Vienne
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Le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) s'invite aux voeux du maire de Saint-Romain-en-Gal !
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/01/2017
- Dans STOP à la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
A peine né, le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP)
tracte et récolte soutiens CONTRE le énième arrêté préfectoral
du préfet du Rhône prolongation décharge NICOLLIN
lors des voeux du maire Pierre LANGLAIS !
A l'initiative d'AURA Environnement, les riverains excédés par les odeurs insupportables de la décharge NICOLLIN de Saint-Romain-en-Gal ont décidé la prise en main de leur destin via la lutte révolutionnaire avec la création du Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) qui permettra à tout cet immense territoire du parc naturel régional du Pilat (qui regroupe 47 communes de la Loire et du Rhône sur un territoire de 700 km2, pour une densité de 80,2 hab/km2 - densité assez élevée pour un parc naturel - avec les grandes villes proches comme Saint-Etienne ou Vienne), de savoir comment est dévalorisé ce beau parc limité au nord/ouest par la vallée du Gier et à l'est par la vallée du Rhône, ses frontières sud et ouest qui le mènent aux portes de la Haute-Loire et de l'Ardèche à quelques kilomètres de Saint-Etienne et pas très loin d'un autre projet inadmissible de méga Usine à poubelles méthanisation/CSR - combattu par le collectif C.H.U.P.A qui représente plus de 10 000 personnes - vers Andrézieux-Bouthéon et porté par le syndical local : le SYDEMER qui loge dans les locaux de Saint-Etienne Métropole.
A Saint-Romain-en-Gal, à l'initiative également d'AURA Environnement un autre collectif, plus modéré, est en gestation avec notamment la potentielle participation du très sympathique ex-conseiller municipal Marc GAVIOT-BLANC. Ce collectif devrait travailler, lui, plus en harmonie avec les élu-es dont le maire Pierre LANGLAIS qui a indiqué, lors de ses voeux à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, vouloir demander une contre-expertise sur les attendus olfactifs du préfet du Rhône Michel DELPUECH qui a accordé une énième prolongation à la décharge gérée par la SAS NICOLLIN.
AURA Environnement demandera une autre contre-contre-expertise.
Vendredi 06/01/2017, le CDEP est donc passé immédiatement à l'action en tractant à l'issue des voeux du maire.
L'assistance a de facto accordé à plus de 80 % des membres présents son soutien au CDEP qui a présenté sa pétition internet qui recueille déjà plus de 15 500 signatures.
Entre toasts et verres de blanc, la population injustement salie de Saint-Romain-en-Gal en a redemandé des tracts d'AURA Environnement.
Le CDEP a élu sa secrétaire : Elisa POMARES. Son président : Emile POMARES. Sa vice-présidente : Pierrette POMARES. Son porte-parole : Marc-Claude de PORTEBANE. D'autres postes de responsabilité sont à pourvoir.
Le CDEP se veut à 100 % indépendant des piêtres partis écologistes régionaux inefficaces depuis 1969, date de la création de la décharge NICOLLIN.
Une conférence de presse aura lieu prochainement pour expliquer comment et pourquoi AURA Environnement ira au tribunal administratif de Lyon afin de contester cet énième arrêté préfectoral pris à l'encontre des habitants et des animaux vivant à proximité de cette décharge qui décharge des odeurs insupportables et inadmissibles !
Avec cette présence sur tout le territoire du parc naturel régional du Pilat, AURA Environnement et le CDEP espèrent regrouper plusieurs milliers de militant-es et de militants.
La révolte des 56 000 défenseurs du Pilat est en marche CONTRE la décharge NICOLLIN et l'arrêté-alibi DELPUECH qui vont, une nouvelle fois, semer les mauvais vents de la discorde inter-régionale en autorisant 16 000 T de pourriture en 2017 et à partir de 2018 au moins pour 6 ans quelques 65 000 T de déchets du Rhône et surtout du Grand Lyon !
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Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal : le Collectif GreenLyon-Grand-Lyon Déchets (CGL-GLD 69) prépare son offensive
- Par auraenvironnementparis
- Le 17/11/2016
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Le Collectif GreenLyon-Grand-Lyon Déchets (CGL-GLD 69)
exige la fermeture définitive au 31/12/2016
de la décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN !
Le porte-parole du SGL-GLD 69 devant le siège de la Région Auvergne-Rhône-Alpes
a improvisé une conférence de presse itinérante sur les
odeurs insupportables de la décharge de Saint-Romain-en-Gal !
Les habitants n'en peuvent plus de subir les odeurs infernales en provenance de la décharge du Melay (Saint-Romain-en-Gal) et ont fait appel à AURA Environnement pour montrer leur détermination totale afin que cette installation - gérée par l'entreprise NICOLLIN - ferme définitivement ses portes le 31 décembre 2016.
Le Groupe NICOLLIN est propriétaire exploitant de cette ISDND de Saint-Romain-en-Gal (Traitement et stockage de 80 000 T de déchets par an).
Les riverains et les populations locales excédées ont alerté le SGL-GLD 69 qui suit de très près l'évolution du dossier pour la fermeture définitive de cette décharge, avec les services de l'Etat et ce, depuis plusieurs mois.
La riposte populaire est en marche à 30 km au sud de Lyon sur la rive droite du Rhône pour que Saint-Romain-en-Gal ne soit plus la vitrine désatreuse d'une sinistre décharge mais le reflet d'un site archéologique qui étale, lui, sur plus de 3 ha, les vestiges d'un quartier de la ville romaine de Vienne, car, dans l'Antiquité Vienna était la capitale d'un vaste territoire couvrant le Dauphiné et la Savoie en s'étendant de chaque côté du Rhône !
Cette décharge n'aura survécu en 2016 que sous "perfusion" des services de l'Etat alors qu'elle aurait dû déjà fermer fin 2015 !
Zéro dérogation en 2017 ! Le SGL-GLD 69 avec les riverains ne laisseront pas passer d'autres dérogations et n'attendront pas que le dernier casier soit plein à craquer !
Et n'oublions pas trop rapidement que les experts du parc naturel régional du Pilat ont recensé sur la commune :
- le busard cendré ;
- le castor d'Europe ;
- le sonneur à ventre jaune ;
- la genette ;
- les landes sèches européennes ;
- le millepertuis androsème ;
- les pelouses sèches semi-naturelles ;
- les prairies de fauche de basse altitude ;
- les chênaies et les charmaies sub-atlantiques et médio-européennes.