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Coeur radioactif des polémiques

Banderole aura environnement 3

  • PIEGE du PLU : Médias confirment force Collectif #CPERG opposé projet Décharge PAPREC/COVED @GrangesGontardes (26) !

    La Tribune de cette semaine confirme l'aura du CPERG

    Opposé à modification PLU qui entraînera de facto

    Projet Décharge COVED/Paprec @Granges-Gontardes !

    Tribune du 19 octobre 001 jpg retouc

    ATTENTION : Bizarrement cette édition de la Tribune n'est pas diffusée

    sur les Granges-Gontardes mais dans l'édition du Tricastin

    (Pierrelatte, St-Paul-Trois-Château, Bollène, Pont-Saint-Esprit)

    Amorce 2 115

     La page Facebook de la Tribune qui est massivement lue

    parle de "Grosse Agitation" contre le projet de décharge PAPREC/COVED

    de 75 000 à 100 000 T aux Granges-Gontardes !!

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    A nos Camarades :

    - le RDV prévu initialement le 24/10/2017 avec Mme la sous-préfète de Nyons, Christine BONNARD ne se fera plus avec elle mais avec le secrétaire-général de la sous-préfecture Stéphane SAVE de BEAURECUEIL, qui, étant en vacances la semaine du 23 au 28 octobre, ne pourra nous recevoir que le 30/10/2017 à 10h.

    - La CSS (commission de suivi de site) de l'actuelle décharge COVED se tiendra le 27/10/2017 à 15h à la salle des fêtes de la commune voisine de Roussas.... en présence de Christine BONNARD, la sous-préfète de Nyons. D'ores et déjà, nous pouvons vous informer que les Services de l'Etat et l'exploitant PAPREC/COVED feraient preuve d'une drôle de démocratie en refusant d'associer, aux commissions d'information de cette CSS, le CPERG autour d'une table. L'Etat et l'exploitant PAPREC/COVED sembleraient préfèrer voir s'exprimer dans la rue le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas/Les Granges-Gontardes) ! Cela en dira long sur les conditions d'installation de la future décharge PAPREC/COVED sur la commune voisines des Granges-Gontardes où ils ne tolèreront aucune opposition ! Nous aurons la preuve qu'ils refusent TOUT débat démocratique avec le CPERG qui est bien représentatif des populations locales de Roussas/Les Granges-Gontardes. Le refus de notre présence à la CSS n'étant pas notifié encore de façon officielle, nous attendons avec impatience la réponse du préfet de la Drôme, Eric SPITZ, avec qui, NOUS, le CPERG, communiquons en toute démocratie et en toute transparence. 

    - Le CPERG a reçu le soutien d'une grande partie de la profession des vignerons de l'appellation AOC Grignan-Les-Adhémar- Vignoble en vallée du Rhône ! Merci à toutes celles et ceux qui soutiennent le CPERG qui n'abandonnera JAMAIS la lutte pour la défense des animaux et de l'environnement aux Granges-Gontardes.

    - Nous avons reçus plusieurs mails d'inquiétudes de nombreux restaurateurs (Paris, Lyon, Bordeaux, Tokyo, Londres...) qui sont inquiets du futur projet de décharge aux Granges-Gontardes. ATTENTION de bien lire notre pétition et de la partager massivement dans le monde entier et non dans la région des Granges-Gontardes où la plupart des gens n'ont même pas un ordinateur : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303

    - La prochaine réunion du CPERG se tiendra dans les prochaines semaines. L'invitation vous sera transmise via le canal habituel. Parmi nos projets, une grande soirée à thème. Pas de manif' dans l'immédiat.

    - Une réunion est prévue dans les bureaux de la décharge COVED/PAPREC à Roussas le 26/10/2017 entre le CPERG, Olivier BERARD, le directeur actuel de la décharge de Roussas et de territoire Sud-Est de COVED et son responsable Eric TEILHARD de CHARDIN, directeur général Est de COVED, également président de la FNADE Auvergne-Rhône-Alpes. Nous ne savons pas encore si cette réunion est maintenue ou non. Nous aimerions bien savoir - entre autres choses - qui récolte les poubelles 2017 du Vaucluse comme Bollène, Mondragon, Lapalud, Mornas, Lamotte-du-Rhône...

  • 31° Congrès national #Amorce Clermont-Ferrand : AURA Environnement séduit par la déchetterie Veolia de Gerzat !

    AURA Environnement POUR Economie Circulaire

    chez déchetterie Pro VEOLIA à Gerzat :

    Olivier BIANCHI, maire de Clermont-Ferrand

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    Laurent BATTUT, président du VALTOM

    & Gilles VINCENT, président d'AMORCE

    ont lancé le 31° congrès d'AMORCE !

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    Ce jeudi 19/10/2017, AURA Environnement a visité une déchetterie d'exception réservée aux professionnels, chez VEOLIA à Gerzat - dans le cadre du 2° Jour du Congrès national d'AMORCE ...

    Amorce 2 083.... qui est une des meilleures associations de collectivités et professionnels du secteur privé et associatif et spécialiste - selon elle - "dans les domaines de la gestion des déchets, des politiques énergétiques et des réseaux de chaleur".

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    Parmi les sujets principaux retenus lors de ce séminaire, nous avons retenu :

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    - La polémique sur le loi de finances et de transition écologique : vers un pacte fiscal concerté sur l'économie circulaire et ... une dotation climat territoriale !

    - Les retours des collectivités sur les principales annonces du gouvernement Philippe relatives à la transition écologique !

    - Le volet énergie de la loi de finances pour 2018 !

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    - Le volet déchets de la loi de finances pour 2018 (Contexte et mesures prévues par le projet de loi de finances pour 2018, Proposition de pacte fiscal multi-acteurs pour l'économie circulaire avec Création d'une éco-contribution ou d'une TGAP amont sur les produits ne bénéficiant pas d'une filière nationale de recyclage pour financer les plans d'entreprise d'économie circulaire ; vers une TVA écologique en faveur de l'économie circulaire ; vers la création d'une TGAP incitative ; Affectation progressive de 100 % des recettes de la fiscalité sur les déchets au financement de la politique des déchets).

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    - La filière REP des emballages ménagers + Filière des déchets dangereux des ménages (DDS) + Filière REP des déchets d'ameublement (DEA) + Filière des déchets du BTP !

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    - Les annonces du gouvernement concernant la lutte contre la précarité énergétique (Convention territoriale de résorption de la précarité énergétique).

    Amorce 2 106- Le contexte et l'annonce du gouvernement en matière de distribution d'électricité.

    Amorce 059Le président d'AURA Environnement s'est entretenu avec le directeur général de la Prévention des risques au ministère de l'Ecologie, Marc MORTUREUX, sur nos contacts actuels en cours sur le dossier IndaChlor à Loon-Plage mais aussi sur le "sktech" actuel dans la Drôme et plus précisémment aux Granges-Gontardes où AURA Environnement s'oppose à la modification du PLU dans cette commune et qui déboucherait inévitablement - s'il était accepté - sur le projet de décharge PAPREC/COVED déposé à la préfecture de la Drôme le 31/08/2017.

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    Séduit, mais que de GASPILLAGES dans ce BAS MONDE !

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    A suivre

    Textes & Photos MC de PORTEBANE ©

    .

  • Décharge OPALE Environnement Sainte-Marie-Kerque : Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement) organise #Résistance !

    Le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)

    de Sainte-Marie-Kerque soutenu par AURA Environnement

    organise #Résistance enquête publique CONTRE

    prolongation décharge OPALE Environnement :

    Plus de 55 habitant-es révolté-es durcissent le ton !

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    Le Collectif SDOE a tenu ce matin sa 1ère réunion opérationnelle à Sainte-Marie-Kerque ...

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    ... (département du Pas-de-Calais, arrondissement de Calais, canton de Marck....

    Sainte marie i 121....communauté de communes de la région d'Audruicq, population : 1 593 habitants)....Sainte marie i 159

    ....dans le cadre de l'opération intitulée " Bruit de Cristal" !

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    SAUVONS nos vaches de Sainte-Marie-Kerque des mauvaises odeurs de la décharge du village, avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux !... . 

  • Décharge OPALE Environnement dans le Pif d'AURA Environnement : DEHORS de Sainte-Marie-Kerque !

    AURA Environnement déclenche l'opération "Bruit de Cristal"

    et soutient le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)

    contre la prolongation de la décharge d'OPALE Environnement

    à Sainte-Marie-Kerque dans le Pas-de-Calais !

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    Une fois de plus, on se demande comment est organisée la gestion des déchets dans les Hauts-de-France et particulièrement sur le littoral … alors que l’enquête publique d’un nouvel incinérateur de déchets dangereux qui menace des emplois locaux est en train de se terminer (projet INDACHLOR porté par le belge INDAVER à Loon-Plage dans le GPMD – Grand Port Maritime de Dunkerque -), une autre enquête pour un projet tout aussi aberrant est à l’œuvre sur notre beau littoral > l’extension de capacité de stockage de la décharge de la Bistade à Sainte-Marie-Kerque !!!

    La loi sur la transition énergétique n’est-elle pas claire pour chacun de nous ? Les tonnages enfouis en décharge doivent bien baisser de 50% en 2025, non ?

    La Région et en particulier les départements du Nord et du Pas-de-Calais possèdent déjà de grandes capacités d’enfouissement telles que celle d’Hersin-Coupigny (SITA) ou encore Blaringhem (BAUDELET ENVIRONNEMENT) … Pourquoi en créer de nouvelles ???

    Rappelons également que :

    • la nouvelle usine du SEVADEC (Calais) va combiner les techniques de pointe en matière de tri et de retraitement, permettant de transformer des déchets résiduels en biogaz injecté dans le réseau de GrDF ou en combustible solide, elle va permettre de faire chuter de manière drastique les déchets qui sont aujourd’hui enfouis, en particulier à la Bistade (ndlr, Déclaration de Guy Allemand, Président du SEVADEC),
    • L’incinérateur de Saint-Omer (FLAMOVAL – VEOLIA) a obtenu en 2016 la possibilité de recevoir des déchets provenant de la région Nord pas de Calais, soit en dehors des limites du syndicat ….

    Comment peut-on justifier une telle aberration ??? Comment l’Etat peut-il cautionner de telles pratiques ???

    Pour le Collectif SDOE (Stop Décharge Opale Environnement)

    Porte-parole Marc-Claude de PORTEBANE

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    REVUE DE PRESSE :

    La Voix du Nord > vendredi 6 octobre 2017 > Édition(s) : Calais

    Les élus de Bourbourg contre l'extension de la décharge de la Bistade
    SAINTE-MA­RIE-KERQUE. Après avoir lancé le débat par la lec­ture du pro­jet, le maire Fran­cis Bas­se­mon a sol­li­cité les avis des élus. 

    Par la voix de So­phie Cou­de­vylle, l'op­po­si­tion a re­fusé ca­té­go­ri­que­ment que se pro­longe l'ex­ploi­ta­tion. Pa­trick Squimbre, pour la ma­jo­rité, a en­suite re­pris point par point la si­tua­tion : « Nous ne pou­vons faire aux autres ce que nous n'ai­me­rions pas qu'ils nous fassent. Ima­gi­nez-vous, un lieu de sto­ckage à proxi­mité du centre d'une ville. On avait dit aux ha­bi­tants qu'une fois que la date se­rait at­teinte, l'ex­ploi­ta­tion sera ar­rê­tée et voilà qu'on leur dit d'en prendre pour quelques an­nées de plus. » Pa­trick Squimbre ajoute : « Vivre au­près d'une décharge, vivre avec les in­quié­tudes liées aux pol­lu­tions comme l'a dé­mon­tré le maire de Saint-Pier­re­brouck, non, ce n'est pas pos­sible. » Les élus ont en­suite voté à l'una­ni­mité contre ce pro­jet d'ex­ten­sion, por­tant à ce jour à deux le nombre de com­munes op­po­sées. Tou­te­fois, cha­cun a pu aussi in­di­quer que les déchets et leur trai­te­ment né­ces­si­taient une ré­flexion pour faire en sorte de trou­ver des so­lu­tions pé­rennes et sa­tis­fai­santes. Pour rap­pel, Opale En­vi­ron­ne­ment, ges­tion­naire du site, doit dou­bler son stock de déchets d'ici 2032 (**). P.B. (CLP) * Holque, Cap­pel­le­brouck, Sainte-Ma­rie-Kerque, Ru­min­ghem, Saint-Fol­quin

     

    Nord Littoral > mardi 3 octobre 2017

    La décharge s'élève… les protestations aussi

    Tous les ingrédients sont là pour qu'on pense qu'ils sont en train de nous rouler…», résume Thierry Lurson, président de l'association La Bistade environnement. Vingt-trois ans que l'association dénonce les nuisances liées à la décharge de la Bistade : odeurs « insoutenables », prolifération de mouettes attirées par les déchets, craintes de contamination des terres voisines et des nappes phréatiques…« Dès le début, on dit que c'est une ineptie de monter une pareille décharge dans un hameau de 256 habitants…» Alors ils ne désarment pas.
    Doutes sur la consultation

    Mais alors que les premières consultations publiques ont commencé (lire ci-contre), l'heure n'est pas à l'optimisme. D'abord parce que le CSS (comité de suivi du site) annuel a été plusieurs fois reporté cette année, les privant d'informations fraîches : « D'habitude il avait lieu en mars, l'an dernier il avait été repoussé en juin. Cette année, il a été repoussé plusieurs fois, la dernière date fixée c'était le 15 septembre et depuis, pas de nouvelles…» Or, quand on est privé d'informations fiables, on a tendance à flairer complots et intérêts occultes… Comme par exemple lors du vote de la CCRA en septembre 2016, qui donnait son accord à une prolongation de l'exploitation du site jusqu'en 2032, au lieu de 2021 comme prévu initialement. Dans le public, Thierry Lurson et le trésorier de l'association Bruno Cuvelard gardent un souvenir écœuré de l'épisode : « Qu'Opale environnement veuille rentabiliser un site qu'ils ont acheté en prolongeant sa durée de vie, ça se comprend. Mais tous ces élus qui ont voté pour ou qui se sont abstenus… Parce qu'ils ont eu peur que le tarif du traitement des déchets augmente, et parce qu'ils imaginaient que les taxes perçues allaient servir pour installer le réseau de fibre optique…» C'est d'autant moins compréhensible, arguent-ils, que les directives européennes sont défavorables à la prolongation ou à l'extension de ce genre de décharges, et que la région compte deux incinérateurs de déchets, qui tourneraient au ralenti faute de déchets à consommer… Mais ce qui les inquiète le plus, c'est que les propriétaires des parcelles situées dans un rayon de 200 mètres de la décharge ont commencé à recevoir des courriers recommandés de la préfecture, pour les prévenir que des servitudes y seront prochainement installées. 
    Pas de ça chez moi

    Si le processus d'enquête publique est régulièrement cité dans ce document, Thierry Lurson trouve que l'État va un peu vite en besogne…« Ça veut dire que l'État a déjà entériné la décision et le projet d'Opale environnement, peu importent les résultats de l'enquête publique ? » Malgré tout, ils conservent des raisons de continuer à espérer : le soutien des élus directement concernés, d'abord : « Aux conseils municipaux de Sainte-Marie-Kerque et Bourbourg, il y a eu unanimité contre ce projet. Et à Saint-Pierre et à Holque, ils sont majoritairement contre aussi…» Et puis il y a cette procédure judiciaire qu'ils ont remporté : « On était 75 requérants pour faire reconnaître les nuisances et la perte de valeur de l'immobilier autour de la décharge. On a payé des experts qui coûtent des fortunes, on a décrit la détresse humaine de gens qui vivent avec ça dès qu'ils ouvrent leurs volets. Et on a gagné, Opale a perdu et a payé. On est prêts à retourner au tribunal s'il le faut. Même si pour eux, ça ne doit représenter qu'une ligne comptable dans un budget prévisionnel…»
    déchets et immobilier

    Thierry semble déterminé à se battre, quand bien même certains opposant(e)s historiques sont partis. D'autres n'osent pas s'exprimer, préférant faire profil bas. Bruno, lui, va déménager dans le sud et cherche à vendre sa maison : « Quand vous expliquez le problème, les acheteurs ne disent pas : Vous me faites un rabais de 10000 euros. Ils disent : On va chercher ailleurs…» Edouard Odièvre

    « De l'incompréhension », pour Opale environnement

    Hélène Guy, la présidente d'Opale environnement, a elle-même été sollicitée suite à l'envoi des recommandés de la préfecture au sujet de l'implantation de ces fameuses « servitudes » :« Il y a une vraie incompréhension sur l'enjeu de ces servitudes. C'est une obligation réglementaire prévue par le ministère de l'Environnement : on ne doit pas laisser des maisons se construire autour d'un site de stockage. En l'occurrence, il s'agit surtout de parcelles agricoles, donc non constructibles. En fait, on doit soit acheter les parcelles, soit mettre en place des servitudes. Mais il n'y a pas d'expropriation ! » Quant au fait que la réunion du comité de suivi 2017 a été repoussée, c'est là aussi du strict ressort de la préfecture. Et le retard pris peut s'expliquer par le changement de juridiction : le dossier de la Bistade était jadis suivi par la préfecture de Saint-Omer, puis a basculé vers la sous-préfecture de Calais. Si on y rajoute le moment de latence qui suit toujours la mutation et la nomination d'un nouveau sous-préfet, le report de cette réunion peut s'expliquer. Mais promis-juré, elle doit avoir lieu avant la fin de l'année… Sur le projet en lui-même Hélène Guy insiste : « Il ne s'agit pas seulement d'une surélévation : aujourd'hui les alvéoles sont à 22 mètres et doivent passer à 32 mètres. Mais comme le site a eu plusieurs vies, on travaille à l'enlèvement des anciens déchets pour extraire ceux qui sont valorisables. »

    Les faits
    Les faits 

    1982 : une dé­charge est créée au ha­meau de la Bis­tade, sur la com­mune de Sainte-Ma­rie-Kerque. Au début simple sto­ckage au sol, elle se mo­der­nise pro­gres­si­ve­ment 

    1997 : La dé­charge est re­prise par Opale en­vi­ron­ne­ment. Le sto­ckage au sol est aban­donné, les dé­chets sont su­per­po­sés puis par­tiel­le­ment re­cy­clés. A terme, l'idée est de mo­der­ni­ser le pro­ces­sus de sto­ckage et de re­trai­ter une par­tie des plus an­ciens dé­chets en­fouis. 

    2002 : Créa­tion de l'as­so­cia­tion la Bis­tade en­vi­ron­ne­ment, qui pro­teste no­tam­ment contre les nui­sances liées à l'ac­ti­vité de la dé­chet­te­rie. 

    Sep­tembre 2016 : Opale en­vi­ron­ne­ment de­mande la pro­lon­ga­tion de la durée d'ex­ploi­ta­tion de la dé­charge jus­qu'en 2032. Par 24 voix pour et 9 voix contre, la de­mande est ac­cep­tée par le CCRA. 

    Juillet 2016 : les pro­prié­taires de par­celles si­tuées à 200 mètres au­tour de la dé­charge re­çoivent un cour­rier re­com­mandé leur si­gni­fiant l'ins­tal­la­tion de ser­vi­tudes sur leurs ter­rains.

    27 sep­tembre 2017 : Pre­mière jour­née d'en­quête pu­blique en Mai­rie de Sainte-Ma­rie-Kerque.

    Voix du Nord > Par P. B. (Clp) | Publié le 27/09/2017

    SAINT-PIERRE-BROUCK

    Le prolongement de la durée de vie de la décharge de La Bistade inquiète

    Une enquête publique vient de démarrer au sujet du prolongement de la durée d’exploitation de la zone de stockage d’Opale Environnement, dont la bute doit presque doubler, à La Bistade à Sainte-Marie-Kerque, à deux pas du village de Saint-Pierre-Brouck.
    Le maire de Saint-Pierre-Brocuk s’inquiète notamment du risque d’infiltrations provenant de la décharge et qui pollueraient l’Aa.

    Certes, le conseil municipal aura à se prononcer, mais au vu des arguments avancés, nul doute qu’on s’oriente vers un vote contre la poursuite de l’exploitation du site de stockage de déchets implanté sur la commune voisine de Sainte-Marie-Kerque. «  Les communes dans le périmètre proche sont appelées à se prononcer et une enquête publique a démarré ce mercredi à la mairie de Sainte-Marie-Kerque, pour un mois  », souligne Gérard Grondel. Le maire invite sa population à y participer.

    «  Le site est implanté à La Bistade, à 1,5 km du village, en zone humide, dans un périmètre de wateringues, et à un niveau à peine au-dessus de celui de la mer, tout proche de l’Aa. » Pour l’élu, cet élément est important dans la compréhension de ce qui pourrait devenir un souci majeur pour le Dunkerquois. «  Les déchets sont déversés puis recouverts de terre. Il est prévu de passer d’un mont de 17 m de haut à un de 32 m. Ce qui est prévu, c’est donc de passer à un tonnage de 800 kg/m2 sur 32 m soit 25 tonnes au m2. »

    Que se passerait-il en cas d’infiltrations dans le canal, qui alimente les industries dunkerquoises ? Quel serait l’impact tant écologique qu’économique ?

    Au-delà de ces calculs, ce qui inquiète le plus Gérard Grondel, c’est la proximité avec l’Aa. «  Un peu en aval de la décharge, au Guindal, les pompes des Eaux du Dunkerquois alimentent le canal, lui-même servant aux industries à hauteur de 24 millions de m3/an. Que se passerait-il en cas d’infiltrations ? Quel serait l’impact tant écologique qu’économique sur les industries dunkerquoises ? Enfin, se basant aussi sur des échanges avec certains habitants, même si l’exploitant du centre fait beaucoup pour avoir un site propre, des odeurs persistent, un peu comme une bouteille de gaz ouverte à proximité.  » Des agriculteurs sont déjà impactés par le site actuel puisqu’ils ne peuvent plus produire pour un groupe agroalimentaire qui refuse les produits locaux.

    Des riverains ont récemment écrit au ministre de la Transition écologique et solidaire. Dans leur courrier, ils ont repris l’historique du site, des rapports qui en prévoyaient la fermeture (qui ne pouvait se faire avant sous peine de dédommagement de l’État) et se sont inquiété aussi d’une éventuelle reconduction d’exploitation.

    «  En 2017, comment peut-on prétendre encore enterrer des déchets alors que des incinérateurs existent et sont sous-alimentés ? Va-t-on privilégier des intérêts financiers au détriment de la sécurité et la santé publique ?  »

    Enquête publique à la mairie de Sainte-Marie-Kerque jusqu’au 27 octobre. Permanences du commissaire enquêteur les 12 et 27 octobre de 14 h à 17 h ; les 3 et 21 octobre de 8 h à 11 h.

    Le Phare Dunkerquois > mercredi 1er au mardi 7 février 2017 > Édition(s) : Le Journal des Flandres

    VŒUX


    La Bistade, pas en odeur de sainteté

    SAINT-PIER­RE­BROUCK En 2017, ceux qui veulent s'ins­tal­ler dans le vil­lage di­rigé par Gé­rard Gron­del le pour­ront. Le bailleur La Mai­son Fla­mande a mis en vente 10 par­celles en ac­ces­sion à la pro­priété, ainsi que quatre lo­ge­ments lo­ca­tifs sur le ter­rain à l'angle de la route de Bour­bourg et la rue de la Cha­pelle. « L'ap­pel d'offres des voi­ries et ré­seaux di­versa été rendu », a dé­claré le maire. 

    Concer­nant le centre de sto­ckage de dé­chets situé au ha­meau de la Bis­tade, sur le ter­ri­toire de Sainte-Ma­rie-Kerque, de l'autre côté de l'Aa, le maire a an­noncé que le site sera com­plet en 2018. « Opale en­vi­ron­ne­ment a pour pro­jet de pro­lon­ger son au­to­ri­sa­tion d'ex­ploi­ta­tion, la bute pas­se­rait de 17 à 32 mètres de hau­teur », a-t-il an­noncé tout en sou­le­vant une pro­blé­ma­tique en­vi­ron­ne­men­tale. «Cette dé­charge se situe le long de l'Aa, les in­dus­tries dun­ker­quoises puisent de l'eau au Guin­dal, et les odeurs? » À ce sujet, le maire a in­sisté pour que les ha­bi­tants les si­gnalent dès que pos­sible en sous-pré­fec­ture. « Ayant par­ti­cipé à la com­mis­sion de suivi de site, j'ai ap­pris qu'au­cune plainte n'avait été faite concer­nant les odeurs. » 

    Au cha­pitre des bonnes nou­velles, les em­ployés mu­ni­ci­paux vont en­tre­prendre la res­tau­ra­tion des abat-sons de l'église, le Sivom des rives de l'Aa et de la Colme a par ailleurs pro­grammé la res­tau­ra­tion et la pro­tec­tion des vi­traux. « Quant à la salle multi-ac­ti­vi­tés, les ap­pels d'offres doivent être ren­dus pour le 20 jan­vier. »

  • Révision PLU Les Granges-Gontardes : Tribune Montélimar + VICTOIRE Collectif CPERG mobilisation en masse Enquête publique !

    L'hebdo La Tribune de Montélimar parle de la contagion

    du collectif CPERG soutenu par AURA Environnement

    pour mobilisation MASSIVE populations locales

    OPPOSEES au projet de révision du PLU qui conduira

    inéluctablement au projet de décharge PAPREC/Coved ou NON !

    Plu ep ce gg 125

    Jeudi 12/10/2017, le CPERG a réussi son 1er objectif, lors du dernier jour de la présence du commissaire-enquêteur et de la clôture à 19h de l'enquête publique relative à la révision du PLU de la commune des Granges-Gontardes ?

    Plu ep ce gg 123

    Le CPERG soutenu par AURA Environnement est pleinement satisfait de ses objectifs comme d'avoir appelé à venir massivement les populations locales des Granges-Gontardes à déposer sur le registre LEUR OPPOSITION...

    Plu ep ce gg 098.....au projet de décharge déposé le 31/08/2017 à la préfecture de la Drôme par le groupe PAPREC/COVED.

    Plu ep ce gg 036

    La Tribune de Montélimar/Tricatin du 12/10/2017

    Notre "maillage" de la commune des Granges-Gontardes a parfaitement réussi et ce, grâce aux gontardien-nes qui ont eu le COURAGE de nous soutenir dans un contexte de suspicion généralisée et de "chasse" aux opposants au futur projet de décharge PAPREC/COVED sur les terrains actuels du Moto-cross et de l'Auto-cross qui vont devoir trouver une autre "aire de jeu".Plu ep ce gg 119

    Si le CPERG est très favorable à la libération immédiate de la zone de l'Auto-cross (car ZERO BAIL), par contre, il est carrément opposé au départ du Moto-cross des Granges-Gontardes. Et nous soutiendrons nos motard-es prochainement via une opération Nationale de sensibilisation.

    Plu ep ce gg 120Nous demandons à être reçu-es par le Ministère.

    Plu ep ce gg 132Les gontardien-es qui ont répondu massivement à l'appel du CPERG ont montré que la LUTTE ne fait que commencer pour éviter que l'image des Granges-Gontardes soit désormais asssociée à GGD "Granges-Gontardes-Décharge" !

    Plu ep ce gg 161

    A suivre avec délectation et gourmandise, dans les prochains jours, la liste de ces nombreux contestataires de ce PLU qui soutiennent en MASSE le CPERG soutenu par AURA Environnement !

  • Ce matin, nos militant-e-s GREENPEACE feu d'artifice sont introduit-e-s intérieur périmètre centrale nucléaire Cattenom #Moselle !

    Voilà une preuve de plus qu’il y a un trou dans le filet du nucléaire français.
    Ce matin, à 5h30 du matin

    nos militant-e-s de GREENPEACE de nouveau

    en action pour dénoncer le risque nucléaire !

    Gp 2

    LIEN de la VIDEO : http://dai.ly/x647hq2

    Ils se sont introduit-e-s à l’intérieur du périmètre de la centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle.

    Ils y ont déclenché un feu d’artifice, à proximité de la piscine d’entreposage du combustible nucléaire usé. Objectif : dénoncer la fragilité et l’accessibilité de ces bâtiments pourtant lourdement chargés de radioactivité.

    Nous sommes de retour sur les sites des centrales nucléaires pour dénoncer les risques qui planent sur ces installations. Par cette action, nos militants montrent l’inquiétante vulnérabilité des piscines de combustible usés, talon d’Achille des centrales nucléaires, face à des risques malveillants.

    N’attendons pas que le pire arrive : EDF doit agir dès maintenant en sécurisant ces piscines nucléaires. Il en va de la sécurité de millions de citoyens, en France et en Europe.

    Aidez-nous à faire changer les choses : demandons à EDF de sortir du risque nucléaire.

    Les riverains contactés par France Bleu Lorraine Nord décrivent un gros déploiement des forces de l'ordre.

    "L'objectif est de marquer les esprits, montrer que c'est extrêmement fragile, accessible" Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire chez Greenpeace à franceinfo.

    Notre camarade Roger Spautz, chargé de campagne nucléaire pour Greenpeace Luxembourg, a expliqué à l'AFP que "vers 5h30, une quinzaine d'activistes se sont introduits dans le site, ont franchi les deux barrières de sécurité, pour aller au pied du bâtiment dans lequel se trouve la piscine de combustible usagé".

    Il s'agissait, a expliqué Roger Spautz, d'attirer l'attention sur la "fragilité" des bâtiments avec piscine "qui ne sont pas protégés, contrairement aux bâtiments réacteurs". Il s'agissait également de "montrer que l'on peut s'introduire dans une centrale nucléaire".

  • Alerte sur les centrales nucléaires en France : GREENPEACE sonne l'alerte rouge !

    FessenheimLogo EDF : c’est pas bientôt fini le nucléaire ?

    Avec ses 19 centrales et ses 58 réacteurs, la France est le pays le plus nucléarisé au monde. Exploitées par l’entreprise EDF, ces centrales sont vieillissantes, vérolées par des anomalies pour certaines et très mal protégées face aux risques d’attaques extérieures. Elles représentent une menace pour les Français mais aussi pour leurs voisins européens.

    Des piscines du combustible usé mal protégées

    Un rapport* d’experts indépendants du nucléaire, récemment remis aux autorités, dénonce la vulnérabilité des centrales nucléaires en France : les piscines d’entreposage du combustible usé sont très mal protégées en cas d’attaque extérieure.

    Il s’agit pourtant des installations qui contiennent le plus de radioactivité dans les centrales nucléaires. En cas d’attaque extérieure, si une piscine est endommagée et qu’elle perd son eau, le combustible n’est plus refroidi et c’est le début d’un accident nucléaire : de la radioactivité s’échappe massivement dans l’atmosphère, avec des conséquences radiologiques très graves.

    TOI AUSSI, DEVIENT NOTRE LANCEUR D'ALERTE :

    https://www.greenpeace.fr/?utm_medium=171010_PushInfo_Lancement_Nuke&utm_source=email&utm_campaign=Nuke-Securite&utm_content=&utm_term=

  • Si on veut pas décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes, Mieux vaut ne pas la permettre dans PLU !

    Le maire des Granges-Gontardes ne peut pas dire que le PLU

    n'a rien à voir avec la décharge PAPREC/COVED

    puisque c'est PLU qui permettra décharge s'il est adopté.

    Inversement, si la population se mobilise et obtient

    le rejet du projet de PLU, la décharge deviendra impossible

    et les habitants auront gagné leur tranquillité.

    Cperg conf presse

    Le CPERG soutenu par AURA Environnement

    qui regroupe les populations locales des Granges-Gontardes

    s'oppose à la révision du PLU qui permettra à la future décharge PAPREC/COVED

    d'installer son projet "LCJ3" déposé fissa à la préfecture de la Drôme fin août 2017 !

    POUR RAPPEL : le projet de décharge COVED/PAPREC "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes ce sera :

    - Une capacité globale de stockage de 1,35 millions de T, soit un volume de 1,35 millions de m3 de déchets DAE et DMA

    - Une durée d'exploitation de 18 ans

    - Une capacité de moyenne de 75 000 T par an et maximum de 100 000 T par an (source : DDA déposé par PAPREC/COVED, ISDND dite "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" aux Granges-Gontardes). d

    Plu 002

    Ce projet dit "LCJ3" intègrera :

    - Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond de casier, les digues et couvertures,

    - Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environs.

    - Superficie de la demande d'autorisation : 13,5 ha

    - Superficie exploitable de la zone de stockage : Fond de casier : 4,9 ha. Superficie projetée : 8,2 ha.

    - Tonnage annuel : Tonnage moyen : 75 000 T/an. Tonnage maximum : 100 000 T/an.

    - Durée de vie résiduelle : 18 ans (fin 2040).

    - Hauteur de stockage maximum : Côte finale du modelage : 180 m NGF. Hauteur de stockage de déchets : entre 34 et 40 m.

    - Phasage : Un casier avec phases d'avancement selon la progression de l'avancement du stockage (Phasage avec avancement par zone d'exploitation successive en cours d'exploitation).

    - Rayon d'affichage (3 km) et communes concernées : Malataverne, Alan, Roussas, Les Granges-Gontardes, Donzère.

    Plu 001- COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME :

    Le groupe PAPREC/COVED semble tellement sûr de lui qu'il confrme bien dans son DDAE déposé le 31/08/2017 à la préfecture de la Drôme que "L'enquête publique est prévue en septembre 2017, avec un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017. Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées" !

    Un objectif d'approbation du PLU avant fin 2017 ?

    En comprenant les potentiels recours en annulation déposés par les associations nationales de défense de l'environnement dont certainement le CPERG via AURA Environnement ?