017, c'est le règlement national d'urbanisme qui devrait s'appliquer, conformément à la loi ALLUR.
COVED indique donc que son projet de décharge aux Granges-Gontardes "sera compatible (de manière transitoire) au RNU dans la mesure où il se situe en dehors des zones habitées. La caducité du POS ne remettrai pas en vigueur le document d'urbanisme antérieur".
COVED continue "A l'approbation et opposabilité du PLU, le projet sera compatible au PLU" car "En effet, le projet est inscrit dans un projet de zonage Ui ayant pour vocation de permettre l'extension de la plate-forme multi-filières de tri, stockage, enfouissement, valorisation des DND....".
VOTRE AVENIR et CELUI de VOS ENFANTS des prochaines générations se joue MAINTENANT lors de cette enquête publique de modification du PLU. Ensuite, cher-es CAMARADES, ils sera TROP TARD pour changer le futur ZONAGE qui verra irrémédiablement s'installer la future décharge des Granges-Gontardes ! MOBILISEZ-VOUS MASSIVEMENT pour rejoindre notre Collectif du CPERG ! DES REUNIONS SERONT PREVUES POUR QUE VOUS PUISSIEZ MESURER CE QUE SERA VOTRE AVENIR ! Vous devez absolument manifester votre indignation au commissaire-enquêteur qui est là pour retransmettre vos doléances.
Ne soyez pas ignorants et encore moins ignares : SERVEZ-vous de ce document
Pour aller voir le commissaire-enquêteur à la mairie des Granges-Gontardes
Afin de bien lui montrer la direction des vents violents dominants qui
Pulvériseront odeurs et envols de plastiques ou de cartons légers sur nos terres !
CELLES ET CEUX QUI VOUDRONT VENDRE LEURS TERRAINS et/ou MAISONS auront du mal à les négocier parce que le nom des Granges-Gontardes sera désormais associé à DECHARGE !
REGARDEZ CE QUI SE PASSE DANS LES COMMUNES OU LES DECHARGES pullulent ! Vos ENFANTS et petit-enfants diront "Maman, Papa, c'est grâce à vous que nous avons une décharge au minimum de 75 000 T/an aux Granges-Gontardes située sous les vents dominants et que nous risquons de subir des envols par le vent d'éléments légers, comme les papiers WC, les cartons d'emballage de certains kebabs ou autres établissements, les plastiques aux odeurs sucrées ou salées souillés par les mouches-à-merde (sources de dégradation visuelle des abords..... "!
Pas certain aussi que ce projet de décharge aux Granges-Gontardes plaise également aux vignerons qui vont effectuer des recours auprès de l'INAO et qui voudraient rejoindre le CPERG......
A suivre (Des précisions seront apportées dans les prochaines heures et dans les prochains jours).
Merci de contacter - pour l'instant - nos camarades et accessoirement notre camarade Henri BOUR de Roussas très préoccupé par son travail et moi-même (le DDAE déposé déposé par COVED - ANTEA GROUPE est très compliqué) pour voir comment nous allons organiser la RIPOSTE dans les prochains jours et les prochains mois car COVED espère fissa une enquête publique sur la future décharge aux Granges-Gontardes au TOUT début 2018 ; grossir les rangs du CPERG et l'organisation de masse ; ne pas se diviser avec les camarades chasseurs (Nous soutenons nos camarades amérindiens Guarani en Guyane - qui connaisssent AURA Environnement et qui sont des chasseurs raisonnables, tout en luttant CONTRE le projet "Montagne d'Or" prévu près de Saint-Laurent-du-Maroni, dans l'Ouest Guyanais) ; définir nos stratégies de défense environnementale pour la défense des populations locales des Granges-Gontardes et des communes environnantes ; se MOBILISER 24h/24 pour que la RESISTANCE S'ORGANISE sur le terrain de l'actuel auto-cross/Moto-cross !
Nous recherchons d'URGENCE des camarades ouvrier-es, employé-es, technicien-nes ou des ingénieurs volontaires et bénévoles spécialisé-es dans tous les domaines pour passer au peigne fin le DDAE déposé par COVED et qui seront rattaché-es à la Cellule autonome du CPERG 2. La cellule du CPERG 1 sera celle du commandement égalitaire où la parité sera respectée. La cellule du CPERG3 sera celle qui veillera aux actions sur le terrain. La cellule du CPERG4 sera celle qui se chargera de veiller à la démission du maire et de l'équipe municipale dans le but de mettre en place de nouveaux élu-es apolitiques.
--- PAS QUESTION D'UNE DECHARGE de PLUS de 75 000 T AUX GRANGES-GONTARDES pendant 18 ans au minimum ! ---
POUR NE PAS AVOIR DIT LA VERITE
AUX HABITANTS DES GRANGES-GONTARDES :
EXIGEONS la DEMISSION in solidum du MAIRE
et du CONSEIL MUNICIPAL des GRANGES-GONTARDES !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d'AURA Environnement
- Porte-parole du CPERG (Collectif de Préservation de l'Environnement vers Roussas-Les Granges Gontardes)
- Fondateur et Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (51 000 Like sur Facebook).
- Membre apprécié des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne à Rennes.
- Membre de la CSS à la préfecture de Grenoble pour le Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère vers Grenoble (ISDND Lély à Saint-Quentin-sur-Isère)
- Membre de la Commission nationale de débat public (CNDP) au titre de représentant de nombreuses associations de défense environnementales
- Président du pôle Déchets à la Fédération d'associations FAPEL22.
- Porte-parole du Collectif CHUPA 42 (Collectif Halte Usine à Poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)
- Porte-parole des Collectifs GreenLoire (42) et GreenBretagne (19, 22, 35, 56)
- Porte-parole du CPEP (Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat) (42, 69)
- Membre de Greenpeace
- Représentant d'AURA Environnement à l'Université d'été 2017 d'EELV (Europe Ecologie Les Verts)
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Décharge COVED à Vic-de-Chassenay (21) : AURA Environnement en soutien aux camarades-citoyens veille au grain avec l'ASPA et le maire !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/07/2017
- Dans HALTE décharge COVED à Vic-de-Chassenay
Depuis fin 2016, AURA Environnement a apporté
discrètement son soutien anarcho-marxiste
aux populations locales défendues aussi par
l'ASPA et les élu-es de Vic-de-Chassenay
CONTRE la décharge COVED-PAPREC !
Depuis la fin 2016, sur la demande quelques habitant-es, la présence de nos camarades d'AURA Environnement a été la plus discrète possible dans les environs de la petite commune de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or).
Le 23/12/2016, par courrier, nous informions le maire François-Marie DEFFONTAINES et le président de l'association ASPA, Richard RACINE, de notre volonté de ne pas vouloir affaiblir les luttes locales mais d'être prêts sur le terrain militant.
Nous invitions le maire et les militant-es de l'ASPA de ne pas croire aux balivernes d'une potentielle fermeture du site le 03 janvier 2018 et d'être vigilant-es, TOUT en faisant confiance, tout de même, à l'arrêté préfectoral du 08/12/2015 signé par la préfète Marie-Hélène VALENTE, accordant la mutation d'exploitation d'une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay (21140) et de Millery (21140) au lieu-dit "La Terre au Seigneur" sur une surface de 21,5 ha - dont 9,6 pour l'ISDND -, au profit de la SAS COVED (Collectes Valorisation Energie Déchets), dont le siège social est situé au 1, rue Antoine Lavoisier à Guyancourt (Yvelines) !
Cet arrêté préfectoral (A.P.) stipulant bien que la durée d'exploitation de cette ISDND est limitée jusqu'au 03/01/2018.
Ceci étant confirmé par l'article 2 qui confirme que la SAS COVED se substitue à la société Ecopoles Services dans l'intégralité des droits et obligations attachés à l'autorisation d'exploitation (notamment les conditions d'exploitation, de réhabilitation, remise en état et de suivi post-exploitation) accordé par l'AP modifié du 13/03/2006 et complété par les APC des 13/11/2007, 26/10/2010, 16/08/2011, 03/06/2014 et 16/07/2014 autorisant la société ECOPOLES SERVICES à exploiter une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay et Millery au lieu-dit "La Terre au Seigneur".
Quant à l'article 3, celui-ci indiquait que la SAS COVED devait transmettre au préfet de la Côte d'Or, dans un délai maximum d'un mois à compter de la notification du présent arrêté, les attestations du transfert des droits fonciers (bail emphytéotique) pour les parcelles concernées par l'AP d'autorisation d'exploiter du 13/06/2013 modifié.
Une conférence de presse sera tenue dans les prochaines semaines par AURA Environnement sur l'évolution de ce dossier puisque tous les regards sont désormais tournés vers la décharge de Duchy à Saint-Florentin, dans l'Yonne, mais aussi à Champigny-sur-Yonne, où nos camarades d'AURA Environnement sont en train de venir à la "rescousse", depuis plusieurs mois, de leurs camarades des populations locales, pourtant, elles aussi, défendues par nos camarades de l'ONDEC (Observatoire Contre les Nuisances de la Coved de Champigny).
De la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme, à la méga Usine à poubelles "Ecopôle de La Valasse" à Montblanc, AURA Environnement observe le petit monde des poubelles d'un oeil extérieur et de l'autre, regarde au fond de soi-même vers l'horizon des prochaines générations qui seront impactées par les odeurs, les envols de plastiques, les incendies de site pas toujours clairement expliqués aux populations locales !
Tout en gardant toujours à l'esprit toujours le bon sens de la protection de l'Etat - l'Etat, c'est nous -, les populations locales doivent organiser la Résistance avec AURA Environnement, dans la non-violence mais dans la détermination la plus totale !
Notre ignorance fait leur pouvoir ! Ne l'oublions pas, Camarades !
CAMARADES ne perdra jamais sont triple A :
- Avec les masses populaires riveraines - antispécistes ou non - des décharges ou autres installations dites de "valorisation" de nos déchets, en défense couplée de l'environnement et des animaux qui souffrent tout autant que les humains !
- Avec respect des services de l'Etat (Préfectures, Sous-préfectures, Dreal, DDPP, Douanes, etc....) et des exploitants !
- Avec détermination pour servir dans la discipline la Cause maoïste du Peuple selon les recommandations du Petit livre rouge !
Gardons, toujours à l'esprit, Camarades d'AURA Environnement et des différents Collectifs autonomes rattachés, cette citation issue du Petit livre rouge du président Mao : "Un dur travail est comme une charge placée devant nous et qui nous défie de la hisser sur nos épaules. Certaines charges sont légères, d'autres sont lourdes. Il y a des gens qui, préférant les charges légères aux lourdes, choisissent les légères et laissent les lourdes aux autres. Ce n'est pas une bonne attitude. D'autres camarades se comportent différemment ; ils laissent les avantages aux autres et portent eux-même les lourdes charges ; ils sont les premiers à supporter les épreuves, les derniers à jouir du bien-être. Ce sont de bons camarades. Nous devons tous prendre exemple sur leur esprit communiste". "Sur les négociations de Tchongking". (17 octobre 1945). Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome IV.
K1 (Camarade n°1)
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Réunion préfecture Isère CSS exploitée par Lély : AURA Environnement CONTRE, la FRAPNA 38 déshonore la cause environnementale !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/07/2017
- Dans Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère
Ce matin à la préfecture de l'Isère, lors de la CSS
qui ne s'était bizarrement jamais réunie depuis 2013
AURA Environnement en soutien aux populations locales
du Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur Isère n'a pu
voter mais s'est opposé à toute prolongation du site !
ARTICLE MODIFIE en permanence.
Alors que dans toute la région Auvergne-Rhône-Alpes, les arrêtés d'autorisation d'exploiter des ISDND ne sont pas délivrés de la même manière puisque certains dossiers sont en attente de signature, il semblerait que dans l'Isère, l'Etat et la Dréal 38 "appuient sur le champignon" pour signer fissa l'arrêté préfectoral autorisant la sociéte Lély à continuer son stockage de DIB au lieu-dit "L'échaillon" à Saint-Quentin-sur-Isère pour au moins 20 ans et ce, au mépris des populations locales qui espéraient que ce site allait définitivement fermer, comme l'exploitant s'y était maintes fois engagé publiquement.
En application de l'arrété préfectoral du 19/03/2013, la CSS (Commission de Suivi de Site) de la décharge exploitée par la société Lély située sur la commune de Saint-Quentin-sur-Isère, s'est réunie de façon jugée "bizarre" en préfecture de l'Isère à Grenoble, selon AURA Environnement.
Tout le monde a eu son petit visuel papier. Les écolos : zéro ! Tant mieux pour la protection de la planète !
AURA Environnement qui était présent à cette CSS en soutien total aux populations et aux riverains de ce village situé aux portes de Grenoble, et regroupés autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) a demandé pourquoi la "Commission environnement" de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère - dont on a vanté les mérites, LOL, à cette réunion - ne s'était pas réunie depuis plus de 3 ans, comme le rappelait fort justement Elisabeth BOUTEAU, la secrétaire du collectif SD-SQI.
A quoi bon se prévaloir d'une commission communale dite "d'environnement", lorsqu'elle ne soutient AUCUNEMENT riverains et populations locales puisqu'il n'y a aucune concertation ?
A quoi bon parler d'une "commission environnement" alors que le maire et les élus de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère soutiennent à 100 % la prolongation de la décharge Lély ?
Comme par hasard, cette "commission" minicipale dite "environnement" (3 élus, 3 non-élus) ne s'est réunie qu'hier après-midi. Au menu : la visite du site de la décharge de Lély Environnement.... qu'une réunion succinte du collectif SD-SQI - en fin d'après-midi, a décidé de refuser jusqu'à la convocation d'une AG des riverains dans les prochains jours qui devrait décider, elle, par contre, d'une mobilisation de grande ampleur pour la rentrée de septembre 2017 dans une salle communale de Saint-Quentin-sur-Isère.
Une demande a été faite à la mairie de Saint-Quentin/Isère. Pour l'instant, pas de réponse.
Oui, comme par hasard, 2 réunions d'importance lors de cette journée d'hier 10/07/2017 : la CSS ressortie des cartons de la préfecture de l'Isère depuis le 19/03/2013 et la Commission dite "environnement" rebondissant, elle aussi, depuis 3 ans de sommeil dans les tiroirs de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère alors que les populations locales n'ont eu de cesse de se plaindre aux sourds élu-es de leur commune !
Que de coîncidences !!!
D'emblée, AURA Environnement a demandé aux services de l'Etat si cette consultation de la CSS - juste après et non avant l'enquête publique - n'était pas un abus de procédure - par choix délibéré de l'exploitant ou des services de l'Etat - qui ne permettait pas à cette commission de se prononcer UTILEMENT sur le projet, et ce, afin d'alerter les riverains et éviter, de facto, une trop forte contestation des populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) qui dépend d'AURA Environnement ?
A 2 mois de la réunion du Coderst prévue le 21/09/2017, cette CSS qui n'a été que la préfiguration de la décision qui attend les populations locales, Marc-Claude de PORTEBANE a dénoncé publiquement, en fin de séance, l'attitude absolument dégueulasse du représentant de la FRAPNA de l'Isère qui n'a absolument pas défendu l'écologie et les populations locales proches de la décharge de déchets non-dangereux (DND) gérée par la société Lély Environnement représentée par son directeur, Lionel LACRAMPE qui défend, lui, avec honneur et non avec bassesse son entreprise en assumant ses défauts et non pas comme la FRAPNA 38 qui nous a dit lamentablement que, puisque les subventions régionales de Laurent WAUQUIEZ avaient baissé, "ils n'avaient pas eu le temps de travailler le dossier LELY " qui empoisonne le quotidien de la vie des populations locales" de cette décharge située au lieu-dit du "Bec de l'Echaillon" et qui a pris feu, fin juin 2017 dans des circonstances qui resteraient à élucider puisque pas moins de 300 m² de détritus exposés en plein air ont été détruits avant que les sapeurs-pompiers finissent ENFIN par éteindre le sinistre au moyen de 2 lances hyper-puissantes.
On ne mobilse pas 2 lances hyper-puissantes pour rien. Où est le professionnalisme de LELY ?
Est-il utile d'apprendre aux isérois que la FRAPNA est membre de la FNE (France Nature Environnement) ? France nature environnement (FNE) est la fédération française des associations de protection de la nature et de l'environnement. Créée en 1968 sous le nom de Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN), elle est reconnue d'utilité publique en 1976. Elle est la porte-parole d'un mouvement de trois mille associations, regroupées au sein de quatre-vingts organisations adhérentes, en métropole et outre-mer. Le logo de la Fédération est le hérisson, sa signature est « Partout où la nature a besoin de nous ».
C'est cette FNE-là, représentée par la FRAPNA de l'Isère qui a voté ce matin des deux mains avec les représentants de l'Etat, de la Dreal 38, le maire de Saint-Quentin-sur-Isère, le président de la Communauté de communes de Saint-Marcellin-Vercors-Isère communauté, la communauté d'agglomération du Pays Voironnais, le Conseil départemental de l'Isère (absent), le directeur de Lély, le secrétariat du CHSCT de Lély, l'association UFC Que Choisir 38 (absent), le président de la Fédération départementale de la pêche 38 (absent lui-aussi), le directeur de la délégation départemental ARS Auvergne-Rhône-Alpes 38, le directeur départemental de la protection des populations (DDPP 38)et le directeur départemental du SDIS 3, à l'unanimité, sans abstention, d'une seule main CONTRE les populations locales, achetant de facto la paix sociale !
La paix sociale ne se gagne pas lors d'un vote ! Elle se mérite !
Parmi les invités, le président du collectif "Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère" (AURA Environnement) et le boss de la société RAVANAT CHAUDRONNERIE ... qui est en train de se faire racheter par la société LELY, comme l'a indiqué en séance AURA Environnement !!!
Inutile de préciser que la Chaudronnerie Ravannat jouxte la décharge Lély et que c'est grâce à AURA Environnement que le PDG de Ravanat a pu coller ses observations sur le registre d'enquête publique.
Allez, hop, un opposant potentiel en moins !
MDR !
Tout s'achète dans ce pays : les entreprises, les terrains, le savoir-faire.
Il n'y a qu'un point qu'AURA Environnement défendra toujours : le faire-savoir CONTRE les injustices d'où qu'elles viennent !
Et bien puisque la FRAPNA 38 s'est couchée sur le lit pro-décharge, en faisant monter la "pression" en ne soutenant pas les populations locales, AURA Environnement et ces mêmes populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère vous donnent RDV, début septembre, dans une salle communale à Saint-Quentin-sur-Isère pour faire entendre la voix des sans-voix qui subissent des désagréments inacceptables comme la famille CHIMENTON qui, ELLE, ne s'est jamais couché devant les offrandes du plus offrant !
AURA Environnement, au vu du comportement inacceptable de la FRAPNA 38, demande à toute l'Isère de se soulever dans un immense mouvement de soutien aux populations locales de Saint-Quentin-sur-Isère trop longtemps tenues dans l'ignorance !
Est-il normal, comme l'a souligné ce matin Marc-Claude de PORTEBANE à la préfecture de l'Isère, que la femme du directeur de la décharge Lély à Saint-Quentin-sur-Isère SOIT une des secrétaires de cette mairie qui n'en peut plus de soutenir - à bout-de-bras - la décharge Lély..... de Saint-Quentin-sur-Isère !
Les populations locales et le SD-SQI ont fait appel aux militant-es de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux afin que les animaux de Saint-Quentin-sur-Isère puissent, eux-aussi, bénéficier d'un maximum de protections !
Les animaux et les populations locales seront défendus par les miltant-es du Collectif national de la Ligue qui regroupe pas moins de 52 000 fans sur Facebook.
Nous appellons nos ami-es Végan de la Protection animale à la MOBILISATION GENERALE vers Saint-Quentin-sur-Isère !
Nous espérons le soutien du maire de Grenoble, Eric PIOLLE, déjà opposé à l'aménagement de l'A480 !
Aucune forteresse ne résiste à l'assaut de l'humain d'abord !
K1 (Camarade n°1)
A suivre !
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Chevaux maltraités dans l'Aude : AURA Environnement va saisir la justice !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/01/2017
- Dans Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
Laisser ces chevaux dans cet état
est inadmissible et lamentable !
On nous écrit :
"Bonjour je vous appelle a l'aide cela fait 3 ans que je me bât pour sauver 2 chevaux maltraité dans l'aude .
J'ai appelé toutes les associations que j'ai trouvé près de l'Aude ou dans l'Aude la plupart mon repondu qu'elles etait trop loin ( 45mn - 1h ).
Les autres mon dit qu'ils allait agir mais qu'ils leurs fallaient des photos que je leurs ai envoyé pendant des mois, j'allais voir régulièrement les chevaux pour qu'ils puissent avoir des photos récentes mais j'ai eu beau faire tout ça, les rappeler régulièrement etc...... 3 ans plus tard toujours dans leurs calvaire .
Il y a une vieille jument de 25 ans et un plus jeune cheval de 7 ans, la personne qui s'en " occupe " y va la plupart du temps seulement si elle est accompagnée par exemple de jeune pour les faire monter sur la jument .
Les deux chevaux sont dans un pré donc des fois la jument reprend du poids ( quand il y a de l'herbe ) le jeune lui arrive a ne pas devenir squelettique en sachant aussi que leurs propriétaire aime le jeune donc il a toujours de l'eau mais très sale, a manger et un abrit. La vieille jument en revanche elle est depuis peut separé du jeune dans une partie du pré ou elle n'a ni abrit, ni eau sauf si il pleut et pour ce qui est de la nourriture si elle a de l'herbe ça va si nn elle n'a rien.
Bien evidament la seule chose que les associations ai fait c appeler la propriétaire donc a chaque fois qu'elle a un coup de téléphone elle fait attention pendant quelques temps.
Je pourrais vous raconter encore beaucoup de chose sur c pauvre chevaux donc si vous vouliez plus d'information dites le moi ?
J'espère que vous pourrez m'aider a faire bouger quelqu'un .
Merci d'avance".16/01/2016. Renseignements pris par AURA Environnement auprès de notre témoin : " J'ai contacté d'abord la SPA de Lézignan Corbières en allant les voir avec des photos : ils ont dit qu'ils allaient l'appeler, ce qu'ils ont fait mais sans que cela change quelque chose. Après que je les ai relancé à plusieurs reprises, ils m'ont dit que c'était trop loin et que la directrice n'avait pas le temps de se déplacer......"
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Le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) s'invite aux voeux du maire de Saint-Romain-en-Gal !
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/01/2017
- Dans STOP à la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
A peine né, le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP)
tracte et récolte soutiens CONTRE le énième arrêté préfectoral
du préfet du Rhône prolongation décharge NICOLLIN
lors des voeux du maire Pierre LANGLAIS !
A l'initiative d'AURA Environnement, les riverains excédés par les odeurs insupportables de la décharge NICOLLIN de Saint-Romain-en-Gal ont décidé la prise en main de leur destin via la lutte révolutionnaire avec la création du Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) qui permettra à tout cet immense territoire du parc naturel régional du Pilat (qui regroupe 47 communes de la Loire et du Rhône sur un territoire de 700 km2, pour une densité de 80,2 hab/km2 - densité assez élevée pour un parc naturel - avec les grandes villes proches comme Saint-Etienne ou Vienne), de savoir comment est dévalorisé ce beau parc limité au nord/ouest par la vallée du Gier et à l'est par la vallée du Rhône, ses frontières sud et ouest qui le mènent aux portes de la Haute-Loire et de l'Ardèche à quelques kilomètres de Saint-Etienne et pas très loin d'un autre projet inadmissible de méga Usine à poubelles méthanisation/CSR - combattu par le collectif C.H.U.P.A qui représente plus de 10 000 personnes - vers Andrézieux-Bouthéon et porté par le syndical local : le SYDEMER qui loge dans les locaux de Saint-Etienne Métropole.
A Saint-Romain-en-Gal, à l'initiative également d'AURA Environnement un autre collectif, plus modéré, est en gestation avec notamment la potentielle participation du très sympathique ex-conseiller municipal Marc GAVIOT-BLANC. Ce collectif devrait travailler, lui, plus en harmonie avec les élu-es dont le maire Pierre LANGLAIS qui a indiqué, lors de ses voeux à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, vouloir demander une contre-expertise sur les attendus olfactifs du préfet du Rhône Michel DELPUECH qui a accordé une énième prolongation à la décharge gérée par la SAS NICOLLIN.
AURA Environnement demandera une autre contre-contre-expertise.
Vendredi 06/01/2017, le CDEP est donc passé immédiatement à l'action en tractant à l'issue des voeux du maire.
L'assistance a de facto accordé à plus de 80 % des membres présents son soutien au CDEP qui a présenté sa pétition internet qui recueille déjà plus de 15 500 signatures.
Entre toasts et verres de blanc, la population injustement salie de Saint-Romain-en-Gal en a redemandé des tracts d'AURA Environnement.
Le CDEP a élu sa secrétaire : Elisa POMARES. Son président : Emile POMARES. Sa vice-présidente : Pierrette POMARES. Son porte-parole : Marc-Claude de PORTEBANE. D'autres postes de responsabilité sont à pourvoir.
Le CDEP se veut à 100 % indépendant des piêtres partis écologistes régionaux inefficaces depuis 1969, date de la création de la décharge NICOLLIN.
Une conférence de presse aura lieu prochainement pour expliquer comment et pourquoi AURA Environnement ira au tribunal administratif de Lyon afin de contester cet énième arrêté préfectoral pris à l'encontre des habitants et des animaux vivant à proximité de cette décharge qui décharge des odeurs insupportables et inadmissibles !
Avec cette présence sur tout le territoire du parc naturel régional du Pilat, AURA Environnement et le CDEP espèrent regrouper plusieurs milliers de militant-es et de militants.
La révolte des 56 000 défenseurs du Pilat est en marche CONTRE la décharge NICOLLIN et l'arrêté-alibi DELPUECH qui vont, une nouvelle fois, semer les mauvais vents de la discorde inter-régionale en autorisant 16 000 T de pourriture en 2017 et à partir de 2018 au moins pour 6 ans quelques 65 000 T de déchets du Rhône et surtout du Grand Lyon !
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Prolongation "Régles de l'art" décharge Nicollin 69 : pétition + 15 000 signatures, 4 voix contre CoDERST, mobilisation générale
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/12/2016
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Alors que les camions de poubelles roulent débâchés dans
les rues de Saint-Romain-en-Gal sans que le maire ne bronche
la mobilisation d'AURA Environnement porte ses fruits :
4 voix contre au CoDERST, plus de 15 000 signatures pétition
l'arrêté Delpuech sera-t-il signé pour valider les drôles "Rêgles de l'art'
de prolongation de la décharge de la SAS NICOLLIN ?
Les camions descendant de la décharge de la SAS NICOLLIN ne sont pas bachés lorsqu'ils traversent les rues très commerçantes de Saint-Romain-en-Gal et de Sainte-Colombe avec l'accord tacite de certains élu-es qui s'en fichent.
La certification ISO 14 001 doit être retirée à l'entreprise NICOLLIN !
Alors que la pétition internet d'AURA Environnement rassemble déjà plus de 15 000 signatures dont plus de 400 commentaires et 55 dépôts chez les commerçants/artisans de la la région de Saint-Romain-en-Gal (69), alors que 4 voix associatives ont voté contre la énième demande de prolongation d'exploitation de la méga décharge de 32 ha de la SAS NICOLLIN, le préfet du Rhône Michel DELPUECH va-t-il signer une nouvelle fois l'arrêté préfectoral qui malmènera pendant de nombreuses décennies les animaux et les populations locales ulcérées par des années et des années de nuisances olfactives alors que la société NICOLLIN ne cesse de vanter sa certification ISO 14 001...
.....(sensibilisation du personnel et protection de l'environnement)....
Drôle de certification 14 0001 : les animaux respirent l'odeur des sacs poubelles
à proximité de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !!!
.....tout en affirmant dans son dossier de "PORTER A CONNAISSANCE" que cette décharge "sera exploitée selon les règles de l'art et dans la continuité de l'exploitation actuelle" !
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Décharge de Saint-Romain-en-Gal : AURA Environnement organise la Résistance avec populations locales !
- Par auraenvironnementparis
- Le 23/12/2016
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Répondant à l'appel des populations locales ulcérées
AURA Environnement organise la Résistance
contre une énième demande de prolongation
de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !
Cette semaine, une réunion préventive a été organisée par les cadres d'AURA Environnement et les populations locales vivant à proximité de l'infâme décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN avec le soutien actif des services de l'Etat du Rhône et les élu-es locaux !
Alors que la pétition internet lancée par AURA Environnement pulvérise tous les records d'audience avec plus de 14 000 signatures en à peine une semaine (+ 386 commentaires à ce jour), nos militant-es ont lancé une vaste campagne de sensibilisation des populations locales dans un rayon de 100 km autour de la commune de Saint-Romain-en-Gal située en face de Vienne (Rhône + Isère + Loire + Ardèche + Drôme) en déposant la pétition (version papier)....
....chez les commerçants et les artisans qui, pour la plupart ne connaissent pas cette décharge et encore moins les odeurs pestilentielles qui font des ravages parmi les populations locales et les animaux exposés de "plein fouet" lorsque les vents mauvais balaient la région de Saint-Romain-en-Gal, village martyr du sud du département du Rhône....
....non-loin des vignobles de Condrieu dont la réputation risque d'être ternie dans les prochaines années si la DDPP 69 (Direction départementale de la protection des populations) persiste à négliger la qualité de vie et la protection.....
......des riverains et des populations locales excédées par temps d'années de souffrance et d'incompréhension face au rouleau compresseur de l'Etat combiné à l'industriel !
La CSS (Commission de Suivi de Site) en date du 12/05/2016 qui a rassemblé Denis BRUEL, secrétaire général-adjoint de la préfecture du Rhône ; Antoine DUPERRAY conseiller départemental du Bois d'Oingt ; Michèle PEREZ présidente du Parc naturel régional du Pilat ; Pierre LANGLAIS maire de Saint-Romain-en-Gal ; André MASSE maire de Sainte-Colombe ; Michel MONTMEAS adjoint-au-maire de Saint-Cyr-sur-le-Rhône ; Catherine FISCHER chef de service et Roland COURBIS inspecteur de la DDPP 69 ; Pascal RESTELLI inspecteur de la DREAL UD 69 ; Jean-Louis BLAY directeur de l'exploitant NICOLLIN ; Youcef LEKOHAL et Cyril CACCHIA salariés de l'entreprise NICOLLIN ; Marc GAVIOT-BLANC et Jean FAVEYRIAL pour les riverains ainsi que Rachel BELUZE et Laurence DANJOU-GALIERE de la DDPP 69 ; Guillaume HAREL du bureau d'études TAUWN France ; Valérie MAYEUX-RICHON de la Métropole de Lyon et Christophe WAREMBOURG du Groupe NICOLLIN ne peuvent pas dire qu'ils ne connaissent pas le quotidien infernal vécu par les populations locales et les animaux :
- odeurs désagréables qui s'infiltrent dans les habitations, les commerces et les entreprises le soir et les week-ends
- envols de sacs plastiques
- émissions de sulfure d'ydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2)
Entre sacs plastiques sucrés ou salés et neige,
les animaux ne font pas la différence
et se tuent en s'emmêlant les pattes !
Cette décharge est autorisée au titre de la rubrique 2760-2 pour un volume de 80 000 T/an ainsi ques délestages (que l'on nous dit exceptionnels sans plus de précision) d'usines d'incinération d'ordures ménagères.
Ce tonnage se répartit de la façon suivante :
- Déchets artisanaux commerciaux et industriels banals (DIB) : refus de centres de tri ou non triables : 69 000 T
- Ordures ménagères des communes voisines : 1 000 T
- Ordures ménagères provenant d'arrêt des UIOM : (on nous dit exceptionnel)
- Cendres humides et boues de stations d'épuration d'eaux usées (STEP de la métropole de SAINT-FONS) : 8 000 T (on nous dit exceptionnel)
- Boues de stations d'épuration d'eaux usées : 2 000 T.
DENI de DEMOCRATIE et de TRANSPARENCE
Depuis le mois d'août, AURA Environnement a voulu faire le point avec la DDPP 69. A chaque fois, régulièrement chaque mois, on nous a dit qu'il n'y avait rien de nouveau.
Et qu'avons-nous appris dernièrement ?
Nous avons découvert..... qu'une énième demande de prolongation avait été déposé en novembre 2016 par la société NICOLLIN (Bureau d'ingénierie SETEC, Energie renouvelable à Lyon) et ce, pour une durée de 2 fois 6 mois pour un total de 12 000 T et que le CoDERST allait se réunir le 15/12/2016 afin d'émettre un avis d'autorisation, sur lequel le préfet devrait statuer dans les prochains jours en accordant encore une fois une prolongation de plus.
Cette décharge est ouverte depuis 1967 et peut recevoir 80 000 T de déchets/an. Cette installation est autorisée par l'arrêté préfectoral du 21/10/2009 et l'arrêté préfectoral complémentaire du 28/12/2015 qui prévoyait la fin de l'exploitation du casier C pour le 31/12/2016.
Alors que rien n'a été soufflé aux populations locales lors de la CSS du 12/05/2016, nous apprenons - maintenant - que la société NICOLLIN souhaite maintenir l'exploitation de la seule décharge du Rhône, et projette ainsi d'en poursuivre l'exploitation en réhausse sur les casiers A et B. C'est pour cela que la société NICOLLIN a donc déposé un Dossier de Demande d'Autorisation d'Exploiter (DDAE) en ce sens..... pour assurer la pérennité de l'installation pendant le délai estimé d'instruction de ce DDAE et prolonger l'exploitation du casier C au-delà du 31/12/2016.
D'où le silence obscur et total (sur ce DAE de NICOLLIN) de la part de la DDPP 69 (La DDPP a refusé de transmettre à AURA Environnement une copie du courrier de l'entreprise NICOLLIN de demande de prolongation de cette décharge, le rapport de l'inspecteur de la DREAL 69 au CoDERST et le projet d'arrêté préfectoral en violation de l'article L.124-3 du Code de l'environnement) ; la non-communication de ce "Porter à connaissance" par Pierre LANGLAIS, le maire de Saint-Romain-en-Gal à AURA Environnement (Notre RDV en mairie avec le 1er adjoint Gérard VINCEROT et une élue chargée de l'environnement a vite tourné "court", puisque nous n'avons juste obtenu qu'eu une copie d'une délib' du 23/04/2015 et une autre plus ancienne de fin 2014 !!!! - LOL -) ; et le silence "radio" des différents services de l'Etat qui refusent de nous communiquer quoique ce soit parce que la France est une DICTATURE et non une DEMOCRATIE !
Le préfet du Rhône et surtout son secrétaire général veulent passer "en force", ils ont donc transmis leurs "ordres de blackout" TOTAL aux populations de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes. Et nous sommes sous un gouvernement de GAUCHE, Mesdames et Messieurs. Nous sommes sous une dictature de "gauche" qui semble n'avoir de "gauche" que l'appellation !
Et bien non, Mr le secrétaire-général de la préfecture du Rhône, Mr Denis BRUEL ! Votre énième prolongation à l'entreprise NICOLLIN fin 2015 aura été la dernière ! Assez de mensonges aux populations locales ! Nous demandons l'intervention du médiateur de la République ! Ca suffit ! Les populations locales épuiserons toutes les voies légales pour s'opposer à une énième prolongation de cette SEULE décharge du Rhône ! Et cela commencera par un référé uspension !
Nous avons pu joindre quelques membres du CoDERST avant le 15/12/2016 mais le temps nous a manqué. Nous nous en excusons auprès des populations locales de Saint-Romain-en-Gal et des communes voisines ! Nous nous en excusons auprès des personnes atteintes de cancers ! Nous nous en excusons auprès des animaux jouxtant cette décharge et qui se respirent "en pleine poire" des odeurs insupportables de gaz !
Ce que vous devez savoir, c'est que la cour d'appel de Lyon, dans son arrêt du 09/03/1999, avait donné raison à "l'Association contre l'extension de la décharge régionale de Saint-Romain-en-Gal" qui demandait l'annulation d'un jugement du TA de Lyon en date du 22/01/1997 qui avait rejeté sa demande contestant le bien fondé de l'arrêté du préfet du Rhône du 22/05/1996 qui avait imposé des prescriptions complémentaires à la société NICOLLIN et compagnie pour l'exploitation du centre d'enfouissement technique de résidus urbains à Saint-Romain-en-Gal ainsi que les éléments complémentaires ordonnés par le tribunal ; l'association demandait l'annulation de l'arrêté du préfet du 22/05/1996 ; l'association soutenait que la société NICOLLIN et compagnie n'était propriétaire d'aucun terrain sur le territoire de Saint-Romain-en-Gal ; que les surfaces annoncées par l'administration étaient erronées ; que l'arrêté du 02/05/1973 devait être regardé comme n'ayant accordé une autorisation que pour les 10 parcelles qu'il citait ; que la réception des boues et des cendrres d'incinération ne constituait pas des produits inertes pour ces parcelles ; qu'il était clair que cette augmentation avait augmenté la polllution du ruisseau Marauday ; que sur les quantités l'arrêté comportait une incohérence puisqu'il accordait le dépôt d'un poids total de déchets de 960 000 T alors que la capacité de stockage restante était estimée à 750 000 T.....
TIENS ! TIENS ! Intéressant cet arrêt de la cour d'appel de Lyon !
Cela fait plus de 10 jours que nous essayons - vainement - de joindre la Fédération départementale de la pêche du Rhône. A chaque fois, le standard nous a répondu que le président Alain LAGARDE était en "réunion". Pas un SEUL rappel du président LAGARDE et pas une SEULE réponse de son conseil d'administration à notre mail du 12/12/2016.
Objectif de notre futur Collectif : Puisque cette Fédération départementale de la pêche du Rhône ne daigne pas nous répondre, nous vous demanderons, Camarades, de demander l'avis à tous les administrateurs des 43 associations agrées de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) que compte le département du Rhône sur cette nouvelle demande de NICOLLIN. Nous élirons un délégué qui ne s'occupera que du dossier "Pêche". Nous irons - en plus - dans les bistrots où ils vendent leurs cartes de pêche à l'information des masses populaires qui aiment bien taquiner nos amis les poissons en les relâchant ensuite !
LE PEUPLE sera désormais informé et ne sera plus tenu dans l'ignorance crasse !
Alors que dans cette CSS 2016 pas un mot sur une éventuelle prolongation pour ne pas affoler les populations locales et les prendre de vitesse. Ils n'en ont pas pipé un seul mot. Ils ont juste parler de remise en état du site, de servitudes d'utilité publiques, de révision du règlement d'urbanisme, de parc phovoltaïque, de l'étude olfactométrique, d'envol des sacs plastiques, de la difficulté de valoriser le biogaz en raison de la présence de silice, de la reprise de l'étanchéité du ruisseau sur toute la traversée de la décharge, de la réception des 66 096 T de déchets en 2015 dont 89 % sont des DIB.....
Depuis le 15 décembre, (pendant que les gens ont la tête ailleurs et ne pensent qu'à s'affairer pour les cadeaux des fêtes de noël 2016), c'est silence radio du côté des services de l'Etat qui ne tiennent absolument pas à dévoiler le résultat, préférant cacher aux populations locales la vérité et de les mettre, une fois l'arrêté préfectoral signé impérativement avant le 31/12/2016, devant le fait accompli.
En fait, ils pensent que ça passera une nouvelle fois devant des élu-es plus ou moins passifs qui n'ont eu de cesse de crier mais qui se sont - en fait - couchés devant les arrêtés préfectoraux successifs. Pas un élu de Saint-Romain-en-Gal ou des communes alentours n'est allé contester au tribunal administratif l'arrêté préfectoral de fin 2015 ! Ni les "écologistes" de la FRAPNA du Rhône !
C'est un scandale alors que les populations locales sont ennivrées par les odeurs infernales ! Où sont-ils ces écolos de la FRAPNA qui ont touché pas mal de fric de l'ex-Région Rhône-Alpes ?
Nous avons demandé au nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, de nous sortir l'état des subventions à la FRAPNA et à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sour l'ex-présidence QUEYRANNE !
Qu'ont-ils fait, eux, les écolos de cette FRAPNA 69 adhérente à la FNE (Fédération Nature Nature Environnement) ? Nous allons passer à la loupe les CoDERST 69 ainsi que tous les dossiers où la FRAPNA devrait nous épauler ! Il suffit d'observer comment ça c'est passé avant ce 15 décembre entre la FRAPNA 69 et AURA Environnement ! Ils nous ont carrément raccroché au nez parce que nous voulions savoir qui représenterait le FRAPNA 69 au CoDERST !
Plusieurs personnes sont atteintes de cancers dans la région de Saint-Romain-en-Gal. C'est normal ? Quelle est la prévention des populations locales par l'ARS sur les dangers encourus par les riverains ? Pourquoi Mme B. et Mme V. ont-elles eu un cancer du sein ? Pourquoi Mme G. a-t-elle eu un cancer généralisé ? Pourquoi Mr D. a-t-il eu un cancer des oreilles et des poumons ? Pourquoi X a-t-il fait 2 embolies pulmonaires ?
Qu'en pensent les médecins généralistes et les spécialistes du Rhône ou d'ailleurs, d'ailleurs ?
Est-il normal qu'à l'été 2016, les riverains n'ont pu partager une SEULE fois un barbecue Vegan en famille ? Qu'en pensent les footballeurs amateurs du Montpellier Hérault Sport Club ? Ils n'en font pas de barbecue, eux dans leur Camargue ?
"Le Pilat à vélo" sauf dans notre cercle rouge, attention aux odeurs pestilentielles, prière de s'équiper avec un masque à gaz !!! Bientôt une nouvelle pétition visant à boycotter les vins de Condrieu. Patience, SVP !
Les populations locales ne sont plus seules même si certains élus de Saint-Romain-en-Gal cherchent maintenant à savoir qui nous a contacté. Bonjour l'ambiance ! Comme si la énième demande de prolongation de NICOLLIN n'était pas source de nouvelles inquiétudes pour les habitants des communes riveraines de Saint-Romain-en-Gal !
Nous devons chercher pourquoi ils-elles favorisent encore cette décharge qui aurait dû fermer, déjà, fin 2015. La recherche en responsabilités commence à la mi-juin 2015, voire plusieurs années antérieures. Nous vous demandons de ne pas hésiter à demander à la DDPP 69, à la DREAL 69, à la préfecture du Rhône, à vos élu-es des explications !!! Car, eux, ils le savent !
Et n'oubliez pas Camarades, VOTRE IGNORANCE EST LEUR POUVOIR !
Et que penser du Parc régional "naturel" du Pilat souillé d'une telle façon par des odeurs persistantes depuis de trop nombreuses années !
Et que penser de ces pauvres moutons qui respirent de l'air en permanence vicié pratiquement toute l'année ?
Et bien Mr le préfet du Rhône, si entre sacs plastiques salés ou sucrés dans la neige les aniimaux ne font pas la différence et "se tuent en s'emmêlant les pattes", Nous, signataires de la pétition internet et papier d'AURA Environnement présente chez les petits commerçants et les, petits artisans, les sans-grade, le Tiers-Etat de la République des ripoux, nous, nous estimons que les animaux sont supérieurs à nous et nous nous coucherons à leur côté pour leur éviter une mort certaine et inadmissible ! Les animaux n'ont pas à être gazés ! Les humains, non plus ! Assez de Dachau !
Lien de notre pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877
Nous ferons descendre à Saint-Romain-en-Gal toutes et tous les camarades fanatiques et épris d'amour pour les animaux ! Nous voulons un diagnostique immédiat sur la santé des moutons, agneaux, vaches, chevaux, toutous, chats, et... dans un rayon de 10 km autour de cette décharge archaïque ! Nous ferons descendre la France à Saint-Romain-en-Gal ! Si les fonctionnaires du Rhône et les élu-es n'ont aucune pitié pour la défense des animaux, ils se trompent lourdement !
Pour défendre la Noble cause des moutons et des agneaux innocents de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, je n'ai pas besoin de 10 000 camarades-manifestants pour gesticuler ! Je veux juste les 500 plus fanatiques des plus fanatiques et déterminé-es que compte la P.A. (protection animale) !
Vous êtes plus de 40 000 admiratrices et admirateurs de ma page de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux". Merci de nous envoyer un message en MP pour en finir avec la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal en nous contactant via ce lien https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
Feu ! Ouvrons le bal ! Place au covoiturage des militant-es de la P.A. (Protection Animale). Frères, soeurs, "Pas de téléphone sur place", SVP. Répétons : "Pas de téléphone sur place". Juste une carte d'identité dans le jean. Répétons : "Juste une carte d'identité dans la poche".
Frère numéro 1 Marc-Claude de PORTEBANE
K1 (Camarade n° 1)