Saint-Denis-de-Pile
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Saint-Denis-de-Pile : AURA Environnement déclenche l'opération "Dionysos" CONTRE AP Enregistrement Usine à poubelles !
- Par auraenvironnementparis
- Le 31/08/2022
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
AURA Environnement déclenche l'opération "Dyonisos"
CONTRE l'arrêté préfectoral du 28 avril 2022 portant
enregistrement d'un centre de tri intolérable
de DND sur la commune de Saint-Denis-de-Pile !
AURA Environnement, en soutien avec les populations locales catégoriquement opposées au projet d'Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile, a déposé, le 26/08/2022, une requête en référé-suspension, devant le tribunal administratif de Bordeaux, de l'exécution de l'arrêté préfectoral (AP du 28/04/2022 de Mme la préfète de la Gironde portant enregistrement d'un centre de tri de déchets ménagers non-dangereux exploité par la société SEPUR sur la commune de Saint-Denis-de-Pile), étant entendu qu'une autre requête en annulation a également été déposée contre le même acte devant les juges de l'honorable tribunal administratif.
Nonobstant un "matraquage" en règle de la part de la presse locale contre nous toutes et tous uni-es dans une confraternelle lutte des droits de la défense de l'environnement et des animaux, nous lutterons jusqu'au bout pour que ce projet d'usine de 34 000 T/an de poubelles ne vienne ternir le territoire de Saint-Denis-de-Pile.
AURA Environnement qui a reçu l'appui de nouveaux riverains par rapport à celles et ceux opposé-es dans notre recours contre le permis de construire autorisant cette Usine à poublles, ira jusqu'au BOUT de l'épuisement de TOUTES les voies de recours.
Inutile de vous rappeler qu'AURA Environnement est membre titulaire du collège "Environnement" du Comité consultatif sur les questions environnementales (CCQE) au sein de la SPL TRIGIRONDE (PV du 13/10/2021) qui entend porter ce projet absurde.
Cela a été voté par les élu-es du SMICVAL du Libournais Haute-Gironde, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CDC MEDOC ESTUAIRE, de la CDC MEDULLIENNE et de la CDC CONVERGENCE GARONNE qui ont reconnu à - l'unanimité - le rôle d'AURA Environement dans la défense de l'environnement, des animaux et des populations locales, et ce, sur le territoire de tous les citoyen-nes membres de ces structures intercommunales qui regroupent plus de 550 000 habitants en Gironde.
D'autres recours sont en gestation dans d'autres domaines et nous remercions les populations locales de Saint-Denis-de-Pile et de très nombreux élu-es de leur soutien moral massif, alors qu'un prêt "vert" de plus de 11 millions d'euros a été octroyé dernièrement à la SPL TRIGIRONDE par la Banque des Territoires sur le site du SMICVAL, le...... 23 juin 2022, et ce, sans attendre les résultats de notre premier recours contre le permis de construire de la fin mai 2022 !!!
Alors que nous avons relevé que ce "projet envisagé est donc de nature à générer des nuisances et à avoir des incidences néfastes pour l'environnement, incidences qui n'ont pas été évaluées".
Comment se fait-il que la Caisse des dépôts et consignations, qui, à travers la Banque des Territoires, soit si pressée de participer au financement de cette Usine à poubelles, alors que les finances publiques sont dans le rouge et que nous sortons avec peine sur le territoire national d'un douloureux pic de chaleur en cet été 2022 (28 000 ha brûlés Landiras, La Teste en Gironde), que nos capacités de stockage de gaz pour cet hiver sont incertaines, que le dossier de l'assurance-chômage n'avance pas, que la lutte contre le réchauffement climatique pédale dans la "semoule", qu'EDF affichait un déficit de 5,3 milliards d'euros pendant ce seul semestre 2022, que plus de 4 000 postes n'ont pas été pourvus lors des concours de recrutement des enseignants ouverts en 2022, que la France est à plus de 6% d'inflation, que les exportations d'électricité de la France ont chuté de plus de 70 % entre août 2021 et août 2022 en raison des arrêts des centrales nucléaires, que les incidents de remboursement des crédits aux particuliers ont augmenté de 30 % ?
"L'hiver 2022/2023 sera rude et compliqué" (Joël Giraud, député Renaissance).
A quoi bon dilapider plus de 11 millions d'euros à Saint-Denis-de-Pile dans un projet fantasque, alors que nos camarades de la Gironde vont vivre dans la disette cet hiver ?
Qu'en pense donc le nouveau sous-préfet de Libourne, Matthieu Doligez "qui croit à ce projet ambitieux" ?
Ambitieux pour qui ? Au détriment de qui ?
MCDP
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AURA Environnement attaque au TA de Bordeaux le PC de Saint-Denis-de-Pile Projet Centre de tri SPL #TRIGIRONDE
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/05/2022
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
Soutenue par plus de 200 riverains opposé-es
au projet d'Usine à poubelles SPL #TRIGIRONDE
AURA Environnement a attaqué au TA de Bordeaux
le permis de construire de la mairie Saint-Denis-de-Pile !
AURA Environnement a une nouvelle fois fait preuve de persévérance avec l'aide de plus de 200 riverains en soumettant, le 09/05/2022, à la censure du tribunal administratif de Bordeaux un arrêté en date du 11/03/2022 accordant un permis de construire pour "la rénovation d'un centre de tri, extension, abris de stockage, bâtiment administratif et voie engins", sur un terrain sis au lieu-dit Les Grillaux à Saint-Denis-de-Pile (Gironde, vers Libourne), au bénéfice de la société publique locale (SPL) TRIGIRONDE.
Plus d'une cinquantaine d'élu-es des communes alentours nous ont également apporté leur soutien moral parce qu'ils ne veulent pas de ce projet d'usine à poubelles vers Libourne.
Les populations locales très sensibles à la biodiversité, notamment aux abords du charmant petit ruisseau "Le Vignon", et très attachées à leur territoire ne veulent absolument pas subir de nombreuses nuisances, voir également leurs biens se dégrader, et payer de nouveaux impôts.
Marc-Claude de PORTEBANE
A suivre
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La Commission Environnement SPL #TRIGIRONDE conteste le coût du projet de centre de tri !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2022
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
Après la "farce" de la consultation publique
en mairie de Saint-Denis-de-Pile (33)
le collectif SCTL (Stop Centre de tri vers Libourne)
n'est plus d'accord sur plusieurs points !
La tempête révolutionnaire n'est pas loin !
Les membres élus de la commission "Environnement" au sein de la SPL TRIGIRONDE de Libourne (Titulaire collège Associations environnementales et riverains : Marc-Claude de PORTEBANE. Titulaire collège élus : Michel GARAT) s'apprêtent à claquer la porte de cette instance puisque de nouveaux éléments sont venus semer la discorde et le désordre dans "l'unité de façade" qui a règné pendant les 2 réunions "bon enfant" sur les rives de Bordeaux-Lac, où nous n'avons été, finalement, que des larbins à l'image de nos camarades migrants qui sont complètement ignorés, désinformés ou traînés dans la boue, au secours nos camarades éboueurs, du bruit dans Landerneau ou comme le disait si bien Rabelais avec sa divine bouteille de Bordeaux : "Petite ville, grand renom" !
Ouvrons donc la boîte de Pandore et terminons-en avec ce vaudeville d'opérette fertile en intrigues et rebondissements de dernière minute !
Nous estimons n'être tenus au courant de rien ou presque, alors que des infos de dernière minute risquent de faire "imploser" cette "Commission", où nous n'avons été, finalement, que de simples "figurants". Nous ne serons jamais des "marionnettes" à l'image du Guignol lyonnais qui s'agite sur les planches d'un castelet de bois dans une rue du Vieux-Lyon !
L'ultra gauche stalinienne d'AURA Environnement a donc décidé de siffler la fin de la récréation et de taper, cette fois, "du poing sur la table" de pacotille de cette "Commission" de "façade", où nous n'avions droit qu'à de simples petites infos sur l'environnement et rien sur la stratégie et que dalle sur les aspects financiers, notamment !
Par ici, par là, les discussions en coulisse sur des thématiques majeures et ce, dans notre dos !
Certains élu-es ont commencé par nous taxer de l'infâme appellation de "trotskistes". Grave erreur camarades, puisqu'au contraire, nous sommes anti-trotskistes ! Chez nous, nous sommes pour la stricte application des maximes du petit livre rouge du président MAO et non des paltoquets "trotskards" comme on en rencontre, encore, hélas, sur la rive droite de la Gironde ! Quand on veut noyer son chien, on dit.............. ! Nous connaissons la chanson !
Faites-nous confiance, camarades ! Nous n'allons pas tarder à décocher la flèche du Parthe !
Nous, ici, nous luttons, de façon générale, contre 1 classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, faisant obstacle au changement de cap qui s'impose face aux défis des changements climatiques, qui ne porte aucun projet sérieux, qui n'est animée d'aucun idéal et qui ne délivre aucune parole mobilisatrice puisqu'elle prétend que toute alternative est impossible, alors que cette représentation de ce monde bourgeois méconnaît la puissance explosive de l'injustice, sous-estime la gravité de l'empoisonnement de la biosphère et promeut l'abaissement des libertés publiques !
Nous, au contraire, nous défendons l'Etat. Nous le confortons même contre la classe opulente qui est devenue une classe séparée de la société qui se reproduit sui generis par transmission du patrimoine, des privilèges et des réseaux de pouvoir, alors que les classes pauvres ne sont au courant de rien et se désintérressent gravement de la chose publique parce qu'elles n'ont plus confiance.... dans la parole publique des élu-es !
Ainsi, le dernier vote qui a été demandé mercredi dernier (16/02/2022) aux élu-es de CdC Convergence-Garonne a été la "goutte de trop" qui a fait déborder le vase de l'extension de ce projet de centre de tri, au nord de Libourne, sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et plus précisémment sur le terrain du SMICVAL.
Grâce à notre camarade élu de la commune de Barsac, Michel GARAT, et conseiller communautaire ainsi qu'à d'autres maires, nous avons gagné une 1ère manche en faisant capoter le vote sur la participation financière de cette CdC à la SPL TRIGIRONDE.
Notre camarade a tenu à à préciser "le coût faramineux" de la construction de centre de tri de l'ordre - aujourd'hui - de 23 millions d'euros, auxquels il faut ajouter 4,6 % d'assistance à maîtrise d'oeuvre (200 000 €) + le raccordement Enedis (165 000 €) + l'aménagement d'une salle pédagogique (50 000 €) pour un coût à peu près estimé à 24 millions d'euros et ce, avant travaux, comme si on était pas à 1 million d'euros près, allons-y gaiement, tant que le contribuable, paie, autant le faire payer un max !
Ce n'est pas de la gabégie de l'argent public ce projet de centre de tri, alors qu'il est demandé à la petite CdC Convergence Garonne une garantie d'emprunt sur 7 millions d'euros (qui serait contracté par la SPL TRIGIRONDE) et amortissable sur 10 ans, soit 133 000 € ?
Une petite CdC doit-elle s'endetter et voter comme des "béni-oui-oui" tel ou tel projet fantasque ?
Le vote a donc été reporté à une date ultérieure pour sortir de la galère de cette "verrue", la SPL TRIGIRONDE. Une demande a été faite, pour un vote à bulletins secrets afin que chacun-e puisse s'exprimer librement, sans contrainte et sans pressions diverses et avariées.
Nonobstant cette dernière crise, notre président Marc-Claude de PORTEBANE a tenu bon, lors de la consultation publique, d'alerter le maire de la commune voisine d'Abzac en ces termes :
"Suite à mes appels téléphoniques du 14/01/2022, du 17/01/2022, du 18/01/2022 et de mon mail de ce jour 18/01/2021 à votre secrétariat de mairie, je prends note de votre réponse de ce jour, suite à mes différentes demandes de copie de la délibération que votre conseil municipal a pris le 11/01/2022 à propos de l’avis qui vous a été demandé concernant l’autorisation de création du nouveau centre de tri de Saint-Denis-de-Pile.
Vous nous informez de ceci :
« Madame Hoffmann qui est la secrétaire de mairie m’a bien fait part de votre demande pour que nous vous transmettions la délibération du Conseil Municipal à propos du centre de tri « Trigironde » qui doit s’installer en bordure de notre commune.
Comme je vous l’ai dit, la commune d’Abzac n’est pas opposée au projet de Trigironde mais ne désire pas pour autant sacrifier son environnement au passage des camions qui en résultera.
Nous avons donc pris une délibération indiquant que nous étions défavorables au projet aussi longtemps que le problème circulatoire ne sera pas résolu. Il existe en effet une solution qui satisfera à la fois les communes de Saint Denis de Pile et d’Abzac. C’est celle qui consiste à emprunter le « Chemin des Moines » que vous avez parfaitement identifié.
Or depuis, Il m’a été fait observer en particulier par la Cali que cette formulation avait pour effet de bloquer le projet ce qui conduisait à l’expropriation du chemin communal que je refuse de voir transformer en route pour camions.
Pour sortir de cette ambiguïté j’ai demandé une nouvelle réunion du Conseil Municipal pour retirer notre délibération et la remplacer par une autre. Elle exprimera un avis favorable mais qui sera « conditionné préalablement à un accord contractuel formalisé permettant de régler le problème circulatoire »
Le Conseil se réunira le 20 janvier. Dès que le vote aura eu lieu je vous enverrai la délibération. Dans l’immédiat, je vous envoie sans plus tarder la résolution qui a été votée. »
Cependant, vous ne m’avez pas communiqué cette délibération du 11/01/2022 au sens des conditions prévues par la loi n° 78-753 du 17/07/1978 modifiée, que vous avez transmise au contrôle de légalité de la sous-préfecture de Libourne, voire à Mme la préfète de la Gironde Mme Fabienne BUCCIO, à la Direction de l’information légales et administrative (dépendant du 1er ministre) en préfecture de la Gironde.
A ce jour, cet arrêté municipal est donc pleinement applicable et donc communicable.
Par ailleurs, vous n'avez pas à retirer cette délibération du 11/01/2021, - avec ou sans pression-s -, parce qu’elle nous semble légitime aux regards de la protection de l’environnement, des animaux et de l’ensemble de vos concitoyens qui ne doivent subir aucunes nuisances, avec surtout si, encore plus de norias de camions chargés de poubelles devaient emprunter la RD 17E1 où, déjà, 2 semi-remorques ne peuvent se faire face, comme nous avons pu le constater à de nombreuses reprises.
La consultation actuelle – du 17/01/2022 au 15/02/2022 - en mairie de Saint-Denis-de-Pile portant ouverture d’une consultation publique relative à la création d’un nouveau centre de tri de déchets ménagers sur cette commune doit mentionner l’existence de cette délibération du 11/01/2022 et de votre volonté de changement pour un futur accès au projet de centre de tri par le Chemin des Moines où nous avons relevé de nombreux dépôts sauvages de DIB et autres déchets.
Nous serons extrêmement vigilant-es sur les différentes nuisances qui seront déplacées de la RD 17E1 au Chemin des Moines." .
Suite à l'intervention d'AURA Environnement, la délibération du 11/01/2022 a bien été maintenue.
Pour nous, c'est déjà une grande "Victoire" !...
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Bon accueil pour les sentinelles de la nature du Collectif STOP projet Usine à poubelles Saint-Denis-de-Pile !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/06/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
Presse, élu-es SMICVAL et autres Cdc vers Libourne :
les sentinelles de l'environnement du Collectif
Stop Centre de Tri vers Libourne ont aussi reçu
un accueil favorable des populations locales !
Photo ci-dessus : marché de Libourne du 30/05/2021
Après avoir rencontré la journaliste de Sud-Ouest à Libourne, vendredi 28/05/2021 dans la matinée, et les dirigeants de la SPL TriGironde, dans l'après midi, au SMICVAL à Saint-Denis-de-Pile, le collecif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne), a décidé, dimanche dernier d'aller au contact de nos camarades sur les marchés de la région libournaise.
Nos sentinelles de la nature ont observé que le tri sélectif à la base n'était absolument pas respecté à Saint-Denis-de-Pile où les encombrants sont déposés dans les rues....
... ainsi qu'à Libourne où, comme ici, il n'y a aucun tri que ce soit des déchets verts pour le compostage, du bois si recherché de nos jours, des linges usagés non remis au associations caritatives et qui ralentiront de façon importante le travail des trieurs des centres de tri car les longs morceaux de tissu créent un blocage au niveau de la chaîne de tri !
Dans l'ensemble, l'accueil en faveur de notre pétition a été excellent, comme ici chez les commerçants de Saint-Denis-de-Pile où l'on découvre le projet d'Usine à poubelles qui ne semble pas recevoir l'opposition de la Dreal 33.
Nous sommes et nous serons toujours opposé-es aux projets de mega centres de tri comme celui de 34 000 T/an envisagé à Saint-Denis-de-Pile.
Nous sommes favorables, une fois n'est pas coutume, à l'excellente ISDND de Lapouyade, gérée par VEOLIA, qui s'inscrit dans une démarche environnementale constructive et positive avec nos camarades paysans de Rougeline puisque le rapprochement entre les déchets et les tomates à permis de générer une écoserre de 4 ha chauffée par le biogaz issu de la fermentation des déchets de la Gironde stockés de façon honorable également sur le plan économique.
A Lapouyade, nos camarades de VEOLIA produisent de l'eau chauffée à 90°C, une température idéale pour chauffer ces serres dont les premiers plants de tomates ont été plantés en novembre 2015 avec une récolte vertueuse qui a débuté en mars 2016 ayant pour objectif d'atteindre plus de 5 000 T dans les prochaines années.
Quand on valorise correctement les déchets, on ne doit pas les trier pour en faire, ensuite de l'incinération déguisée comme avec cet infâme CSR (combustible solide de récupération) que l'Ademe semble promouvoir auprès des collectivités locales, alors qu'il n'y a aucun débouché économique et que les cimentiers comme Lafarge et Vicat en disposent des stocks et des stocks !
A divers endroits sur le territoire français, nous avons observé que certaines collectivités territoriales ne savent plus où stocker leurs papiers ou cartons et elles font donc appel à la logistique des entreprises privées d'espaces pour leurs clients ou fournisseurs.
Nous soutiendrons donc nos camarades-ouvriers et paysans de la Gironde, en continuant notre parcours écolo-marxiste qui nous paraît logique en ces mauvais temps de Covid et de régression économique mal vécue par les classes pauvres de notre société qui ne comprennent pas l'utilité de ces grands projet inutiles et imposés (GPII) très souvent mis en place par d'autres camarades de gauche qui agissent assez souvent comme les capitalistes bourgeois.
Nous défendrons donc le partenariat entre VEOLIA et nos camarades-paysans de Rougeline qui s'inscrit dans une logique d'économie circulaire en terme de circuit court, et ce, tout autour de ces glorieuses exploitations qui sauvegardent l'emploi local sur le vaste territoire de la Nouvelle Aquitaine !
Nous nous opposerons donc au projet de centre de tri de Saint-Denis-de-Pile, certes, pas de façon systématique et ce, à condition que les échanges entre le collectif SCTL - soutenu par AURA Environnement - et la SPL TriGironde soient constructifs et que nos demandes de transmissions soient respectées tout comme notre demande de création d'une commission locale de suivi de site interne, et des consultations permanentes avec la direction générale des services de la SPL TriGironde avec qui nous avons commencé d'établir des rapports courtois et bien disposés au dialogue et à la compréhension sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile de 20 000 m² sur le territoire du SMICVAL.
Nous ne sommes pas opposé-es au petits centre de tri locaux mais aux plus importants car, cela ne marche pas si bien que cela. Pour que ça "marche", il faut soit augmenter les territoires de collecte soit augmenter les impôts locaux alors que les camions font encore et encore plus de km avec leurs émissions de gaz à effet de serre. Si au moins les camions de la Gironde roulaient au gaz ou étaient hybrides pour se rendre à Saint-Denis-de-Pile ? Mais, non, les camions resteront les camions que ce soit à Vénissieux-Saint-Priest dans le Rhône ou à Passy en Haute-Savoie, ou ailleurs partout parce que l'on s'en fiche bien de polluer la planète dans un souci de rentabilité capitaliste !
A quand des camions-poubelles avec des bennes moins bruyantes et moins polluantes, alimentées à l'hydrogène en Gironde et plus particulièrement dans le Libournais afin d'améliorer la protection et la mise en valeur de l'environnement et du cadre de vie des populations locales ?
Nous ne nous inscrivons pas dans une démarche de "faiblesse" et nous serons vigilant-es à l'avenir sur la future étude d'impact concernant la faune, la flore, les émissions polluantes comme les MEST et qui devrait être indexée à la demande d'autorisation d'exploiter qui sera déposée à la DDT 33 avant d'être étudiée par la Dreal 33 (qui refuse de nous répondre au téléphone), ainsi que sur le projet de permis de construire qui devrait être délivré par la commune de Saint-Denis-de-Pile où les ordures sont trop souvent déposées en pleine nature !
Nous ne voulons aucune "pression" médiatique ou autre sur nos camarades-sentinelles de l'environnement qui soutiennent notre pétition, et qui veulent garder l'anonymat !
Nous sommes dans une démarche de défense écolo-économique puisque l'impact du changement climatique s'exercera surtout sur les parties les plus pauvres du monde - par exemple en exacerbant la sécheresse et en réduisant la production agricole des régions de plus en plus sèches - alors que l'émission des gaz à effet de serre provient essentiellement des populations riches !
Si nous "soutenons" écologiquement le site de Lapouyade c'est qu'au total, pauvreté et crise écologique sont inséparrables.
De même qu'il y a synergie entre les différentes crises écologiques, il y a synergie entre la crise écologique globale et la crise sociale : elles se répondent l'une l'autre, s'influencent et s'aggravent corrrélativement !
Quand est-ce qu'à eu la concertation sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile avec nos camarades-locaux, nos camarades-viticulteurs et nos camarades ouvriers et paysans ?
Les masses populaires de Saint-Denis-de-Pile auraient dû être correctement informé-es sur ce vaste projet d'Usine à poubelles de 34 000 T/an.
Il semble qu'elles ne l'aient été que via notre pétition qui est la plus forte de France sur un projet national de centre de tri à grande échelle.
Un exemple ? Nous n'avons appris que vendredi dernier (28/05/2021), lors de notre entrevue de 3h avec les dirigeants de la SPL TriGironde, et ce à notre demande, qu'il y aurait un surcroît de 15 camions/jours qui passeraient sous le nez des populations locales, alors que certains accès au site sont difficilement croisables entre poids-lourds et que la circulation des 3T5 sur des voies interdites au plus de de 3T5 sur la commune de Saint-Denis-de-Pile ont été relevées à de nombreuses reprises par nos camarades-sentinelles de la nature vers Libourne !!!!
Quant au coût de ce projet de centre de tri, on ne sait toujours rien.
20, 30, 40 millions d'euros ?
Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la TEOM (Taxe d'enlèvement des ordures ménagères) qui pourra être récupérée de plein droit par les propriétaires sur les pauvres locataires prolétaires de Saint-Denis-de-Pile où la pauvreté et la misère ne veulent pas s'en aller, à l'exclusion des frais de gestion ?
Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la REOM (Redevance d'enlèvement des ordures ménagères qui est un mode de financement du service public d'enlèvement des ordures ménagères alternatif à la TEOM et qui est payée par les ménages souvent populaires et les entreprises qui bénéficient de ce service de collecte des déchets ménagers et assimilés ?
Il n'y a que les pétitions comme la nôtre pour obtenir un contre-pouvoir informatif ( LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-poubelles-saint-denis/138163 ) ou de celle de nos camarades du Collectif citoyen "Ras la Poubelle" - que nous soutenons sur le terrain via notre collectif SFIOMAFCL (STOP Fiscalité Ordures Ménagères Agglo Fécamp Caux Littoral) - qui demandent dans une pétition à la présidente de l'agglomération Fécamp Caux Littoral que soit rendu public le montant des recettes supplémentaires prévu avec le mode de calcul voté le 13/04/2021 et que soit revu le mode de calcul avec les critères incitatifs à la réduction des déchets puisque l'intégration de la Comcom de Valmont à l'Agglo de Fécamp a nécessité l'harmonisation à terme de la fiscalité, les dépenses augmentant plus vite que les recettes, il a fallu revoir fissa le financement du ramassage des ordures ménagères et donc passer de la REOM à la TEOM. Cerise sur le gâteau : en grande majorité, nos camarades de la Seine Maritme (76) ont donc vu le montant de leur facture doubler voire tripler, alors qu'ils n'ont pas été informés correctement.
Ce n'est que grâce à la puissance de nos pétitions nationales que nous sommes ensuite correctement informé-es et, NOUS, ici, nous préférons largement une pétition internationale, à un article de presse local qui voudra surtout des noms de celles et ceux de nos camarades qui marchent avec nous, et qui ne reprendra pas toujours les aspirations des populations locales qui n'en peuvent plus des atteintes à la faune et à la flore vers leurs habitats respectifs, quand ce n'est pas les augmentations des taxes et redevances locales.
Ce serait quand même grand temps de consulter les 91 150 personnes composant les 45 communes de la CALI (Communauté d'agglomération du Libournais) et de demander si, elles ou ils, sont ok pour ce projet de centre de tri qui verra transiter 31 à 34 000 T/an de déchets, en provenance du SMICVAL, du SEMOCTOM, de CdC Medulienne, du SICTOM Sud-Gironde, de la CdC MEDOC Estuaire et peut-être prochainement de la CdC Convergence Garonne.
Nous espérons donc obtenir les infos que nous avons demandé à la DGS de la SPL TriGironde à Saint-Denis-de-Pile, prochainement.
Nous ne changerons pas de mode opératoire, ni de discours vis-à-vis des élu-es de TriGironde !
La parole donnée sera respectée !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
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Opération Bagration II du Collectif SCTL : déluge de tracts sur le territoire de la SPL TriGironde !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP projet Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile :
le collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
a lancé une offensive générale de 25 000 tracts sur
le territoire des 535 000 habitants des élus #TriGironde !
Nos camarades du collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne) soutenu par AURA Environnement ont déclenché la "phase II" de l'opération "Bagration" sur tout le territoire de la SPL TriGironde qui regroupe plus de 535 000 habitant-es et 330 communes, alors que selon Mr ROUSTIT de la DDTM 33, aucune demande d'autorisation d'exploiter la future Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile n'aurait été faite ces derniers jours, ce qui constituerait, déjà, une première victoire pour le Collectif SCTL dont les rangs ne cessent de croître, surtout depuis le record de France en nombre de signatures pour une pétition en matière de lutte contre un centre de tri, au niveau national.
Rien de neuf côté Dreal 33 et encore moins aux services de l'urbanisme de Saint-Denis-de-Pile. Notre pétition aurait-elle réveillé les consciences endormies ?
En effet, selon les experts, aucune pétition nationale n'a recueilli plus de 36 500 signatures en à peine 15 jours. LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/protegeons-agneaux-poneys-futur-desastre-stop/138163
Déclenchant la "phase II" de l'opération Bagration, AURA Environnement a fait appel à plus de 180 camarades du collectif auvergnat des cellules autonomes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, (situé Avenue de l'Union soviétique à Clermont-Ferrand), parce qu'il est impensable que le projet d'au moins 34 000 T /an d'ordures de la future Usine à poubelles qui veut s'implanter dans la commune martyr de Saint-Denis-de-Pile (à 15 km de Libourne en Gironde) puisse un jour, disperser des particules de matières en suspension totales (MEST) sur les animaux et les humains.
Plus de 25 000 tracts ont donc ainsi été distribués dans les boites aux lettres de la région de Libourne, soit sur l'ensemble du territoire des élu-es du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE et de la CdC MEDULLIENNE !
L'accueil des populations locales de Saint-Denis-de-Pile, qui ne sont au courant de rien, a été total.
Alors qu'il pleuvait à seau tous les jours, nos camarades du Collectif SCTL ont été très bien reçu par les populations locales.
Plus de 86 camarades de toute la région, et particulièrement du SEMOCTOM et du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE ont rejoint le Collectif SCTL
Parallèlement, notre avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne, décidait jeudi 20/05/2021, de saisir la CADA (Commission d'accès aux documents administratifs) puisque les élu-es de la SPL TriGironde ne nous ont, pour l'instant, absolument rien communiqués suite à l'envoi de nos différentes requêtes.
A quoi bon ne pas nous communiquer des documents publics en lien avec le bon droit du code de l'environnement ?
Qu'il y a-t-il de secret dans toute cette histoire de projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile ?
A quoi bon de diviser chat et souris alors que des norias de camions sont attendues à Saint-Denis-de-Pile si ce projet d'Usine à poubelles venait à se faire ?
Qu'est ce qui est dérangeant pour les populations locales de Saint-Denis-de-Pile, alors qu'il n'y a pas eu d'Etats Généraux communal avec les populatons locales pour leur demander leur humble et simple avis sur ce projet d'Usine à poubelles ?
La CALI (Communauté d'aglomération du Libournais), qui regroupe 45 communes dont Saint-Denis-de-Pile, est-elle plus au jus que nous ne le sommes ?
Nous espérons que le camarade-président de la CALI (dont une des thématiques est l'accès au droit), Philippe BUISSON, (maire de Libourne), sortira du "buisson" pour éclairer notre lanterne. LIEN : https://www.lacali.fr/actualites-de-la-cali
Quels droits auront les populations locales de Saint-Denis-de-Pile, hormis le droit de regarder passer - en payant via les différentes taxes - des camions et encore des camions chargés de plastiques et de cartons à destination du projet de la future Usine à poubelles ?
Pourquoi la CALI ne se "salit pas les mains" pour informer les populations locales sur le devenir de leurs enfants dans les prochaines décennies ?
La Calinésie est-elle en manque de moyens de "communication", pourtant un autre de ses credo ?
Alors que l'une des préoccupations de la Calinésie n'est que la future "fête du Tour" de France 2021 ?
Puisque la "Fête du Tour" sera une journée consacrée au vélo dans les sites d'accueil du Tour de France.
En effet, à Libourne, de nombreuses activités seront proposées le dimanche 30/05/2021 avec l'installation d'un "village d'animations" sur les quais de Libourne, - alors que le Covid-19 est toujours actif -, et aussi donner la possibilité aux cyclistes de tous âges de tester le parcours de la 20° étape du Tour de France 2021 : le contre la montre Libourne-Saint-Emilion. LOL !
Et même pas une halte, route de la Pinière, à Saint-Denis-de-Pile, là où est pourtant projeté le projet de la future plus grande Usine à poubelles de la Gironde, et ce, à grands renforts de millions d'euros sortis tout droit de la poche du maillot jaune des contribuables de la nouvelle baronnie, la région "Nouvelle Aquitaine" dirigée par le camarade Alain ROUSSET ?
Nous restons vigilant-es quant au sort réservé aux nombreux animaux proches du futur projet d'Usine à poubelles sur le terrain actuel du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE !
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+ 48 000 Signatures. PETITION. STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
Lien de la pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-poubelles-saint-denis/138163
Auteur(s) :
Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne). Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Destinataire(s) :
Mme la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Me Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot, Mme Fabienne BUCCIO, préfète de la région Nouvelle-Aquitaine et de la Gironde.
La pétition
Le SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne), soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'Usine de 34 000 T/an de poubelles à Saint-Denis-de-Pile, vers Libourne, à 48 km au nord de Bordeaux.
En effet, le 16/03/2021, AURA Environnement écrivait à Jérôme GUILLEM, maire de Langon et président de la SPL TRIGIRONDE sise 8, Route de la Pinière dont le siège est dans les locaux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE parce que nous avons constaté de nombreuses pollutions de l’environnement dues à la présence dans la nature de plaques d’amiante jonchant à même le sol et aussi parce que les populations locales sont inquiètes sur le projet d’un Centre de tri d'au moins 34 000 T/an d'ordures.
Depuis, silence dans les rangs ! Pas un mot à notre conseil, Me François RUFFIE, du barreau de Libourne (l’avocat de la SEPANSO - Fédération des sociétés pour l'étude, la protection et l'aménagement de la nature dans le Sud-Ouest -, et de la cause de tous les animaux dont celle de l’ourse Cannelle abattue par un chasseur dans les Pyrénées). Source : https://www.ladepeche.fr/article/2008/03/12/441496-proces-pourquoi-chasseur-tue-ourse-cannelle.html
Sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration, notre camarade François RUFFIE ne demandait à la SPL TRIGIRONDE qu'une simple copie des dossiers d'appels d'offres relatifs au projet de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile, qui concerne plus de 530 000 habitant-es qui ne sont au courant de rien de ce qui se prépare pour l'avenir de leurs enfants.
Ainsi, nous aimerions avoir l'avis du nouveau conseil d'administration, élu le 03/11/2020, de cette SPL TRIGIRONDE composée de 6 établissements publics de Gironde, sur ces pollutions existantes visuelles et environnementales inadmissibles et sur ce futur projet d’Usine à poubelles :
- Aux 5 administrateurs du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE représenté par Fabienne FONTENEAU, Chantal GANTCH, Jean-Philippe LE GAL, Christian ROBIN et Sylvain GUINAUDIE ; aux 3 administrateurs du SEMOCTOM représenté par Jean-François AUBY, Jean-Luc LAMAISON et Jean-François BROUSTAUT ; aux 2 administrateurs du SMICOTOM représenté par Dominique FEVRIER et Bernard ESCHENBRENNER ; aux 2 administrateurs du SICTOM SUD GIRONDE représenté par Christophe DORAY et Jérôme GUILLEM ; à l'administrateur de la CdC MEDOC ESTUAIRE représentée par Matthieu FONMARTY ; à l'administrateur de la CdC MEDULLIENNE représentée par Eric ARRIGONI.
Il n'y a qu'à regarder, avec effroi, comment la nature est massacrée à Saint-Denis-de-Pile, à l'arrière de l'actuel centre de tri ! Des plaques d'amiante jonchent les sols non-loin des animaux et des vignobles ! C'est un scandale cette négligence des élu-es du SMICVAL puisque nous avons observé que de nombreux dépôts sauvages polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais. Qu’en est-il également de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?
Quels risques pour l’avenir des populations locales et les animaux que nous aimons plus que tout, en cas de potentielle catastrophe naturelle à Saint-Denis-de-Pile ? En effet, le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues. Dans l’annexe 1, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile.Quel impact sur la santé des petits agneaux proches de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
Qui sont les contrevenants et combien sont-ils à avoir été pris "la main dans le sac" des emmerdements causés à l'environnement, aux humains et aux animaux de Saint-Denis-de-Pile en s'exposant à des amendes relevant des contraventions de 3° classe, d'un montant de 450 € ?
L'arrêté municipal du 05/12/2018 sur l'abandon de déchets de toute nature sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et qui abrogeait celui du 16/04/2015 n'est même pas respecté, alors qu'il appartient pourtant à la mairesse en exercice en 2021 de garantir, dans le cadre de ses pouvoirs de police, la sécurité, la tranquillité et la salubrité publiques sur le territoire communal, où les sacs poubelles noirs côtoient des matelas qui sont culbutés en pleine nature au nez et à la barbe des élu-es qui s'en fichent bien que la nature soit polluée à l'œil.
Etonnant d'ailleurs que le sous-préfet de l'arrondissement de Libourne, Hamel--Francis MEKACHERA, nommé par décret du président de la République en date du 02/08/2016 n'aille rendre une visite amicale auprès de la faune et de la flore de Saint-Denis-de-Pile où, sous ses propres yeux, la nature déguste au quotidien !
La commune de Saint-Denis-de-Pile va-t-elle devenir l'immense poubelle de la Gironde ?
Que les élu-es de Saint-Denis-de-Pile, ceux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE fassent donc le ménage en faveur de l'environnement dans leur propre territoire au lieu de vouloir investir dans un projet de centre de tri complètement fantasque qui se fixe un objectif ahurissant de 34 000 T/an de poubelles !
C'est à celui ou à celle qui ira laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires comme celui de Saint-Denis-de-Pile qui risque bien de devenir l'immense Poubelle de la Gironde, alors que dans sa malpropre communauté d'agglomération les nuisances des centres de tri se multiplient en terme de situations à risques et sont reconnues par des organismes officiels comme la FEDEREC ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Et qui donc, sur ce territoire de la petite commune de Saint-Denis-de-Pile, intégrée au SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, aurait envie d'avoir une méga Usine à poubelles - un immense centre de tri - à côté de chez soi lorsque l'on mange en terrasse, à l'heure de l'apéro, des merguez végétales faites maison ?
Pourquoi ne pas construire ce méga Centre de tri dans la commune de Langon, chez notre camarade Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE ou sur le territoire de la Communauté de communes du Sud Gironde à Hostens, à Cazalis ou à Louchats, il n'y a pas que nos pauvres minous tapis dans l'ombre qui sont noirs de colère parce qu'ils ne veulent pas observer à Saint-Denis-de-Pile les potentiels risques biologiques liés aux poussières, à la prolifération microbienne et aux risques de leptospirose ou aux entraves liées à l'évacuation en cas d'incendie !
Comment, dans ces conditions, TRIGIRONDE veut « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ? Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?
Parce que les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile doivent savoir que ce projet de futur méga Centre de tri de la SPL TRIGIRONDE, sera une ICPE soumise à arrêté préfectoral, comme c'est le cas actuellement, et, il est fortement probable que la DREAL 33 imposera à cette nouvelle construction les mêmes exigences que celles inscrites dans l'arrêté notamment en matière de rejets des eaux usées, pluviales et de voiries.... dans le milieu naturel alors que la commune est reconnue, pour 2021, comme en état de catastrophe naturelle ! Il n'y aura donc pas d'enquête publique.D'ailleurs quels seront donc les liens entretenus entre le SMICVAL et la SPL TRIGIRONDE ? N'aurait-il pas été plus judicieux de loucher vers un terrain neutre pour ce projet de méga Centre de tri comme sur la charmante commune de Louchats ?
Le stockage dit "tampon" et le conditionnement en balles de toutes ces saloperies devrait se faire en 10 flux à Saint-Denis-de-Pile (Les papiers aux encres chimiques infernales ; les papiers-cartons non-complexés contenant des moisissures - comment vérifier qu'ils aient le taux de 12 % d'humidité acceptable comme les boîtes pizza, à oeufs pourris ou non, boites de médicaments touchées par des mains sales, étuis divers et avariés, les sacs papier susceptibles de contenir des couches culotte aux odeurs malodorantes, les rouleaux de PQ, etc.... qui auront bien fermenté en plein cagnard ? - ; les papiers-cartons complexés ; les papiers-cartons mêlés ; les films plastiques en PE - polyéthylènes - souillés des pépiniéres ou des serres qui recueillent nombre de pesticides, insecticides, fongicides, herbicides ou autres parasiticides conçus pour avoir une action biocide ; les bouteilles PET clair ; les emballages en plastiques rigides PEHD/PP ; les flux développement ; les emballages en aluminium standard" ; les petits emballages en aluminium souples !
La cause animale a une portée considérable à nos yeux. La faune et la flore ne sont pas du tout respectées dans la région et nous sommes en présence de nombreux écocides, notamment vers la commune de Guillos avec ces décharges sauvages intolérables... en 2021. Source : http://www.aura-environnement.com/blog/stop-au-centre-de-tri-de-saint-denis-de-pile-vers-libourne/aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.html
C'est complètement ahurissant de tolérer que la nature soit massacrée dans sa propre communauté de communes et de vouloir, ENSUITE, mettre en place une Usine à poubelles très coûteuse sur le site du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE dans la future commune martyr de Saint-Denis-de-Pile où les odeurs que nous avons constaté, en ce printemps 2021, sont épouvantables, non loin des habitations et des prairies où de nombreux animaux broutent aux quatre points cardinaux et ce, alors que la DDT 33 a déjà tapé du poing sur la table, il n'y a pas si longtemps !
En effet, la DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré lors de la visite en date du 10/07/2019, et constaté les faits suivants via l’inspection des installations classées que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;
- L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;
- Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;
- La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;
- L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :
- en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;
En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).
La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….
Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?
Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter :
- sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002 ;
- sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ;
- sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ;
- sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!
Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de future Usine à poubelles parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !
Un pauvre poney accompagné d’un bouc se trouvent non-loin du Chemin des Moines. Des petits agneaux et des chevaux ne savent pas ce que l'avenir de Saint-Denis-de-Pile va leur réserver à l’arrière du « Pôle recyclage » dans cette Europe des ignorants vis-à-vis de la condition animale !
"Je pense que cette "Europe" est un fiasco. Pourquoi vouloir à tout prix imposer à tous ces pays, et à nous même, des mesures dictatoriales qui vont à l'encontre de nos us et coutumes ? Les mégalomanes qui sont à la base de ces ridicules ententes entre pays diamétralement opposés dans leurs traditions n'ont vu que la gloire qu'ils pourraient retirer d'unions aussi incompatibles. Que chacun reste chez lui avec son bétail, ses cultures au sens propre (comme au sens figuré...). Que les paysans continuent de récolter sans être obligés de laisser leurs terres à l'abandon, qu'on arrête de prôner la surconsommation, de jeter le lait dans les égouts et les fruits dans les décharges. Qu'on respecte un peu la vie animale et végétale. Que la nature reprenne ses droits. Qu'on arrête de tout polluer, de tout détruire, au nom des droits de l'Homme. Ah, ils sont jolis, les droits de l'Homme" (Brigitte BARDOT, « Pourquoi ?», Editions du Rocher)
Quels droits pour ces animaux qui doivent obligatoirement respirer ces MES (matières en suspension) ?
En ce qui concerne les rejets dans le milieu naturel, la future Usine à poubelles sera soumise au régime de l'Enregistrement mais elle est situé au sein d'un site soumis à autorisation. L'arrêté préfectoral du 06/06/2018 devrait servir de base pour l'instruction du dossier par l'autorité administrative.
Sur le Pôle Environnement où sera construit cette future Usine à poubelles, l'infiltration des eaux dans le sol est interdite. L'ensemble des rejets devront être gérés de manière séparative parmi 3 effluents distincts : l'eau usée des chiottes, l'eau pluviale de voirie et l'eau pluviale de toiture qui s'effectueront dans le petit ruisseau "Le Vignon (affluent du Palais long de 24,3 km, qui prend sa source en limite des communes de Francs et de Saint-Cibard, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne), classé IB, qui longe le Pôle Environnement actuel le long de la clôture côté nord ! Valeurs touristiques pour celles et ceux qui voudraient effectuer des analyses, dans ce pauvre "Palais" des petits potentats locaux, du système d'épuration de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile : la très belle église de Petit-Palais et le château d'Abzac.
Les élu-es de la SPL TRIGIRONDE savent bien que l'exploitant de la future Usine à poubelles pourrait très bien s'exposer à de potentielles pénalités en cas de difficulté à obtenir des valeurs inférieures aux concentrations de MES (concentration 35 mg/l, méthode de référence NF EN 872), de DCO (concentration 125 mg/l, méthode de référence NFT 90101), de DB05 (concentration 25 mg/l, méthode de référence NFT 90103), d'AZOTE GLOBAL (concentration 25 mg/l, méthode de référence NF EN ISO 25663, NF EN ISO 10304.1 et 10304.2, NF EN ISO 13395 et 26777, FDT 90045), et de PHOSPHORE TOTAL (concentration 7 mg/l, méthode de référence NFT 90023) !
Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.
"Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?" avons-nous demandé à Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE.
Pas de réponse depuis le 16/03/2021.
Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par notre camarade, le conseiller communautaire de la CdC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la SPL TRIGIRONDE à au moins 60 km des communes concernées, et parle de « Flou financier » dans la presse. Source : https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/barsac_33030/gironde-convergence-garonne-michel-garat-deplore-un-gros-flou-financier-autour-du-centre-de-tri_40244424.html
Les populations locales regroupées autour du Collectif SCTL se posent des questions sur la pertinence de cette future Usine à poubelles sur les terrains actuels du SMICVAL à Saint-Denis-de-Pile :
- Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?
- Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter près de nos maisons dans les hameaux de Saint-Denis-de-Pile ?
- Combien de poussières s'échappant des camions revenant des centres de transfert en traversant les nombreux vignobles qui iront à la future Usine à poubelles ?
- Comment vont se croiser les semi-remorques chargés d'ordures ou de refus "fines" en vrac dans les véhicules de transfert (semi-remorques FMA - Fond mouvant alternatif) sur nos petites routes du "contournement" de Saint-Denis-de-Pile, alors que tout croisement actuel parait extrêmement délicat si ce n'est que d'aller au fossé ?
- Combien de tonnes hors "fines" de cette saloperie de CSR (combustible solide de récupération qui n'est que de l'incinération déguisée) vont-elles défiler dans les semi-remorques pleines à craquer et proches de nos habitations tandis que la signalisation actuelle fait cruellement défaut pour accéder à la future Usine à poubelles ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?
- La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?
De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets visera-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?
- Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire.
Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.
Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.
Nous avons posé la question à la SPL TRIGIRONDE : "Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?". Pas de réponse en ce début de mai 2021 !
Les populations réunies autour du Collectif SCTL ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies, au niveau national, ont représenté une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces Usines à poubelles de plus en plus grosses, qui engendrent la peur au quotidien.
A titre d’exemple :
- Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232
Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une aussi bonne performance du recyclage sur le plan économique ?
Ce projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains de Saint-Denis-de-Pile ?
Nous avons vu grand nombre de parcelles de vignobles autour de la future Usine à poubelles. Est-il normal d'observer que des bâtiments, situés à l'arrière du SMICVAL, soient recouverts d'une toiture en tôles ondulées en fibrociment amiante ? Question à l'INAO : quels risques pour les raisins, car, nous connaissons les problèmes liés avec les plaques de toit qui se produisent inéluctablement car elles se détériorent avec l'âge et deviennent fatalement plus fragiles ?
Cela crée donc un plus grand risque d'exposition et de décollement des fibres minérales, ce qui augmente bien évidemment les risques. Le jus de ces plaques en fibrociment amiante s'écoule-t-il sur les parcelles des vignobles situées à proximité de ce bâtiment ? En effet, le risque en résultant est accru en raison des effets dommageables supplémentaires causés par l'érosion et l'altération de ces plaques, et comme elles sont exposés aux éléments, elles risquent de se dégrader à cause du gel, de l'humidité, des rayons UV, des pluies acides, et.... laissant ainsi de grandes surfaces de fibres d'amiante sans aucune protection !
Nous avons demandé au DGS de la SPL TRIGIRONDE, Olivier GUILMOIS, une demande d'entretien approfondi sur ce projet d'Usine à poubelles d'au moins 34 000 T. Nous avons donc RDV prochainement dans les locaux du SMICVAL. Nous aimerions qu'un représentant de l'INAO et de la préfecture de la Gironde nous accompagne afin de dresser l'inventaire sur cette toiture en amiante. Demande en sera faite au secrétaire général de la préfecture 33.
Nous nous posons des questions sur la présence de ces bennes à ordures rouillées et stationnées à l'arrière du SMICVAL, non-loin de la station d'épuration, qui, elle aussi bénéficie d'une passerelle rouillée composée d'une simple tôle frisant l'amateurisme ! Alors que l'eau ne cesse de stagner dans le petit ruisseau qui se dirige vers les vignes du chemin de la Pinière de Saint-Denis-de-Pile !!!
Quels seront les risques pour les animaux et les humains, avec le projet de la future Usine à poubelles de 34 000 T/an, qui seront susceptibles d'aggraver encore un peu plus la pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines comme le stigmatisait, déjà, dans son arrêté en date du 06/11/2019, Mme la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine, et préfète de la Gironde ?
Quel est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques, cartons, papiers, emballages souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?
A quoi bon bassiner, à longueur de journées, de leçons de morale environnementale, les simples particuliers de la Gironde que nous sommes, pour utiliser moins de C0² afin d'éviter les dérèglements climatiques majeurs puisqu'il faudrait que nous limitions ces émissions à raison de 2 T par personne et par an, en mangeant local, en choisissant la bonne voiture, en se méfiant des emballages alors que les élu-es du SEMOCTOM ne montrent pas vraiment l'exemple sur les distances parcourues à propos des entreprises retenues pour la construction du futur quai de transfert de 55 160 m² puisque, la plomberie-protection incendie sera réalisée par l'entreprise AAI qui fera plus de... 430 km pour se rendre de Saint-Nazaire à Saint-Léon dans la Gironde ?
Super ! Merci pour l'empreinte carbone et les économies de CO² !
Les camions poubelles se dirigeant vers le SEMOCTOM, en provenance par exemple, de Cenac ou de Créon vont-ils continuer à rouler débâchés projetant dans l'air leurs particules de poussières, comme nous l'avons constaté ?
En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets" publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».
On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du Bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :
- la multiplication intolérable des centres de tri,
- l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation.
Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).
Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CdC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.
A quoi sert ce grand projet inutile et imposé (GPII) à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne ?
A lire cet article intitulé "La grosse arnaque du recyclage plastique : trier ne servirait à rien. Source : https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/transparence/enquete-grosse-arnaque-recyclage/L'association de consommateurs UFC-Que choisir dénonce une politique du tri des déchets "désastreuse" et a publié une enquête sur la gestion des déchets en France qui dénonce son coût pour le porte-monnaie des Français et sa faible efficacité environnementale. Source : https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/ufc-que-choisir-denonce-une-politique-du-tri-des-dechets-desastreuse_1674294.html
L'UFC-Que Choisir a publié une enquête sur la politique du tri des déchets. Une organisation que l'organisme juge "désastreuse tant sur le plan économique qu'environnemental".
L'association de consommateurs relève que la facture des ménages n'a cessé de croître. De 2008 à 2012, les ménages ont vu leur facture augmenter de 24%. "La facture des ménages est de 6,5 milliards d'euros, 400 euros pour un ménage avec 2 enfants ! On a légitimité à s'interroger sur une politique aussi dispendieuse", a expliqué Alain Bazot, président de l'UFC-Que Choisir, lors d'une conférence de presse. Car le coût du traitement des déchets a augmenté de 68%, passant de 9,3 à 15,6 milliards d'euros par an.
Pourtant, seuls 23% des déchets ménagers sont recyclés (hors compost), selon des chiffres Eurostat de 2012. Loin de l'objectif de 50% fixé par l'UE pour 2020, ajoute l'association dans sa dernière enquête. Parallèlement, la collecte sélective des déchets pré-triés par les usagers a augmenté de 7% seulement entre 2005 et 2011.
Un manque d'information des citoyens
L'UFC dénonce également le manque d'information du citoyen. D'une enquête auprès de 632 personnes sur 64 départements, il ressort que 70% ont reçu une information sur le tri, mais pas assez centrée sur les gestes. "Tout le monde se donne bonne conscience et on renvoie tout vers le consommateur: à lui de choisir ses achats, de recycler, de payer. Certes, il faut responsabiliser le consommateur, mais aujourd'hui les outils sont notoirement insuffisants", soutient Alain Bazot.
Nous appelons massivement les 530 000 habitant-es à nous rejoindre massivement afin de s'opposer à ce projet fantasque et irrationnel d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile ! Les habitants et tous les animaux de Saint-Denis-de-Pile pourront toujours compter sur le SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.
Mobilisons-nous à Saint-Denis-de-Pile CONTRE ce projet d'Usine à poubelles, avant qu’il ne soit trop tard !
Nous, signataires in solidum de cette pétition, nous exigeons une ample concertation dans le territoire de la SPL TRIGIRONDE sur les risques inhérents à la santé des animaux et des humains en ces mauvais temps de pandémie liés au Covid-19 qui ne doit pas servir d'alibi pour ne pas informer correctement les populations locales !"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous étions des graines", Proverbe mexicain.
© Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/- Porte-parole du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL)
- Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 000 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ -
STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP odeurs poneys, chevaux, agneaux Usine à poubelles #Libourne :
Le Collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
soutenu par AURA Environnement
déclenche l'opération Bagration contre le
projet de centre de tri de poubelles de Saint-Denis-de-Pile !
Le 16/03/2021, AURA Environnement qui apporte son soutien aux populations locales du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL), écrivait à Jérôme GUILLEM, maire de Langon et président de la SPL TRIGIRONDE sise 8, Route de la Pinière dont le siège est dans les locaux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE qui ne se trouve qu'à 10 km de Libourne en Gironde et à vol d'oiseau des vignobles de l'AOC Lalande de Pomerol, une appellation proche de celle de Pomerol du vignoble du Libournais, une des subdivisions du vignoble de Bordeaux.
Le Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL) soutenu par AURA Environnement agit ainsi, conformément aux articles L 300-1 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration relatifs à la liberté d’accès aux documents administratifs et sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration. Il convient également de souligner que certaines de ces informations entrent dans la catégorie d’informations relatives à l’environnement au titre de l’article L. 124-1 et suivants du Code de l’environnement parce que la CADA a indiqué qu’une fois signés, les marchés publics et les documents qui s’y rapportent sont considérés comme des documents administratifs soumis au droit d’accès institué par la loi du 17/07/1978. Les notes, classements et éventuelles appréciations de l’entreprise lauréate du marché sont donc librement communicables, tout comme l’offre de prix détaillée de l’entreprise retenue ainsi que l’offre de prix globale des entreprises non-retenues. (Source : Avis de Mme le Rapporteur général-adjoint, Conseillère de tribunal administratif à la Cada).
Cela faisait donc suite à notre appel téléphonique de bonne foi, à Olivier GUILMOIS, le DGS de la SPL TRIGIRONDE depuis Saint-Denis-de-Pile.
Depuis, silence dans les rangs ! Que ce soit du côté du collectif SCTL ou de notre avocat Me François RUFFIE de Libourne qui a eu, lui, le toupet de demander fin mars 2021 des infos sur ce projet de méga Usine à poubelles.
Question d'un militant smicard du parti communiste stalinien du collectif SCTL : quel intérêt pour le SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE d'avoir passé une offre d'emploi publique pour le recrutement de son directeur(trice) général(e), le 27/05/2019 ? Type de contrat : contractuel ; catégorie : A ; Lieu de travail : Saint-Denis-de-Pile ; Salaire : de 40 000 € à 55 000 €/an ; Responsabilité spécifique : le DG en tant que mandataire social est responsable de l'ensemble des actions, de la gestion et du développement stratégique de la SPL TRIGIRONDE ; Missions : le DG met en oeuvre la stratégie du conseil d'administration en définissant les objectifs et les moyens à sa bonne exécution. Il collabore avec le comité de direction, qu'il animera, puisque les missions principales sont d'assurer la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri de la SPL TRIGIRONDE, à savoir :
- Pilotage de la phase de conception et de travaux pour la construction du futur centre de tri ;
- Rédaction en partenariat avec l'AMO (Assistant à maîtrise d'ouvrage) du marché pour la conception, réalisation et exploitation du centre de tri ;
- Suivi de la bonne exécution des clauses du marché :
- Rédaction et suivi du marché pour la mutualisation du transport à l'échelle des 6 territoires ;
- Coordination de la gestion des centres de transfert.
L'annonce précisait que la SPL, nommée TRIGIRONDE, "doit porter le projet de réalisation d'un centre de tri à l'horizon 2022 représentant une population d'environ 530 000 habitants (DGF) et un gisement d'environ 33 000 T/an de collectes sélectives de papiers et d'emballages recyclables et des papiers".
Le recrutement de ce DG de la SPL TRIGIRONDE n'a pas été difficile, car il n'y avait certainement personne en France et en Navarre pour faire ce boulot puisque c'est le ........ responsable du bureau d'Etudes du SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE (de 2014 à décembre 2019), GUILMOIS Olivier, qui a été recruté étant donné qu'il était en charge de la programmation technique et financière, de la conception, de la planification et du suivi des travaux des équipements et des bâtiments du SMICVAL, du pilotage du bureau d'études, de l'animation de l'équipe, chef de projet et responsable du centre de tri actuel que la DDT 33 n'a pas hésité à matraquer (Source : https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0052.01163#/) !!!!
L'employeur, le SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, passe une offre d'emploi publique pour faire nommer par la SPL TRIGIRONDE, le 02/12/2019 (suite au conseil d'administration du 02/12/2019), le futur DG-S de la SPL TRIGIRONDE qui est composée, notamment, de l'établissement public.... le SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE !!!
Ne rions pas, nous ne sommes pas chez nos camarades de la Corée du Nord. Lol ! Comme on pourrait le murmurer très doucement à Lannion Trégor Communauté ou ailleurs en Bretagne : Je te prends. Je te donne. Nous allons nous donner les moyens de recycler notre personnel.
Les bons comptes font les bons amis, comme pourraient si bien le dire nos camarades "bohémiens" ou "saltimbanques" de Saint-Denis-de-Pile qui sont des hommes d'honneur ! Ce n'est pas parce qu'ils ont un mode de vie différent du nôtre près de l'actuel centre de tri du SMICVAL qu'ils doivent vivre dans l'ignorance des enjeux futurs !
Les populations locales ont des droits dont celui de ne pas respirer de l'air aussi impropre que les émanations des eaux usées issues de l'actuel centre de tri du SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE qui bouillonne et tourbillonne en rond ....
.... autour de ces lentilles pas aussi vertes que celles de l'AOC de notre Puy-en-Velay si cher à Laurent WAUQUIEZ qui s'est laissé poussé la barbe, les poils de la droite auvergnate ne finiront pas dans les poubelles de l'histoire de la SPL TRIGIRONDE.
Diantre ! Cachez ce chemin parcouru d'embûches jusqu'à non pas Saint-Jacques de Compostelle mais de Saint-Denis-de-Pile, car "la misère est si répandue qu'elle est une d'ennuyeuse banalité" (Hervé KEMPF - Comment les riches détruisent la planète, Seuil, 2007) !
Qu'elle misère environnementale à Saint-Denis-de-Pile où l'eau stagne le long des fossés proches....
..... de l'actuel centre de tri, en refusant de s'écouler convenablement puisqu'il n'y a pas de pente ....
.....et même sur les plats terrains agricoles...
....aux abords du « Pôle recyclage » du SMICVAL, route de la Pinière.
Quels risques pour l’avenir des populations locales et les animaux que nous aimons plus que tout, en cas de potentielle catastrophe naturelle à Saint-Denis-de-Pile ? En effet, le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues.
Dans l’annexe 1 (communes reconnues en état de catastrophe naturelle), dans le département de la Gironde, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile.
34 000 T d'ordures, ce n'est pas rien, hein dans une commune classée en état pratiquement permanent de catastrophe naturelle ? Il n'y a qu'à voir comment ça se passe dans les autres méga centres de tri en France !
Partout, c'est la déconvenue parce que le tri sélectif à la base n'est pas du tout respecté et que ce sont nos camarades du Peuple de base qui paient les "pots cassés" sur place, que ce soit lors de la réception des ordures avec des risques de collisions entre engins de manutention, véhicules et piétons dont nos camarades chauffeurs, équipiers de collecte et opérateurs de site ; risques de chutes de nos camarades conducteurs ; risques de heurts et d'écrasement entre opérateurs et engins de manutention ; risques de chutes de hauteur dans le cas de présence de fosses ou de quais ; risques incendie notamment par auto-combustion ; risques liés aux inhalations de gaz d'échappement des engins de manutention et des camions ; risques liés aux poussières ; risques d'écrasement lié à la coactivité ; risques mécaniques et de chute de hauteur lors d'interventions sur l'ouvreur de sacs (bourrages, nettoyage, maintenance) ; risques de chutes d'objets sur nos camarades-prolétaires dus ou non aux vents dominants ; risques liés à l'augmentation de l'activité physique des opérateurs dans les cabines de tri pour une activité physique contraignante avec positions et mouvements de grande amplitude ; risques liés à l'entrave à l'évacuation en cas d'incendie ; risques dûs aux gestes répétitifs, aux mouvements lancés et rapides, aux positions articulaires contraignantes, à la charge mentale conduisant à terme à renforcer la survenue de TMS (troubles musculosquelettiques comme les affections des muscles, tendons, ligaments, nerfs, cartilages, etc...) ; risques de tensions pour les épaules et le haut du dos ; risques de chutes de nos camarades dans la goulotte et dans les alvéoles situées en-dessous ; risques d'atteintes auditives ; risques liés aux ambiances de travail insupportables ; risques liés au froid qui ne favorise pas la liberté gestuelle et à la chaleur qui peut générer des troubles vagaux ; risques d'incendie et de fortes explosions ; risques de projections de liquides résiduels ; risques de chutes de plain-pied du fait de souillures ou d'humidité ; risques de heurts ou d'écrasements par un basculement brutal des balles ; risques de coupures malfaisantes ; risques de piqures et d'infections diverses et avariées, notamment au virus des hépatites B, C... ; risques liés à la brumatisation ; risques aux contaminations biologiques ; risques liés aux lieux fermés et transmissibles du funeste Covid-19, etc...
C’est donc dans ce contexte défavorable que les élu-es de la SPL TRIGIRONDE envisagent de créer un centre de tri d'au moins 34 000 T/an d'ordures souillées et présentant un taux d'humidité affligeant, et ce, sans que les populations locales en aient été informées au préalable ?
Quelles incidences en cas de sévères inondations comme cela s'est passé dernièrement dans la commune voisine de Sablons en décembre 2020 ?
Puisque les populations locales ne savent pratiquement rien à Saint-Denis-de-Pile, à poil les ratapoil et ne nous restant plus que notre Charivari basé sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration, notre camarade François RUFFIE (avocat de la cause des poneys, des chevaux, des moutons et de tous les animaux dont les nounours) ainsi que de la SEPANSO (Fédération des sociétés pour l'étude, la protection et l'aménagement de la nature dans le Sud-Ouest) ne demandait à la SPL Trigironde qu'une simple copie des dossiers d'appels d'offres relatifs au projet de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile constituée des territoires du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE, un "modeste" projet pour plus de 530 000 habitant-es qui ne sont au courant de rien de ce qui se prépare pour l'avenir de leurs enfants.
Il n'y a qu'à regarder, avec effroi, comment la nature est massacrée à Saint-Denis-de-Pile, comme ici, à l'arrière de l'actuel centre de tri !!!
Des plaques d'amiante et encore des plaques d'amiante jonchent les sols non-loin des animaux et des vignobles ! C'est un scandale cette négligence des élu-es du SMICVAL et de Saint-Denis-de-Pile !
Quel impact sur la santé des petits agneaux proches de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
Ainsi, nous aimerions avoir l'avis du nouveau conseil d'administration de cette SPL TRIGIRONDE, (composée de 6 établissements publics de Gironde), élu le 03/11/202020 sur ces pollutions existantes visuelles et environnementales inadmissibles :
- Les 5 administrateurs du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE représenté par Fabienne FONTENEAU, Chantal GANTCH, Jean-Philippe LE GAL, Christian ROBIN et Sylvain GUINAUDIE
- Les 3 administrateurs du SEMOCTOM représenté par Jean-François AUBY, Jean-Luc LAMAISON et Jean-François BROUSTAUT
- Les 2 administrateurs du SMICOTOM représenté par Dominique FEVRIER et Bernard ESCHENBRENNER
- Les 2 administrateurs du SICTOM SUD GIRONDE représenté par Christophe DORAY et Jérôme GUILLEM
- L'administrateur de la CC MEDOC ESTUAIRE représentée par Matthieu FONMARTY
- L'administrateur de la CC MEDULLIENNE représentée par Eric ARRIGONI.
Nous avons observé que de nombreux dépôts sauvages polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais. Certains espaces verts ont d’ailleurs été nettoyés par des bénévoles du Forum citoyen en direction du chemin des Lorettes, mais cela remonte à combien de lustres ?
Qu’en est-il de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?
Comment, dans ces conditions, TRIGIRONDE veut « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ? Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?
Qui sont les contrevenants et combien sont-ils à avoir été pris "la main dans le sac" des emmerdements causés à l'environnement, aux humains et aux animaux de Saint-Denis-de-Pile en s'exposant à des amendes relevant des contraventions de 3° classe, d'un montant de 450 € ?
L'arrêté municipal du 05/12/2018 sur l'abandon de déchets de toute nature sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et qui abrogeait celui du 16/04/2015 n'est même pas respecté .....
.....alors qu'il appartient pourtant à la mairesse en exercice en 2021 de garantir, dans le cadre de ses pouvoirs de police, la sécurité, la tranquillité et la salubrité publiques sur le territoire communal...
où les sacs poubelles noirs côtoient .....
.... des matelas qui sont culbutés en pleine nature au nez et à la barbe des élu-es qui s'en fichent bien que la nature soit polluée à l'oeil .....
....... tandis que les dépôts sauvages d'amiante pullulent encore et encore dans les bois de Saint-Denis-de-Pile.
Et qu'en disent les chasseurs ?
.... en ne cessant de distiller leurs jus immondes dans l'environnement des animaux et des humains !!!
Etonnant d'ailleurs que le sous-préfet de l'arrondissement de Libourne, Hamel--Francis MEKACHERA, nommé par décret du président de la République en date du 02/08/2016 n'aille rendre une visite amicale auprès de la faune et de la flore de Saint-Denis-de-Pile où, sous ses propres yeux, la nature déguste au quotidien !
La commune de Saint-Denis-de-Pile
va-t-elle devenir l'immense poubelle de la Gironde ?
Que les élu-es de Saint-Denis-de-Pile, ceux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE fassent donc le ménage en faveur de l'environnement dans leur propre territoire au lieu de vouloir investir dans un projet de centre de tri complètement fantasque qui se fixe un objectif ahurissant de 34 000 T/an de poubelles !
C'est à celui ou à celle qui ira laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires comme celui de Saint-Denis-de-Pile qui risque bien de devenir l'immense Poubelle illimitée de la Gironde, alors que dans sa malpropre communauté d'agglomération les nuisances des centres de tri se multiplient en terme de situations à risques et sont reconnues par des organismes officiels comme la FEDEREC ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Et qui donc, sur ce territoire de la petite commune de Saint-Denis-de-Pile, intégrée au SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, aurait envie d'avoir une méga Usine à poubelles - un immense centre de tri - à côté de chez soi lorsque l'on mange en terrasse, à l'heure de l'apéro, des merguez végétales faites maison ?
Pourquoi ne pas construire ce méga Centre de tri dans la commune de Langon, chez notre camarade Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE ou sur le territoire de la Communauté de communes du Sud Gironde à Hostens, à Cazalis ou à Louchats, il n'y a pas que nos pauvres minous tapis dans l'ombre qui sont noirs de colère parce qu'ils ne veulent pas observer à Saint-Denis-de-Pile les potentiels risques biologiques liés aux poussières, à la prolifération microbienne et aux risques de leptospirose ou aux entraves liées à l'évacuation en cas d'incendie !
Parce que les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile doivent savoir que ce projet de futur méga Centre de tri de la SPL TRIGIRONDE, sera une ICPE soumise à arrêté préfectoral, comme c'est le cas actuellement, et, il est fortement probable que la DREAL 33 imposera à cette nouvelle construction les mêmes exigences que celles inscrites dans l'arrêté notamment en matière de rejets des eaux usées, pluviales et de voiries.... dans le milieu naturel alors que la commune est reconnue, pour 2021, comme en état de catastophe naturelle ! Cherchons l'erreur dans l'herbe bleue qui sera parfumée d'odeurs malodorantes ?
Nul besoin de se voiler la face ! Nous irons à la contestation de ce projet inutile, de version immonde de ce modèle capitaliste qui ne marche pas au niveau national depuis l'apparition du Covid-19, car nous sommes soutenu-es par de nombreux élu-es et de simples citoyens du cru de la région de Libourne qui n'en veulent pas à Saint-Denis-de-Pile.
Nous veillerons au grain, notamment, sur l'emprise foncière des 20 000 m² initialement prévus. Nous verrons bien si l'Etat va tolérer quer l'on puisse y déroger ou non ! Nous sommes l'ETAT et nous défendons les intérêts de NOTRE ETAT comme nous avons pu le constater chez nos camarades de Guillos !
AURA Environnement a toujours pris la défense de l'Etat révolutionnaire, issu de la Révolution de 1789, car, Camarade, l'Etat, c'est toi. L'Etat, c'est nous tous les défenseurs des idéaux de la République une et indivisible, les défenseurs de la nature et des animaux, des populations locales qui n'en peuvent plus que l'argent public soit dilapidé dans de grands projets inutiles et imposé (GPII) !
Autre sujet particulièrement "électrique" : la SPL TRIGIRONDE va-t-elle utiliser le transfo du SMICVAL ? Qu'en pense ENEDIS ?
Les engins de manutention seront-ils neufs ou d'occasion achetés ou non sur le Bon Coincoin et les Z-Inhumains, et/ou désinfectés au gel hydroalcoolique en ces mauvais temps de pandémie avant et après chaque usage par nos camarades du "petit personnel " ivres de salubrité publique ?
D'ailleurs quels seront donc les liens entretenus entre le SMICVAL et la SPL TRIGIRONDE ? N'aurait-il pas été plus judicieux de loucher vers un terrain neutre pour ce projet de méga Centre de tri comme sur la charmante commune de Louchats ?
Le stockage dit "tampon" et le conditionnement en balles de toutes ces saloperies devrait se faire en 10 flux à Saint-Denis-de-Pile (Les papiers aux encres chimiques infernales ; les papiers-cartons non-complexés contenant des moisissures - comment vérifier qu'ils aient le taux de 12 % d'humidité acceptable comme les boîtes pizza, à oeufs pourris ou non, boites de médicaments touchées par des mains sales, étuis divers et avariés, les sacs papier susceptibles de contenir des couches culotte aux odeurs malodorantes, les rouleaux de PQ, etc.... qui auront bien fermenté en plein cagnard ? - ; les papiers-cartons complexés ; les papiers-cartons mêlés ; les films plastiques en PE - polyéthylènes - souillés des pépiniéres ou des serres qui recueillent nombre de pesticides, insecticides, fongicides, herbicides ou autres parasiticides conçus pour avoir une action biocide ; les bouteilles PET clair ; les emballages en plastiques rigides PEHD/PP ; les flux développement ; les emballages en aluminium standard" ; les petits emballages en aluminium souples !
Et ne parlons SURTOUT pas de la pollution de l'environnement vers Guillos (Communauté de de communes Convergence Garonne) avec tous ces lots immondes de décharges sauvages....
.... où, animaux et populations locales ne sont AUCUNEMENT respecté-es parce qu'ils doivent subir, par exemple, les dépôts sauvages de plaques d'amiante ou de plastiques mélangés....
..... à la douce terre alluvionnaire de cette Gironde où la terre n'est pas aussi ronde, semble-t-ll, pour tout le monde !
On ne peut pas dire que nous avons été les bienvenus lors de notre visite à la mairie de Guillos, en ce début de l'après midi de l'an de grâce du 25/03/2021, après avoir informé la charmante secrétaire de tous ces écocides intolérables et visibles sur sa commune, où nous allons engager de potentielles poursuites judiciaires.
La cause animale a une portée considérable à nos yeux. La faune et la flore ne sont pas du tout respectées dans la région et nous avons une foule de preuves..
Nous avons essayé de joindre, vainement, la mairesse de Guillos Mylène DOREAU qui rentrait en réunion, à la mairie. Mais que nenni ! Nous n'avons juste reçu qu'une fin de non-recevoir. Et nous attendons toujours le RDV sollicité en ce début de mai, mais, en mairie de Guillos, fait ce qu'il ne déplait pas, surtout aux adminstrateurs de TRIGIRONDE !
C'est un écocide lamentable vers Guillos, manifeste et non négligeable des limites planétaires et nous espérons que nos camarades de la Dreal 33 ou de la DDT 33 sauront y remédier, alors que les élu-es de cette SPL TRIGIRONDE s'apprêtent à jeter par la fenêtre plusieurs millions d'euros dans un projet d'une gigantesque Usine à poubelles qui se donne l'ambition de trier plus blanc que blanc dans un territoire de plus de 530 000 habitant-es de plus en plus habité-es par le doute suite à l'appel de détresse lancé par le Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL).Nous n'avons pas été, également, les bienvenus à la CC Convergence Garonne, où notre courrier à la SPL TRIGIRONDE que nous avons distribué à "la ronde", n'a pas été du gôut de la DGS de cette communauté de communes.
C'est complètement ahurissant de tolérer que la nature soit massacrée dans sa propre communauté de communes et de vouloir, ENSUITE, mettre en place une Usine à poubelles très coûteuse sur le site du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE dans la future commune martyr de Saint-Denis-de-Pile où les odeurs que nous avons constaté, en ce printemps 2021, sont épouvantables, non loin des habitations et des prairies où de nombreux animaux broutent aux quatre points cardinaux et ce, alors que la DDT 33 a déjà tapé du poing sur la table, il n'y a pas si longtemps !
En effet, la DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré que lors de la visite en date du 10/07/2019, l’inspection des installations classées a constaté les faits suivants, et que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;
- articles 1.1 et 2.1 :
- L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;
- articles 5.2 de l’annexe :
- Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;
- articles 5.3 de l’annexe :
- La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;
- article 7.2 de l’annexe :
- L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :
- en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;
En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).
La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….
Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?
Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter :
- sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002 ;
- sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ;
- sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ;
- sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!
Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de futur centre de tri parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !
Un pauvre poney accompagné d’un bouc se trouvent non-loin du Chemin des Moines. Des petits agneaux ne savent pas ce que l'avenir de Saint-Denis-de-Pile va leur réserver à l’arrière du « Pôle recyclage » actuel....
.... tandis que des chevaux paissent également dans le quartier en toute ignorance dans cette Europe des ignorants et des lâches vis-à-vis de la condition animale !
"Je pense que cette "Europe" est un fiasco. Pourquoi vouloir à tout prix imposer à tous ces pays, et à nous même, des mesures dictatoriales qui vont à l'encontre de nos us et coutumes ? Les mégalomanes qui sont à la base de ces ridicules ententes entre pays diamétralement opposés dans leurs traditions n'ont vu que la gloire qu'ils pourraient retirer d'unions aussi incompatibles. Que chacun reste chez lui avec son bétail, ses cultures au sens propre (comme au sens figuré...). Que les paysans continuent de récolter sans être obligés de laisser leurs terres à l'abandon, qu'on arrête de prôner la surconsommation, de jeter le lait dans les égouts et les fruits dans les décharges. Qu'on respecte un peu la vie animale et végétale. Que la nature reprenne ses droits. Qu'on arrête de tout polluer, de tout détruire, au nom des droits de l'Homme. Ah, ils sont jolis, les droits de l'Homme" (Brigitte BARDOT, « Pourquoi ?», Editions du Rocher)
Quels droits pour les animaux qui doivent obligatoirement respirer ces MES (matières en suspension), alors que la DCO (Demande Chimique en Oxygène) ne cesse d'exploser sous les le nez des habitants et des animaux qui ne pouvant exprimer leurs doléances, sont obligés de vivre dans un tel environnement dégueulasse ?
Nous avons demandé à la SPL TRIGIRONDE si elle avait pris en considération le CAUSE animale étant donné que le site retenu pour y construire ce projet de méga centre de tri d'au moins 34 000 T/an, puisque depuis 2016, sur l'actuel site du SMICVAL, les analyses en Phosphore total, en Azote global, en MES, DB05 et DCO ne cessent d'être au coeur du sujet avec la DDT 33 ?
En ce qui concerne les rejets dans le milieu naturel, la future Usine à poubelles est soumise au régime de l'Enregistrement mais elle est situé au sein d'un site soumis à autorisation. L'arrêté préfectoral du 06/06/2018 devrait servir de base pour l'instruction du dossier par l'autorité administrative.
Sur le Pôle Environnement où sera construit cette future Usine à poubelles, l'infiltration des eaux dans le sol est interdite.
Cependant, l'ensemble des rejets devront être gérés de manière séparative parmi 3 effluents distincts : l'eau usée des chiottes, l'eau pluviale de voirie et l'eau pluviale de toiture qui s'effectueront dans le petit ruisseau "Le Vignon (affluent du Palais long de 24,3 km, qui prend sa source en limite des communes de Francs et de Saint-Cibard, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne), classé IB, qui longe le Pôle Environnement actuel le long de la clôture côté nord !
Valeurs touristiques pour celles et ceux qui voudraient effectuer des analyses, dans ce pauvre "Palais" des petits potentats locaux, du système d'épuration de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile : la très belle église de Petit-Palais et le château d'Abzac.
Les petits curieux du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL), soutenu par les écolos-marxistes de l'ultra gauche d'AURA Environnement, sont retournés sur les bancs de la Fac de Toulouse 3 Paul SABATIER (UT3 Paul SABATIER) en potassant les 284 pages de la superbe thèse présentée et soutenue par Eve MONOURY, le 15/11/2013, et intitulée "Fonctionnnement écologique des zones de dépôt dans les ruisseaux : contribution des invertérés benthiques aux processus de décomposition des litières et de bioturbation".
Intéressant. MIAM ! MIAM !
Les élu-es de la SPL TRIGIRONDE savent pertinnement que l'exploitant de la future Usine à poubelles pourrait très bien s'exposer à de potentielles pénalités en cas de difficulté à obtenir des valeurs inférieures aux concentrations de MES (concentration 35 mg/l, méthode de référence NF EN 872), de DCO (concentration 125 mg/l, méthode de référence NFT 90101), de DB05 (concentration 25 mg/l, méthode de référence NFT 90103), d'AZOTE GLOBAL (concentration 25 mg/l, méthode de référence NF EN ISO 25663, NF EN ISO 10304.1 et 10304.2, NF EN ISO 13395 et 26777, FDT 90045), et de PHOSPHORE TOTAL (concentration 7 mg/l, méthode de référence NFT 90023) !
Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.
"Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?" avons-nous demandé à Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE.
Pas de réponse depuis le 16/03/2021. Les Montagnards de l'Auvergne vont-ils devoir saisir la CADA parce que la Gironde s'oppose à leur communiquer des infos non-confidentielles que le Peuple de base du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL) soutenu par AURA Environnement aimerait connaître ?
Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par notre camarade, le conseiller communautaire de la CC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. (Source : Le Républicain Sud-Gironde du 11/03/2021).
En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la SPL TRIGIRONDE, prochainement située à Saint-Denis-de-Pile, à au moins 60 km des communes concernées.
Nous avons donc pris en considération les itinéraires parcourus les plus courts (par des voitures citadines) et le temps consacré (toujours par des voitures citadines), Source (ViaMichelin), de ces communes de la CdC Convergence Garonne en direction de Saint-Denis-de-Pile :
- Podensac (siège de la CC Convergence Garonne) : 52 km – 1 h de trajet en voiture, - Arbanats : 49 km – 00h53 de trajet en voiture, - Barsac : 54 km – 1h03 de trajet en voiture, - Béguey : 52 km – 00h53 de trajet en voiture, - Budos : 68 km – 1h18 de trajet en voiture, - Cadillac : 51 km – 00h57 de trajet en voiture, - Cardan : 45 km – 00h50 de trajet en voiture, - Cérons : 52 km – 1h de trajet en voiture, - Donzac : 46 km – 00h51 de trajet en voiture, - Escoussans : 43 km – 00h47 de trajet en voiture, - Gabarnac : 52 km – 00h57 de trajet en voiture, - Guillos : 66 km – 1h12 de trajet en voiture, - Illats : 58 km – 1h05 de trajet en voiture, - Landiras : 65 km – 1h10 de trajet en voiture, - Laroque : 48 km – 00h53 de trajet en voiture, - Lestiac-sur-Garonne : 48 km – 00h53 de trajet en voiture, - Loupiac : 52 km – 00h58 de trajet en voiture, - Monprimblanc : 49 km – 00h54 de trajet en voiture, - Omet : 47 km – 00h53 de trajet en voiture, - Paillet : 47 km – 00h49 de trajet en voiture, - Portets : 47 km – 00h50 de trajet en voiture, - Preignac : 58 km – 1h06 de trajet en voiture, - Pujols-sur-Ciron : 62 km – 1h11 de trajet en voiture, - Rions : 49 km – 00h54 de trajet en voiture, - Saint-Michel-de-Rieufret : 56 km – 1h de trajet en voiture, - Sainte-Croix-du-Mont : 53 km – 1h de trajet en voiture, - Virelade : 50 km – 00h56 de trajet en voiture !!!
Le constat est en effet éloquent !
Les habitant-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) se posent des questions sur la pertinence de cette Usine à poubelles géante :
- Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?
- Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter près de nos maisons dans nos hameaux de Saint-Denis-de-Pile ?
.... Combien de poussières s'échappant des camions revenant des centres de transfert en traversant les nombreux vignobles qui iront à la future Usine à poubelles ?
..... Comment vont se croiser les semi-remorques chargés d'ordures ou de refus "fines" en vrac dans les véhicules de transfert (semi-remorques FMA - Fond mouvant alternatif) sur nos petites routes du "contournement" de Saint-Denis-de-Pile, alors que tout croisement actuel parait extrêmement délicat si ce n'est que d'aller au fossé ?
Combien de tonnes hors "fines" de cette saloperie de CSR (combustible solide de récupération qui n'est que de l'incinération déguisée) vont-elles défiler dans les semi-remorques pleines à craquer et proches de nos habitations ?
..... Tandis que la signalisation actuelle fait cruellement défaut pour accèder à la future Usine à poubelles ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?
- La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?
- De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets visera-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?
- Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire.
Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.
Des études sont en cours, le nouveau centre de tri de TRIGIRONDE devrait ouvrir ses portes fin 2022. (Source : SMICVAL, Renforcer la prévention et le recyclage, dans le respect de la réglementation).
Comment dans ces conditions la SPL TRIGIRONDE envisage-t-elle l’avenir de ce futur centre de tri alors qu’au niveau de la Covid-19, la France ne s’en sort pas, un an après le premier confinement (Source : franceinfo du 16/03/2021) ? A titre d’exemple, dans la semaine du 06/03 au 12/03/2021, à Saint-Denis-de-Pile, il a été constaté entre 3 et 9 nouveaux cas de Covid-19, 144 tests de dépistage ont été réalisés. (Source : d’après les chiffres de Santé Publique France, estimations Linternaute.com).
- Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.
Nous avons posé la question à la SPL TRIGIRONDE : "Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?".
Pas de réponse en ce début de mai 2021 !
Les populations réunies autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies ont représentés une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces centres de tri de plus en plus gros, qui engendrent la peur au quotidien.
A titre d’exemple :
- Le 28/05/2020, alors que les employés s’apprêtaient à quitter le centre de tri de déchets de Bénesse-Maremne (Landes), un incendie s’est déclaré au Sitcom Côte sud des Landes. Le départ de feu, dans les déchets de type « encombrants » stockés sur un espace extérieur, a rapidement gagné en puissance, et les pompiers ont été appelés sur site. Le feu, « couvant », a été éteint à 1 h 10 du matin. 1 500 tonnes de détritus ont été touchées, ce qui a sollicité 30 pompiers de Capbreton, Tosse, Magescq, Saint-Martin-de-Seignanx et Dax (Source : Sud-Ouest https://www.sudouest.fr/2020/05/28/benesse-maremne-40-incendie-au-centre-de-tri-de-dechets-7520962-3301.php ).
- Le 04/07/2020, une partie du hangar de 20 000 m² du centre de tri a brûlé à Istres provoquant une épaisse fumée. Le tweet des pompiers13 en dit long : « 80 #Pompiers13 et une trentaine d'engins sont engagés sur un violent feu d'entrepôt, quartier Prignan à #Istres, provoquant d'importantes fumées. 2000 m2 ont brûlé. Les pompiers mettent tout en œuvre pour éviter la propagation de l'incendie. Evitez le secteur ! ».
Incendie au Centre de tri Valorpôle au Mans le 24/07/2020 - Photo : Yvon LOUE - Ouest France
- Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232 ).
Cinq lances ont été nécessaires pour circonscrire et maîtriser l'incendie à Valor Pôle
le vendredi 24 juillet 2020. © Radio France - Clémentine Sabrié
- Le 14/08/2020, un violent incendie s’est déclaré dans la zone industrielle de Milhaud (Gard). A leur arrivée à minuit, 45 sapeurs-pompiers et 23 véhicules, dont un poste de commandement, ont été confrontés au feu de d’environ 20 000 m3 de déchets de démolition : bois, plastiques, papiers, etc…. Des engins de chantier ont été utilisés pour déplacer les déchets afin de faciliter leur extinction et une équipe spécialisée en risques chimiques s’est même rendue sur place pour vérifier l’absence de pollution dans le Vistre situé à proximité. Le Vistre est un fleuve côtier français qui traverse la Vistrenque, région naturelle et agricole du département du Gard, en région Occitanie. Son cours a été aménagé pour déboucher aujourd'hui dans le Canal du Rhône à Sète. (Source France Bleu Gard Lozère https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/violent-incendie-en-cours-dans-la-zone-industrielle-de-milhaud-1597385279 ).
- Le 21/09/2020, un spectaculaire incendie a ravagé un bâtiment d’une entreprise spécialisée dans le recyclage et la valorisation des déchets industriels où étaient stockés des matériaux composés de papier, de plastique, de bois. Un important dégagement de fumée était visible à des kilomètres. Les équipes du SDIS 68 avaient rapidement établi un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du site. La préfecture a activé le centre opérationnel départemental et demande d'éviter le secteur. Le barriérage mis en place dans le quartier aux abords de l'entreprise en question a été progressivement levé par les services de police. Les élèves et le personnel du collège Hector Berlioz ont quitté l'établissement et sont rentrés chez eux. Une information a été transmise par le collège à l'ensemble des familles, a précisé la préfecture. (Source : France 3 Grand Est https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/colmar/colmar-spectaculaire-incendie-ravage-batiment-entreprise-schroll-1876078.html ).
- Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une aussi bonne performance du recyclage sur le plan économique ?
- Ce projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains de Saint-Denis-de-Pile ?
- La SPL TRIGIRONDE a augmenté de façon vertigineuse son capital social …. Avec l’argent public. Les 530 000 contribuables composant la SPL TRIGIRONDE (SMICVAL, SEMOCTOM, SMICOTOM, SICTOM SUD-GARONNE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULLIENNE) sont-ils informé-es des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE ? En effet, l’AG extraordinaire des actionnaires réunie le 16/06/2020 a décidé d’augmenter le capital social de TRIGIRONDE de 1 025 000 euros pour le porter de 225 000 € à 1 250 000 € par la création de 1 025 000 actions nouvelles de 1 euro nominal chacune émises au pair, à libérer lors de la souscription d’une somme de 560 000 euros représentant 54,63 % du nominal, etc…
- Pourquoi ne pas informer les 530 000 contribuables des 361 communes que le SMICVAL est titulaire d’une créance sur la Société de 221 603 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULIENNE est titulaire d’une créance sur la Société de 22 283 euros ; que le SEMOCTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 134 828 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE est titulaire d’une créance sur la Société de 29 055 euros ; que le SMICOTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 82 63 euros ; que le SICTOM SUD GIRONDE est titulaire d’une créance sur la Société de 69 840 euros ?
- Les 530 000 contribuables de toutes ces communautés de communes sont-ils correctement informés via un site internet entièrement dédié à la SPL TRIGIRONDE alors que cette société ne dispose pas de locaux et que c’est le SMICVAL qui lui met à disposition des espaces de travail ? Est-il possible d’avoir une copie de cette convention temporaire de mise à disposition d’espaces de travail appartenant au SMICVAL ?
Le Département de la Gironde n’a-t-il pas suffisamment de locaux disponibles dans son parc immobilier afin de mettre à la disposition de la SPL TRIGIRONDE d’espaces de travail suffisants pour faire respecter la lutte contre la Covid-19 ?
- Quel est l’urgence d’espaces de travail mis à disposition par le SMICVAL alors que le conseil d’administration de TRIGIRONDE s’est réuni en date du 03/11/2020…. par visio-conférence ?
- Pourquoi n’est-il pas mentionné dans la 9° résolution du PV des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE, en date du 03/11/2020, les mesures de précautions à prendre, plus particulièrement dans le respect du Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19 ?
L’employeur doit ainsi, notamment, évaluer les risques et mettre à jour le document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’entreprise en y intégrant les mesures nécessaires pour éviter au maximum le risque de contamination : information et sensibilisation, organisation du télétravail, réorganisation du travail et des flux pour respecter les règles de la distanciation, gestion et suivi des installations d’aération/ventilation, moyens de protection (masques, écrans de séparation des postes de travail…), nettoyage et désinfection des locaux…).
Les missions de l’employé de TRIGIRONDE, en l’occurrence le DG, cadre développeur habitué aux montages complexes (SEM, SPL, PPP, MPGD) avec une agilité à assurer un développement maîtrisé, sont multiples. Il doit être suffisamment protégé par des résolutions en ce sens puisqu’il doit mettre en œuvre la stratégie du conseil d’administration en définissant les objectifs et les moyens nécessaires à sa bonne exécution. Ses missions principales étant d’assurer, tout de même, la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri, de participer à la définition de la stratégie d’entreprise de TRIGIRONDE.
Comment se fait-il que ce soit le SMICVAL qui ait été chargé de son recrutement comme nous l'avons vu plus haut dans ce billet ? Mystère et boule de gomme.
Nous avons vu grand nombre de parcelles de vignobles autour de la future Usine à poubelles.
Est-il normal d'observer que des bâtiments, situés à l'arrière du SMICVAL, soient recouverts d'une toiture en tôles ondulées en fibrociment amiante ?
Question à l'INAO : quels risques pour les raisins, car, nous connaissons les problèmes liés avec les plaques de toit qui se produisent inéluctablement car elles se détériorent avec l'âge et deviennent fatalement plus fragiles ?
Cela crée donc un plus grand risque d'exposition et de décollement des fibres minérales, ce qui augmente bien évidemment les risques.
Le jus de ces plaques en fibrociment amiante s'écoule-t-il sur les parcelles des vignobles situées à proximité de ce bâtiment ?
En effet, le risque en résultant est accru en raison des effets dommageables supplémentaires causés par l'érosion et l'altération de ces plaques, et comme elles sont exposés aux éléments, elles risquent de se dégrader à cause du gel, de l'humidité, des rayons UV, des pluies acides, et.... laissant ainsi de grandes surfaces de fibres d'amiante sans aucune protection !
Nous avons RDV prochainement avec les représentants de la SPL TRIGIRONDE dans les locaux du SMICVAL. Nous aimerions qu'un représentant de l'INAO et de la préfecture de la Gironde nous accompagne afin de dresser l'inventaire sur cette toiture en amiante. Demande en sera faite au secrétaire général de la préfecture 33.
Tout comme, nous nous posons des questions sur la présence de ces bennes à ordures rouillées....
....et stationnées à l'arrière du SMICVAL...
.... non-loin de la station d'épuration, qui, elle aussi bénéficie d'une passerelle rouillée composée d'une simple tôle frisant l'amateurisme !!!
Alors que l'eau ne cesse de stagner dans le petit ruisseau qui se dirige vers les vignes du chemin de la Pinière de Saint-Denis-de-Pile !!!
Quels seront les risques pour les animaux et les humains, avec le projet de la future Usine à poubelles de 34 000 T/an, qui seront susceptibles d'aggraver encore un peu plus la pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines comme le stigmatisait, déjà, dans son arrêté en date du 06/11/2019, Mme la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine, et préfète de la Gironde ?
Nous sommes et nous seront encore plus vigilants à tous ces risques, en étant en contact, avec le service des procédures environnementales de la Direction départementale des territoires et de la mer de la Gironde.
Quel est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques, cartons, papiers, emballages souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?
Et du côté du SEMOCTOM, à Saint-Léon, cela-va-t-il mieux à propos des anomalies concernant les données des bulletins de paie, suite au changement du logiciel ?
De la paix maintenant pour nos camarades qui travaillent sur le site du SEMOCTOM, où va voir bientôt le jour, un quai de transfert de 55 160 m² où les ordures iront probablement sur le site de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
A noter que la moitié des entreprises retenues ne sont même pas de la Gironde !!!
Cependant, la plomberie-protection incendie sera réalisée par l'entreprise AAI qui fera plus de 430 km pour se rendre à Saint-Léon. Super l'empreinte carbone et les économies de CO² pour venir d'une ville comme Saint-Nazaire, que nous affectons cependant, tout particulièrement, pour l'attractivité de ses entreprises qui n'ont pas toutes les mêmes chances de sélection en Gironde.
A quoi bon bassiner, à longueur de journées, des leçons de morale environnementale les simples camarades de la Gironde pour utiliser moins de C0² afin d'éviter les dérèglements climatiques majeurs puisqu'il faudrait que nous limitions ses émissions à raison de 2 T par personne et par an, en mangeant local, en choisissant la bonne voiture, en se méfiant des emballages alors que le SEMOCTOM ne montre pas vraiment l'exemple sur les distances parcourues ?
Cette région de Saint-Nazaire qui a vécu en 2020 les affres du Covid-19, puisque la communauté d'agglo de Saint-Nazaire a décidé de suspendre le tri sélectif, à partir du 20/03/2020, et cela en cohérence avec le plan national de lutte contre le coronavirus ! A Trignac nos camarades Pro de l'excellente déchèterie de Veolia avaient le moral en berne.
Les camions poubelles se dirigeant vers le SEMOCTOM, en provenance par exemple, de Cenac ou de Créon vont-ils continuer à rouler débâchés projetant dans l'air leurs particules de poussières, comme nous l'avons constaté ?
Question coûts pour ce futur centre de tri car les chiffres médiatiques ne semblent jamais les mêmes :
- investissement du seul bâtiment évalué « à la louche » à 20 millions d’euros en 2017.
- investissement de 18 millions d’euros en 2019.
- évaluation du chantier à 20 millions d’euros.
- « Flou financier » dans la presse de ces derniers jours.
Par ailleurs, nous avons indiqué à TRIGIRONDE que les députés ont donné leur aval en commission le 14/03/2021 à la mise en place d’une “contribution” poids lourds dans les régions qui le souhaitent et qui sera examiné fin mars dans l’hémicycle. “L’objectif est de favoriser le transport des marchandises par des moyens moins émetteurs de gaz à effet de serre (ferroviaire, fluvial…)”, précise l’exposé des motifs du projet de loi. "Avez-vous programmé cet éventuel surcoût régional pour les camions bennes à ordures chargés de collecter le sélectif dans votre cahier des charges ?", avons-nous demandé au président de TRIGIRONDE.
En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets" publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».
On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du Bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :
- la multiplication intolérable des centres de tri,
- l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation.
Joëlle KERGREIS, directrice-adjointe à la direction exécutive des programmes de l’ADEME indique « Nous souhaitons que les progrès obtenus dans les filières de gestion des déchets s’accompagnent de transports également optimisés. Nous sommes vigilants à conserver un regard croisé sur les problématiques environnementales, afin que les bénéfices d’une action ne soient pas entachés d’effets néfastes par ailleurs… ».
Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).
Or, l’analyse détaillée, flux par flux, des papiers et emballages recyclables du SMICVAL, par exemple, est sans arrêt en augmentation (+ 0,9 % en 2019).
L’évolution des tonnages entrant au centre de tri actuel du SMICVAL a explosé, à + de 3,8 % (évolution 2018/2019).
Tous les indicateurs sont en constante augmentation, que ce soit en collecte en porte-à-porte en bac jaune, en apport direct par les professionnels, en apport en pôle recyclage, en apport direct par les professionnels, en apport dans les BAV, en apport direct par les professionnels et particuliers sur pesée. Les films plastiques – en apport direct par les professionnels – culminent à plus de 100 % !
Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.
Dans les territoires déjà concernés par l’extension des consignes de tri, chaque habitant du territoire de la SPL TRIGIRONDE devrait donc recycler plusieurs kg supplémentaires d’emballages par an.
Par ailleurs, il y a lieu de se poser quelques questions puisque les SPL font l’objet même de critiques dans leur propre mode de fonctionnement.
Le principe de l'utilisation des sociétés publiques locales (SPL) est critiqué, certains y voyant un moyen pour les administrations d'échapper au code des marchés publics et de donner des emplois aux amis du pouvoir.
Christian Julienne, président du laboratoire d'idées libéral Héritage et Progrès, écrit ainsi : « Toutes les grandes villes, les départements et autres vont être naturellement tentés de créer ces sociétés publiques locales pour y mettre les vice-présidents, adjoints, chefs de service et autres amis politiques heureux de devenir entrepreneurs avec l’argent des contribuables et sans se soumettre à la concurrence. […] En outre, le texte lui-même constitue un véritable appel au délit de favoritisme, à la prise illégale d’intérêts et à l’abus de bien social ». Ce point de vue n'est toutefois partagé que par un petit nombre de personnes, la SPL n'assouplissant pas le régime des outils déjà à la disposition des collectivités locales, comme les EPIC, les SEML, ou encore les associations transparentes. Elles répondent au contraire à une critique sur la non-transparence des SEML quant au choix des partenaires privés actionnaires au capital.
Pour ses défenseurs, la SPL reste un outil privé à disposition d'un pouvoir public et est donc un outil, parmi d'autres, permettant d'éviter l'emploi de fonctionnaires publics pour accomplir des missions de service public...
A suivre avec gourmandise en lisant cet article intitulé "La grosse arnaque du recyclage plastique : trier ne servirait à rien .
Source : https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/transparence/enquete-grosse-arnaque-recyclage/
"On nous le répète sans cesse : quand il s’agit de sauver la planète, chaque petit geste compte. Vraiment ? Une solide enquête du Guardian explique que niveau recyclage plastique, il est plutôt question de bullshit généralisé que de conscience écologique.
« Le recyclage du plastique est un mythe ». Aïe, d’entrée de jeu, l’enquête du journaliste Oliver Franklin-Wallis annonce la couleur. Publiée dans The Guardian, elle dresse un constat effrayant : trier nos déchets ne servirait à rien.
Rien ne se perd, tout se transforme (ou se brûle)
On pensait qu’avoir des poubelles arc-en-ciel et y jeter consciencieusement nos déchets selon des consignes édictées de façon quasi-scolaire par nos municipalités suffisait à faire le job… mais non. Comme le rappelle Oliver Franklin-Wallis, « vous buvez un Coca-Cola, jetez la bouteille en plastique dans la poubelle recyclable, sortez la poubelle, et vous n’y pensez plus. Mais la bouteille ne disparaît pas pour autant. » Tout ce que l’on jette à la poubelle devient aussitôt la propriété de l’industrie des déchets – qui pèse plus de 275 milliards d’euros à l’échelle mondiale. Et puisque dans le système actuel, qui dit industrie dit profit, cette dernière se fait un devoir d’extraire de nos ordures tout ce qui peut lui rapporter de l’argent. Parfois, c’est récupéré sur place, mais dans la majorité des cas, on revend ailleurs – loin des yeux, loin du cœur. Par exemple, le plastique ne s’achète pas très cher. Alors, souvent, on vend à la Chine – qui, jusqu’à peu, était considérée comme le plus grand marché international du recyclage de plastique.
Déchets contaminés
Sauf qu’en 2018, la Chine a mis le holà en interdisant 24 types de déchets sur son territoire. Alors que s’est-il passé ? Officiellement, les déchets occidentaux étaient trop « contaminés » - officieusement, cette prise de position serait la conséquence directe du documentaire Plastic China, qui suit le quotidien d’une famille travaillant au sein de l’industrie du « recyclage » - qui consiste visiblement surtout à fondre le plastique pour le revendre à des fabricants. La pratique est évidemment extrêmement polluante, et ne permet pas à ces familles exposées de vivre correctement.
Qu’à cela ne tienne : les pays occidentaux ont rapidement fait de trouver d’autres poubelles : la Thaïlande, l’Indonésie, la Malaisie ou le Vietnam semblent des territoires tout désignés pour accueillir et (mal)traiter nos déchets.
Tout à fait illégal
Tout ça, non seulement c’est bien crado, mais c’est en plus totalement illégal. Un rapport de Greenpeace met en lumière l’existence d’immenses décharges en Malaisie. La majorité des déchets qui les constituent proviennent d’Europe. Comme en Chine, ils finissent brûlés ou enterrés… et se retrouvent parfois à voguer dans les rivières ou les océans. Résultat : le gouvernement malaisien a commencé à renvoyer des bateaux chargés d’ordures, en invoquant des préoccupations pour la santé de la population. De leur côté, la Thaïlande et l’Inde ont annoncé bannir l’import de déchets plastiques étrangers.
Mais rien n’y fait : puisque quand on veut, on peut, un peu de corruption suffit à faire circuler nos déchets dans ces pays.
8 milliards de tonnes de plastique
Les chiffres qui illustrent l’article sont aberrants : sur les 8,3 milliards de tonnes de plastique produites dans le monde, seules 9% ont été recyclées. Un score déjà bien faible qui est en plus questionné, par-dessus le marché, par les ONG. Celles-ci rappellent les destins parfois incertains des cargos qui transportent les déchets censés être recyclés.
Quelques solutions
Évidemment, plus on en parle, plus ça fait tache. Et les industriels essayent de proposer des solutions miracles. L’une d’entre elles est un robot « intelligent ». Made in USA, il promet de trier les bouteilles et autres contenants en plastique près de 3 fois plus rapidement qu’un humain. Autrement dit, il serait capable de gérer 3 tonnes de déchets par jour.
D’autres imaginent qu’une taxe plastique s’impose. C’est notamment le projet du gouvernement britannique, qui suggère que les packagings qui contiennent moins de 30% de matière recyclée soient pénalisés.
Enfin, il y a toujours la technique du zéro déchet. Tout le monde ne peut pas encore s’y mettre, mais les initiatives se multiplient.
Bref, le plastique, c'est plus franchement fantastique."
Nous appellons massivement les 530 000 habitant-es à nous rejoindre massivement afin de s'opposer à ce projet fantasque et irrationnel d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile !
"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous êtions des graines", Proverbe mexicain.
A suivre
© Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d'AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL)
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
-
Pollution vallée #Arve : AURA Environnement se mobilise avec maire Grenoble @EricPiolle & @FabienneGrebert !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/04/2021
- Dans STOP POLLUTION de L'AIR en HAUTE-SAVOIE
Le 20/03/2021 les écolos d'Auvergne-Rhône-Alpes
ont porté avec AURA Environnement
un message fort dans la Vallée de l'Arve et le 74 !
Eric PIOLLE (maire de Grenoble) et le fondateur d'AURA Environnement
Le 20 mars 2021, c'est aux côtés d'Eric PIOLLE, maire de Grenoble, que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate à la présidence de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, est venue soutenir les militant-es et habitant-es de la région de la Vallée de l'Arve (74) dans leurs combats contre la pollution de l'air, un fléau non seulement environnemental pour lequel l'Etat avait été condamné, mais aussi sanitaire.
A l'orée du printemps qui s'annonce bien, pour notre camarade Fabienne GREBERT, sous l'angle des mobilisations pour le climat avec les discussions parlementaires sur le fiasco de la loi climat annoncées au 29 mars, notre camarade candidate écologiste s'est rendue le 20/03/2021 dans le territoire symbolique de la Vallée de l'Arve largement polluée par les fumées des cheminées des résidences secondaires de la bourgeoisie locale et des habitants du cru qui doivent supporter des froids glacials, voire épouvantables, les nuisances diverses des trains de la gare SCNCF de Chedde, les norias de camions aux odeurs pestilentielles parfumées au diesel qui déferlent sur l'A 40 à hauteur de Passy, direction Turin en passant par Chamonix-Mont-Blanc qui n'en fini plus d'absorber pollutions de l'air sur pollutions de l'air irrespirable, comme le sopalin aspirant les pollutions diverses et avariées des emmerdements locaux.
Y'en a plus que marre des pollutions des cheminées des poêles à bois ! (Source : http://www.aura-environnement.com/blog/indice-qualite-de-l-air-auvergne-rhone-alpes/vent-de-panique-passy-le-copab-passe-a-l-action-contre-cheminees.html)
Même si le mardi 03/12/2020, dans le cadre de la mise en œuvre du PPA de la vallée de l'Arve révisé pour la période 2019-2023, le préfet de la Haute-Savoie a signé un arrêté interdisant l'utilisation des foyers ouverts (en appoint ou en agrément) pour le chauffage au bois, à partir du 1er janvier 2022 dans la vallée de l’Arve, on ne pourra pas empêcher nos pauvres camarades-ouvriers de se chauffer au bois vert de rage !
En effet, la responsabilité du chauffage au bois non performant est flagrante dans les émissions de particules PM10 et PM2,5 sur le territoire de la vallée de l’Arve. Le chauffage au bois non performant reste le 1er contributeur aux PM10 et PM2,5 dans la vallée de l’Arve en moyenne annuelle. Il est en effet responsable de plus de 60 % des émissions de PM10 et peut atteindre une contribution de près de 80%, en hiver.
A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 ! (Source : ATMO Auvergne-Rhône-Alpes) !
Par contre, nous avons observé que les immondes capitalistes bourgeois se chauffaient avec pratiquement une cheminée dans chaque pièce, alors que, dans Paris ou à Lyon, par exemple, il y a des pauvres SDF qui crèvent de froid au quotidien sur les trottoirs !
Que les boboïstes bourgeois de Passy, de Chamonix ou Saint-Gervais-les-Bains et des alentours se chauffent avec une bonne bouillote, se réchauffent avec un verre de Génépi et une bonne soupe aux choux si chère à notre regretté René FALLET ! Que ces crasseux de boboïstes arnacho-gauchisants, que nous combattons, commencent donc par nettoyer les filtres à air de leurs véhicules diesels en mauvais état de rouler dans la farine le Peuple de base et les services de l'Etat !
Que certains illuminé-es du joint des AMAP ou des Ressourceries de la région de Passy ou du 74 cessent de siphonner les subventions des collectivités territoriales.
Faut arrêter cette hypocrisie de façade et de raconter des salades ! A quoi bon produire et commercialiser des carottes et des patates dite "Bio" puisqu'elles sont polluées par les particules nocives des cheminées des multiples chauffages à bois ? .
C'est l'horreur à Chamonix-Mont-Blanc, la ville mal-gérée par Eric FOURNIER, le vice-président environnement-énergie de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), alors qu'il n'y pas d'usine à poubelles !!! Les particules en suspension, le monoxyde de carbone (COà, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) explosent sous le nez de nos camarades chamoniard-es !
Et que penser également de la pollution de l'eau, à l'arsenic, à Chavanod près d'Annecy qui culbute les paramètres nationaux, (0,5 µg/L pour Chavanod CONTRE 4,8 µg/L au niveau national !!!).
Qui se soucie de la santé de nos camarades de la région d'Annecy proches de l'incinérateur à poubelles de Chavanod ? Qui en parle ? Personne. Qui n'en parle pas ? Tout le monde !
Nous avons parlé avec notre camarade Fabienne GREBERT, de ce que nous affirmions à propos de ces déchets illégaux en provenance de SYTRAD de Valence vers l'incinérateur Synergie de Chavanod (source : http://www.aura-environnement.com/blog/collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila/dechets-illegaux-incinerateur-sila-collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila-soutenu-ecrit-a-dreal74-et-au-prefet-74.html ).
Fabienne qui est conseillère municipale d'ANNECY nous a dit ne pas être au courant alors qu'elle est Vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liés au lac d'Annecy !!!!! Ptdr !
Pourtant, si AURA Environnement n'était pas intervenue auprès du cabinet du préfet 74 et de la DREAL 74 pour que ce projet de trafic cesse immédiatement, que ce serait-il passé, hein ???
Idem, mêmes questions avec notre camarade Eric PIOLLE, le maire de Grenoble, à propos de l'immonde incinérateur ATHANOR qui crame les immondes saloperies des ordures ménagères des poubelles grises ou vertes de l’agglomération grenobloise,.
Cette usine réceptionne et trie le contenu des différentes poubelles, par des moyens automatiques et par un tri manuel effectué par une trentaine de nos camarades ouvriers spécialisés. Environ un tiers des matières organiques présentes dans les poubelles grises est envoyé vers un centre de compostage, puis épandu dans des zones agricoles. Près de la moitié des matériaux recyclables présents dans les poubelles vertes (canettes, cartons, plastiques…) est extraite puis recyclée pour d’autres usages industriels.
Tout le reste est ensuite brûlé :
- les refus du centre de tri et du centre de compostage, ainsi que les déchets incinérables déposés en déchetteries (pour les communes appartenant à la Métropole) ;
- la collecte résiduelle et les refus de tri, ainsi que les ordures ménagères brutes des communes n’ayant pas de système de tri (pour les communes n’appartenant pas à la Métropole) ;
- les déchets hospitaliers.
L’incinération des ordures à Grenoble constitue un système de déplacement de la pollution : les ordures brûlées à plus de 800 degrés sont transformées en cendres stockées dans des décharges et en poussières qui se retrouvent dans l’atmosphère ou retombent sur les sols. Ces résidus sont chargés de métaux lourds et de particules fines toxiques. INFAMIE TOTALE !!!
Que fait notre camarade le maire de Grenoble ?
Les cheminées d’Athanor rejettent en effet des particules fines cancérigènes (dioxines, furannes…), des métaux lourds (arsenic, cadmium, plomb, mercure, nickel…), des oxydes d’azote et des gaz à effet de serre. Selon la Métro, qui a réalisé d’importants travaux en 2005 et 2006 pour améliorer le traitement des fumées, les rejets atmosphériques de l’incinérateur seraient conformes aux normes en vigueur.
Un SCANDALE, alors que nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE semblent ne pas se soucier de la qualité de vie dans leurs propres territoires !
Nous vous le répétons, camarades, les véritables défenseurs de l'Environnement : collectifs du terroir ou petites associations locales ne font pas de politique, encore moins de politique politicienne !
JAMAIS nous ne soutiendrons certains paltoquets qui ne recherchent que des maroquins ! Regardez donc l'affaire de Rugy !!!!.
Notre camarade Eric PIOLLE a semblé visiblement embarrassé par nos questions sur l'incinérateur ATHANOR situé dans sa propre commune. Pourquoi nos camarades du collectif COLL'AIRPUR ne montent-ils pas au créneau sur l'agglo de Grenoble ?
Et on comprends très bien notre camarade Eric PIOLLE : AUCUNE étude épidémiologique approfondie sur les conséquences sanitaires des rejets d’Athanor depuis sa création en 1994 n’a été réalisée dans le périmètre de rejet de l’usine et dans l’agglomération grenobloise.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE sont venus poser devant l'incinérateur de Passy, (on dirait qu'il y a une fixette pathologique UNIQUEMENT sur Passy-SUEZ), alors que dans le département 74.... il y a une flopée de ces usines à poubelles qui crachent furanes et dioxines (Marignier, maître d'ouvrage SIVOM région de Cluses ; Thonon-les-Bains (maître d'ouvrage STOC du Chablais ; Chavanod (maître d'ouvrage SILA). EXPLOITANT de ces 3 incinérateurs : VEOLIA).
Pourquoi ne pas faire une photo de campagne aux futures élections régionales 2021 à la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) dont le siège est à Lyon, devant 1 des 3 incinérateurs exploités par VEOLIA dans le département de la Haute-Savoie ou devant le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qu'AURA Environnement a attaqué au tribunal administratif de Grenoble fin 2020 ? Mystère et boule de gomme ! Peut-être que les élu-es de Saint-Gervais-les-Bains vont nous aider à résoudre l'équation ???
C'est à celle ou celui qui va aller laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires, alors que dans sa communauté d'agglomération les cancers se multiplient à vitesse grand V ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Accompagnée du maire écologiste de Grenoble et d'une dizaine de militant-es - (dont celles et ceux écolo-marxistes d'AURA Environnement) -, notre camarade Fabienne GREBERT s'est ainsi rendue dans un premier temps sur le marché de Sallanches à la rencontres des habitant-es affublés de combinaisons pour "marquer le coup" face à la pollution de l'air.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE se sont entretenus avec les habitant-es, découvrant que les personnels pédagogiques dans les écoles portaient des chasubles rouges, oranges ou verts selon le niveau de pollution de l'air afin d'indiquer aux enfants qu'ils pouvaient courir : "Un scandale absolu : il est temps d'en finir avec ce monde qui marche sur la tête ! Protégeons nos enfants, notre santé : là est l'essentiel".
Mais nous allons "recycler" le département 74 de tous ces incinérateurs qui coûtent de l'argent aux contribuables et la vie de nos camarades. Nous nous sommes partagés la lutte frontale contre les incinérateurs de la Haute-Savoie : le collectif COLL'AIR PUR à Passy et Nous, sur Marignier, Chavanod et Thonon-les-Bains avec le collectif COBAP (COllectif du BOL d'Air Pur) qui rassemble plus de 150 militant-es !
Généralement lorsqu'AURA Environnement intervient au TA (tribunal administratif), c'est qu'il y a des abus inadmissibles CONTRE nos camarades animaux et humains, l'innocente nature très souvent massacrée à l'échelon local !
Et, jusquà ce jour, nous n'avons pas perdu un SEUL recours que ce soit contre la décharge NICOLLIN (Saint-Romain-en-Gal - Rhône-) ou le projet de décharge de PAPREC aux Granges-Gontardes dans la Drôme. (Sources : TA de Lyon, référé TA de Grenoble, Cassation Paris) !
On s'en fiche des politiciens et des industriels du Capital, nous ! On s'en tape de ces ignorant-es qui se servent du débat sur l'écologie, uniquement, pour faire avancer leurs GPII (Grands projets inutiles et imposés), mais qui font, en fait, reculer la planète parce que les subventions coulent à flot pour des projets de plus en plus gigantesques alors que les installations déjà en place suffoquent par manque d'entretien, du nucléaire aux usines à poubelles, des centres de tri fantasques aux décharges à poubelles à ciel ouvert ou des pôles multimodales vétustes qui côtoeint leurs collègues du Rail situés à quelques encablures comme c'est le cas entre celui de Vénissieux/Saint-Priest (Rhône) avec celui de Salaise-sur-Sanne (Isère) !
Alors que, par exemple, la ville de Vénissieux n'est distante de Salaise-sur-Sanne que de.... 54 km !!!!! LOL
Nous ferons exactement comme l'a martelé notre camarade Erir PIOLLE : "Les associations locales jouent un rôle fondamental, ici dans la Vallée de l'Arve, comme ailleurs, pour défendre la justice environnementale face aux industriels et aux lobbies. L'impunité des pollueurs, de ceux qui abîment notre santé, doit cesser. Nous voyons les ravages de la pollution de l'air causée par les activités humaines. Mieux se déplacer, mieux se nourrir, mieux respirer, mieux vivre.... la sobriété, c'est un défi réjouissant en fait ! Cela nous permet de nous reconnecter à l'essentiel". (Communiqué de presse EELV 20/03/2021)
- Nous COMBATTRONS le projet de 16 millions d'euros porté par SNCF Réseau, de réaménagement de la plateforme de transport combiné de la zone dite "résidentielle" - LOL - Vénissieux-Saint-Priest, parce que les populations locales sont ulcérées depuis des decennies par les nuisances sonores, le bruit particulier et le bruit résiduel, les cas de cancers qui frappent toute une rue, pollutions, risques accidentels !
- Nous LUTTERONS contre 2 projets de centre de tri de poubelles en France (En 2021 : Firminy - 42 - avec notre collectif CHUPA), et, (En 2022 : Saint-Denis-de-Pile - 33 - avec notre collectif SCTL - Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne), où les animaux risquent de trinquer à cause des poussières, où la nature et les humains risquent de prendre une nouvelle claque en terme d'incendies à répétition !
- Nous nous OPPOSERONS au projet de décharge à poubelles de Fontsante dans le Var et porté par SUEZ (2022/2023) !
Pseudos "concertations" et pseudos "Débats publics" ne sont que des simulacres de démocratie dite "participative" durant lesquels les projets ont été volontairement morcelés afin d'occulter l'ampleur des risques et nuisances auxquels sont exposés nos camarades riverains proches ou éloignés de ces verrues !
Nous avons une vision différente des autres écolos : nous appliquons strictement notre discipline, celle de l'écologie-marxiste !
Nous n'imposons rien à l'ensemble de nos camarades de lutte !
Qui ne nous déteste pas, nous suive !
Marc-Claude de PORTEBANE