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Banderole aura environnement 3

  • + de 34 547 signatures. PETITION. Bretagne : Sauvons ce pauvre poney ! STOP projet extension décharge #SUEZ à Gueltas !

     Bretagne : Sauvons ce pauvre poney !

    STOP projet extension décharge #SUEZ à Gueltas !

    Pauvre poney gueltas odeurs suez

    LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832

    Soutenu par les populations locales de Gueltas, au coeur de notre si chère Bretagne, le collectif GreenBretagne a alerté l'association nationale AURA Environnement à propos de l'actuel projet de nouvelle décharge de SUEZ R&V Ouest, après 2027, dans cette si belle région de Pontivy, où de paisibles poneys ou chevaux respirent de l'air à la limité du respirable, où de nombreuses personnes n'en peuvent plus de cette infâme gigantesque dépôt d'ordures dans leur commune, que ce soit vers le stade de foot, à la terrasse du très sympa bar, restaurant, épicerie situé non-loin de la mairie, de l'église garante des valeurs traditionnelles bretonnes et républicaines, voire même dans le prolongement de la base de loisirs de Boju où les amoureux de l'Art déambulent soit dans le musée à ciel ouvert, soit au travers des chemins balisés, vers des patrimoines ruraux ou vers les étangs de Branguily qui hébergent, tout au long de l'année, une population riche et variée d'oiseaux, d'insectes et de petits mammifères !

    Nous allons vous démontrer de ce qu'il en est de la protection de l'environnement et des animaux vers la décharge de SUEZ R&V Ouest dans cette si jolie et ombragée forêt de Branguily parsemée d'étangs mais, pestilentielle au niveau des odeurs infernales qui parfument arbres centenaires, ruisseaux où gazouillent dans de drôles couleurs plutôt orangeâtres, pour ne pas dire à vomir de tout son fiel, des espèces protégées comme le Lézard des murailles ou, parmi la flore, quelques brindilles de Lys martagon que nous avons repéré aux alentours !

    Il est hors de question de brader notre patrimoine en terme de protection de la faune et de la flore pour une mince "poignée de dollars" (250 millions d'euros au bas mot) avec une entreprise comme SUEZ, qui paie déjà mal ses fournisseurs !

    En ces mauvais temps caniculaires, nous devons être plus que vigilant, et nous espérons que les juges de l'honorable TA (tribunal administratif) de Rennes seront sensibles à nos arguments lorsqu'éclatera la véritable et silencieuse riposte du sentier lumineux des habitants de Gueltas et des communes de Pontivy Communauté car "le changement climatique augmente la probabilité et la gravité des phénomènes météorologiques, comme les inondations" indique le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) - fondateur : Assemblée générale des Nations unies), car, estime Florence HABETS, hydroclimatologue au CNRS, "plus il fait chaud, plus l'atmosphère est capable de contenir de l'eau qu'elle va puiser, entre autres, daans les sols. C'est donc un seul et même phénomène physique qui alimente à la fois la sécheresse et l'augmentation des précipitations" !

    Ces températures extrêmes atteintes s'imposeront désormais comme "la nouvelle norme", selon l'Organisation météorologique mondiale, qui pointe comme principal facteur "le changement climatique induit par l'homme et dû aux émissions de gaz à effet de serre" (GES).

    Ces épisodes de chaleur intense se développeront plus particulièrement en Europe. Donc ZERO décharge à Gueltas ! Tout comme ZERO déchets maintenant, demain et après-demain !

    Alors que la terre commence à craqueler à de nombreux endroits dans Pontivy Communauté, après 2023, il sera beaucoup trop tard pour ne pas réagir à ce projet de nouvelle décharge à Gueltas ! Pas plus de nouvelle chaudière à haut pouvoir calorifique inférieur (HPCI) que de ces "nouvelles technologies" que l'on vous promet "vertueuses" ou autres "poudres de perlimpin" de Michel le magicien à Gueltas ou ailleurs.

    Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de décharge dans le Finistère et que Gueltas et sa région devront supporter - encore - de nombreux camions, qui, déjà, de nos jours s'alignent assez souvent, en file indienne sur la D125, le long de la déchèterie, dans l'attente de décharger à la décharge leurs poubelles ?

    Assez de cette autre pollution visuelle, car de très nombreux habitant-es de Gueltas en ont plus que marre et ce, depuis l'AP (arrêté préfectoral) d'exploitation en date de.... novembre 2013 !

    Comment se fait-il que ce petit fossé s'écoulant vers l'étang 1, situé juste en face de la décharge, dans ce bois de Branguily, ait une telle sinistre couleur orangée ? Qu'en disent les inspecteurs de l'Office français de la biodiversité (OFB) et les services de la préfecture du Morbihan ? D'où viennent ces percolations absolument inadmissibles et intolérables pour les animaux s'abreuvant de petites gorgées en ces temps de canicule et de sécheresse avérée, suite aux alertes de Météo France ?

    La Fédération de la pêche du Morbihan s'en alarme-t-elle ?

    Et pourquoi donc les élu-es de Gueltas n'ont-ils pas validé les travaux d'extension du réseau d'eau potable au hangar de la forêt de Branguily, et situé..... en face de la décharge ? De peur d'y voir de simples touristes, des pêcheurs, des photographes amateurs de lieux insolites, des randonneurs y passer la nuit, le week-end ou le jour de la fête de Saint-Gildas ?

    Comment faire de la randonnée pédestre à Gueltas sur des chemins balisés pour observer et sentir les ravages de cette décharge où prolifèrent nombre de goëlands argentés (Larus argentatus) et mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus) ?

    C'est très simple. Il suffit de se rendre de Gueltas à Noyal-Pontivy, avec un masque à gaz tout en contournant la décharge et de parcourir le circuit de découverte des étangs sur 1,5 km dans ce qui a été cette superbe forêt de Branguily. Vous pouvez, ensuite, bifurquer aux alentours de Kerlaizan (toujours munis de votre masque à gaz) et de suivre au plus près les grillages de cette décharge. Prévoir également une serviette en cas de vomissements et des cachets contre le mal de tête. N'oubliez pas votre portable au cas où vous tomberiez dans les pommes pour appeler votre médecin généraliste, ou tout simplement, le 15, si besoin s'en faisait ressentir ! N'oubliez pas également des boules QUIES si vous êtes exposé-es à l'utilisation par SUEZ d'affaroucheurs pyrotechniques sur ce site de Gueltas (Recommandation de Saint-Gildas pour prendre contact au préalable avec la DDTM56, service Eau, Nature et Biodiversité - Unité Nature, forêt et Chasse - à Vannes au 02 56 63 74 89) !

    A quoi cela sert-il, pour SUEZ, d'utiliser un fauconnier spécialisé pour effaroucher ces paisibles goëlands et mignonnes petites mouettes avec l'aide de puissants rapaces - Buse de Harris et Faucon pélerin -, et de demander à la DDTM du Morbihan une dérogation aux articles L.411-1 du code de l'environnement, pour nous dire ensuite que SUEZ s'engagera dans une "démarche environnementale ambitieuse" si la décharge poursuivait son activité après 2027 ?

    De qu'elles ambitions parlons-nous ? Des ambitions pour cette firme capitaliste composée d'actionnaires comme Meridiam, de GIP et du groupe Caisse des dépôts (20 % dont 8 % pour CNP Assurances), ou pour les populations locales de Gueltas lassées par tant d'années où elles n'ont pas été écoutées par SUEZ, ni entendues par les services de l'Etat du "mort" Morbihan sourd aux plaintes des Gueltasie-nes qui ont quand même le droit de vivre en toute quiétude dans leurs maisons ou leur appartement avec leurs toutous ou leurs minous ! Sans compter les agricultrices et les agriculteurs vertueux vis-à-vis des démarches Bio et locales ! Quel respect pour ces pauvres vaches normandes, armoricaine ou frisonnes  broutant de façon innocente non-loin de cette décharge de Gueltas ? Quel impact pour leur morphologie, leur pis et leurs organes vitaux ?

    Idem pour ces pauvres poneys qui ne peuvent parler de vive voix à la direction régionale de SUEZ R&V Ouest à Saint-Grégoire, car les émissions de biogaz canalisées et souvent non traitées vers l'atmosphère proviennent des fuites du réseau de captage, des arrêts de fonctionnement de la torchère (très souvent, des bouchons de condensats ne permettent pas la mise en dépression)ainsi que de la qualité de la combustion opérée au sein de celle-ci ! Les recommandations de l'ADEME - au titre de la directive EPER - fixent un objectif généralement appliqué pour un captage de 85 % des émissions pestilentielles. Cet objectif ne pouvant être atteint que dans le cas des casiers disposant d'une couverture peu perméable ou d'une géomembrane.

    Donc, au bas mot, ce pauvre poney respirerait 15 % de ces émissions diffuses de méthane par jour en provenant de cette décharge de Gueltas ?

    Nous, Collectif GreeBretagne soutenu par AURA Environnement, in solidum avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like sur Facebook), nous demandons aux élu-es de Gueltas de ne pas accorder le moindre permis de construire pour l'extension de cette décharge de SUEZ, aux services administratifs de l'urbanisme et aux élu-es de Pontivy Communauté de ne rien instruire du tout et de tout bloquer, ainsi qu'aux services de l'Etat du Morbihan, la fermeture définitive de cette décharge de Gueltas à l'horizon 2027 avec des mesures drastiques de dépollution. Finissons-en avec cette "verrue" dans cette commune touristique de Gueltas et ses roulottes au Domaine des Can'haltes, laissez les Gueltadien-nes qui ne roulent pas sur l'or en paix avec leur environnement ! Source : https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/              
    C'est donc dans ce dossier dit "d'intérêt régional" qu'était spécifié leurs "ambitions environnementales" - mais sutout les impacts socio-économiques pour le territoire, ainsi que les "Solutions alternatives et atouts" - (comprendre : que risque-t-il d'arriver en cas de recours individuels et/ou associatifs devant le TA de Rennes) -, lors de cette parodie de "CONCERTATION PREALABLE" qui s'est déroulée du 22/05 au 28/06/2023 sur les communes de Gueltas, de Saint-Gonnery, de Rohan, de Noyal-Pontivy, de Kerfourn et de Crédin - aux frais de SUEZ - à laquelle nous avons refusé de participer parce que nous réservons nos arguments sur le fond pour nos futures requêtes introductives à Mesdames et Messieurs les présidents et conseillers composant le tribunal administratif de Rennes !

    Et nous attendons toujours le bilan de cette "Concertation préalable" où peu de gens se seraient exprimé-es et qui était "ouverte à toutes les personnes intéressées, qu'elles résident ou non dans l'une de ces communes" (Page 16) et qui devait être mis en ligne durant l'été 2023 ! Nos camarades de Nouvelle Calédonie, de Nice à Clermont-Ferrand, de Mayotte à Tours ont donc pu s'exprimer librement !

    Lorsque l'on pollue l'environnement et les animaux, cela fait toujours "bonne figure" à une firme capitaliste comme SUEZ de lancer une parodie de "Concertation préalable" avec les habitants alors que, le reste de l'année, les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy ont souvent droit aux représentants de la décharge qui viendraient, par exemple, prendre en photo un tas de fumier en disant que cela sent "mauvais".

    Evidemment que le crottin de cheval et les bouses de vaches ne sentent pas très bon mais cela n'est pas du tout comparable à une décharge qui recueille plus de 195 000 T/an de poubelles de toute la Bretagne, à Gueltas, tout en ayant un impact considérable sur tous les enjeux écologiques réglementaires et sanitaires dans le cadre de la démarche ERC (Eviter - Réduire - Compenser) !

    Et que penser du mépris à peine voilé pour les riverains de cette décharge de Gueltas en disant dans la presse "...Nous avons toujours deux à trois plaintes d'opposants historiques.... argumente Ronan ERTUS....." (Ouest France du 23/06/2022). Alors que le reste du village serait content de ce genre de décharge qui permetrait à la Bretagne "d'être moins dépendante en termes d'énergie" ?

    La Bretagne "moins dépendante en énergie" MAIS la pauvre commune de Gueltas dans le Morbihan beaucoup plus polluée pratiquement toute l'année, été comme hiver, brouillard épais ou pas, canicule et sécheresse conjuguées !!!

    Panneaux solaires : OUI. A condition que le site soit fermé définitivement en 2027. Décharge : NON ! Qu'ils s'en aillent !

    Exigeons une enquête internationale sur les conditions de vie des animaux et des humains de Gueltas exposés aux nuisances infernales de cette décharge !

    Source :
    http://www.aura-environnement.com/blog/stop-au-projet-de-nouvelle-decharge-de-suez-a-gueltas-apres-2027/operation-reuz-bras-stop-projet-nouvelle-decharge-suez-a-gueltas-apres-2027.html

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Contact : 
    aura-environnement@protonmail.com

    Président d'AURA Environnement

    Porte-Parole du COGB (Collectif GreenBretagne)

    Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

  • Opération "REUZ BRAS" : STOP projet nouvelle décharge SUEZ à Gueltas après 2027 !

    Bretagne : STOP au projet de la nouvelle décharge

    de SUEZ à Gueltas après 2027 !

    Pauvre poney gueltas odeurs suez

    Soutenu par les populations locales de Gueltas, au coeur de notre si chère Bretagne, le collectif GreenBretagne a alerté l'association nationale AURA Environnement à propos de l'actuel projet de nouvelle décharge de SUEZ R&V Ouest, après 2027, dans cette si belle région de Pontivy, où de paisibles poneys ou chevaux respirent de l'air à la limité du respirable, où de nombreuses personnes n'en peuvent plus de cette infâme gigantesque dépôt d'ordures dans leur commune, que ce soit vers le stade de foot, à la terrasse du très sympa bar, restaurant, épicerie Le Gweltaz situé non-loin de la mairie, de l'église garante des valeurs traditionnelles bretonnes et républicaines, voire même dans le prolongement de la base de loisirs de Boju où les amoureux de l'Art déambulent soit dans le musée à ciel ouvert, soit au travers des chemins balisés, vers des patrimoines ruraux ou vers les étangs de Branguily qui hébergent, tout au long de l'année, une population riche et variée d'oiseaux, d'insectes et de petits mammifères !

    Nous allons vous démontrer de ce qu'il en est de la protection de l'environnement et des animaux vers la décharge de SUEZ R&V Ouest dans cette si jolie et ombragée forêt de Branguily parsemée d'étangs mais, pestilentielle au niveau des odeurs infernales qui parfument arbres centenaires, ruisseaux où gazouillent dans de drôles couleurs plutôt orangeâtres, pour ne pas dire à vomir de tout son fiel, des espèces protégées comme le Lézard des murailles ou, parmi la flore, quelques brindilles de Lys martagon que nous avons repéré aux alentours !

    Il est hors de question de brader notre patrimoine en terme de protection de la faune et de la flore pour une mince "poignée de dollars" (250 millions d'euros au bas mot) avec une entreprise comme SUEZ, qui paie déjà mal ses fournisseurs !

    En ces mauvais temps caniculaires, nous devons être plus que vigilants, et nous espérons que les juges de l'honorable TA (tribunal administratif) de Rennes seront sensibles à nos arguments lorsqu'éclatera la véritable et silencieuse riposte du sentier lumineux des habitants de Gueltas et des communes de Pontivy Communauté car "le changement climatique augmente la probabilité et la gravité des phénomènes météorologiques, comme les inondations" indique le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) - fondateur : Assemblée générale des Nations unies), car, estime Florence HABETS, hydroclimatologue au CNRS, "plus il fait chaud, plus l'atmosphère est capable de contenir de l'eau qu'elle va puiser, entre autres, daans les sols. C'est donc un seul et même phénomène physique qui alimente à la fois la sécheresse et l'augmentation des précipitations" !

    Ces températures extrêmes atteintes s'imposeront désormais comme "la nouvelle norme", selon l'Organisation météorologique mondiale, qui pointe comme principal facteur "le changement climatique induit par l'homme et dû aux émissions de gaz à effet de serre" (GES).

    Ces épisodes de chaleur intense se développeront en Europe et plus particulièrement en Bretagne, comme dans le Morbihan.

    Donc ZERO décharge à Gueltas ! Tout comme ZERO montagnes de déchets et de biodéchets à Gueltas demain et après-demain !

    Alors que la terre commence à craqueler à de nombreux endroits dans Pontivy Communauté, après cette année 2023, il sera beaucoup trop tard pour ne pas réagir à ce projet de nouvelle décharge de Gueltas ! Pas plus de nouvelle chaudière à haut pouvoir calorifique inférieur (HPCI) que de ces "nouvelles technologies" que l'on vous promet "vertueuses" ou autres "poudres de perlimpin" de Michel le magicien à Gueltas ou ailleurs.

    Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de décharge dans le Finistère et que Gueltas et sa région devront supporter - encore - de nombreux camions, qui, déjà, de nos jours s'alignent assez souvent, en file indienne sur la D125 - qui relie Cléguérec à Rohan - , le long de la déchèterie, dans l'attente de décharger à la décharge leurs poubelles ?

    Assez de cette autre pollution visuelle, car de très nombreux habitant-es de Gueltas en ont plus que marre et ce, depuis l'AP (arrêté préfectoral) d'exploitation en date de.... novembre 2013 !

    De 70 000 T/an au début, à... 195 000 T/an + transfert de 3 000 T/an de biodéchets aujourd'hui, quelles augmentations !

    Et on nous apprend qu'un pôle organique de valorisation et de transfert des biodéchets d'une capacité d'environ 20 000 T/an sera crée à partir de 2027 ?

    Pollution ruisseau etang 1 GueltasComment se fait-il que ce petit fossé s'écoulant vers l'étang 1, situé juste en face de la décharge, dans ce bois de Branguily, ait une telle sinistre couleur orangée ? Qu'en disent les inspecteurs de l'Office français de la biodiversité (OFB) et les services de la préfecture du Morbihan ? D'où viennent ces percolations absolument inadmissibles et intolérables pour les animaux s'abreuvant de petites gorgées en ces temps de canicule et de sécheresse avérée, suite aux alertes de Météo France ?

    Bois b decharge gueltas vers etang 1La Fédération de la pêche du Morbihan s'en alarme-t-elle ?

    Fede peche 56 gueltasQu'en est-il d'ailleurs de l'état du "Parcours de pêche", dans le canal de Nantes à Brest, vers l'écluse à sas de Kériffé située sur la commune de Gueltas ? Allô Bretagne Culture Diversité - Sevenaduroù Breizh - ?

    Hangar gueltasEt pourquoi diantre les élu-es de Gueltas n'ont-ils pas validé les travaux d'extension du réseau d'eau potable au hangar de la forêt de Branguily, et situé..... en face de la décharge ? De peur d'y voir de simples touristes, des pêcheurs, des photographes amateurs de lieux insolites, des randonneurs pour y passer la nuit, le week-end ou le jour de la fête de Saint-Gildas ?

    Comment faire de la randonnée pédestre à Gueltas sur des chemins balisés pour observer et sentir les ravages de cette décharge où prolifèrent nombre de goëlands argentés (Larus argentatus) et mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus) ?

    Chemis decouverte etangs gueltasC'est très simple. Il suffit de se rendre de Gueltas à Noyal-Pontivy, avec un masque à gaz tout en contournant la décharge et de parcourir le circuit de découverte des étangs sur 1,5 km dans ce qui a été cette superbe forêt de Branguily. Vous pouvez, ensuite, bifurquer aux alentours de Kerlaizan (toujours munis de votre masque à gaz) et de suivre au plus près les grillages de cette décharge. Prévoir également une serviette en cas de vomissements et des cachets contre le mal de tête. N'oubliez pas votre portable au cas où vous tomberiez dans les pommes pour appeler votre médecin généraliste, ou tout simplement, le 15, si besoin s'en faisait ressentir ! N'oubliez pas également des boules QUIES si vous êtes exposé-es à l'utilisation par SUEZ d'affaroucheurs pyrotechniques sur ce site de Gueltas (Recommandation de Saint-Gildas pour prendre contact au préalable avec la DDTM56, service Eau, Nature et Biodiversité - Unité Nature, forêt et Chasse - à Vannes au 02 56 63 74 89) !

    A quoi cela sert-il, pour SUEZ, d'utiliser un fauconnier spécialisé pour effaroucher ces paisibles goëlands et mignonnes petites mouettes avec l'aide de puissants rapaces - Buse de Harris et Faucon pélerin -, et de demander à la DDTM du Morbihan une dérogation aux articles L.411-1 du code de l'environnement, pour nous dire ensuite que SUEZ s'engagera dans une "démarche environnementale ambitieuse" si la décharge poursuivait son activité après 2027 ?

    De qu'elles ambitions parlons-nous ? Des ambitions pour cette firme capitaliste composée d'actionnaires comme Meridiam, de GIP et du groupe Caisse des dépôts (20 % dont 8 % pour CNP Assurances), ou pour les populations locales de Gueltas lassées par tant d'années où elles n'ont pas été écoutées par SUEZ, ni entendues par les services de l'Etat du "mort" Morbihan sourd aux plaintes des Gueltasie-nes qui ont quand même le droit de vivre en toute quiétude dans leurs maisons ou leur appartement avec leurs toutous ou leurs minous ! Sans compter les agricultrices et les agriculteurs vertueux vis-à-vis des démarches Bio et locales ! Quel respect pour ces pauvres vaches normandes, armoricaine ou frisonnes  broutant de façon innocente non-loin de cette décharge de Gueltas ? Quel impact pour leur morphologie, leur pis et leurs organes vitaux ?

    Idem pour ces pauvres poneys qui ne peuvent parler de vive voix à la direction régionale de SUEZ R&V Ouest, car les émissions de biogaz canalisées et souvent non traitées vers l'atmosphère proviennent des fuites du réseau de captage, des arrêts de fonctionnement de la torchère (très souvent, des bouchons de condensats ne permettent pas la mise en dépression) ainsi que de la qualité de la combustion opérée au sein de celle-ci ! Les recommandations de l'ADEME - au titre de la directive EPER - fixent un objectif généralement appliqué pour un captage de 85 % des émissions pestilentielles. Cet objectif ne pouvant être atteint que dans le cas des casiers disposant d'une couverture peu perméable ou d'une géomembrane.

    Donc, au bas mot, ce pauvre poney respirerait 15 % de ces émissions diffuses de méthane par jour en provenant de cette décharge ?

    Nous, Collectif GreeBretagne soutenu par AURA Environnement, in solidum avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like sur Facebook), nous demandons aux élu-es de Gueltas de ne pas accorder le moindre permis de construire pour l'extension de cette décharge de SUEZ, aux services administratifs de l'urbanisme et aux élu-es de Pontivy Communauté de ne rien instruire du tout et de tout bloquer, ainsi qu'aux services de l'Etat du Morbihan, la fermeture définitive de cette décharge de Gueltas à l'horizon 2027 avec des mesures drastiques de dépollution. Finissons-en avec cette "verrue" dans cette commune touristique de Gueltas et ses roulottes au Domaine des Can'haltes, laissez les Gueltadien-nes qui ne roulent pas sur l'or en paix avec leur environnement ! Source : https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/                  

    C'est donc dans ce dossier dit "d'intérêt régional" qu'était spécifié leurs "ambitions environnementales" - mais sutout les impacts socio-économiques pour le territoire, ainsi que les "Solutions alternatives et atouts" - (comprendre : que risque-t-il d'arriver en cas de recours individuels et/ou associatifs devant le TA de Rennes) -, lors de cette parodie de "CONCERTATION PREALABLE" qui s'est déroulée du 22/05 au 28/06/2023 sur les communes de Gueltas, de Saint-Gonnery, de Rohan, de Noyal-Pontivy, de Kerfourn et de Crédin - aux frais de SUEZ - à laquelle nous avons refusé de participer parce que nous réservons nos arguments sur le fond pour nos potentielles futures requêtes introductives à Mesdames et Messieurs les présidents et conseillers composant le tribunal administratif de Rennes !

    Lorsque l'on pollue l'environnement et les animaux, cela fait toujours "bonne figure" - pour se donner bonne conscience - à une firme capitaliste comme SUEZ de lancer une parodie de "Concertation préalable" avec les habitants alors que, le reste de l'année, les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy ont souvent droit aux représentants de la décharge qui viendraient, par exemple, prendre en photo un tas de fumier en disant que cela sent "mauvais".

    Evidemment que le crottin de cheval et les bouses de vaches ne sentent pas très bon mais cela n'est pas du tout comparable à une décharge qui recueille plus de 195 000 T/an de poubelles de toute la Bretagne, à Gueltas, tout en ayant un impact considérable sur tous les enjeux écologiques réglementaires et sanitaires dans le cadre de la démarche ERC (Eviter - Réduire - Compenser) !

    Et que penser du mépris à peine voilé pour les riverains de cette décharge de Gueltas en disant dans la presse "...Nous avons toujours deux à trois plaintes d'opposants historiques.... argumente Ronan ERTUS....." (Ouest France du 23/06/2022). Alors que le reste du village serait content de ce genre de décharge qui permetrait à la Bretagne "d'être moins dépendante en termes d'énergie" ?

    La Bretagne "moins dépendante en énergie" MAIS la pauvre commune de Gueltas dans le Morbihan beaucoup plus polluée pratiquement toute l'année, été comme hiver, brouillard épais ou pas, canicule et sécheresse conjuguées !!!

    Miel gueltasQu'elles analyses ont été réalisées sur la production de miel sur le chemin de "Ty Néhué" à "Boclemence" sur la commune de Noyal-Pontivy et de l'impact de toutes ces pollutions olfactives, notamment, sur les abeilles et leurs habitats qui butinent avant les lieux-dits "Bodiquel" et "Le Mene" ....

    Situation decharge miel.... situés en zones agricoles déjà bordées d'éoliennes à cheval entre les communes de Gueltas et de Noyal-Pontivy non-loin du site des Prés de Kerlaizan (au sud-ouest de la décharge) largement gangrenés par des nuées de frelons asiatiques dont on ne sait encore d'où ils viennent ?

    Panneaux solaires : OUI. A condition que le site soit fermé définitivement en 2017. Décharge : NON ! Qu'ils s'en aillent !

    Idem à Carnac on n'en veut pas de ce Mr Bricolage, avec cette monstrueuse destruction de 39 menhirs figurant sur la liste indicative Unesco et situés sur le chemin de Montauban ! Qu'ils s'en aillent eux aussi ! Le Morbihan n'a pas vocation à s'autodétruire en matière environnementale !

    Peut-être qu'on va nous expliquer pourquoi il n'y a pas d'eau dans le lavoir de Gueltas, dans le cadre des animations estivales de Pontivy Communauté, afin d'écouter les contes de lavoirs de Martine la conteuse venue spécialement de Quiberon pour nous faire remonter le bon vieux temps autour de ce petit bassin d'antan, lorsque l'on faisait la lessive, pourquoi pas au Savon Breton, naturel et Bio composé de très sympas ingrédients comme le beurre de Karité, entre lavandières de Bretagne, tout en respirant de l'air pur et non, pestilentiel comme 2023 ! Car, à l'époque, après la pandémie de choléra dans les années 1830, l'Etat s'était dit que les femmes ne pouvaient plus continuer à laver leur - linge sale - dans les rivières, au risque de répandre ce qu'on appelait des "miasmes". D'où l'idée géniale de la création de ces lavoirs ! Si on n'arrête pas l'histoire, l'eau s'arrête désormais de couler en 2023 au lavoir de Gueltas ! Et pourquoi diantre cet arrêt ? Que nous cache-t-on ? L'écrivain breton Pier Jaker HELIAZ parle du lavoir de sa commune en disant que c'est "le journal de la paroisse". Pourquoi ne pas laisser à boire aux petits oiseaux ?

    Lavoir a sec gueltasEt bien, camarades, ce sera le cas en 2023 et vous pouvez compter sur le collectif GreenBretagne soutenu par AURA Environnement pour vous parler des rejets atmosphériques de cette "paroisse-décharge" de Gueltas, comme le monoxyde de carbone, le CO, les oxydes d'azote, le méthane, le CH4 et les poussières totales ou pour la torchère de la décharge, encore du monoxyde de carbone, du CO, des oxydes de soufre, du SO², de l'acide chlorhydrique et l'HF !

    Car, il ne faut pas compter sur la commune de Gueltas pour nous informer correctement sur la vie municipale en cours, en 2023 !

    Pas moyen d'avoir le moindre compte-rendu des conseils municipaux de Gueltas pour l'année 2023, que ce soit pour consultation sur son téléphone où nous n'avons eu que le "droit" de gagner à la page 404 ....

    Page 404 cm tel gueltas.... idem sur le site internet de la commune http://www.gueltas.fr/fr/comptes-rendus où le dernier compte-rendu municipal remonte à juillet 2022 pour le CM datant de juin 2022 !!!

    Site internet cm 2023 gueltas pas a jour

    La seule info minicipale réside dans la consultation de la borne numérique rouge (inconsultable la nuit et les jours de coupure de courant, etc...) installée vers la mairie et mise à disposition de la population qui n'y comprend rien, et que l'on peut juste consulter en plein cagnard ou sous la pluie (pas d'abri)....

    Borne infos cm gueltas..... Pas de photocopies possibles. Si on prend une photo des infos sur l'urbanisme ou autres compte-rendus, les images sont floutées par une verticale noire balayante. D'ailleurs, "une caméra est-elle installée dans cette borne" nous ont demandé certaines personnes du village ?

    Aucune info papier sur l'instruction du permis de construire qui sera accordé ou non à SUEZ R&V Ouest et qui sera instruit, ensuite, par le service urbanisme de Pontivy Communauté ! Pas d'infos papier sur le devenir de ces pauvres poneys subissant les nuisances non-loin de cette énorme décharge. Pas d'info papier sur la qualité de l'eau du robinet. Pas d'info papier sur les plaintes des habitants, etc...

    Aucune info papier sur les compte-rendus des différentes réunions des CSS (Commissions de suivi de site) qui doivent être mises pourtant à notre disposition en mairie de Gueltas. Nous en avons fait la demande pour les 3 dernières années, au secrétariat de mairie de Gueltas, vendredi 08/09/2023.

    Css gueltas delireDepuis silence radio ! Bonjour la transparence avec les populations de Gueltas, alors que SUEZ R&V Ouest (page 14 du document de son projet industriel de recyclage et de valorisation énergétique sur le site de Gueltas) nous parle d'une "Gestion rigoureuse et contrôlée" !

    Vue des bureaux du siège de SUEZ R&V Ouest de Saint-Grégoire vers Rennes ?

    Où se trouvent les rapports annuels d'activité ? Nous les avons vainement cherché sur internet = ZERO. Et ZERO également sur le site internet de la commune de Gueltas. ZERO + ZERO = ZERO. Ont-ils été transmis aux populations locales de Gueltas ? Les nouveaux arrivants dans la commune savent-ils qu'il y a un projet de développement de cette décharge pour l'après 2027 ?

    Pourtant ces rapports annuels d'activité de cette décharge SUEZ à Gueltas - sont obligatoirement transmis à la préfecture du Morbihan à Vannes, à la sous-préfecture de Pontivy ainsi qu'à la mairie de Gueltas..... où ils sont normalement librement consultables - sans en avoir à en justifier la demande. La CADA (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) a toujours été claire là-dessus. Ils sont établis conformément aux prescriptions de l'article 26 de l'arrêté ministériel du 15/02/2016, des articles R. 124-1 et R125-2 du code de l'Environnement et de l'article 10.1.3 de l'arrêté préfectoral de la préfecture du Morbihan en date du 20/11/2013 réglementant l'activité de l'Ecopôle de Gueltas.

    Nous avons - vainement - essayé de les obtenir auprès du secrétariat de la mairie de Gueltas. La secrétaire de mairie nous a dit être "occupée" car il y avait une dame qui était en train de rédiger un chèque bancaire, et de lui faire une demande par mail !!!! Grrr !

    Surveillance de masse, alors que la loi n° 78-17 du 06/01/1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ne stipule pas qu'il faille faire une demande d'information par mail dès lors que le demandeur a informé la collectivité de son identité.

    Elle s'est même posé la question de savoir s'ils étaient communicables ou non ..... au public, alors qu'elle nous a indiqué qu'un membre de sa famille travaille pour la décharge SUEZ de Gueltas. Que nenni ! ZERO. Au diable Vauvert, allez donc voir ailleurs si l'herbe est plus verte que chez les as de Gueltas !

    Petite info non-confidentielle : AURA Environnement est membre-associé à la CSS de la décharge de LELY Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère, à la préfecture de l'Isère, en partenariat avec nos camarades de la DREAL38 et autres services de l'Etat, et cela se passe très bien. DONC, ce n'est pas à nous qu'il va falloir nous la "faire à l'envers" à Gueltas en nous refusant des documents destinés au public ! Ici, nous sommes pour la protection de l'Etat, pas pour sa décomposition !

    Pas grave, nous avons demandé à notre avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne de les obtenir auprès de la mairie de Gueltas.

    A la veille de la future enquête publique, cela démontrera au commissaire enquêteur toute la "communication" mise en place pour ne pas informer correctement les populations locales de Gueltas qui ne savent rien parce qu'on ne leur dit rien ! La plupart des gens que nous interrogé nous ont dit ne rien savoir ! Génial !

    Les constructeurs de pavillons sur le territoire de la commune de Gueltas informent-ils correctement les futurs propriétaires sur les risques des nuisances olfactives de cette décharge, car, généralement les gens ne dont pas la différence entre déchèterie et décharge ?

    Construction neuve gueltasLes architectes DPLG - notamment de Noyal Pontivy - en parlent-ils aux futurs occupants de ces coquettes habitations individuelles ? C'est qu'une fois que leurs maisons sont bâties que les nouveaux propriétaires apprennet qu'il y a une décharge dans leur commune ? Qu'elles mises en garde manuscrites ont-elles été délivrées par les notaires lors de ces acquisitions foncières ?

    Pas d'info papier sur la suite donnée à la sympathique secrétaire de mairie, que nous avons vu en mairie de Gueltas vendredi 08/09/2023 en fin de matinée, et qui a également téléphoné au directeur de la décharge SUEZ à Gueltas à propos d'une énième complainte des habitants relative aux nuisances olfactives que nous avons également constaté, ce jour-là, vers le terrain de foot dans la commune !

    Terrain foot gueltasLequel terrain de football est un espace non-traité engagé pour relever le défi de l'eau en collaboration avec le syndicat mixte du Grand bassin de l'Oust (SMGBO) - 11 EPCI, 164 000 habitants, 284 500 ha, ancré dans 3 départements bretons tel le Morbihan, l'Ile-et-Villaine et les Côtes d'Armor, 3 040 agriculteurs, 7 bassins versants, 2 sièges pour Pontivy Communauté, partenariat avec la très sympa Agence de l'eau Loire Bretagne, le conseil régional de Bretagne, le CIVAM (Centre d'initiatives pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu rural) ou le Groupement des agriculteurs biologiques 56 - qui met en oeuvre des actions de gestion quantitative et qualitative de la ressource en eau tout en assurant des missions en faveur des milieux naturels et de la biodiversité sur son territoire. Et pas contre les nuisances olfactives de la décharge de SUEZ située à moins d'1 km à vol d'oiseau ? Rien ! A l'Ouest rien de nouveau ! Circulez, il n'y a rien à voir !

    Panneau affichage republicain st gonneryAlors qu'ailleurs, les contribuables des communes voisines de Pontivy Communauté - comme ici à Saint-Gonnery - ont le droit d'avoir leur panneau d'affichage "à l'ancienne", en version papier, comme presque partout dans de très nombreuses communes petites ou grandes en France !

    Les animaux de Gueltas ont-ils vocation à boire de l'eau souillée ? Les animaux de passage ou non à Gueltas ont-ils le droit de ne pas s'abreuver correctement juste en face de la décharge de SUEZ à Gueltas ? Qui respecte leurs droits et leurs libertés fondamentales au nombre de 5 : libres de la soif, de la faim et de la malnutrition ; libres de l'inconfort ; libres de s'exprimer ; libres de la douleur, de toute blessure et de la maladie ; libres de la peur et du stress !

    2 poneys gueltasL'herbe que mangent ces pauvres poneys, à quelques centaines de mètres de cette décharge de SUEZ à Gueltas a-t-elle été analysée ? Ainsi que l'eau qu'ils consomment au quotidien ? Quel est l'état de leurs poumons ?

    Nous allons demander à la Fondation Brigitte Bardot de prendre le relais, sur l'état de la condition animale pour ce pauvre poney et ses potes, pour les autres chevaux païssant à quelques encablures, pour les vaches laitières qui ruminent dans les environs à l'est, à l'ouest et au sud de cette décharge ! Quel impacts sur leur santé, toutes ces odeurs ?

    Goelands etands gueltas 1En ce qui concerne la partie nord de cette décharge de SUEZ à Gueltas, nous allons demander l'aide de la LPO afin d'étudier les cas des très nombreux goëlands qui se désaltèrent dans les étangs proches, et qui font le va et vient avec la décharge, au diable l'avarice, il y a des asticots et d'autres sympatiques bestioles qui pullulent en abondance, n'en doutons pas, camarades  ! 

    Goelands etands gueltas 2Non seulement les populations locales seront informées par le collectif GreenBretagne mais aussi par AURA Environnement au niveau national. Les populations locales ne voudront entendre parler d'un quelconque permis de contruire (délivré par la mairie de Gueltas mais instruit par Pontivy Communauté) et encore moins d'un moindre AP (arrêté préfectoral) d'autorisation d'exploiter pendant de très nombreuses années !

    HIER décharge à ciel ouvert ! AUJOURD'HUI, on nous parle d'un "ECOPOLE", comme si la nature des déchets était différente ! LOL !

    Tractage gueltas 1Ainsi, le collectif COGB à déversé un déluge de 10 000 tracts, - de façon exemplaire (car recyclables) -, dans toute la région de Gueltas à Noyal-Pontivy....

    Tracts gueltas 4.... de Rohan à Saint-Gonnery à Saint-Gérand à Radenac, de Crédin à Pleugriffet...

    Tracts 6 gueltas.... de Réguiny à Sainte-Brigitte, sans oublier Pontivy, où il n'y a bien qu'à Pontivy Communauté où on a refusé nos tracts ! Bonjour l'exemplarité de la communication locale avec nos camarades contribuables dans la cité du médecin-général Robic, du quartier de la Cavalerie ou de la place d'Anne de Bretagne !!!

    A Gueltas, pas une boite-aux-lettres n'a été épargnée ! Tout a été "rasé" de façon méthodique et discplinée !

    Nos tracts sont dispo au très sympa bar-resto-épicerie-traiteur Le Gweltaz, rue Saint-Gildas....le Sage, priez pour nos pauvres camarades de Gueltas..... où les élu-es semblent préférer le resto de Sain-Gonnery, au secours, arrêtez vos conneries, faites donc vivre notre si beau village de Gueltas et son petit commerce de proximité !

    Gildas d'origine celtique, et connu sous le prénom latin d'Algigius, protègez notre chère bourgade de Gueltas qui recueille + de 195 000 T de poubelles ménagères majoritairement traitées par incinération dans ces cancérigènes UVE (unités de valorisation énergétique), de déchets des DAE (déchets des activités économiques) dans de malodorantes décharges qui changent continuellement d'appellation comme ISDND (Installation de déchets non-dangereux) ou de CET (Centre d'enfouissement technique) alors que ce ne sont que de vulgaires décharges comme celle qui pue à Chatuzange-le-Goubet (VEOLIA) et, que nous avons attaqué au TA de Grenoble !

    AURA Environnement a fait fermer au TA de Lyon l'infâme décharge de Nicollin à Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, alors que les populations locales n'en pouvaient plus de ces odeurs insupportables depuis trop de nombreuses années ! Nous avons aussi gagné notre référé contre la modification du PLU de la commune des Granges-Gontardes qui visait à installer la décharge de COVED-PAPREC au TA de Grenoble ! Et nous n'avons pas perdu devant le conseil d'Etat !

    L est eclair valaubiaNous nous sommes mobilisé-es massivement contre l'incinérateur de VEOLIA vers Troyes, à la Chapelle-saint-Luc, comme le rapportait le journal l'Est Eclair !

    Valaubia l est eclair 2

    Tout comme nous avons massivement mobilisé nos camarades contre l'arrêté préfectoral autorisant la déchage de SUEZ à Roche-la-Molière dans la Loire, sans oublier notre massive mobilisation à Loon-Plage vers Dunkerque contre le projet IndaChlor, l'usine d'Indaver. Source : https://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat#

    Tout comme, en 2016, nous avons, déjà, appelé à la mobilisation générale contre le centre de tri Généris de KERVAL Centre Armor à Ploufragan !

    Idem pour l'aggrandissement du centre de tri à Saint-denis-de-Pile (Gironde) ! Là-bas, nous avons mobilisé les populations locales pour contester au TA de Bordeaux le PC (permis de construire) et l'arrêté préfectoral dans 2 procédures distinctes !

    Et, dernièrement, fin juillet 2023, nous avons attaqué au TA de Toulon (Var) l'arrêté préfectoral autorisant le projet ECOVAL-BTP de MAT'ILD (filiale d'EUROVIA - VINCI) dans la commune de Pourcieux située à quelques km d'Aix-en-Provence !

    Nous ferons DONC fermer la décharge de Gueltas !

    Nous ne cèderons rien ! C'est pour vos futures générations que nous sommes ici, à Gueltas, car, nous connaissons méticuleusement les dossiers de décharges ou d'incinérateurs de déchets en France, et notre avocat, Me François RUFFIE du barreau de Libourne, sait parfaitement, lui aussi, exploiter toutes les failles de ces gigantesques décharges à ciel ouvert qui pourrissent la vie des populations locales, du matin au soir, pendant la nuit (nombreux témoignages de Gueltas et de Noyal-Pontivy - où nos tracts sont dispo au très sympa bar du Manoir), que ce soit lorsque nous voulons déguster de très bonnes merguez vegan ou non, étendre le linge de la famille ras-le-bol dees odeurs d'oeuf pourri, jardiner pour cueillir de si belles tomates qui ne seront jamais Bio, ou, tout simplement faire causette en copin-es en buvant une bière de la Duchesse Anne sans états d'âme !

    Inutile de papoter inutilement sur Facebook ou autres réseaux sociaux - qui nous espionnent déjà largement - et de raconter inutilement ce que le Collectif GreenBretagne est susceptible de préparer ou non à Gueltas ! Les firmes capitalistes n'ont pas à savoir ce que nous pensons ! Brouillons les pistes de l'Intelligence artificielle. Inutile aussi de faire des manifs contre-productives contre nos camarades de l'Etat ou les petits commerçants qui n'ont pas à subir dans les centre-ville des rassemblements nuisibles à notre cause !

    Inspirez-vous, camarades, de notre expérience du sentier lumineux vers un avenir plus radieux ! Seule, la stratégie intelligente et la solidarité priment dans la vie ! Que l'on vienne de Triffouillis-les-Oies ou de Pétaouchnock, nous devons être, au diable Vauvert, toutes et tous solidaires de nos camarades-habitant-es de Gueltas et des communes environnantes qui ne doivent pas supporter, après 2027, ENCORE des nuisances et ENCORE des nuisances et TOUJOURS des nuisances notamment olfactives lorsque les Ecureuils rouges du Gueltas Football Club courrent à bout de soufle vers la D4 !

    Heureusement que toutes les 1 500 000 T de DND ne sont pas stockées en Bretagne et que 46 % de ces déchets sont exportés dans les régions voisines, essentiellement en Pays de Loire, car, ce serait l'enfer en Bretagne et plus particulièrement à Gueltas que nos camarades-citoyens de Rennes, de Brest, de Saint-Brieuc ou de Quimper ne connaissaient pas avant que nous ne leur en parlions massivement de vive-voix !

    Bar 2 gueltasSous l'écrasante chaleur de cette semaine 36 de septembre 2023, nos camarades simplement vêtus, pratiquement sans eau (car l'eau du robinet de Gueltas serait imbuvable), ont massivement informé les populations locales sur ce qui se "tramera" dans les prochaines années à Gueltas où nous MOBILISERONS massivement nos camarades !

    "REUZ BRAS", tel a été le nom de code de notre opération, en soutien des populations locales qui sont intimement convaincues que leur si chère commune de Gueltas deviendra un cauchemar pour leurs enfants, leurs bébés, leurs petit-enfants, pauvres chouchous, nous vous jurons que cette décharge de Gueltas sera fermée en 2027 !

    Motos gueltas

    Retrouvez nos camarades dimanche 17/09/2023 lors de la dernière manche du championnat de Bretagne de course de côte de moto au lieu-dit "Le Guer" à Gueltas (organisé par le Moto-club Baleer bro - MCBB -), et venez nombreux signer notre pétition papier et électronique qui a déjà recueilli plus de 29 000 signatures en quelques jours seulement : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832

    Boju gueltas tractages 2

    Boju bien etre 1Et n'oubliez pas de flâner vers les roulottes sur le site de Boju vers le canal Nantes/Brest !

    Vive le bien-être à Gueltas !!!

    A suivre...

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-Parole du COGB (Collectif GreenBretagne)

  • Projet ECOVAL-BTP de MAT'ILD à Pourcieux (Var) : AURA Environnement déclenche l'opération #Stalingrad pour leur grade !

    Le comité central d'AURA Environnement déclenche

    l'opération #Stalingrad à Pourcieux (Var) contre

    le projet ECOVAL-BTP de MAT'ILD (Eurovia) !

    NON au stockage d'amiante et de CSR

    vers l'AOP Côtes de Provence !

    14 juin 2023 inondation acces projet ecoval btp pourcieux

    Soutenue par les populations locales regroupées autour du collectif SDV83-06 (Stop Déchets Var-Alpes-Maritimes), AURA Environnement a déclenché l'opération de résistance intitulée "Stalingrad" contre l'arrêté préfectoral - en date du 28/03/2023 - d'autorisation environnementale unique relatif à l'exploitation d'un centre de tri, recyclage et d'élimination des déchets non-dangereux issus des chantiers, dénommé projet ECOVAL-BTP, porté à "bout de bras" par la société MAT'ILD à Pourcieux dans le Var, et signé pour le préfet du Var par.... le secrétaire général de la préfecture de Toulon, Lucien GIUDICELLI.

    Le préfet du Var, Evence RICHARD, est-il trop occupé ?

    Fidèles à nos convictions du "Sentier lumineux", nous avons mis en place notre stratégie implacable : ne rien dire publiquement, pas de communication téléphone, mettre en place un vaste réseau de sentinelles de l'environnement dans le plus grand secret, nous disperser ailleurs dans la région de Bordeaux CONTRE le projet de Centre de tri (CDT) de Saint-Denis-de-Pile, ou, dans la Drôme, à Chatuzange-le-Goubet contre la puanteur existentielle de la décharge de VEOLIA ONYX-ARA, apporter notre soutien aux populations locales de Pourcieux, indignées - entr'autres - par ce projet infâme de stockage d'amiante, là où l'on produit de superbes vins AOP Côtes de Provence et Sainte-Victoire dont la réputation ne saurait être entâchée par le moindre projet de stockage de déchets même non-dangereux, et SURTOUT ne pas ébruiter notre projet de recours contre l'AP (arrêté préfectoral de la préfecture du Var) autorisant une telle installation voulue par MAT'ILD (filiale d'EUROVIA, elle même filiale de VINCI) qu'une grande partie des Pourciérain-es ne veulent voir partir en "poussière" médiatique parce qu'ils adorent leur village, cette commune championne du Var de l'écologie sans "Pesticides" et de la "Soupe au Pistou", comme ce fut le cas, le 09/07/2023, lors du repas animé en chansons par l'illustre inconnu, Franck CARGIULO, et à 16h30 avec les RDV avec les enfants sur des structures gonflables, maquillage, sculpture de ballons, distribution de barbe à papa, alors que, nous ne sommes pas, ici, pour rire de façon contagieuse, mais pour pleurer le sort des mauvais vents à quelques encablures directes de contact immédiat de Pourcieux, et plus exactement à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume !  

    En effet, chez nous, ici, NOUS, AURA Environnement, nous déplorons le tragique et dramatique accident au parc Wonderland qui a eu lieu ce week-end du dimanche 30/07/2023, dans cette commune voisine de notre camarade, Alain DECANIS, le maire de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume qui nous soutiens à 100 % !

    Chez nous, jamais de manif' contre l'Etat. Nous ne sommes pas là pour détruire l'Etat, car il faut bien un Etat de droit alors qu'ailleurs, il y a souvent ni Etat ni droits en faveur de l'environnement et des animaux. Et cela ne sert à rien de perdre du temps dans des concours de "casseroles" ou de "bassines", alors que le temps des défenseurs de l'environnement est tellement précieux dans ces luttes éternelles du petit berger David contre les grands projets inutiles du Goliath local VRP des firmes capitalistes qui ont des actionnaires internationaux comme, par exemple, au Qatar avec la très "modeste "Qatar Investment Authority" !

    Un ordre légal ne peut-être mis en doute que par un principe supérieur, et c'est donc pour cela que la notion de légitimité de nos luttes écologiques non-violentes, et son origine, la souveraineté nationale sont primordiales !

    Au diable cette avarice ! Expliquons-nous donc sérieusement pourquoi le capital social de l'entreprise MAT'ILD, crée en 2018, n'a qu'un très petit capital social de 1 000 € ?

    Alors qu'elle voudrait exploiter au lieu-dit "Lamoureux" à Pourcieux (34 km d'Aix-en-Provence) et en limite immédiate de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, dans une zone sujette à de très fortes inondations (les jours et nuitées frappées par les oncles de Zeus : Argès pour la lueur, Brontès pour l'orage et Stéropès avec les éclairs), un projet dénommé "ECOVAL BTP" qui devrait devenir  un centre de "surtri", (il y en a où ailleurs en France ?), permettant d'affiner le tri des ultimes issus d'autres centre de tri des déchets du BTP de la région SUD-PACA, de les valoriser et d'utiliser les volumes créés par l'exploitation de la carrière actuelle - de Lamoureux - en y stockant des ultimes non-valorisables..... comme l'amiante-lié ou ces infâmes CSR (combustibles solides de récupération) que nous avons déjà vu en Bretagne mal stockés en balles éventrées à l'air ambiant MAIS qui ne sont que l'incinération déguisée !

    Et d'ailleurs, quels débouchés pour ces CSR ? Iront-ils les crâmer chez les cimentiers LAFARGE, VICAT ou dans des boîtes qui fabriquent des gratins de Macaronis en région PACA ?

    Et ce, dans la petite et très fière commune de Pourcieux (où habitent 1 574 camarades dont certain-es ont fui les villes des alentours infestées par les racailles de mauvaise augure et droguées), à prédominance rurale, avec des espaces naturels et agricoles hautements paisibles, aussi bien sur le plan des paysages (forêts, plaines agricoles, massifs Sainte-Victoire et Sainte-Baume) que des usages agricoles (comme la viticulture) !

    D'ailleurs, qu'en pense donc de ce projet "ECOVAL-BTP", la vigneronne du CLOS DE LA NEUVE, dans la commune voisine de Pourrières, où nous avons massivement tracté, Fabienne CAIRE, la présidente de la Société du Canal de Provence (SCP) qui arrose en eau la commune de Pourcieux, qui se fait le héraut de la démarche "Terre saine, communes sans pesticides" qui est un outil d'action, de communication, de labellisation ou encore de mise en réseau pour faciliter la mise en oeuvre et le développement du "zéro pesticide" dans les territoires concernés ?

    Pourquoi, diantre, avoir choisi ce charmant petit village (arrondissement : Brignoles - sous-préfet Charbel ABOUD, chargé entr'autres de l'épineux problème de gestion des déchets (Var matin du 18/10/2021) - ; Communauté d'agglo de la Provence Verte - président : Didier BREMOND - ; canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - conseillers départementaux en binôme Vesselina GARELLO & Stéphane ARNAUD ; 6° circonscription législative du Var - député Franck GILETTI - ; aire d'attraction d'Aix-en-Provence et Marseille) ?

    Moi, et mes camarades, nous ne nous laisserons JAMAIS dépouillé-es de notre liberté d'action !

    Nous appliquerons la doctrine du Prolétariat jusqu'à notre mort ! !

    Autant mourir la tête haute, et "frapper" les "Puissants" avec notre propre visibilité pragmatique et humaine !

    Tuez-nous donc, en rafale, mais, vous ne ferez rien CONTRE la riposte nationale et sociale !

    ...

    MAj à suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président d'AURA Environnement

    - Porte-parole du collectif SDV8306 (Stop Déchets Var-Alpes-Maritimes)

    - Membre du collectif des associations opposées au projet de SUEZ à Fontsante (Var)

    - Membre du collectif des associations opposées au projet de MAT'ILD à Le Bar-sur-Loup (Alpes-Maritimes)

    - Solidaire du collectif d'opposants à la carrière de Mazaugues.. 

  • Chantier Transport Combiné SNCF Réseau Orléans-Les Aubrais : AURA Environnement déclenche l'opération "Saturne"

    En soutien aux populations locales du Collectif ST-COLA

    "Stop au Transport Combiné Orléans-Les Aubrais"

    AURA Environnement déclenche l'opération "Saturne"

    Contre la pleine déroute du fret ferroviaire

    Et le manque de concertation avec les riverains ! 

    Img 0456

    Les masses populaires regroupées autour du collectif ST-COLA (Stop au Transport Combiné Orléans-Les Aubrais) de la région Centre-Val de Loire et de la région Normandie et plus particulièrement à Orléans-Les Aubrais ne sont pas contentes du projet porté par SNCF Réseau, avec cette nouvelle lubie portant création d'un chantier de transport combiné sur la commune des Aubrais qui n'en parle pas, ou si peu.

    Le montant prévionnel programmé serait de 10, 3 M€, cofinancés par l'Etat à hauteur de 50 %, la région Centre-Val de Loire pour 40,19 % et la région Normandie petite dernière avec 9,81 %.

    SNCF Réseau apportera le foncier nécessaire puisque le terrain n'est que la propriété de .... SNCF Réseau.

    NOUS, ici à AURA Environnement, nous ne sommes pas des ennemis de l'Etat mais nous nous opposons aux initiatives tierces qui vont à contresens des intérêts de l'Etat.

    Est-il normal - avec l'argent des contribuables - que Laure WATTINNE de la région Normandie et que Fatima HRICH de la région Centre-Val de Loire répondent aux abonnés absents et nous renvoient vers Véronique POIRON, la responsable de SNCF Réseau Centre Val-de Loire, comme si c'était un fait acquis d'avance ?

    Le choix de ce nouveau site se porte sur la commune des Aubrais car sa localisation permettrait d'alimenter aussi bien les corridors frets nationaux qu'européens tout en offrant une facilité d'accès au réseau urbain, et ce, à proximité d'un pôle industriel et logistique.

    Outre sa contribution à la transition écologique et à l’accessibilité des territoires par l’augmentation du nombre de trains en circulation, SNCF Réseau dit vouloir porter l’ambition d’être le gestionnaire d’infrastructures écoresponsables de référence, car cela passerait par l’intégration des besoins et attentes des parties prenantes des territoires, en poursuivant les actions environnementales dans plusieurs dimensions :
    – Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) ;
    – Prévenir et réduire le bruit ferroviaire, avec des opérations de résorption des points noirs bruit, que ce soit par écrans acoustiques ou protections en façade. A cet effet, le plan de relance
    défini par le Gouvernement en novembre 2020 met à disposition de SNCF Réseau une ligne de financement de 120 M€, issue de dotations du groupe SNCF, qui permettra d’accélérer le
    programme de résorption des points noirs bruit sur le territoire national.

    QUE DE BELLES PROMESSES MAIS LA PLUPART DES CAS : DU VENT DANS LES APPLICATIONS AU NIVEAU LOCAL !

    Or, nous avons vu qu'elles étaient les promesses de SCNF Réseau aux populations locales de la ligne de fret "Vénissieux-Saint-Priest" pour les questions acoustiques, les inquiétudes des populations locales ont été entendues mais les travaux se font attendre, et il semble que la qualité de vie des citoyens, habitant à proximité des voies de fret, ne soit pas une priorité pour cette structure qui préfère, par ailleurs, favoriser l'activité économique de boites privées et commerciales comme NAVILAND CARGO qui ne cesse de rechercher des affréteurs privés pour les transports routiers de Fos-sur-Mer à Lyon et l'inverse.

    Dans le cas présent, à Orléans/Les Aubrais, il semblerait que ce soit au tour de HAROPA PORT, groupement des ports du Havre, de Rouen et de Paris, qui suive de très près dans le cadre de sa stratégie de développement et de son hinterland ferroviaire, ce nouveau potentiel de marché significatif en termes de report modal.

    Le calendrier prévisionnel des travaux prévoit une mise en service en 2025 que devrait venir contrarier AURA Environnement pour que ce projet d'infrastructure ne vienne encore alourdir le nombre de conteneurs déjà conséquent en terme de trafic avec pour objectif avoué d'en transborder jusqu'à 150 par jour, dans le vacarme assourdissant nuit et jour et les particules fines des freinages des futurs trains à répétition encore plus longs et plus nombreux et ce, aux dépends des populations locales d'Orléans/Les Aubrais.

    La région Normandie s'est engagée dans ce projet de transport combiné des Aubrais pour développer l'activité d'HAROPA PORT et porter le financement total de cette "verrue" à un total de 10,3 millions d'euros (Etat 50 % ; Région Centre Val de Loire : 40,19 % ; Région Normandie : 9,81 %), comme si de rien n'était depuis la crise du Covid et que les millions d'euros continuaient à "valser" par les fenêtres dès l'instant que ce sont les contribuables qui paient de leurs deniers alors qu'ils doivent déjà vivre dans des conditions de vie toujours plus contraigantes, (âge, cotisations, fins de carrière dans la crise des retraites), notamment pour les classes populaires très pauvres de notre société capitaliste ! .

    Le croisement en Centre-Val de Loire de plusieurs grands axes de communication verra sans cesse s'amplifier du fret et encore du fret ferroviaire vers Sain-Nazaire, Bordeaux à l'ouest, la Normandie mais aussi le Benelux au nord, d'où l'importance pour SCNCF Réseau de l'intérêt de ce projet qui viendra gonfler les dividendes de la région Normandie et d'HAROPA PORT, un groupement entre les ports du Havre, de Rouen et de Paris !

    Les chiffres en Centre-Val de Loire représentent déjà actuellement 4,5 millions de tonnes de marchandises par an dont 65 % de céréales et 23 % de granulats, avec environ 70 trains/jour sur 15 lignes capillaires fret, soit 289 km pour 112 installations terminales embranchées !

    Et ce ne sera que le début, car il faudra bien augmenter la fréquence de rendement des futurs trains en liaison avec les ports du Havre (pour les flux conteneurisés essentiellement), de Rouen (exportation de céréales) et de La Rochelle (export) ; les industries agro-alimentaires de Bretagne et du Nord de la France (nourritures pour les élevages industriels, notamment) !

    Quid des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) au 01/01/2025 et qui devront être établies dans les agglos de plus de 150 000 habitants, dont Orléans Métropole fait partie, limitant la circulation des véhicules les plus polluants dans certains périmètres. Qui en parle dans ce projet ?

    Les populations locales ne sont informées de rien, hormis des communiqués de presse aseptisés et diffusés aux organes de presse qui reprennent mot à mot le discours de la langue de bois stérile, alors que le calendrier prévisionnel des travaux prévus de l'été 2023 à 2024 s'annonce compliqué car le site sera fermé et protégé en juillet 2023, la pose du portique est programmée pour le dernier trimestre 2024 pour une mise en service en 2025 du - chantier de transport combiné - (une nouvelle dénomination desstinée à ne pas effaroucher les populations locales) ! 

    Img 0460

    Les travaux - sous perfusions permanentes du contribuable - seront menés en concomitance et en synergie avec ceux de la nouvelle base travaux de SNCF Réseau qui servira le chantier de renouvellement de la voie ferrée entre Boisseaux et Cercottes et réalisé au moyen d'un train usine en 2025.

    Alors que dans le cadre du développement durable, les indicateurs contractuels sont en nette augmentation avec les émissions carbone. Car, chaque année, l’activité de SNCF Réseau émet, directement ou indirectement, environ 1,2 million de tonne CO2 équivalent (CO2e).

    Ces émissions sont majoritairement issues de la maintenance du réseau ferré, qui couvre à la fois les actions d’entretien et la régénération des actifs. Les matériaux d’infrastructures, utilisés principalement pour la maintenance du réseau, représentent une part significative de l’empreinte carbone de l’entreprise. En effet, l’approvisionnement en matériaux d’infrastructure et la prise en charge de leur fin de vie émettent près de 60 % des émissions de SNCF Réseau, soit plus de 720 000 T de CO2e par an !!!

    SNCF Réseau met en exergue sa chaîne de travaux sur la ligne Les Aubrais/Orgères-en-Beauce, mais c'est une catastrophe !

    En effet, l'Etat, la Région Centre-Val de Loire, les groupes AXEREAL et SCAEL disent s'être engagés, afin de financer des travaux de pérennisation de la ligne "capillaire fret" Les Aubrais-Orgères-en-Beauce... menacée de fermeture.

    LE MAUVAIS PARI du FRET en CENTRE-VAL de LOIRE ?

    Paris du fret cvdl

    LE FRET FERROVIAIRE de SNCF Réseau en pleine DEROUTE !

    Le Canard enchaîné (mercredi 12/04/2023) vient d'apporter de l'eau à notre moulin contre ces projets de revalorisation du fret ferroviaire sur la ligne POLT, où AUCUNE concertation n'a lieu avec les populations locales riveraines de ces chantiers de rénovation qui sont des gouffres à argent public !

    SNCF Réseau vit perpétuellement sous perfusion financière parce que, la plupart du temps, nous avons affeire à des "incapables" plus adptes de leur plan de carrière que de la défense des intérêts de l'Etat dont ils sont, pourtant, les représentants !

    Il n'y a AUCUNE CONCERTATION avec les populations riveraines impactées par ces projets et leur acceptation sur les territoires concernés. 

    SNCF Réseau parle, dans un langage moderniste, avec des mots chocs tous droits sortis des grandes écoles de marketing, de management, ou de commerce, comme "ANTICIPATION", "DIALOGUE", "VISIBILITE", alors que les populations locales ne sont au courant de rien parce que l'on ne leur explique pas la finalité des choses qu'elles seraient, pourtant, d'accepter ou non !

    La "peur" semble justifier les moyens de "non-communication" chez les "stratèges" de SNCF Réseau !

    S'ils ne veulent pas communiquer sur le fond, nous irons à l'Action directe avec les populations locales comme nous l'avons toujours fait, de l'obscur, nous passerons à la lumière de cette déroute du fret ferroviaire dans cette région du Centre-Val de Loire, où les acteurs de ce territoire (Région Centre-Val de Loire : Fatima HRICH) n'ont pas voulu communiquer avec nous, en nous renvoyant dans les cordes de SNCF Réseau Cente-Val de Loire basé à Orléans (Véronique POIRON), pas de pitié pour la "brûlée vive" locale, feu la "pucelle", non pas de la République mais de l'ex-royauté, où les acquis et les dîmes envahissaient le quotidien des masses populaires en proie, non pas à la réforme des retraites mais à la disette de cette maudite "Guerre de 100 millénaires", où, nous, les français continuons à prendre du retard grâce à ces technocrates de pacotille qui affaiblissent implacablement notre cher pays !

    Que Karima KHADIR vienne donc nous expliquer comment se passe la "Communication" avec les masses populaires, alors qu'elle ne donne AUCUN SON à des riverains excédés MAIS exclusivement la parole de bénitier à William PELLETIER, le maire de Châteauneuf-sur-Cher qui se dit "satisfait du dispositif de communication présenté par SNCF Réseau".

    Amen ! Ben voyons ! Bravo pour ce discours chloroformé !

    Comment expliquer, comme le relate le Canard Enchaîné (12/04/2023) "Que remplacer les trains de marchandises par des semi-remorques, ce n'est pas un progrès pour la planète....", puisque "Depuis la dernière récolte, en juillet 2022, la coopérative céréalière AXEREAL, implantée en région Centre - 11 000 agriculteurs -, a comptabilisé 129 annulations de trains, soit 9 % des convois que la coopérative devait faire circuler . "

    Les raisons ? Les grèves, manque de peronnel, ou de matériel, des travaux qui s'éternisent ? "En remplacement, AXEREAL a dû affrêter 5 800 camions sur les routes".

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    Super le bilan carbone !

    "Du blé, pourtant, AXEREAL en débourse par poignées, ces dernières années, pour essayer de rénover les tronçons qui relient ses silos à grains au réseau principal, en coopération avec les régions et SNCF Réseau. Qui affirme de son côté avoir doublé ses investissements destinés au fret entre 2020 et 2022 : 140 millions par an".

    Et le Canard Enchaîné d'amplifier : "Hélas, c'es bien pâle pour effacer des décennies de sous-investissement. Un quart des voies "capillaires", qui releient les trains de marchandise au réseau, ont été abandonnées aux mauvaises herbes en 5 ans, soit 822 km. Après 40 ans de décrépitude, le ferroviaire a tout de mêm regagné 1 point sur le routier, entre 2020 et 2022, avec 10,7 % des marchandises transportées par rail. Mais, sur 5 ans, la part de marché stagne. Et reste inférieure de 7 points à la moyenne européenne".

    INVESTISSEMENT TITANESQUES...... DANS LE VIDE  ? L'ARGENT PUBLIC JETE PAR LES FENETRES ?

    "L'opérateur national n'est pas prêt de sortir du marasme. Entre 2006, date de l'ouverture du fret à la conccurence, et aujourd'hui, Fret SNCF a réduit ses effectifs de 15 000 agents à ... 5 400", rajoutant que "C'est la croix et la bannière pour trouver un conducteur, un agent au sol et une machine qui fonctionne" selon David LASNIER, secrétaire-général CGT-Cheminots de Vierzon qui râle !

    La filiale de l'entreprise publique risque désormais une sanction de la Commission européenne pour des aides "illégales" d'Etat (5,3 milliards d'euros de reprise de sa dette en 2019. "Pour la peine, Fret SNCF pourrait bien être obligé de céder gracieusement de nouvelles parts de mat=rché à ses conccurents, car le privé à déjà grignoté 37 % ,du transport sur rail. !

    Le 24/02/2023, Elisabeth BORNE a lancé un plan à 100 milliards d'euros pour le train d'ici à 2040.

    Sauf que, dans cette enveloppe, rien n'est, pour l'heure destiné vers le fret.

    Et le volatile de marteler : "Même Jean-Pierre FARANDOU, le patron de la SNCF, qui n'a que l'expression "zéro carbone en 2050" à la bouche, ne s'est pas aventuré à évoquer les investissements nécessaaires pour remettre le réseau à niveau".

    Dans un rapport publié en mars 2022, le Sénat estimait qu'il faudrait débloquer 2 milliards par an entre 2025 et 2030.

    Mais l'Alliance 4F, qui réunit les professionnels du fret, évalue les besoins à 3,5 milliards annuels !

    Car il convient de financer sans cesse des travaux titanesques : ponts, tunnels, viaducs, mise à niveau de la signalisation !!! .

    Marc-Claude de PORTEBANE.

  • Projet Centre de tri #TRIGIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE : les raisons de la colère Rouge

    AURA Environnement                                                 

    Association loi 1901

    Identification R.N.A : W033003439

    7, rue du Creux de l’Enfer

    63000 CLERMONT-FERRAND

    06 40 29 68 72

    aura-environnement@protonmail.com 


     

    Collectif SCTL

    (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne)

    à

    SPL TRIGIRONDE

    Mr le président Jérôme GUILLEM

    8, Route de la Pinière

    33910 SAINT-DENIS-de-PILE

    In fine

    - Mr le président du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE

    - Mr le président du SEMOCTOM

    - Mr le président du SICTOM SUD-GIRONDE

    - Mr le président de la CC MEDOC ESTUAIRE

    - Mr le président de la CC MEDULLIENNE

    - Mr le président de la CC CONVERGENCE GARONNE

    Par LRAR et courriel

    Clermont-Ferrand, le 16/03/2021

    Monsieur le président,

    Suite à votre appel d’offres concernant la Mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la définition et la construction d’un centre de tri départemental.

    Avis n° 19-137512. Date limite des offres : 04/10/2019.

    J’ai l’honneur de solliciter la communication des documents administratifs relatif à l’AO précité :

    1. De l’avis d’attribution de marché n° 19-137512
    2. Les différents appels d’offres que la SPL TRIGIRONDE a mis en ligne sur le bulletin officiel des annonces des marchés publics (BOAMP) depuis sa constitution
    3. Le compte-rendu de l’ouverture des plis par les membres du bureau de la SPL concernant l’appel d’offres précité et « décidant l’attribution de l’appel d’offre à telle entreprise.
    4. La proposition retenue lors de l’ouverture des plis
    5. Le contrat signé par l’entreprise retenue et la collectivité SPL TRIGIRONDE
    6. Le cahier des charges de la SPL TRIGIRONDE à l’entreprise retenue
    7. Le volet technique des travaux et aménagements.
    8. Le rapport d’analyses des offres
    9. Le PV de présence des élu-es à la CAO + la décision d’attribution du projet
    10. La sécurisation financière (coûts annuels de fonctionnement, l’investissement et le coût d’amortissement annuel, les coûts de traitement annuels, etc….).

    A ce titre, je me permets de vous indiquer que nous agissons conformément aux articles L 300-1 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration relatifs à la liberté d’accès aux documents administratifs.

    Il convient également de souligner que certaines de ces informations entrent dans la catégorie d’informations relatives à l’environnement au titre de l’article L. 124-1 et suivants du Code de l’environnement.

    Je vous rappelle que la CADA a indiqué qu’une fois signés, les marchés publics et les documents qui s’y rapportent sont considérés comme des documents administratifs soumis au droit d’accès institué par la loi du 17/07/1978.

    Les notes, classements et éventuelles appréciations de l’entreprise lauréate du marché sont donc librement communicables, tout comme l’offre de prix détaillée de l’entreprise retenue ainsi que l’offre de prix globale des entreprises non-retenues. (Source : Avis de Mme le Rapporteur général-adjoint, Conseillère de tribunal administratif à la Cada).

    Sont exclus de notre demande de communication, les éléments suivants :

    - les mentions relatives aux moyens techniques et humains ;

    - les mentions concernant le chiffre d’affaires, les coordonnées bancaires ;

    - les références autres que celles qui correspondent à des marchés publics.

    Nous sommes donc communicables et également consultables sur place :

    - Le Cahier des clauses particulières (CCAP)

    - Le Cahier des clauses techniques particulières (CCTP)

    - Le Règlement de la consultation (RC)

    - La Liste des candidats admis à présenter une offre

    - Le Rapport de présentation du marché

    - Le PV d’ouverture des plis

    - La Lettre de notification du marché

    - L’acte d’engagement et ses annexes (après occultation des coordonnées bancaires   ou RIB et de l’annexe financière)

    - Le rapport d’analyse des offres

    - Les éléments de notation et de classement

    - L’Offre de prix globale ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)

    - La Lettre de candidature (DC4) de l’entreprise attributaire

    - L’Etat annuel des certificats reçus (DC7) de l’entreprise attributaire

    - La Déclaration du candidat (DC5) de l’entreprise attributaire

    - L’Offre de prix global ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)

    - L’Offre de prix détaillée, le détail unitaire des prix

    - Le mémoire technique, etc….

    Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par le conseiller communautaire de la CC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. (Source : Le Républicain Sud-Gironde du 11/03/2021).

    En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la société TriGironde, prochainement située à Saint-Denis-de-Pile, à au moins 60 km des communes concernées.

     

    Nous avons donc pris en considération les itinéraires parcourus les plus courts (par des voitures citadines) et le temps consacré (toujours par des voitures citadines), Source (ViaMichelin), de ces communes de la CC Convergence Garonne en direction de Saint-Denis-de-Pile :

    - Podensac (siège de la CC Convergence Garonne) : 52 km – 1 h de trajet en voiture

    - Arbanats : 49 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Barsac : 54 km – 1h03 de trajet en voiture

    - Béguey : 52 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Budos : 68 km – 1h18 de trajet en voiture

    - Cadillac : 51 km – 00h57 de trajet en voiture

    - Cardan : 45 km – 00h50 de trajet en voiture

    - Cérons : 52 km – 1h de trajet en voiture

    - Donzac : 46 km – 00h51 de trajet en voiture

    - Escoussans : 43 km – 00h47 de trajet en voiture

    - Gabarnac : 52 km – 00h57 de trajet en voiture

    - Guillos : 66 km – 1h12 de trajet en voiture

    - Illats : 58 km – 1h05 de trajet en voiture

    - Landiras : 65 km – 1h10 de trajet en voiture

    - Laroque : 48 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Lestiac-sur-Garonne : 48 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Loupiac : 52 km – 00h58 de trajet en voiture

    - Monprimblanc : 49 km – 00h54 de trajet en voiture

    - Omet : 47 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Paillet : 47 km – 00h49 de trajet en voiture

    - Portets : 47 km – 00h50 de trajet en voiture

    - Preignac : 58 km – 1h06 de trajet en voiture

    - Pujols-sur-Ciron : 62 km – 1h11 de trajet en voiture

    - Rions : 49 km – 00h54 de trajet en voiture

    - Saint-Michel-de-Rieufret : 56 km – 1h de trajet en voiture

    - Sainte-Croix-du-Mont : 53 km – 1h de trajet en voiture

    - Virelade : 50 km – 00h56 de trajet en voiture

    Le constat est en effet éloquent !

    Les habitant-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) se posent des questions sur la pertinence de votre projet de centre de tri :

    - Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?

    - Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter sur nos routes de campagne ?

    - Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?

     

    - La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers le futur centre de tri de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?

    - De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets vise-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?

    - Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?

    - Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire. Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.

    Des études sont en cours, le nouveau centre de tri de TRIGIRONDE devrait ouvrir ses portes fin 2022.  (Source : SMICVAL, Renforcer la prévention et le recyclage, dans le respect de la réglementation).

    Comment dans ces conditions envisagez-vous l’avenir de votre futur centre de tri alors qu’au niveau de la Covid-19, la France ne s’en sort pas, un an après le premier confinement (Source : franceinfo du 16/03/2021) ?

    A titre d’exemple, dans la semaine du 06/03 au 12/03/2021, à Saint-Denis-de-Pile, il a été constaté entre 3 et 9 nouveaux cas de Covid-19, 144 tests de dépistage ont été réalisés. (Source : d’après les chiffres de Santé Publique France, estimations Linternaute.com).

    - Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.

    Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?

    Les populations réunies autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies ont représentés une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces centres de tri de plus en plus gros, qui engendrent la peur au quotidien.

    A titre d’exemple :

    - Le 28/05/2020, alors que les employés s’apprêtaient à quitter le centre de tri de déchets de Bénesse-Maremne (Landes), un incendie s’est déclaré au Sitcom Côte sud des Landes. Le départ de feu, dans les déchets de type « encombrants » stockés sur un espace extérieur, a rapidement gagné en puissance, et les pompiers ont été appelés sur site. Le feu, « couvant », a été éteint à 1 h 10 du matin. 1 500 tonnes de détritus ont été touchées, ce qui a sollicité 30 pompiers de Capbreton, Tosse, Magescq, Saint-Martin-de-Seignanx et Dax (Source : Sud-Ouest https://www.sudouest.fr/2020/05/28/benesse-maremne-40-incendie-au-centre-de-tri-de-dechets-7520962-3301.php ).

    - Le 04/07/2020, une partie du hangar de 20 000 m² du centre de tri a brûlé à Istres provoquant une épaisse fumée. Le tweet des pompiers13 en dit long : « 80 #Pompiers13 et une trentaine d'engins sont engagés sur un violent feu d'entrepôt, quartier Prignan à #Istres, provoquant d'importantes fumées. 2000 m2 ont brûlé. Les pompiers mettent tout en œuvre pour éviter la propagation de l'incendie. Evitez le secteur ! ».

    - Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232 ).

    - Le 14/08/2020, un violent incendie s’est déclaré dans la zone industrielle de Milhaud (Gard). A leur arrivée à minuit, 45 sapeurs-pompiers et 23 véhicules, dont un poste de commandement, ont été confrontés au feu de d’environ 20 000 m3 de déchets de démolition : bois, plastiques, papiers, etc…. Des engins de chantier ont été utilisés pour déplacer les déchets afin de faciliter leur extinction et une équipe spécialisée en risques chimiques s’est même rendue sur place pour vérifier l’absence de pollution dans le Vistre situé à proximité. Le Vistre est un fleuve côtier français qui traverse la Vistrenque, région naturelle et agricole du département du Gard, en région Occitanie. Son cours a été aménagé pour déboucher aujourd'hui dans le Canal du Rhône à Sète. (Source France Bleu Gard Lozère https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/violent-incendie-en-cours-dans-la-zone-industrielle-de-milhaud-1597385279 ).

    - Le 21/09/2020, un spectaculaire incendie a ravagé un bâtiment d’une entreprise spécialisée dans le recyclage et la valorisation des déchets industriels où étaient stockés des matériaux composés de papier, de plastique, de bois. Un important dégagement de fumée était visible à des kilomètres. Les équipes du SDIS 68 avaient rapidement établi un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du site. La préfecture a activé le centre opérationnel départemental et demande d'éviter le secteur. Le barriérage mis en place dans le quartier aux abords de l'entreprise en question a été progressivement levé par les services de police. Les élèves et le personnel du collège Hector Berlioz ont quitté l'établissement et sont rentrés chez eux. Une information a été transmise par le collège à l'ensemble des familles, a précisé la préfecture. (Source : France 3 Grand Est https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/colmar/colmar-spectaculaire-incendie-ravage-batiment-entreprise-schroll-1876078.html ).

    - Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une performance du recyclage sur le plan économique ?

    - Votre projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains ?

    - Le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues. Dans l’annexe 1 (communes reconnues en état de catastrophe naturelle), dans le département de la Gironde, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile. C’est donc dans ce contexte défavorable que la SPL TRIGIRONDE envisage de créer un centre de tri de plus 35 000 T, et ce, sans que les populations locales en aient été informées au préalable ? En avez-vous informé les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile ? Quelles incidences en cas de sévère inondation ?

    - Nous avons relevé – photos à l’appui – que de l’eau stagnait dans les fossés et même sur les terrains agricoles, aux abords du « Pôle recyclage » du SMICVAL, route de la Pinière. Quels risques pour l’avenir des populations locales en cas de potentielle catastrophe naturelle ?

    - La DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré que lors de la visite en date du 10/07/2019, l’inspection des installations classées a constaté les faits suivants, et que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’AP d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;

    - articles 1.1 et 2.1 :

                _ L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;

    - articles 5.2 de l’annexe :

    _ Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;

    - articles 5.3 de l’annexe :

                _ La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;

                - article 7.2 de l’annexe :

                _ L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :

                - en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;

                En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).

    La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….

    Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?

    Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002, de respecter sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ; sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ; sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!

    - Un pauvre cheval accompagné d’un bouc se trouvent à l’arrière du « Pôle recyclage » actuel, non-loin du Chemin des Moines. Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?

    Avez-vous pris en considération le CAUSE animale étant donné que le site retenu par la SPL TRIGIRONDE pour y construire ce méga centre de tri de plus de 35 000 T dépasse depuis 2016 les analyses en Phosphore total, en Azote global, en MES, DB05 et DCO ?

    - Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de centre de tri parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !

    Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.

    - La SPL a augmenté de façon vertigineuse son capital social …. Avec l’argent public. Les 530 000 contribuables composant la SPL TRIGIRONDE (SMICVAL, SEMOCTOM, SMICOTOM, SICTOM SUD-GARONNE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULLIENNE) sont-ils informé-es des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE ? En effet, l’AG extraordinaire des actionnaires réunie le 16/06/2020 a décidé d’augmenter le capital social de TRIGIRONDE de 1 025 000 euros pour le porter de 225 000 € à 1 250 000 € par la création de 1 025 000 actions nouvelles de 1 euro nominal chacune émises au pair, à libérer lors de la souscription d’une somme de 560 000 euros représentant 54,63 % du nominal, etc…

    - Pourquoi ne pas informer les 530 000 contribuables des 361 communes que le SMICVAL est titulaire d’une créance sur la Société de 221 603 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULIENNE est titulaire d’une créance sur la Société de 22 283 euros ; que le SEMOCTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 134 828 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE est titulaire d’une créance sur la Société de 29 055 euros ; que le SMICOTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 82 63 euros ; que le SICTOM SUD GIRONDE est titulaire d’une créance sur la Société de 69 840 euros ?   

    - Les 530 000 contribuables de toutes ces communautés de communes sont-ils correctement informés via un site internet entièrement dédié à la SPL TRIGIRONDE alors que cette société ne dispose pas de locaux et que c’est le SMICVAL qui lui met à disposition des espaces de travail ? Est-il possible d’avoir une copie de cette convention temporaire de mise à disposition d’espaces de travail appartenant au SMICVAL ?

    Le Département de la Gironde n’a-t-il pas suffisamment de locaux disponibles dans son parc immobilier afin de mettre à la disposition de la SPL TRIGIRONDE d’espaces de travail suffisants pour faire respecter la lutte contre la Covid-19 ?

    - Quel est l’urgence d’espaces de travail mis à disposition par le SMICVAL alors que le conseil d’administration de TRIGIRONDE s’est réuni en date du 03/11/2020…. par visio-conférence ?  

    - Pourquoi n’est-il pas mentionné dans la 9° résolution du PV des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE, en date du 03/11/2020, les mesures de précautions à prendre, plus particulièrement dans le respect du Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19 ?  

    L’employeur doit ainsi, notamment, évaluer les risques et mettre à jour le document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’entreprise en y intégrant les mesures nécessaires pour éviter au maximum le risque de contamination : information et sensibilisation, organisation du télétravail, réorganisation du travail et des flux pour respecter les règles de la distanciation, gestion et suivi des installations d’aération/ventilation, moyens de protection (masques, écrans de séparation des postes de travail…), nettoyage et désinfection des locaux…).

    Les missions de l’employé de TRIGIRONDE, en l’occurrence le DG, cadre développeur habitué aux montages complexes (SEM, SPL, PPP, MPGD) avec une agilité à assurer un développement maîtrisé, sont multiples. Il doit être suffisamment protégé par des résolutions en ce sens puisqu’il doit mettre en œuvre la stratégie du conseil d’administration en définissant les objectifs et les moyens nécessaires à sa bonne exécution. Ses missions principales étant d’assurer, tout de même, la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri, de participer à la définition de la stratégie d’entreprise de TRIGIRONDE.

    Comment se fait-il que ce soit le SMICVAL qui ait été chargé de son recrutement ?

    Nous avons observé nombre de parcelles de vignobles autour du futur centre de tri. Qu’elle est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?

    Question coûts de ce futur centre de tri, les chiffres ne semblent jamais les mêmes :

    - investissement du seul bâtiment évalué « à la louche » à 20 millions d’euros en 2017.

    - investissement de 18 millions d’euros en 2019.  

    - évaluation du chantier à 20 millions d’euros.

    - « Flou financier » dans la presse de ces derniers jours.

    Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir que les députés ont donné leur aval en commission ce dimanche 14/03/2021 à la mise en place d’une “contribution” poids lourds dans les régions qui le souhaitent et qui sera examiné fin mars dans l’hémicycle. “L’objectif est de favoriser le transport des marchandises par des moyens moins émetteurs de gaz à effet de serre (ferroviaire, fluvial…)”, précise l’exposé des motifs du projet de loi.

    Avez-vous programmé cet éventuel surcoût régional pour les camions bennes à ordures chargés de collecter le sélectif dans votre cahier des charges ?

    En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».

    On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :

    - la multiplication des centres de tri,

    - l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation. 

    Joëlle KERGREIS, directrice-adjointe à la direction exécutive des programmes de l’ADEME indique « Nous souhaitons que les progrès obtenus dans les filières de gestion des déchets s’accompagnent de transports également optimisés. Nous sommes vigilants à conserver un regard croisé sur les problématiques environnementales, afin que les bénéfices d’une action ne soient pas entachés d’effets néfastes par ailleurs… ».

    Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).

    Or, l’analyse détaillée, flux par flux, des papiers et emballages recyclables du SMICVAL, par exemple, est sans arrêt en augmentation (+ 0,9 % en 2019).

    L’évolution des tonnages entrant au centre de tri actuel du SMICVAL a explosé, à + de 3,8 % (évolution 2018/2019).

    Tous les indicateurs sont en constante augmentation, que ce soit en collecte en porte-à-porte en bac jaune, en apport direct par les professionnels, en apport en pôle recyclage, en apport direct par les professionnels, en apport dans les BAV, en apport direct par les professionnels et particuliers sur pesée. Les films plastiques – en apport direct par les professionnels – culminent à plus de 100 % !

    Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.

    Dans les territoires déjà concernés par l’extension des consignes de tri, chaque habitant du territoire de la SPL TRIGIRONDE devrait donc recycler plusieurs kg supplémentaires d’emballages par an.

    Or, nous avons observé – photos à l’appui – que de nombreux dépôts sauvages de plastiques, de sacs noirs d’OMr et de matelas polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais.

    Certains espaces verts ont d’ailleurs été nettoyés par des bénévoles du Forum citoyen en direction du chemin des Lorettes ! Qu’en est-il de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?

    Comment, dans ces conditions, voulez-vous « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ?

    Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?

    Par ailleurs, il y a lieu de se poser quelques questions puisque les SPL font l’objet même de critiques dans leur propre mode de fonctionnement.

    Le principe de l'utilisation des sociétés publiques locales (SPL) est critiqué, certains y voyant un moyen pour les administrations d'échapper au code des marchés publics et de donner des emplois aux amis du pouvoir.

    Christian Julienne, président du laboratoire d'idées libéral Héritage et Progrès, écrit ainsi : « Toutes les grandes villes, les départements et autres vont être naturellement tentés de créer ces sociétés publiques locales pour y mettre les vice-présidents, adjoints, chefs de service et autres amis politiques heureux de devenir entrepreneurs avec l’argent des contribuables et sans se soumettre à la concurrence. […] En outre, le texte lui-même constitue un véritable appel au délit de favoritisme, à la prise illégale d’intérêts et à l’abus de bien social ». Ce point de vue n'est toutefois partagé que par un petit nombre de personnes, la SPL n'assouplissant pas le régime des outils déjà à la disposition des collectivités locales, comme les EPIC, les SEML, ou encore les associations transparentes. Elles répondent au contraire à une critique sur la non-transparence des SEML quant au choix des partenaires privés actionnaires au capital.

    Pour ses défenseurs, la SPL reste un outil privé à disposition d'un pouvoir public et est donc un outil, parmi d'autres, permettant d'éviter l'emploi de fonctionnaires publics pour accomplir des missions de service public.

    Nous vous remercions de bien vouloir rassurer les 500 000 habitants composant les 361 communes de la SPL TRIGIRONDE en nous communiquant votre point de vue.

     Dans l’attente de vos réponses et dans l’attente d’un RDV avec votre DG en vos locaux dans le respect du Protocole national face à l’épidémie de COVID-19 , je vous prie de croire, Monsieur le président, à l’assurance de ma considération distinguée.

  • PROJET MAT'ILD DECHARGE MACHEFERS Le Bar sur-Loup (06) : AURA Environnement déclenche l'Opération "Tanière du Loup" !

    AURA Environnement inonde de tracts

    les alentours de Le Bar sur-Loup CONTRE

    le projet de décharge de mâchefers proposé par MAT'ILD !

    Img 7403

    Photo : le président d'AURA Environnement au centre, entouré par le maire de Le Bar sur-Loup (à sa gauche)

    François WYSZKOWSKI et le 1er adjoint aux travaux et à l'Urbanisme Georges CAUVIN !

    En 2 jours, AURA Environnement en soutien aux populations locales regroupées au sein du Collectif SDV83-06 (STOP DECHETS VAR-ALPES-MARITIMES) a déclenché l'opération "Tanière du Loup" à Le Bar sur-Loup, à Gourdon, le long de la route Napoléon, en tractant massivement dans toutes les boites aux lettres pour que, massivement, les voix s'élèvent lors de l'enquête publique qui s'est achevée le 13/01/2023.

    Suite à nos tractages massifs, nos camarades de la région de Le Bar sur-Loup ont donc répondu massivement sur les registre du commissaire-enquêteur et sur l'espace dédié en ligne afin de s'opposer à ce projet dit de "Fabrication de matériaux alternatifs".

    "Alternatifs"..... un nouveau mode de communication alors qu'il aurait été plus simple de parler de ces infâmes mâchefers !

    Nous avons rencontré plusieurs fois en mairie de Le Bar sur-Loup le commissaire enquêteur pour lui demander la tenue d'une réunion publique comme cela s'est fait lors de notre lutte contre le projet de "décharge" de MAT'ILD à Pourcieux (Var), mais, celui-ci a catégoriquement refusé....

    Img 7652..... alors que nous estimons que les populations locales n'ont pas été suffisamment informées du projet, puisqu'il faudra qu'elles subissent une longue liste de griefs, comme :

    - L'augmantation du trafic routier sur un réseau pas du tout adapté. Entre Nice/Antibes et Le Bar Sur-Loup, la RD 3 : un SEUL accès très dangereux qui regorge de camions à bennes basculantes,

    - L'augmentation de la pollution due au trafic routier supplémentaire pour plus de 50 T de CO²/an,

    - L'augmentation de l'accidentologie sur le parcours retenu vers le parc d'activité de La Sarrée,

    - La pollution du sol en phase travaux due aux déblais de 96 000 m3 et aux 18 000 m3 de remblais,

    - La pollution des sols dûe aux surplus de terre (78 000 m3) à évacuer en phase travaux,

    - La retombée des poussières de mâchefers sur les terrains avoisinants pouvant servir de pâturages y compris la faune et la flore existante (comme le lys Martagon), y compris la culture des bigaradiers,

    Img 7989 1- La pollution de l'air qui impactera irrémédiablement la vallée de la Sarrée,

    - La pollution de l'air en phase exploitation dûe aux poussières fines,

    - La pollution olfactive due à la mâturation des mâchefers estimés de 60 000 T à 100 000 T/an !!!!

    - La pollution de l'eau par une maîtrise hypothétique des eaux pluviales (risque de débordements des bassins),

    - La pollution de l'eau de nos sources, qui viennent en grande partie de Caussols et des montagnes environnantes, par un risque potentiel de fuites des bassins de rétention ou par débordement non-maîtrisé par l'exploitant,

    - La pollution de la nappe souterraine par infiltrations du jus des lixiviats (la nappe sous-jacente alimente la région à hauteur de 55 millions de m3/an),

    Img 6738- La perturbation de la faune par purge de la falaise (escargots de Nice, chauve-souris, lézard des Murailles, Lézard vert à raies.....),

    - Le traitement physico-chimique (arrosage) des mâchefers visant à diminuer le potentiel polluant de ces derniers et à le concentrer dans les lexiviats, et non, à l'éliminer !

    - La séparation aéraulique (soufflage) qui risque d'entraîner des poussières dans l'atmosphère,

    - Le risque de perturbation de l'observation pour l'observatoire du SERGA à Caussols (radar de l'aviation civile visible depuis le bord de mer) et situé sur un plateau karstique !

    Img 6740         Les tracts d'AURA Environnement sont disponibles en mairie de Le Bar sur-Loup. N'hésitez pas à vous en servir !

    Bistrot le donjon lbsl      Ainsi qu'au Bistrot Le Donjon, rue Francis Paulet à Le Bar sur-Loup !

    - Le risque de chute de blocs et d'éboulements sur la RD3 dûs aux passages des camions,

    - Le bassion de rétention qui ne sera équipé que d'un repère visuel pour la gestion du niveau des liquides et ce, sans plus de contrôles,

    - Les observations de la MRAe qui recommande de procéder à une campagne de mesures atmosphériques précisant la nature des substances contenues dans les poussières et leur concentration....

    Les échanges que nous avons eu avec Guy HERON, le commissaire enquêteur, se sont déroulés en forme de "dialogues de sourd". Du jamais vu !

    Suite à notre réunion avec le maire de Le Bar sur-Loup, nous lui avons demandé d'organiser une réunion publique en sa présence. Il a refusé. Nous avons demandé une prolongation de 15 jours de l'enquête publique parce que nous prensons que les populations locales n'ont pas été correctement informé-es du projet de A à Z. Il a refusé.

    A quoi ça sert alors un commissaire-enquêteur s'il n'y a pas de réunion d'information avec l'exploitant ?

    Or, il nous semblait important de contredire les témoignages en faveur du projet déposés par BTP06 et MODBLOC PACA qui stipulaient que le procédé MAT'ILD est breveté (INPI) pouvant laisser supposer à un gage de qualité du fait de ce(s) brevet(s).

    Ceci a été contesté par par un internaute (propriétaire de 3 brevets, dont un à l'international), car un brevet n'est absolument pas un gage de qualité de fabrication mais simplement une protection juridique commerciale.

    Nous aurions aimé poser publiquement la question relative aux accords potentiels entre la société V. MANE FILS et MAT'ILD concernant l'eau issue de la station de l'usine de Notre-Dame qui devrait être utilisée pour l'humification des mâchefers. Il semblerait que la V. MANE FILS n'aurait pas donné son accord. Alors, si ce n'est le cas, d'où proviendrait donc cette eau vitale pour une bonne utilisation de ce projet d'usine à mâchefers issus du 06 ?

    Et si cela ne suffit pas, nous irons voir les producteurs AOC concernés comme les producteurs d'Huile d'olive, d'olives tout court et de pâte de Nice.

    Img 6654Ensuite, nous nous irons voir les 38 producteurs labélisés en IGP, comme l'agneau de Sisteron, le miel de Provence, le vin et le Mousseux des Alpes-Maritimes, le vin nouveau ou primeur des Alpes-Maritimes ou le vin de la Méditerranée qui ne sont, certainement pas au courant d'un tel projet hallucinatoire !

    ..

  • AURA Environnement s'oppose au projet de décharge MAT'ILD à Pourcieux-Saint-Maximin

    NON au projet de décharge des déchets

    de MAT'ILD (Eurovia) à

    Pourcieux - Saint-Maximin-la-Baume !

    Img 4357

    Le comité central d'AURA Environnement a appelé les populations locales - via à un tractage massif de 5 000 tracts - à la mobilisation générale fin août 2022 en se rendant massivement à la réunion publique qui s'est tenue à salle des fêtes de Pourcieux (Var) afin de s'opposer à ce projet de décharge entre Pourcieux et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

    C'est ainsi que les habitant-es des communes concernées ont répondu massivement à notre appel, certaines personnes n'étant même pas au courant du projet aux portes de leur village et des vignobles AOP Côtes de Provence et AOP Côtes de Provence dénomination Sainte-Victoire !

    Img 4377 2

    Agissons aujourd’hui pour ne pas le regretter pendant 30 ans ! 

    La société qui porte le projet a 9 millions de dettes pour 12 millions de CA et seulement 1 000 € de capital social !!! 

    Ce n’est pas sérieux pour exploiter une telle décharge qui nécessite des capacités techniques et financières importantes.  

    • NON aux norias de camions devant le collège et le lycée de nos enfants  
    • NON à la pollution de notre ressource en eau en ces temps de canicule 
    • NON aux odeurs nauséabondes   
    • NON aux envols de déchets dans notre forêt et nos vignobles  
    • NON au risque d’incendie dans le Mont Aurélien  
    • NON à la perte de valeur de nos terres et de nos maisons  
    • NON à la pollution de l’air 

      MOBILISONS-NOUS contre ce projet funeste que l’Etat  veut faire passer en force en organisant une enquête publique en plein mois d’août !!!
       

    Marc-Claude de PORTEBANE

    • Président d'AURA Environnement
    • Porte-parole du Collectif STOP DECHARGES VAR-Alpes-Maritimes (SDV83-06)
    • Membre du Comité de Liaison pour la Protection du massif de l'Estérel et du lac de Saint-Cassien (Var)

  • Saint-Denis-de-Pile : AURA Environnement déclenche l'opération "Dionysos" CONTRE AP Enregistrement Usine à poubelles !

    AURA Environnement déclenche l'opération "Dyonisos"

    CONTRE l'arrêté préfectoral du 28 avril 2022 portant

    enregistrement d'un centre de tri intolérable

    de DND sur la commune de Saint-Denis-de-Pile !

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    AURA Environnement, en soutien avec les populations locales catégoriquement opposées au projet d'Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile, a déposé, le 26/08/2022, une requête en référé-suspension, devant le tribunal administratif de Bordeaux, de l'exécution de l'arrêté préfectoral (AP du 28/04/2022 de Mme la préfète de la Gironde portant enregistrement d'un centre de tri de déchets ménagers non-dangereux exploité par la société SEPUR sur la commune de Saint-Denis-de-Pile), étant entendu qu'une autre requête en annulation a également été déposée contre le même acte devant les juges de l'honorable tribunal administratif.

    Nonobstant un "matraquage" en règle de la part de la presse locale contre nous toutes et tous uni-es dans une confraternelle lutte des droits de la défense de l'environnement et des animaux, nous lutterons jusqu'au bout pour que ce projet d'usine de 34 000 T/an de poubelles ne vienne ternir le territoire de Saint-Denis-de-Pile.

    AURA Environnement qui a reçu l'appui de nouveaux riverains par rapport à celles et ceux opposé-es dans notre recours contre le permis de construire autorisant cette Usine à poublles, ira jusqu'au BOUT de l'épuisement de TOUTES les voies de recours.

    Inutile de vous rappeler qu'AURA Environnement est membre titulaire du collège "Environnement" du Comité consultatif sur les questions environnementales (CCQE) au sein de la SPL TRIGIRONDE (PV du 13/10/2021) qui entend porter ce projet absurde.

    Cela a été voté par les élu-es du SMICVAL du Libournais Haute-Gironde, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CDC MEDOC ESTUAIRE, de la CDC MEDULLIENNE et de la CDC CONVERGENCE GARONNE qui ont reconnu à - l'unanimité - le rôle d'AURA Environement dans la défense de l'environnement, des animaux et des populations locales, et ce, sur le territoire de tous les citoyen-nes membres de ces structures intercommunales qui regroupent plus de 550 000 habitants en Gironde.

    D'autres recours sont en gestation dans d'autres domaines et nous remercions les populations locales de Saint-Denis-de-Pile et de très nombreux élu-es de leur soutien moral massif, alors qu'un prêt "vert" de plus de 11 millions d'euros a été octroyé dernièrement à la SPL TRIGIRONDE par la Banque des Territoires sur le site du SMICVAL, le...... 23 juin 2022, et ce, sans attendre les résultats de notre premier recours contre le permis de construire de la fin mai 2022 !!!

    Alors que nous avons relevé que ce "projet envisagé est donc de nature à générer des nuisances et à avoir des incidences néfastes pour l'environnement, incidences qui n'ont pas été évaluées".

    Comment se fait-il que la Caisse des dépôts et consignations, qui, à travers la Banque des Territoires, soit si pressée de participer au financement de cette Usine à poubelles, alors que les finances publiques sont dans le rouge et que nous sortons avec peine sur le territoire national d'un douloureux pic de chaleur en cet été 2022 (28 000 ha brûlés Landiras, La Teste en Gironde), que nos capacités de stockage de gaz pour cet hiver sont incertaines, que le dossier de l'assurance-chômage n'avance pas, que la lutte contre le réchauffement climatique pédale dans la "semoule", qu'EDF affichait un déficit de 5,3 milliards d'euros pendant ce seul semestre 2022, que plus de 4 000 postes n'ont pas été pourvus lors des concours de recrutement des enseignants ouverts en 2022, que la France est à plus de 6% d'inflation, que les exportations d'électricité de la France ont chuté de plus de 70 % entre août 2021 et août 2022 en raison des arrêts des centrales nucléaires, que les incidents de remboursement des crédits aux particuliers ont augmenté de 30 % ?

    "L'hiver 2022/2023 sera rude et compliqué" (Joël Giraud, député Renaissance).

    A quoi bon dilapider plus de 11 millions d'euros à Saint-Denis-de-Pile dans un projet fantasque, alors que nos camarades de la Gironde vont vivre dans la disette cet hiver ?

    Qu'en pense donc le nouveau sous-préfet de Libourne, Matthieu Doligez "qui croit à ce projet ambitieux" ?

    Ambitieux pour qui ? Au détriment de qui ?

    MCDP

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