ONYX-VEOLIA
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+ de 64 000 Signatures. PETITION : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/10/2020
- Dans Pétition AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
LIEN de la PETITION :
https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012
64 848 Signatures ------ 693 Commentaires
Auteur :
Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Destinataire(s) :
Emmanuel Macron (Président de la République)
Madame la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Madame Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot
La pétition
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'extension intolérable de la décharge à poubelles d'ONYX-VEOLIA où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD).
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Or, l’association de protection des animaux et de l’environnement AURA Environnement a pu observer que de pauvres ânes allaient devoir – ENCORE – subir les aléas de cette décharge immonde qui n’en finit pas de polluer l’existence des animaux et des humains puisque l’arrêté préfectoral du 09/07/2020, n° 26-2020-07-09-002, signé par le préfet de la Drôme, viendra submerger une commune déjà largement polluée par d’infâmes odeurs malodorantes et des envols de plastiques, du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an, du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an, du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an. Cerise sur le gâteau : sur demande de l'exploitant, la décharge sera autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
AURA Environnement a constaté, le 15/03/2018, des envols de plastiques sur l'autoroute A49 reliant Valence à Grenoble et qui longe cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022.
Mais cela ne suffit pas, il faut encore et encore plus de déchets à enfouir dans le Nord du département de la Drôme.
L’avis des animaux ne compte pas, alors qu’ils ne sont pas considérés tels des meubles mais comme êtres vivants !
Ils doivent vivre dans la dignité avec tout cela comporte en terme d’espace vital adapté à leur condition physique !
Un projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aide des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui devrait desservir le futur casier J dont la partie Nord-Est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIEFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
Le rapport de l'enquête publique du 21/01/2019 dirigée par le commissaire enquêteur, Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers !
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel ; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on creuse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
« Nous vivons dans un monde de folie incontrôlable, un monde en contradiction totale avec les règles les plus élémentaires que la nature nous enseigne depuis des millénaires, un monde de cinglés qui prend en otage les animaux, essayant de les rendre responsables de tous les maux dont notre puissance de destruction les accable à travers nos propres dérives ». Brigitte BARDOT « Pourquoi » Editions du Rocher
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons, in solidum, aux services de l’Etat :
- La fermeture définitive de cette décharge de Chatuzange-le-Goubet.
- Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.
- Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants avalés par les animaux.
- Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’État 01/10/1996) et désagréments divers !
L’antispécisme appelle à une nouvelle révolution copernicienne contre les tenants de l’obscure tradition qui tentera toujours de défendre l’indéfendable, par peur de voir son modèle rassurant vaciller en s’opposant de façon systématique au tri sélectif des déchets et à la loi de transition énergétique !
Les habitants et tous les animaux de Chatuzange-le-Goubet pourront toujours compter sur le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.
Mobilisons-nous à Chatuzange-le-Goubet, Romans et Valence !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 800 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/- Président d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
- Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), -
Chatuzange-le-Goubet : le Collectif CDFEC s'oppose à l'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/10/2020
- Dans Pôle stockage énergie VEOLIA Chatuzange-le-Goubet
Le CDFEC se mobilise
(Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet)
et s'opposera au projet d'extension intolérable
de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) né de la fusion avec le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC), soutenu par AURA Environnement, a décidé de s'opposer au projet d'extension de la décharge rajeunie en "pôle stockage énergie d'ONYX-VEOLIA" à Chatuzange-le-Goubet, où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains.
Cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022 assure vouloir un projet de continuité - dont est défavorable le CDEFC - en ne prenant pas en compte les enjeux locaux de traitement des déchets.
Par leur transformation et valorisation en électricité, ce "pôle de stockage énergie" ne relèvera pas vraiment les défis de la transition énergétique et de l'économie circulaire puisque les odeurs persistent.
Très attentif sur le suivi du ruisseau de la "Béaure" qui draine la nappe de la molasse à l'est de ce pôle, le CDEFC, en vérifiant plusieurs analyses, a constaté qu'il faisait l'objet d'un suivi trimestriel en amont et en aval du site. Ce suivi réalisé par le laboratoire d'analyses de la Drôme permettrait ainsi d'appréhender les éventuelles contaminations pouvant sortir du flanc est du site (anciens dépôts). Nous ne lâcherons donc rien sur l'innocent "Béaure" !
En ce qui concerne les odeurs, le CDEFC a pu constater qu'elles continuaient d'augmenter cet été 2020 en dépit des évolutions réglementaires, alors que l'exploitant assure que des vannes de régulation automatisées et connectées aux prévisions météorologiques devraient être installées. Elles devraient permettre un réglage et une optimisation du réseau de biogaz pour anticiper les nuisances olfactives, alors que ce n'est pas le cas de nos jours !!!!
Le CDEFC a relevé d'immondes perceptions d'odeurs et d'envols de plastiques sur l'autoroute reliant Romans à Grenoble et qui longe cette décharge.
Le CDEFC a demandé à AURA Environnement pour qu'elle intervienne auprès du préfet de la Drôme afin que cessent ces envols de plastiques, qui, portées par les vents violents, sont nuisibles pour les populations locales et les automobilistes.
Ainsi, le 04/04/2018, AURA Environnement, après avoir constaté des envols de centaines de plastiques sur l'A49 écrivait à AREA..
En effet, le 15 mars 2018, nous étions parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet et nous avions observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme on pouvait le constater via nos photos. Plusieurs sacs plastique s'étaient retrouvés sur notre pare-brise. Ce qui n’est pas normal et particulièrement dangereux.
Nous demandions à AREA s’il existait un plan de collecte des déchets qui s’envolent d’ONYX, si des pénalités existaient dans ces cas de pollution visuelle et environnementale, combien de fois cela se reproduisait-il dans une année, quelles sanctions AREA envisageait de prendre en cas de récidive ? Des accidents se sont-ils déjà produits à cet endroit à cause de ces envols ?
Lassé d'attendre une réponse qui ne venait pas, le 25/08/2020, le président d'AURA Environnement écrivait directement aux actionnaires américains d'APRR (Bron - Rhône-), le gestionnaire du réseau via sa filiale AREA (Saint-Marcellin - Isère -) :
"Vous vous êtes bien gardés ne pas donner suite à notre courrier (photos à l’appui), du 04/04/2018 vous alertant sur les dangers encourus par les conducteurs de véhicules concernant les envols de plastiques longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », et ce, de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet,
Pourtant, lors d’une réunion dans la Drôme, le 22/05/2018, j’ai rencontré Mr RIVAT de VEOLIA qui m’a bien confirmé que vous lui aviez fait part de nos observations sur ces envols inadmissibles. Il semblerait d’ailleurs que les contrôles des envols de plastiques par l’UT Dreal Drôme-Ardèche n’aient pas été suffisamment effectués, car comment expliquer que des milliers de plastiques puissent joncher votre l’A49 dont vous en avez la concession via le consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie) ?
Comme vous ne voulez toujours pas nous répondre, j’ai écrit au préfet de la Drôme, le 15/08/2018, tout juste après le dramatique incident du pont de Gênes en Italie, pour lui faire part de votre attentisme plutôt inquiétant.
D’autant plus que vous n’êtes pas sans savoir que la société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes de Vaulx-en-Velin, vient de demander la recevabilité de sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat, de sa décharge de Chatuzange-le-Goubet, classée en ISDND.
La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Dans ce dossier de recevabilité par les services de l’Etat dans la Drôme, VEOLIA indique qu’un pont est nécessaire sur l’autoroute A49, pour l’exploitation du futur casier J (Phase 3, exploitation de ce casier pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette autoroute…).
Dans la présentation de son projet d’extension de sa décharge sur des terrains agricoles, VEOLIA précise qu’il s’est rapproché de la société AREA « pour la signature d’une convention bipartite pour la réalisation des études, de la construction et de l’entretien du pont enjambant l’autoroute A 49 ».
Au vu de nos constats d’envols de plastiques sur les pare-brises des utilisateurs de votre A 49, nous ne pensons pas que VEOLIA fasse pleinement bénéficier la société ONYX ARA de son « savoir-faire » et de ses capacités en matière de gestion des déchets, notamment en matière de tri, de collecte, de recyclage ou de stockage, puisque les plastiques s’envolent et pullulent dangereusement sur une autoroute dont la devise est « Nous sommes là » !!!
Je suis vraiment désolé, mais vous n’êtiez pas vraiment là lorsque nous avons constaté ces envols de plastiques sur l’A 49, en ces jours de vents mauvais de début de printemps 2018.
Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis.
Nous vous alertons sur les dangers encourus par la construction d’un tel pont enjambant l’A 49 pour rejoindre le potentiel futur casier J qui aura notamment, les caractéristiques suivantes : surface 7 000 m² ; longueur 220 m ; largeur minimale 23 m ; pente uniforme de 5% vers le Nord-Ouest.
En effet, au vu de ce qui vient de se passer à Gênes, nous demanderons au tribunal administratif de désigner des experts afin d’intégrer pleinement l’évaluation de la stabilité du casier J, en phases d’exploitation et de post-exploitation en terme de conditions normales et sous séisme du fait de la proximité immédiate de cette autoroute A 49.
Le projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
AURA Environnement met en garde les utilisateurs de cette autoroute A 49 et sur ce projet d’étude de faisabilité entre le concessionnaire autoroutier AREA et VEOLIA, tout cela parce que la société VEOLIA veut faire encore plus d’économies afin, notamment, de conserver les infrastructures existantes à l’exploitation de ce casier J, alors que les autres casiers sont déjà MAL gérée par ONYX qui ne respecte déjà pas ses obligations de sécurité des usagers de votre autoroute A49 qui est déjà la « poubelle » autoroutière de la Drôme, grâce à l’incompétence d’ONYX-VEOLIA !
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?
AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aides des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui desservira ce casier J dont la partie Nord est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
En ce qui concerne les risques technologiques et le transport des matières dangereuses, il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).
Sans compter que VEOLIA, en retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet reconnaît – dans sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat – que les incendies constituent les évènements principaux affectant les installations de traitement et d’élimination des déchets, suivis par les rejets de produits dangereux, puis les explosions (stockage de déchets interdits explosibles, ou fuite de biogaz).
Depuis 2007, 8 départ de feu sont survenus dans le casier de stockage en cours d’exploitation (Source VEOLIA).
Quelles incidences en terme d’accidentologie pour le futur pont enjambant votre autoroute A 49 ?
Toujours en terme de retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet, VEOLIA reconnaît qu’un autre facteur de risque est « constitué par le vent, compte-tenu de la proximité de l’autoroute A 49 » puisque que « des envols de déchets pourraient en effet provoquer un accident ».
C’est exactement ce qu’AURA Environnement vous a dénoncé dans notre courrier du 04/04/2018. Vous avez préféré ne rien dire, façon « à l’italienne » : on ne répond que lorsque que l’on est acculé par la presse, le gouvernement, les populations, uniquement lorsqu’il y a des dizaines de morts sur une autoroute européenne ?
Avec les photos d’envols de plastiques en masse sur l’A 49 qu’AURA Environnement a envoyé à AREA, nous ne pouvons qu’émettre un sérieux doute sur les mesures mises en œuvre par VEOLIA pour prévenir ce risque majeur avec la mise en place de filets pare-envols troués ou tout simplement pliés sous l’effet des vents forts !!!
Après le dramatique accident du pont de Gênes, AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, de rassurer les populations locales de Chatuzange-le-Goubet, sur le projet de collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
- Comment sera assurée sa protection physique ?
- Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
- Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
- Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?"
Et ce n'est que le 06/09/2018 qu'AREA nous répondait !!
Il est clair que notre mail du 04/04/2018 à AREA avait fait réagir VEOLIA qui parle de "fait" plutôt "exceptionnel" comme si c'était la première fois que les envols de plastiques, c'était de la faute du vent et du manque de prévisions de la préfecture de la Drôme !!!
Le rapport de l'enquête publique (EP) dirigée par le commissaire enquêteur (CE) Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers.
Le projet d'extention phase 3 (casier J) sans le pont sur l'A49
Documents, Photos © AURA Environnement
En effet, un commentateur (dont le nom n'a pas été publié, indique : "Différentes mesures sont proposées pour limite les envols. Pour autant on sait qu'il très difficile de les supprimer totalement. La position du casir J situé au nord et sous le vent du nord par rapport à l'autoroute A49 me paraît préoccupante (risques pour la circulation autoroutière en cas d'envolement massifs).....".
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on ceruse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
L'actuelle décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet....
Les mêmes réjouissances pour les riverains après 2022 ???
Bonjour les dégâts : du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an
Du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an
Du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an
Cerise sur le gâteau : Sur demande de l'exploitant, la décharge sera
autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
(Source : Arrêté préfectoral n° 26-2020-07-09-002 du 09/07/2020)
Sur l'impact environnemental, la Frapna pose les bonnes questions : "Le site du projet est très proche et se rapproche encore dans son évolution, des habitations. L'impact sanitaire de l'équipement sur les populations est-il évalué ? Sur quels critères, sur quel échantillon de population, avec quel suivi ? ".
Dommage que la FRAPNA ait approuvé la demande d'autorisation d'extension de cette décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet, lors du CODERST du 16/06/2020 ! Si on ne peut plus compter sur les associations environnementales de la Drôme !
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour s'y être opposé depuis le début en ayant demandé de maintes fois le programme du CODERST à la préfecture de la Drôme !
Les réjouissances à venir pour les riverains :
Casier H (Uniquement la réhausse à compter du 01/01/2022, en tant que simple poursuite d'exploitation) : Surface à la base, hors digues : 60 000 m² ; Capacité de stockage : 300 000 m3...
Casier I : Hauteur des déchets : 40 m ; Capacité de stockage : 1 400 000 m3....
Casier J : Hauteur des déchets : 41 m ; Matériaux excavés : 784 000 m3 ; Capacité de stockage : 1 240 000 m3...
Cette décharge a bénéficié en 1976 d'un premier arrêté préfectoral, puis d'autres casiers de déchets non-dangereux (DND) ont été autorisés. Ils ont été appelés A, B, C, D, E, F, G, et H. Seul le casier H est encore en exploitation. Il a été nautorisé jusqu'au 01/01/2022 par arrêté préfectoral n° 04-1193 ezn date du 23/03/2004. La quantité maximale de DND pouvant être accueillis s'élevant à 180 000 T/an...
Le cauchemar continuera donc pour les riverains de cette décharge. Les promesses de fermeture définitive ne valent pas plus qu'un pet jeté à la figure des populations locales.
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
Place aux futurs casiers I, J et ainsi de suite.... pour les futures générations qui naîtront avec la dévalorisation de leur milieu naturel et de leurs habitats...
Où est l'intérêt général dans tout cela ?
IL EST GRAND TEMPS DE DIRE STOP à la poursuite de la DECHARGE d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qui est en train de devenir la poubelle du Nord de la Drôme !
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
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Vents mauvais #VEOLIA + #PAPREC @Drôme : AURA Environnement monte assaut contre mauvaise foi cloportes #Grangesgontardes + #Chatuzangelegoubet !
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/09/2018
- Dans Commissaire enquêteur PLU refuse projet décharge COVED aux Granges-Gontardes
Une association téléguidée par on ne sait qui s'est liguée
contre le Collectif CPERG soutenu par AURA Environnement
qui déposera, lui, un recours contre le PLU des Granges-Gontardes !
Le collectif CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas et les Granges-Gontardes) soutenu par AURA Environnement est le plus ancien regroupement de militant-es et de militants opposé au projet de PLU porté par les élu-es de la commune des Granges-Gontardes et cela a été confirmé par le commissaire enquêteur dans son rapport du 17/10/2017 à l'issue de l'enquête publique sur le PLU qui s'est tenue du 11/09 au 12/10/2017.
Déjà présent sur la commune voisine de Roussas où se situe l'actuelle décharge Coved, le CPERG connaissait bien la situation communale où aucune assocation de défense de l'environnement ne s'est jamais déclarée active sur ce territoire, même pas la FRAPNA de la Drôme !
Le CPERG, épaulé par des défenseurs de leur patrimoine dont notre camarade Gil LAMURE et soutenu par AURA Environnement, était déjà monté seul au créneau pour dénoncer les envols de plastiques sur les vignobles et les terres boisées des environs ainsi que sur le domaine forestier en alertant, notamment, l'ONF et la Dreal de la Drôme !
Alors que la situation perdurait depuis de nombreuses années sans qu'aucun viticulteur de Roussas ou des Granges-Gontardes, d'ailleurs, ne s'en plaigne, et ce, au nez et à la barbichette de l'INAO !
A l'époque, AURA Environnement avait demandé au "Baron d'Escalin" la copie de la convention de collecte des plastiques sur les vignobles des Granges-Gontardes.
Que nenni, nous n'avions rien récolté. Les vignerons de Rousssas et des Granges-Gontardes nous voyaient surtout comme des "ennemis", comme au bon temps de la lutte du SAC à merde gaulliste contre le communisme, car le comité central d'AURA Environnement est d'essence bipartiste : écolo-marxiste et écolo-national-bolchevique (l'aile gauche et l'aile droite du bolchevisme issue des masses populaires est représentée de façon équitable).
AURA Environnement ne fait jamais de politique, mais c'est surtout plus de 5 000 militant-es au travers de plus 70 collectifs autonomes et non-violents, en France et dans les TOM, sans compter les 350 cadres du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux que nous pouvons mobiliser très rapidement.
Dans la commune voisine de Roussas, les Granges-Gontardes, le CPERG et AURA Environnement déclenchaient l'opération "Raisins de la colère rouge".
Les services de l'Etat, la presse et le commissaire enquêteur ont été unanimes : la mobilisation du CPERG et d'AURA Environnement a été massivement suivie par les populations locales à qui nous avons ouvert les yeux sur leur devenir et celui de leurs enfants, à savoir, qu'une extension de la décharge COVED/PAPREC risquait bel et bien de s'installer pendant plus de 20 ans dans leur commune s'ils ne se mobilisaient pas massivement et rapidement pendant l'enquête publique relative à la révision du PLU de leur commune.
Notre militantisme a été largement suivi puisque plus de 90 % des villageois endormis se sont enfin réveillés et plus d'1/3 ont suivi la bannière du CPERG soutenu par AURA Environnement.
Seulement quelques brebis galeuses nous ont suivi hypocritement pour ensuite, mieux nous poignarder "dans le dos", afin d'assouvir leurs ambitions personnelles de cervelle de colibri, voire de prise de pouvoir local : comprendre le futur assaut pour renverser l'actuel conseil municipal des Granges-Gontardes, lors des prochaines municipales de 2020 !
Le CPERG et AURA Environnement désapprouvent totalement ce genre de méthode de paltoquets, qui sous le prétexte de défense du patrimoine et de l'environnement, se servent de nos actions militantes, pour défendre leurs intérêts personnels politiques et/ou économiques dans un but autre que celui de l'unique défense de la collectivité !
Même si nous ne sommes pas d'accord sur des dossiers environnementaux avec les services de l'Etat, nous n'avons jamais été pour la destabilisation d'un maire démocratiquement élu !
Exemple : lors du dernier conseil municipal du 11/09/2018 aux Granges-Gontardes, un individu membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" a pris à partie le maire et le conseil municipal alors que la séance n'était pas terminée ! Le maire a été copieusement insulté. C'est inadmissible et anti-républicain ! Le maire a failli appeler les gendarmes pour faire cesser ce trouble manifeste de l'ordre public !
AURA Environnement a demandé poliment la parole à l'assemblée communale en prenant la défense du maire Michel APROYAN, puis a sermonné publiquement ce clown membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" qui éructait sa rage contre le 1er magistrat de la commune, en lui demandant de se taire plusieurs fois.
Cet amateurisme de voyou qui porte atteinte à celles et ceux qui défendent démocratiquement l'environnement et au code général des collectivités territoriales est proprement intolérable et n'a pas sa place dans une démocratie ! Le conseil municipal émet des voeux sur tous les objets d'intérêt local. Il ne règle pas ses délibérations sur les affaires de la commune en se faisant insulter publiquement, en plein conseil municipal. Seuls les conseillers municipaux peuvent poser des questions orales en fin de réunion, en rapport avec les affaires courantes.
Quand on est pas capable de défendre le code général des collectivités (CGCT), nous ne voyons pas comment ces gens-là peuvent vouloir défendre l'environnement au tribunal administratif ou de faire un recours gracieux ou amiable lorsque l'on n'est pas aimable avec le maire des Granges-Gontardes !
Il ne faudrait quand même pas oublier que le maire des Granges-Gontardes est protégé contre l'outrage et l'injure et que ces faits honteux sont réprimandés par l'article 433-5 du Code pénal !
Nous soutenons donc le maire et le conseil municipal des Granges-Gontardes sur ce point de respect de l'article L.2121-18 du CGCT, comme nous l'avons fait publiquement en demandant la permission d'intervention publique pour défendre les lois de la République !
Nous ne soutiendons donc pas ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" ! Leur étoile se couche tandis que la nôtre se lève !
Nous avons décidé de faire le ménage : si nous avons été naïfs et magnanimes, nous ne le serons plus désormais et nous dénoncerons les minables qui nous ont poignardé "dans le dos" et qui n'ont uniquement de la "gueule" que sur...... le terrain glissant de l'internet ou pour troubler très maladroitement une réunion d'un conseil municipal démocratique régulièrement requis et convoqué comme le stipule l'article L 2121-29, créé par la Loi 96-142 du 21 février 1996 relative à la partie législative du code général des collectivités territoriales !
Contre les lamentables virtuels qui nous ont poignardé "dans le dos", nous allons leur montrer, comment, NOUS, AURA Environnement appliquons les concepts et les combats du théoricien communiste italien : Antonio Gramsci !
Nous avons toujours oeuvré en faveur de la nécessité pour la classe ouvrière d'être autant "dirigeante des classes alliées" que "dominante des classes adverses". Gramsci n'a eu de cesse de rappeler que "Les conseils d'usine nous disent toujours qu'aucune transformation révolutionnaire n'est possible si les producteurs directs ne sont pas maîtres de leur outil de production" !
Nous deviendront maîtres de la lutte environnementale aux Granges Gontardes mais aussi dans toute la Drôme où nous demandons au SYTRAD et à VEOLIA d'arrêter de pulvériser leurs odeurs insupportables vers Livron et de se mettre en conformité avec les dernières mises en garde du préfet de la Drôme sous peine de pénalités sonnantes et surtout trébuchantes en terme d'image dans l'opinion publique !
Vers Romans-sur-Isère, le vent de la révolte souffle contre les envols de plastiques sur l'A 49 à Chatuzange-le-Goubet, à charge contre la décharge mal gérée par ONYX-VEOLIA qui, via bientôt, là-aussi, une modification du PLU voudra encore "bouffer" nos terres agricoles (phase 3) qui ne cessent d'être grignotées, commune par commune, pour éradiquer nos camarades de "Nature, Pêche et Traditions" ancrées dans nos Terroirs de notre Drôme-Ardèche si bien aimée.
Nous respectons les chasseurs de la chasse aux cons, car, comme le disait si bien Pierre Desproges : "l'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui" !
On en veut plus de la décharge VEOLIA dans le nord de la Drôme et ce ne sont pas les dernières explications que nous a donné dernièrement AREA, la société gestionnaire de l'A 49, qui tente vainement de nous rassurer, qui vont démobiliser les populations locales qui se sont regroupées derrière le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), soutenu par AURA Environnement !
Au début, les dirigeants d'AREA n'ont pas répondu à notre mail du 04/04/2018, où nous faisions part de notre mécontentement à la direction du réseau d'AREA : ".. Suite à notre communication téléphonique de ce jour, nous vous confirmons que le 15 mars 2018, nous sommes parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet, et que nous avons observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme vous pourrez le constater via nos photos...".
Ca ne devait pas beaucoup les intéresser puisqu'ils ne nous ont répondu que le 06/09/2018, alors que nous les informions que nous allions nous fendre d'un petit mail discret aux actionnaires qui demandent autant d'infos que de dividendes et qui, désormais, sont devenus voraces d'infos en provenance de sotre site internet et de nos publications papier envoyées à plus de 35 000 personnes !
Comme aux Granges-Gontardes, à l'écoute de Radio trafic, on veut bien être CONS une fois, mais pas 2 fois une fois !
En effet, le 25/08/2018, AURA Environnement mettait en garde la SCA AREA - société concessionnaire d'autoroutes - (filiale du groupe APRR) : ".... Cependant, Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis....".
Depuis, 133 actionnaires américains ou proches, nous ont répondu ! Comme quoi la ténacité d'AURA Environnement est reconnue mondialement !
Nous ne voulons pas de ce futur pont qui enjambera l'A49 pour transporter encore plus de déchets d' ONYX-VEOLIA de l'autre côté de l'autoroute du malheur de n'être pas né-es si CONS que cela !
Comment ne pas devenir CON, lorsque AREA nous indique, après le passage d'AURA Environnement sur l'A49, de Valence à Grenoble le 15/03/2018, qu' ".....en effet, ce jour-là, un vent violent et soudain s'est mis à souffler à partir de 9H00....".
Pourquoi 9h00, pile-poil, à "9h00" précises soufflantes de plastiques de toutes les couleurs en provenance de la décharge VEOLIA ? Le vent se lève-t-il à 9h00 et se couche-t-il comme les poules ?
Si les filets de nos camarades marins pêcheurs de La Ciotat avaient été percés ce week-end dernier, comment auraient-ils pu ramener de la dentie au bon petit port de mer de nos luttes syndicales ?
Photos prises par AURA Environnement au restau "Au chantier" à La Ciotat, le 15/09/2018
Que comprendre du charabia de VEOLIA Rhin-Rhône Recyclage & Valorisation des déchets de Vaulx-en-Velin, qui, dans sa correspondance du 06/04/2018 à AREA - suite aux alertes d'AURA Environnement - tente d'expliquer ces envols de plastiques sur l'A49 que nous avons constaté - preuves à l'appui - en "plaidant" subitement que ceux-ci "proviennent en partie de notre pôle de stockage Energie", que "nous confirmons que ce jeudi 15 mars au matin, de fortes rafales devent de sud se renforçant vers 9h00 ont été observées sur le site", que "...Dans le même temps, nous avons procédé à un renforcement de la couverture des déchets en compléments de notre mode opératoire habituel de recouvrement à l'avancement...", que "En complément de cette action corrective, nous avons commandé 160 m linéaires d'un nouveau système de filets anti-envols afin d'améliorer notre dispositif actuel et ainsi d'anticiper ce type de situation exceptionnelle par vent de sud... ", que "....Nous sommes désolés pour ce désagrément exceptionnel...", etc..... ?
Ah bon ? Pas CON tout cela !
Les développements sur la vision gramscienne de l'éducation populaire, de la liberté et de la discipline sont très utiles et à bien des égards, nécessaires en 2018 et pour les futures générations de notre Drôme-Ardèche bien aimée !
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE.
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Entrée AURA Environnement CSS ONYX-VEOLIA Chatuzange-le-Goubet : Collectif CHDVC démine le terrain avec les élu-es !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/09/2017
- Dans ISDND VEOLIA-ONYX à Chatuzange-le-Goubet
AURA Environnement ne cesse de tarir d'éloges
vis-à-vis de Christian GAUTHIER
le maire de Chatuzanges-le-Goubet
qui est un maire loyal et respectueux proche
de Nicolas DARRAGON, le maire de Valence !
Il est est extrêmement rare qu'AURA Environnement décerne quelques bon points à des élu-es, même opposé-es idéologiquement à nos sensibiltés anarcho-écolos-marxistes.
MAIS, dans la vie, il y a toujours des exceptions où le dialogue dans le respect des convenances s'impose que l'on soit représentant de l'aile anarcho-écolo-marxiste proche de certaines idées de la France Insoumise ou de défense de l'Environnement du président de la République Emmanuel MACRON et de notre camarade Nicolas HULOT qu'Aura Environnement n'a eu de cesse de soutenir et ce, en dépit de nos divergences notables sur les tirs inadmissibles sur les loups innocents un peu partout en France alors que de nombreux chiens errants en divagation sont en manque de proies sensibles aux pléthores de ..... subventions !
Lors de la fête de l'Huma 2017 à La Courneuve, notre camarade-président Marc-Claude de PORTEBANE s'est entretenu avec le député communiste d'Auvergne-Rhône-Alpes, André CHASSAIGNE, au stand de l'association des Amis de Cuba sur la nécessité d'oeuvrer pour une politique juste et durable dans le domaine des Déchets au sein de la grande région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) !
Nous avons abordé le projet de décharge de COVED aux Granges-Gontardes et nous avons promis de défendre le CPERG local qui se bat pour la défense de ses vignobles AOC où de nombreux camarades ne cessent de trimer pour cette société impérialiste qui ne cesse de donner des paquets de dollars aux impérialistes et ce, au détriment des populations locales.
Ainsi, le camarade Marc-Claude de PORTEBANE ne devrait pas tarder à partir - dans le cadre de la CNDP (Commission nationale du débat public) en Guyane Française. En effet, l'aile de l'ultra-gauche d'AURA Environnement dénonce : "Un monstre industriel prévu pour 2018 : le projet Montagne d’Or s’inscrit sur 190 km2 de concessions et prévoit une fosse de 2,5km de long, 500m de large et 400m de profondeur. Son usine de traitement de minerai par cyanuration exige l'énergie de 20% de la consommation annuelle de la Guyane.... Si la France autorise l’exploitation à grande échelle de ce premier gisement, elle s’exposera nécessairement à la multiplication de projets miniers équivalents. Ce choix de société n'est pas une solution de développement pérenne. La population n'a pas été consultée et les procédures imposant de recourir au Conseil Consultatif des Populations Amérindiennes et Bushinengué n'ont pas été respectées....".
A Chatuzange-le-Goubet, le Collectif CHDVC (Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet) vous tiendra au jus du prochain calendrier d'ici la fin d'année 2017 qu'AURA Environnement se charge d'assurer pour informer dignement les populations locales qui sont de plus en plus rassurées par leur cadre de vie et leur administation communale fière d'être drômoise !
Louise-Marie de PORTEBANE